Les Retrouvailles [Pv Tsunade]

Je quittais juste le petit village du Thé situait à trois jours de marches de Konoha, la veille j’avais reçu un rouleau envoyé par un faucon de Konoha. Celui-ci annonçait le départ de l’actuel Hokage Lucy Heartfilia, le conseil des sages avaient étés assassinés par ses soins on me demandait de faire retour sur le village pour occuper le poste de Kage. Je ne croyais pas ce que je lisais croyant à une mauvaise blague, pourtant tout était vrai l’apposition du sceau l’écriture sur le parchemin et le papier employé typique du village de la Feuille. Je décidais finalement de me rendre à Konoha pour savoir ce qu’il c’était réellement passé, même si j’avais quitté le pays depuis bien longtemps pour des raisons personnelles je n’en restais pas moins une kunoichi. Je suis la petite fille du premier Hokage et qui plus est l’élève du Sandaime, pour honorer leurs mémoires je me dois de retourner au village. Au bout de quelques minutes je mordillais mon pouce pour que du sang apparaisse, et je mis une annotation sur le parchemin pour annoncer mon retour. Je scellée à nouveau le document et le redonna au faucon en lui faisant comprendre de retourner à Konoha, je précisais que je me situais à environ trois jours de marches du village. Je refusais qu’une escorte se déplace du village pour éveiller tout soupçons, Konoha semblait déjà bien touché par cette attaque il ne fallait pas qu’une équipe parte à ma rencontre cela diminuerait les forces du pays.

A travers la forêt le temps semblait s’être arrêté quelques oiseaux sifflaient le long de ma venue, je m’arrêta pour les observer et je repris ma route pour ne pas arrivais en retard. J’évitais soigneusement les chemins fréquentés par les civils, ninjas et autres brigands, cela était un vieux réflexe que j’avais acquis au fur et à mesure de mon apprentissage. Même si les personnes voulant tendres une embuscade se trouveraient au même endroit que moi, cela ne me faisait pas peur pour autant j’étais un des trois Sannin légendaires de Konoha. Bon nombre de ninjas ont goûtés à ma force surhumaine et à mes techniques médicales, j’attendais presque qu’un ninjas m’attaque pour me défouler un peu la route était longue et ennuyeuse. A peine une journée était passée et la forêt se ressemblait à tout bout de champs, des arbres encore des arbres comment avais-je fais pour grandir dans ce pays. Je comprenais aussi que mon départ était du à cela également un changement total de paysage, voir un nouveau monde une autre culture et surtout de nouveaux jutsu.

Durant mon périple aux quatre coins du pays du feu j’avais fait connaissance avec grand nombre de personnes, vu des techniques que je ne soupçonnais même pas et livrés de nombreux combats. Ma vie avait été mise à l’épreuve un nombre incalculable de fois, en y repensant j’avais menée une vie que tous ninjas puisse rêver. Parcourir le monde sans se soucier des conséquences que cela engendre, mais aujourd’hui j’en avais assez et cette proposition pour occuper le poste d’Hokage s’offrait à moi. Je n’aspirais plus qu’à une chose maintenant poser mes valises dans un endroit et ne plus bouger, l’âge était là et la solitude m’avait gagné depuis bien trop longtemps. Etre entourée c’est cela qu’il me fallait sans doute de la reconnaissance également, égoïstement j’en avais besoin après tout j’avais empêchais avec Orochimaru et Jiraya une attaque d’Ame et du terrible Hanzou. Bien sur à notre retour au village nous avions étaient félicités mais aujourd’hui qui sans souviendrait, la jeunesse actuel à du en entendre parler dans des livres cela ne pourra jamais leurs restituer la réalité d’une terrible. Les seules personnes ayant connu cela sont mortes pour la plupart, comme le regrettait Croc Blanc mon sensei durant une époque lui connaissait la vie d’un ninja. Je donnerais tous pour le revoir pensais-je au plus profond de moi un frisson parcourus mon corps en pensant à lui, cet homme qui avait été jugé et rabaissés plus bas que terre après avoir ramenés ses compagnons en vie au lieu de réussir une mission. Sakumo avait compris le vrai enseignement et avait la flamme de Konoha au plus profond de lui les personnes osant dire le contraire ne représentent rien à mes yeux, qui sont’ ils pour juger un homme qui préfère sauver ses co-équipiers plutôt que la réussite d’une mission Sakumo avait suivit son instinct j’aurais agit de la même manière à sa place.

Après trois long jours de marches le village de Konoha était à vue d’œil, je pressais le pas pour rentrer à l’intérieur. Je commençais à sortir de la forêt en poussant les derniers branchages gênant mon passage, soudain j’aperçus un homme assis me tournant le dos. A bien le regarder il s’agissait d’un ninja il se retourna pour regarder derrière lui, d’un pas furtif je me retirais de son champs de vision et avança une fois que celui-ci tourna la tête de nouveau. Tout en m’approchant de ce dernier il sortit une photo de sa poche et prononça mon nom, intriguée je me stoppa à un mètre de lui et aperçus la photographie. Celle-ci représentait l’équipe dirigés à l’époque par Sakumo, je ne savait pas qui était cette personne n’y comment elle avait obtenus cela il me fallait le questionnait.

- Cela fait bien longtemps qu’on ne ma pas surnommée Princesse le dernier en réalité était Orochimaru, mais étant donné la photo que vous avez entre les mains vous devez savoir de qui je parle. Je ne sais pas comment vous avez obtenus cette photo mais sachez que je ne toléré pas que vous injuriez les personnes s’y trouvant.

Toutes ces personnes étaient des co-équipiers certains décédés malheureusement, à qui j’aurais voulut dire un dernier au revoir….

Et la vie de l’été se détachait sur le fond immuable du chant des cigales. Pour ces créatures, le chêne était un monde complet où ils trouvaient de quoi se nourrir et s’abriter. Je sombrai alors dans une sorte de rêve éveillé, bercé le soir frais et de ses bruits innombrables. Quand je fermais les yeux, je voyais encore le dessin des feuilles noires sur un fond rouge. En entendant l’appel bruyant d’un oiseau insolite dans les branches d'un arbre au loin, j’ouvris les yeux. Perché au dessus de moi, l’animal ne m’était pas tout à fait inconnu, mais j’ai pu l’identifier tout de suite : c’était le Houou, l’oiseau sacré qui n’apparaissait que pour prédire un mauvais présage… Je ne suis pas vraiment superstitieux mais c’est tout de même un oiseau d’une beauté inégalée. L’oiseau me regarda de ses yeux dorés et brillants, ouvrant son bec jaune et poussa un nouveau cri. Tout se tut autour du moi, cloué sur place, je n’osais pas respire. Une brise légère fit onduler les feuilles mortes. Souriant d’un air neutre, j’ai malheureusement fermé les yeux et quand j’ai voulu ouvrir les yeux une nouvelle fois. L’oiseau avait disparu… Je me suis senti un peu honteux de ne pas l’avoir vu partir… après tout, malgré mes bonnes résolutions sur le fait que je ne devais pas dormir. Mais le rêve avait été si vif – et une apparition, même dans un songe, ne pouvait être négligée. Regardant au creux de ma main, reposait une unique plume blanche aux extrémités teintées de rouge, comme si elle avait été trempée dans du sang. Une plume appartenant à l'oiseau sacrée mérite d'être gardée précieusement...

Titanesques tels les nuages qui surplombent leur tête, puissants tels le vent qui fracasse le moindre obstacle et discret tels le soleil qui des cieux se cache avec toujours la même grandiloquence. Qu'est ce que j'attendais à rien foutre ici même ? Sous un soleil tapant ~ brise d'été en pays chaud ~ dans ce paysage peuplé d'arbres et verdures en tout genre ? Je pestais de ne plus être entouré de mes deux meilleurs co-équipiers, à savoir Tsunade et Jiraya... en particulier Tsunade parce qu'elle a toujours sue me faire rire, en particulier lorsque l'on me raconta la légendaire histoire des sources. Lorsque Jiraya avait eu l'esprit mal tourné pour aller espionner les femmes... malheureusement pour lui, notre chère Tsunade était là et colérique comme elle l'est... elle lui avait briser les os. Rien que d'y penser actuellement, je me suis mis à ricaner. Ce fut une ère désormais révolue et je donnerai n'importe quoi pour revivre cette époque. J'appréciais chaques membres de mon unité et les considérais comme des membres à part entières de ma famille. Regardant à nouveau la photo, je me suis aperçus qu'une présence se faisait. En levant ma tête, un sourire des plus... heureux s'afficha aussitôt. Je m'attendais à touts types de visites mais cette visite était unique ! C'était ma très chère Tsunade Koichi, bien évidement elle ne pouvait me reconnaitre pour deux simples raisons. La première était que j'étais censé être mort, du moins Hizuren Sarutobi avait fait croire à Konoha que mon existence était finie. La seconde raison est que j'ai rajeuni... dommage d'ailleurs, cela aurait tout faciliter. Après la tirade de cette dernière, je souriais, comme si je la connaissais depuis tant d'années, ce qui est le cas d'ailleurs... j'annonça alors:

Ne me dis pas que tu as oublié le premier ninja à avoir marqué les annales militaires de Konoha ? Toi par contre tu n'as pas changé... toujours aussi belle, je me demande si ton mental est le même. Tsunade-chan.

Mes dires étaient plutôt directes. Ce genre de tirade ne pouvait être lancé que par moi, cela pouvait créer de la confusion en elle. Mais d'un coup je lui ai montré la photo puis je me suis désigné du doigt. D'un coup je jaugeais alors notre chère et meilleure Kunoichi médicale qui n'est jamais existé. Je lui adressais un sourire plus ou moins agréable, cela ne pouvait que me réjouir de la revoir parmis nous. Je ne sais pas quelle fonction elle occupe mais je la sens toujours aussi puissante, mais le domaine de la puissance ne m'intéresse pas énormément. Ce qui compte pour moi c'est si elle a changé dans le mental, sur le physique inutile de se prononcer, elle a gardé la même beauté raiyonnante que dans le passé.Mettant ma main dans mon dos, je lui ai dégainé la preuve irréfutable de mon identité à savoir, l'épée de la famille Hatake ou plutôt de chakra blanc. Mon sourire était toujours affiché j'ai dit juste avant d'attendre une réaction de cette belle personne:

Allons, c'est moi Sakumo Hatake. Tu peux éviter de me croire, mais moi je n'oublierai les moments que nous avions passé dans notre unité. Ce fut inoubliable...

[Hors-Rpg: Tu n'es pas obligée de me traiter avec respect. J'étais ton supérieur à l'époque, mais là on peut se tutoyer ^^]

La réaction du jeune homme me surpris ce montrer aussi familier avec moi-même alors que je ne le connaissais pas, j’écoutais attentivement ce qu’il me disait sans en perdre une miette. A l’entendre il prétendait être mon ancien supérieur avec qui j’avais accomplie bon nombre de missions périlleuse, un sourire en coin me gagna et un peu de colère en même temps. Je repensais avec amertume le sort que Sakumo avait subit au retour de sa dernière mission, comment pouvait-il oser bafouer sa mémoire de la sorte. Mais une chose m’interpella malgré ça sa fameuse épée, il n’en existait pas deux comme celle-ci sans l’ombre d’un doute elle appartenait au Croc Blanc de Konoha. A tout ceci il n’y avait que très peu de solutions je réfléchissais à la plus probable avant de répondre, soudain je comprenais qui était l’homme en face de moi il lui ressemblait c’est un fait mais pourquoi s’approprier une telle gloire. Je ne parvenais pas à comprendre le pourquoi du comment de cette histoire, il me fallait tire tout ceci au clair le plus vite possible.

- Tu est très familier avec moi mais bon je passe ce détail, tu prétends être Sakumo mais à ma connaissance il est mort et si pour une raison quelconque il était encore en vie il aurait une soixantaine d’années. A vrai dire moi-même je cache mon véritable âge donc sa ne compte pas vraiment tu va me dire, l’épée que tu as est celle du Croc Blanc c’est indéniable donc la solution la plus probable est que tu sois Kakashi son fils. Si tel n’est pas le cas je me verrais dans l’obligation de t’affronter, car ma patience est limitée et je déteste par-dessus tout qu’une personne s’approprie l’identité d’un autre.

Fixant le jeune homme je me contenais de ne pas le frapper en attendant sa réaction, je voulais connaître la vérité sur lui et son secret la raison d’un tel aveu à mon égard. Le vent soufflait avec un peu plus de force mes cheveux volaient au grés de la brise, je sentais la peau de mon visage frissonnée à chaque nouveau souffle. Pourtant l’homme qui me faisait face conservait cette posture atypique Sakumo avait, son regard toujours aussi intense me fixais avec beaucoup d’assistance il attendait sans doute que je me jette dans ses bras. Et qu’on se parle de nos vies respectives de ce que j’ai fais depuis ses quarante dernières années, je souriais à mon tour en pensant à cela m’imaginant assise dans un restaurant à manger un bout de lard avec ce parfaite inconnu. Mais il en était tout autre au plus profond de moi je voulais croire en son histoire, mais je savais aussi que des manipulateurs et menteurs jalonnés ce monde pour se servir de la détresse d’autrui et en tirait profit. Je n’était pas un de ses pigeons buvant ses belles paroles dans l’attente d’un faux espoir, j’avais évoluée et mûrie trop rapidement à cause d’un passé douloureux.

En faisant ressurgir de pareil souvenir sa n’était pas anodin de sa part, il cherchait sans doute à me faire comprendre quelque chose mais j’ignorais totalement le motif de tout ceci. Une chose était sur en tout les cas une seule parole de travers de sa part et ce ninja rentrerait dans Konoha en survolant les portes du village, la perspective d’une telle entrée ne faisait qu’accroitre un plaisir des plus intense. Au plus profond de moi je n’attendais plus que ça de sa part, va-y pensais-je dis le mot de trop que je puisse m’amuser. Les ninjas montant la garde aux portes sortiraient instantanément croyant à une intrusion, et à ce moment je me présenterais à eux en leur disant de ne pas s’inquiéter sa n’est que le nouvel Hokage qui rentre. Je sortais de ma bulle et effaça mon sourire à la limite du sadisme, puis me concentra de nouveau sur l’homme qui me faisait face pour parer à une éventuelle attaque de sa part.

Il fallait croire que la surprise était de mise sur le visage rayonnant de Tsunade. Cela fit estomper mon sourire, je me demandais vraiment si elle me croyait avec la preuve irréfutable qu'était l'épée de chakra blanc que je possédais et qui s'était transmise de père en fils. Enfin, là ce n'est pas non plus le plus important. Il faut déjà savoir que faire croire aux personnes non au courant le fait que c'est bel et bien moi. Tsunade ne sera pas facile à convaincre, telle que je la connais elle est doté d'une force brute incroyable et de par delà cette simple force brute... elle possède un Gouken d'élite qui pourrait me faire plus que mal. M'enfin là il n'était pas question de se battre à moins qu'elle ne m'y oblige ce qui pourrait lui refaire penser à ma façon de me battre. Et à l'époque je surpassais les trois Sanin, aujourd'hui c'est différent mais ma nouvelle adoption du Kenjutsu sera plus impressionante. Je pense que deux options s'offrent à moi si jamais je suis contrain de me battre. Par delà ces deux façons, une de mes techniques ne peut être parée que d'une seule façon et c'est Tsunade qui connaissait cette façon là. J'ai baillé un moment et après avoir laissé le silence s'instaurer dans les lieux, j'ai rangé la photo car cela ne servira à rien de la raisonner. Je suis resté assis sur ce banc, en la fixant et lorsqu'elle libéra ses mots pour lancer sa tirade je suis resté tout ce qu'il y a de plus attentif. Les yeux la fixant toujours, les oreilles grandes ouvertes. Ses mots vinrent à moi. Elle utilisait un ton plus ou moins méfiant si je puis dire. Mais je la préfère comme ça notre Princesse !

Ses dires étaient loin d'être alambiqués. Je lui était familier et elle mentionnait le fait que je devais aujourd'hui être âgé d'une soixante d'année ? Non avant de rajeunir j'avais 45 ans. Mais bon, il est vrai que je devais être un peu vieux. Et que comme je possédais la lame de chakra blanc c'est que j'étais Kakashi Hatake, ma descendance. Enfin je comprends bien la confusion que je lui apportais... je suis bien entendu sûr que cela va très vite tirer au claire si déjà elle s'efforce de voir la réalité en face. Du moins se faire passer pour mort et plus cohérent que de revenir à la vie. J'ai écarquillé les yeux quand elle annonça devoir m'affronter pour voir si j'étais réellement le Croc Blanc. Je ne pouvais cependant refuser cette offre qui pourrait me rapprocher d'une vieille connaissance que j'appréciais. Me relevant j'ai ainsi dit:

Soit, tu veras que mes dires ne sont pas des paroles dans le vent.

Le même genre de tirade que par le passé. C'est une vaine tentative pour éviter d'engager le combat mais apprement cela me semble inévitable. Je vais alors devoir lui montrer que je suis Sakumo Hatake. Baillant une nouvelle fois j'ai regardé Tsunade de la tête aux jambes. Puis j'ai tourné autour d'elle pour la jaugeais, comme la première fois où je l'ai vu. Je l'ai jaugé de la même manière et cette manière ne pouvait appartenir qu'à moi. M'arrêtant derrière elle, j'ai croisé mes bras... le sol trembla suite à la pression de chakra que j'exerçais... de l'énergie statique parcoura mon corps, des petits éclairs m'entourèrent. J'ai froncé les sourcils, les yeux entrouverts,ma respiration raisonnable. Après quelques minutes, j'ai décroisé mes bras et un épais flux statique m'entoura... Le Rai no Tate, l'armure foudroyane. Une technique peu connue car je l'ai inventé et elle est... personnelle. Une technique n'ayant qu'une seule faille, et seul Tsunade pouvait la connaitre. J'ai esquicé d'un petit sourire. Cette armure absorbait les jutsus Raiton, rendant ma vitesse et ma force bien plus puissante. Je ne dirais rien d'autre sur cette amure. Sauf qu'elle me confère le pouvoir d'être le 3è homme le plus rapide du continent. A savoir qu'il y avait l'éclair jauge, ce fameux "Tobi" que Kakashi a rencontré et moi ensuite. Enfin Tsunade devait bien reconnaitre cette compétence que j'avais adopté grâce au Rai no Tate. Faisant un mouvement avec une de mes jambes je me suis retrouvé ensuite une nouvelle fois devant elle.

Tu te rappelles ? Si non. Tu m'obliges à te remontrer ma botte du Kenjutsu. Ichi no Tachi.

Un jutsu basé directement sur la mortalité, je n'allais pas réellement la pratiquer mais j'allais juste lui montrer que ces deux techniques sont les jutsus personnels du Croc Blanc soit moi même. L'épée de chakra blanc fut dans ma main, fermant mes yeux j'ai aussitôt changé de position, je tourné directement et d'un pas furtif autour de Tsunade. La vitesse n'était cernable que pour un Sharingan et c'était la première étape de Ichi no Tachi. Je la regardais toujours en tournant autour d'elle en espérant qu'elle se souvienne de la tactique pour coincer ma botte dite "infaillible" qu'est Ichi no Tachi !"

[nul, mais je me rattrape au prochain !]

Tout en le fixant je l’écoutais avec la plus grande importance qui me caractérisais, soudain il se leva et m’adressa de nouveau la parole tout en restant sur mes gardes je reculais pour rester à bonne distance de lui. Il se mit à m’observer et m’examiner comme l’avait fait autrefois Sakumo, je ressentais son chakra et je ne percevais aucune onde négative. Tout en en me jaugeant il tournait autour de moi je ne bougeais pas d’un millimètre, toujours à l’affut de la moindre perception de chakra. Tout à coup il se stoppa derrière moi et une vague de chakra déferla autour de celui-ci, je venais à peine de comprendre ce qui m’arrivais qu’il me faisais face maintenant. Impossible pensais-je une technique utilisant une rapidité comme celle-ci, non il ne pouvais pas être le Croc Blanc me persuadais-je il est mort. Et pourtant le doute commençais à s’installer à ma connaissance à part Minato personne ne se déplaçait à pareille vitesse, si justement une seule autre me venait en tête Sakumo Hatake.

Tu te rappelle me questionna-t-il je ne pouvais nier cette évidence, cette technique je la connaissais depuis fort longtemps. Et maintenant il voulait me faire une démonstration d’une autre technique de Sakumo, j’avais bien envie de lui dire arrête toi je te crois mais la curiosité me poussée à continuer de ne pas vouloir admettre qu’il était réellement. A l’annonce de son Kenjustsu et en particulier de Ici no Tachi mon visage se déforma, il veut me tuer ma parole pensais-je en tout premier lieux il cherchera à trancher mes épaules si mes souvenirs sont bon. Il était à présent en rotation autour de moi à une vitesse que mes yeux ne pouvais percevoir, ne possédant aucun dojutsu capable de deviner où bien même de percevoir la technique où le chakra de mon adversaire j’étais dans une position critique. S’il tenait réellement parole en voulant m’ôter la vie très peu de choix s’offrais à moi, le premier fuir m’est il me rattraperais en un rien de temps avec sa vitesse le second combattre et la seulement une option pour parer.

Cela remontait depuis trop longtemps maintenant me souviendrais-je de la parade, plongée dans mes pensées il le fallait me répétais-je. Je ne peut pas mourir aujourd’hui alors que je viens pour prendre le poste d’Hokage, trêve de réflexion je reculais ma jambe droite derrière moi sans perdre mon adversaire des yeux enfin j’essayais. Pour compléter ma position défensive je répartissais mon poids sur chaque jambe de façon équitable, j’étais prête à recevoir où du moins esquiver son attaque. Je concentrais mon chakra de tel façon à ce qu’il parcours mon corps entier, cela ne serais pas de trop si à tout moment je me devais d’employer n’importe quel technique. Certes je n’avais pas cru que mon vieille ami et sensei était encore en vie, mais finalement méritais-je qu’il m’attaque avec la plus meurtrière de ses techniques. Cette question hanté mon esprit je la chassé pour me concentrer à sa première attaque, une erreur de ma part et ma vie serais terminée à tout jamais.

- Viens je t’attends.

Ma voix étais devenue plus grave mon regard glacial, le vent avait stoppé mais la vitesse de rotation de l’homme en face de moi était comparable à une brise. Je n’attendais plus que lui allez t-il se décidait à m’attaquer…