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 L'origine des pertes de controles meutrieres [SOLO]

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Zafura
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MessageSujet: L'origine des pertes de controles meutrieres [SOLO]   L'origine des pertes de controles meutrieres [SOLO] I_icon_minitimeJeu 3 Juin - 19:51

Je m'assis à même le sable et ferma les yeux. Je venais de partir en pleine nuit du village pour méditer sur ma vie en générale. J'aimais bien m'exiler parfois afin de méditer sur mon passé. Un souvenir revenait souvent, et c'était sur ce souvener que je voulais me concentrer cette nuit. Je ferma mon esprit aux pensées néfastes et commença à ressentir le monde alentour. Un petit vent froid soufflait, balayant mon visage de son contact frais. Sous mes fesses le contact du sable encore legerement chaud ressemblait à un coussin peu moelleux mais qui me suffisait. Quelques crissements dans le sable m'indiquait que des animaux sauvages se promenaient. Au bout d'un certain moment de concentration, je sentis même mon chakra circuler dans les plus infimes parties de mon corps. C'était comme si.....C'était indéfinissable en fait. C'était une sensation particuliere, que l'on ne pouvait ressentir que ainsi. Enfin, j'entra dans une phase où ma concentration était telle que je revoyais clairement le passé.

FLASH BACK

C'était un jour d'été. Le soleil brillait haut dans le ciel, illuminant de sa radieuse présence le monde des Shinobis. Je n'avais que 14 ans à l'époque. J'étais déjà plutot grand, dépassant d'une tête tout mes anciens camarades de classe. Je venais tout juste d'être promu Genin, et j'en étais fier. J'enchainais les missions de rang D, nettoyant un maison, désherbant un jardin, aidant une vieiile dame à faire ses courses. Marre, j'en avais marre des missions nulles ces temps-ci. Mes parents l'avait bien compris, et avait réclamé au Kazelage de l'époque si je pouvais les accompagner lors d'une mission. Etant un de leurs amis, il avait accépté, et me voila parti avec mes parents pour une mission de rang B. Je savais que le risque était très élevé, car nous devions secourir une équipe de notre village qui était bloqué sur la ligne de front. C'était la guerre, et nous étions chargé de les rapatrier, car ils avaient subi de lourdes pertes sur le champs de bataille. Sentant ma crainte, mon père et ma mère me rassurèrent du mieux qu'ils le purent. Je me sentais un peu mieux, mais un petit peu de crainte règnait encore dans mon coeur. Ma mère, la ressentant, m'afficha un magnifique sourir. Mes parents étaient encore jeune, ils devaient à peine avoir la trentaine d'années. Mon père était le cadet de sa famille mais malgré son plus jeune age, il battait encore ses deux freres au combats. Il était plutot grand par rapport à ma taille de l'époque, avoisinant les 1m90. Il avait de longs cheveux noirs et un regard sans cesse agité. Je savais qu'il n'était pas rassuré de ma présence pour cette mission extrement risqué, mais comme il l'avait dis plus tot :

-Cela lui permettras de changer de la routine habituelle.

Ma mère avait accepter tout de suite. Elle était un peu plus petite, plutot 1m80.
Ses cheveux était noirs eux aussi, flottant derriere elle délicatement. Mais c'était ses yeux qui frappait immédiatement. Ils étaient rougeoyants, comme les yeux d'un démon. D'ailleurs, j'avais exactement les même yeux qu'elle, et j'en étais fier. Elle avait sur les deux joues les tatouages typiques du clan Inuzuka, à savoir deux crocs stylisés. J'avais hérité de son sang, et j'étais donc un membre du clan Inuzuka, bien que je me présenta toujours comme étant "Zafura, Genin de Suna". Je n'aimais pas dévoiler mon pouvoir héréditaire, le reservant comme surprise contre mon ennemi. Ce qui avait été jusqu'à présent assez efficace. Ma mère leva le doigt en l'air, et l'escouade composé d'elle, moi, mon père et quatre hommes s'arreta aussitot.

-Je sens l'odeur de deux ennemis assez proche, caché derriere ces deux gros troncs d'arbres. Ils sont....trois. En formation B. Zafura, tu restes ici, tu protege nos arrieres.

Je ne tenta pas de protester et me contenta d'acquiescer d'un signe de tête. Ma mère s'avança vers l'arbre, toute griffe dehors. Deux hommes s'étaient mis de chaque côtés, ma mère précédant mon père qui la suivait de quelques pas. Je pris un kunai en main, me préparant à défendre cherement ma peau. Mon père dégaina les deux katanas qu'il tenait dans son dos tout en continuant son avancé. Soudain, ma mère lança deux bombes fumigènes sur l'endroit où les ennemis se tenait avant de foncer dans le nuage de fumée, utilisant son odorat pour repérer ses ennemis. Lorsque la fumée se dissipa, les trois ninjas ennemis gisaient à terre dans une mare de sang. Faisant signe calmement de continuer, ma mère repris sa route, nous derriere elle. J'étais empli de fierté. Pas un moment elle n'avait tremblé. Elle venait de tuer sans probleme les trois ninjas.

Après plusieurs jours de marche et quelques escarmouche qui se finissaient par l'anéantissement de l'ennemi, nous arrivâmes sur la ligne de front. A perte de vue s'étendait des corps mutilés de toute part. Certain remuait encore, gémissant faiblement des supplications. Des explosions jaillisaient de nulle part, embrasant le champs de bataille. Parfois, quelques éclairs fusaient d'une tranchée avant de frapper un homme qui périssait dans un cri atroce. J'eus soudain le coeur soulevé et vomit sur le sol. C'étais atroce. Deux corbeaux s'envolèrent, se battant pour l'oeil d'un homme encore vivant qui poussait des hurlements horribles. C'étais donc ça la guerre. Peu étonnant que mes parents n'en parlait jamais à table. Nous nous enfonçames dans les tranchées. Par terre, des hommes bandaient leurs blessures ensanglantés sans un bruit. Un homme s'approcha de nous et nous salua avant de déclarer :

-Vous êtes l'équipe chargé de rapatrier l'équipe 14 ? Elle est en plein milieu du no man's land, ça serait suicidaire. Mais il parait que leur chef connait des secrets stratégiques.

Ma mère lui sourit avant de se tourner vers nous et de nous faire le topo de la situation. Nous devions courir vers le lieu où nous devions normalement trouver leurs corps inconscient avant de revenir. Deux hommes étaient chargé de créer une barriere de chakra devant nous. Le reste de l'équipe devait juste courir sauver les survivants avant de s'enfuir du champs de bataille et rappatrier sain et sauf ceux qu'ils pourraient. Je me sentis bizarre lorsque ma mère m'annonça que je devais venir avec eux.

-Nous aurons surement besoin de toi là bas. Mais fais bien attention à toi.

Ma mère nous regarda un à un avant de déclarer à mi voix :

-Go, n'oubliez pas votre mission.

Nous bondîmes hors des tranchées et immédiatement une immense barriere de chakra azur se forma devant nous, nous protégeant de la grèle d'armes de jets et de jutsus que nous subissions. A chaque impact, une onde similaire à celle qui parcourt l'eau lorsqu'on y jette une pierre se répandait sur le bouclier. C'était comme...irréel. Nous courûmes ainsi longtemps, la barriere magique nous protégeant de toutes agressions. Sous nos pas craquaient parfois des os. Je devais me contenir pour ne pas vomir. Enfin, nous vîmes notre cibles. Ils étaient à moins de vingt mètres de la tranchée ennemi, et pourtant ils continuaient à leurs envoyer des jutsus malgré leur épuisement flagrant. Ils avaient creusé un trou dans lequel ils se cachaient. Le nombre effarant de cadavre des deux camps autour de ce dernier indiquait la violence des combats qui avait eu lieu. Nous sautâmes dans leur trous tout en plaçant la barriere jutsu entre nous et l'ennemi.

-Nous pensions que vous ne viendriez jamais.

L'homme qui venait de nous parler était le chef de l'équipe, dont seulement deux hommes en le comptants était encore vivant. Je les regarda. Tous portaient des cicatrices, des blessures dégoulinantes de sang frais, des entailles, des balafres, tous possédaient des traces des combats qu'ils venaient de livré. Je vomit à nouveau en voyant des morceaux de cervelles sur le sol. Ma mère regarda les trois survivants et leurs fis signe de nous suivre. Ils se leverent, touts leurs sens aux aguets. L'avalanche d'attaque ne faillait pas, et le bouclier semblait percuté par une pluie de jutsu, des éclairs lumineux parfois partant trop haut avant de partir vers le ciel. Nous leur tournâmes le dos et nous repartîmes vers nos lignes. Alors que nous avions franchi la moitié du champs de bataille, un cri jaillit. Un gargouillement horrible suivi. Je tourna la tête et vit un des deux hommes chargés de maintenir la barriere jutsu avec un kunai planté dans le crâne, le perforant de part en part. Un homme se tenait derriere, un rictus sur les levres.

-La barriere va céder !

A cet annonce, je sentis mon sang se glacé d'horreur. Nous allions....mourir ? Un grand cri perçant m'indiqua que l'assassin de notre coéquipiers venait de succomber à un magnifique croissant de vent tranchant envoyé par mon père. Malheureusement, ce fus aussi ce moment que choisis la barriere pour céder, nous exposant à un flot d'attaque, qui rapidement eu raison de deux hommes. L'un pris en pleine tête un éclair et continua à courir un peu avant de s'effondrer. Le second mourut sous le coups d'une bonne trentaine de shurikens qui s'enfonçaient dans sa chair. Ma mère donna l'ordre d'accélerer le pas, ce que tout le monde s'empressa de faire. Le dernier homme périt alors, frappé des senbons de foudre qui lui percèrent la gorge dans un gargouillement infame. Nos tranchés était encore à 10 mètres, il fallait tenir. Un des trois survivants vola en l'air avant de s'écraser au loin sur un rocher, ses os craquant atrocement, le tuant sur le coup. Nous retournâmes enfin dans nos tranchées. Soudain, je vis mon père se touché l'épaule. Ses habits étaient taché de sang et je pouvais voir un kunai planté dans son épaule droite. Il tendit sa main en arriere et l'arracha dans une gerve de sang avant de le lancer au loin. Alors que nous nous préparions à rentrer au village, une annonce inquiétante fondit sur nous.

-Les ennemis lancent une attaque. Ils sont trop nombreux, on ne pourra pas les arreter.

En effet, une clameur sourde jaillit du champs de bataille, suivit d'un déluge d'armes de jets. Nos troupes ripostèrent avec sang froid, chaque jutsu terrasant un ennemi. Mais lorsqu'un d'entre eux tombait, deux autres prenaient sa place. Nous allions être débordé. La perspective de ma mort imminente me serra la gorge, coupant ma respiration un bref moment. Ce fut la déclaration de ma mère qui me remit sur pieds.

-On a réussi la partie la plus dur de la mission, on ne va pas échouer maintenant. Garder votre sang froid, et à mon signal, on se replie.

Si elle avait peur, cela ne s'entendait pas. Elle parlait d'une voix calme, sans la moindre peur transparaissant dans sa voix. Elle leva deux doigts et nous raidîmes notre corps. Je sentais mon coeur battre follement la mesure dans ma poitrine, de la sueur coulé depuis mon front. Mes jambes tremblaient. Enfin, ma mère baissa ses deux doigts, pile au moment où l'ennemi percutait nos lignes. Je sortis d'un grand bond agile de la tranchée avant de courir de toute mes forces afin de m'éloigner de ce cauchemar. Derriere mon dos des cris de douleur jaillisaient. La bataille qui s'étaient engagé tournerait vite en notre défaveur, je le savais. Mais ces hommes nous protégeaient et nous permettait de nous échapper. Je rattrapa vite ma mère, mon père et les deux derniers survivants qui couraient tant bien que mal.

-Zafura, fais bien attention. Si un ennemi nous attaque, je veux que tu rentre au village prévenir Maitre Kazekage de notre échec. Tu m'as bien compris ?

Je lui afficha un sourire forcé. Son ton m'indiquait qu'elle ne rigolait pas, que ce qu'elle venait de me dire était sérieux. Autour de moi, je ne distinguais du paysage qu'une grande masse floue. Soudain, mon odorat dévellopé sentit ue étrange odeur qui se rapprochait de nous.

-Maman, quelqu'un arrive !

Elle me fis signe qu'elle aussi l'avait senti et l'escouade ralenti, ses armes aux clairs, pret à vendre cherement sa peau. Un homme au bandeau frontal de Suna bondit devant nous, son escouade de huit hommes faisant de même. Lorsqu'il nous vit, il rengaina ses armes et s'approcha de nous. Je poussa un soupir de soulagement. Ce n'était pas un ennemi mais un allié. Mais quelque chose en lui me dérangeait. Quelque chose de tapi dans son coeur....

Ma mère et l'homme discutèrent longuement. Au ton qu'ils employaient, je compris qu'ils se connaisaient et qu'ils ne s'appréciaient pas. Ils ne parlèrent pas très longtemps, l'homme poussant ma mère en arriere brusquement avant de continuer sa route vers le front. Ma mère gromella avant de se tourner vers nous. Je mança un regard noir à l'homme avant de regarder ma mère dans les yeux. Cet homme, si c'était un ennemi, je l'aurais déjà tué. Personne n'avait le droit de parler ainsi à ma mère.

-Bon, on conti...

Elle fut coupée par le bruit d'une lame qui siffle. Elle se jeta à terre et esquiva le kunai qui trancha une de ses mèches de cheveux. Derrier elle se tenait l'homme qui venait de la pousser, la main tendue vers l'avant.

-Mince, elle a esquivé.... C'est pas grave, je vais la tuer quand même, elle, son mari, et son minable fils.

C'était un traitre. Ma mère le compris aussi et se releva avant de laisser ses griffes sortirent, mon père empoignant à nouveau ses katanas. L'homme poussa un rire machiavélique avant de se jeter sur nous. Il planta un kunai dans le cou d'un des survivants et se laissa tomber au sol, emportant une grande partie de chair au malheureux qui mourut rapidement. Profitant de l'effet de surprise, il frappa dans le tibia du dernier survivant, le faisaint lourdement chuter sur le sol. Il dégaina deux kunais et les plantas dans ses deux yeux, atteignant son cerveaux et le détruisant. Il se retourna vers nous avant de déclarer d'un ton craneur :

-Pffff, vous êtes faible. Je t'ai toujours détesté, et aujourd'hui, je vais prendre ma revanche.

Il s'empara d'une immense chaines au bout de laquelle pendait de chaque côté une petite faux à la lame aiguisées. Il bondit en l'air et lança une des lames sur nous. Je bondit sur le côté et roula avant de me relever. Devant mes yeux se déroulait le combat qui allait bouleversé ma vie. Ma mère tourna sur elle même en fonçant sur l'ennemi, qui sauta avant de lui planter dans le bras une lame. Mon père tenta de lui fendre le crane mais la chaine se mis sur sa trajectoire, bloquand le coup. L'homme bondit en arriere, arrachant un morceau du bras de ma mère qui gisait à terre. Il était trop fort, même pour eux. Il fis ses mudras avant d'envoyer un éclair qui foudroya mon père. Ce dernier vola en l'air avant de s'écraser contre le tronc d'un arbre. Il s'effondra au sol, les deux yeux fermé sur une moue de douleur. Je sentis comme si une lame venait de percer mon coeur. Des larmes coulèrent sur mes joues, et je tomba à genou au sol. Non, non, il ne pouvait pas être mort, c'était impossible. Je serra les poings et poussa un cri de tristesse. Ma mère, pleurant elle aussi, courut vers notre ennemi, voulant surement vengé la mort de son mari, de mon père. L'homme roula au sol et tendit saz jambe vers son menton, la frappant assez fort pour la faire décoller. Il se releva en lui mettant un uppercut avant de l'attraper par le cou lorsqu'elle retomba vers le sol. Il lui frappa le visage au sol, sur une pierre. Lorsque j'aperçus pour la derniere fois ma mère avant qu'elle ne meurt, un vague sourir flotta sur ses levres tuméfiés. Ses yeux injectés de sang me lancèrent un regard tendre avant que le cruel ne lui brise la nuque du tranchant de la main. Son cou pris un angle bizarre en arriere dans un craquement sec. Il lacha son corps qui tomba au sol. Il leva son regard avant de me dire d'une voix calme :

-A ton tour.

Il courus vers moi et soudain je sentis une nouvelle sensation prendre possesion de mon corps. C'était étrange, comme si une chaleur sourde c'était allumée en moi. Je sentis mon corps comme possédé par une douce sensation. Toute mes pensées étaient fixé sur un but fixe : Tuer cet homme. Sans le savoir, je venais de succomber pour la premieres fois à ma folie meutrières. Il tenta de me planter sa faux dans le ventre, mais j'esquiva d'une roulade agile, arrtivant à côté du cadavre de mon père. Sans hésiter, je m'empara de ses deux katanas et les brandit devant moi. Ils étaient à la fois simple, léger, chacun étant comme le prolongement de l'autre. Je fis un leger moulinet avant de courir vers lui. Pointant mon armes droites vers son coeur, je fis décrire à mon katanas de gauche une courbe destinées à coupé net son cou. Il décala la pointe de mon sabre avant de se baisser agilement tout en me balayant les jambes. Je chuta à terre mais me laissa rouler en arriere, ratterisant debout, toujours possédé par ma folie meutrieres. Je fonça à nouveau vers lui, mais un puissant crochet m'envoya au sol. Il pris mes poignets entre ses mains et les broya d'une pression énorme. J'hurla de douleur avant de laisser retomber lourdement mes bras. Il pris un kunai et s'approcha de moi.

-Tu as osé me blesser. Si je te laisses en vie, tu risques de contrecarrer mes plans futurs. Tu dois mourir, petit effronté. Tu vas rejoindre tes parents.

Lorsqu'il prononça ses mots, je sentis une force faites de haine déferlées en moi. Levant mon genou, je lui frappa dans le dos. Il se cabra en arriere et j'en profita pour lui mettre un coup de boule dans le nez. Il chuta en arriere et, ignorant le douleur, je repris en main mes deux armes. Des vagues de douleurs parcoururent mes bras, m'arrachant une grimace, mais je ne lacha pas prise. Je lui frappa dans le ventre de mon pieds plusieurs fois, avant de lui planter mon katanas dans le bras. Il hurla de douleur et l'arracha rageusement avant de se relever.

-Jamais auparavant je n'ai été obligé d'utiliser mon jutsu ultime contre un gamin. Tu vas avoir l'honneur d'assister au "Dieu de la Foudre" avant de mourir.

En effet, son chakra sembla former une envellope protectrice autour de lui. Des éclairs frappaient les arbres, les enflammant brusquement. Ses yeux brillaient d'une lueur malsaine lorsque son jutsu fus fini. Autour de lui crépitaient des dizaines d'éclairs, créant une protection de chakra. Deux yeux rouges venaient d'apparaitre dans son armure à la forme d'un ours géant. Je n'eus que le temps de me mettre en garde que je perdais connaisance, frappé en plein ventre par l'homme. Juste avant de m'évanouir, je le vis me cracher dessus en disant :

-Voilà pour ce gamin. Il n'avait qu'à pas se mettre sur ma route.

Il partit moins d'une minutes avant que je n'aperçoivent une escouade médicinale s'approcher de moi. Je perdis alors connaisance, sentant juste un vide immense m'attirer vers lui. M'y abandonnant tout entier, je laissa ma conscience s'éteindre comme une vulgaire bougie. Une seule phrase résonnaient dans ma tête. "Je suis mort ?"

Lorsque je rouvris les yeux, j'étais à l'hopital de Suna. Tout autour de moi un grand silence regnait. Je toucha mon ventre et laissa s'échapper une petite grimace de douleur. Je me releva alors brusquement en hurlant :

-Papa ! Maman !

Je me rendis compte alors avec horreur qu'ils étaient bel et bien mort. Un ninja s'approcha de moi avant de me dire :

-Tu es le seul survivant. On ne sait pas qui vous as fait ça, mais tu as eu de la chance de t'en sortir mon petit.

Le...seul survivant.... Non, c'était impossible, ils ne pouvaient pas mourir comme ça.

-Et mon père ? Ma mère ?

Il se frotta le crane embarassée avant de me dire :

-Désolée, à part toi, tout le monde y est passé.

Ce fus là que le choc eu vraiment lieu. Mes larmes dégoulinèrent de mes yeux. Mon coeur semblait bléssé par une plaie qui ne pourrait pas se refermer. Je tourna la tête et aperçus les deux katanas de mon père. D'une voix tremblotante, je demanda :

-Ces katanas....

-Oui, tu les avaient encore en main lorsque tu étais évanoui. Alors, on a pensé qu'il te tenaient à coeur. Sinon, désolé pour tes parents. On a tout tenté pour les sauver, mais c'était trop tard.

Il se leva et repartit. Je pleura encore un long moment avant de m'endormir, épuisé par mes récentes émotions.

FIN DU FLASH BACK

Le soleil qui se levait me tira de ma maditation. Sans m'en rendre compte, j'avais pleuré en me remémorant cet atroce souvenir. Cela faisait déjà trop longtemps que j'étais parti. Je me leva et rentra au village d'un pas calme.
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