Retrouvailles ( P.V. Ibuki )

Quelle grâce ! Quel style ! J'étais complètement dingue de lui. Et il avait un fessier ! Okay okay, j'arrête. Mais il avait été si rapide, si élégant dans son geste. Puis, une séparation de la sorte fait film d'action. Je m'approchai de la fenêtre, le regardant partir au loin. Je me mordillai la lèvre tout en reculant vers la porte. Je me retenais de le suivre. La tentation était forte. J'aurai aimé réentendre sa voix, sentir sa main dans la mienne. Cette sensation lorsque sa main a touché la mienne. Je fermai les yeux savourant encore ce touché. J'étais accro. Je me retournai et ouvrit la porte du bureau. Je jetai un dernier coup d'œil à la pièce, humant l'odeur du Kazekage qui s'y baladait. Je fermai la porte une fois dans le couloir. Inconsciemment, je restai devant la porte, comme si le Kage était revenu et qu'il allait me rouvrir. Fallait vraiment que j'arrête de me faire des films.

Je descendis les marches quatre à quatre pour être le plus vite possible en bas. C'était le marché et il allait durer toute la journée. Postée devant l'entrée du manoir, je regardais les gens passaient. Fallait que je me glisse dans la foule pour atteindre la parcelle d'herbe où était Epona. Pour aller plus vite je pouvais passer par les toits. Seulement, regarder les étales est tentant. Je soupirai derechef. Voyant une faille dans la foule, je m'y glissai, espérant ne pas me retrouver coincée. Je slalomais entre les passants tout en faisant attention où je marchais. Deux ou trois fois je crus marcher sur un chat ou un animal du genre. Le pauvre ! J'arrivai finalement à me retrouver contre un mur. Je soufflai un peu. Dans cette foule, on se croyais dans un four. Brusquement, je sentis une main se posait sur mon épaule. Je me retournai soudainement.

Encore toi ! Tu ne cesseras jamais de me suivre !?

En effet, le primate était toujours là. Je ne savais pas d'où il sortait, mais il était là. Je soupirai une fois de plus. Il restait accroché à mon épaule avec hargne. Jamais il me lâchera. Je le regardai de travers. Il ne broncha pas. Pourquoi ne me lâchais t'il pas ? Je ressemblais pas à Rykku à ce point ! Puis j'avais pas la même odeur ... Enfin maintenant si à cause de ce singe. Je grognai intérieurement. Soudain, une voix m'interpella, me sortant de mes songes.

Helena !

Je me regardai autour de moi cherchant d'où provenait la voix. Puis, j'aperçus Frank. Je reculai de quelques centimètres, me retrouvant bien collée au mur. Je regardai mon frère d'un œil inquiet. Que faisait il ici ? Comment a t'il pu rentrer ? Je n'en revenais pas ... Mes larmes se mirent à couler sur mes joues. Tant de temps loin de lui. Mon coeur allait craquer. Comment cela était possible ? Je baissai la tête, cachant mes yeux. Frank s'approcha de moi, me serrant contre lui une fois prés de moi. J'éclatai en sanglot, laissant ma tristesse prendre le dessus. Je n'arrivai pas à y croire.

Frank ... Comment ...

Je suis là maintenant ... Je ne peux pas rester longtemps ... Pardonne moi ... Je voulais te voir.

Je pleurai de plus belle. Comme il m'avait manqué. Il avait si peu changé et il était toujours si attentionné. Je cachai ma tête au creux de son cou, déversant mon chagrin. Il me serra un peu plus fort contre lui, passant sa main dans mes cheveux. Son odeur ... La même. Son visage toujours pareil. Pourtant, je n'arrivai pas à croire que c'était lui.

J'ai profité du jour du marché pour me glisser à Suna. Je ne te trouvais pas puis je t'ai vu dans la foule. J'ai poussé beaucoup de monde pour te rattraper.

Je souriais de nouveau. Quel idiot ! Mais je l'aimais cette idiot ... Soudain, il eu un coup de panique. Il regarda autour de lui furtivement et me fixa dans les yeux. Je compris alors qu'il devait repartir. Je me pinçai les lèvres nerveusement à les faire saigner. Il se mit lui aussi à pleurer légèrement, me prenant le menton avant de déposer un baiser sur mon front. Je fermai les yeux au contact de ses lèvres sur ma peau. Il me regarda une dernière fois avant de disparaitre dans la foule. Je laissai les dernières larmes coulaient, puis les essuyai du revers de ma manche. Jack me tapota la joue gentillement. Comme si ça allait me calmer. Il était arrivé si subitement et était repartit si vite ... Je n'arrivai toujours pas à réaliser ce qui s'était passé. Je me pinçai pour vérifier que je ne rêvais pas. Après cela, je soupirai encore. J'escaladai la gouttière et m'asseyais sur le toit. Je blottis ma tête dans mes genoux repliés. Jack descendis de mon épaule et s'installa à côté de moi.

Je sautais, de toits en toits, pour aller dans cet endroit … cet endroit où j’ai les idées clairs, le clocher. Haut perché, je peux percevoir tout Suna, tous les habitants, les animaux, les plantes… même si il y en a très peu à Suna.

Enfin arrivé au lieu dit je m’assis sur le toit et regarda mon village… sous le soleil brulant quotidien… Mais il n’empêchait pas la population d’afflué sur le marché. En parcourant ce dernier je vis deux personnes sur un contre un mur, elles se câlinaient. Juste par curiosité je regarda si je connaissais les personnes, je ferlais les yeux et concentra ma qualité olfactive au maximum, c'est-à-dire jusqu’à ce que mon nez renvoi une image visuelle des odeurs … Je souris, l’une d’entre elles n’était que Helena, la jeune Chuunin qui m’avait rendu visite il y a à peine dix minutes. Pour l’autre, je n’avais aucune idée de qui ça pouvait être, il n’y avait pas l’odeur de bâtisse de Suna, à la construction unique, sur lui. Ce qui signifiait qu’il ne venait pas de Suna, et que c’était la première fois qu’il y mettait les pieds. Il ne portait pas non plus l’odeur de Konoha … D’où vient-il, est-ce un ninja ? Ou un voyageur ? Attisé par la curiosité et par mon grade je me devais de savoir, rien de plus simple : il me suffit de demander à Helena. C’est une brave fille, très gentille et plutôt jolie, ça ne m’étonnerais pas que ça soit son petit ami, vivant dans un autre village. Je me laissa tomber du clocher, je profita de ce vole pour me détendre, j’aime être libre de tout mouvement, sans rien toucher … planer quoi !

J’atterris sur le toit d’en dessous avec douceur et commença à marcher en direction de la Chuunin qui se trouvait à l’étage en dessous dans la ruelle à une cinquantaine de mètre de là. Je bondis pour ne pas tomber dans l’espace entre les deux maisons et je releva la tête, Helena était monté sur le toit et était assise, repliée sur elle-même … que lui avait dite cette personne ? Bref je continua mon chemin pour enfin bondir sur le toit ou ce trouve ma futur coéquipière.

Tiens ! Le monde et petit dis donc

Dis-je en souriant

Que fais-tu ici toute seul ? Tu n’as pas d’amis à Suna ? Ni de petit ami ?

Je m’intéressais à cela seulement parce que j’allais travailler avec elle évidement et que je voulais en savoir un peu plus sur la vie de mes coéquipiers … Je fixais la Chuunin par les trou de mon masque, elle qui semblait pleine de vie tout à l’heure avait l’air débité à présent … en si peu de temps … Que s’est-il passé ?

Des bruits de pas sur le toit. Quelqu'un venait. Mais je n'avais pas envie de voir qui c'était. Mes larmes continuaient de couler comme si j'étais une fontaine. Mon coeur battait au rythme de mes sanglots saccadés. Je l'avais vu si peu de temps ...

Tiens ! Le monde et petit dis donc

La voix du Kazekage me réveilla, m'amenant à lever là tête pour le voir. Je devais avoir l'air pathétique comme ça mais cela ne m'importait peu ... Frank ... Vite venu, aussitôt reparti. Qu'est ce qui pouvez bien le forcer à repartir si vite ? Comme disais le Kazekage, le monde est petit. Son arrivée était si imprévue ... Si agréable mais autant décevante. Il me manquait déjà. Son odeur, ses câlins ... Tout, absolument tout. Le Kazekage reprit de plus belle.

Que fais-tu ici toute seul ? Tu n’as pas d’amis à Suna ? Ni de petit ami ?

Je rebaissai la tête, fixant les rues bombées de mes yeux vitreux. Je scrutait la moindre personne avec attention, espérant revoir Frank. Mais c'était peine perdue. Il était partit et peut être ne reviendrai t'il jamais. Je soupirai derechef, jetant un coup d'œil furtif au Kage.

J'avais envie d'être seule, ça fait du bien. Sinon, bien sûr que j'ai des amis ! Mais se sont plus des connaissances ... Et non ... Pas de petit ami. J'ai pas l'étoffe d'une fille à mecs x)

Normal pas de petit ami ! Je prends pas la peine de chercher. Celui que j'aime surement est Kage. Puis pour le moment, après ce qui s'est passé, ce n'est plus trop mon centre d'intérêt même si je ne reste pas insensible au charme de quelques garçons. Je regardai le Kage, me mordillant de nouveau la lèvre, sentant le sang couler dans ma bouche. Je frémit au contact du liquide rouge sur ma langue. Un goût pas appréciable le sang ...

Et toi ? Les amis ? Les ... amours ... ?

Faut que j'apprenne à me taire moi ! Je suis une cruche de première ! La gaffe de dingue ! Si seulement je pouvais couper cette satané langue ! Jack tira sur mes cheveux. Comment il faisait pour savoir ce que je pensais ? Surement parce qu'il était un singe. Je lui souriais légèrement. Il essuya les dernières larmes, accrochaient à mes cils. Il prit quelques mèches de mes cheveux et les enlacèrent entre elles. Je rigolai légèrement puis reposai mon regard sur le Kage, attendant un réponse de sa part.

Je me tenais debout, à côté de la Chuunin, celle-ci avait replongé sa tête dans ses genoux et, après un petit coup de regard répondit à ma question : Elle avait les yeux encore luisants avec des marques de larmes sur ses joues

J'avais envie d'être seule, ça fait du bien. Sinon, bien sûr que j'ai des amis ! Mais se sont plus des connaissances ... Et non ... Pas de petit ami. J'ai pas l'étoffe d'une fille à mecs x).

Je souris à cette dernière phrase, la façon dont elle l’avait dit était amusante. Elle me regarda, du sang coulait de la lèvre qu’elle mordait, pourquoi se mutilait-elle ainsi ? Mon sourire disparu au moment où elle reprit la parole pour à son tour en savoir plus pour moi.

Et toi ? Les amis ? Les ... amours ... ?

Je baissa la tête et me gratta la nuque, je n’ai jamais eu d’amis… car peu de monde me voit comme un shinobis comme les autres. On me traitait comme on traite des réceptacles… on me méprise dès que l’on voit ce que je suis capable de faire.

Je … je n’ai pas d’amis… et … le singe qui te tire les cheveux … vient de m’annoncer la mort de ma compagne… Mais parlons d’autres choses… Tu sais que toutes personnes étrangère à Suna ne peut renter sans que j’en sois averti pas les gardes… tu étais avec quelqu’un … il y a à peine cinq minutes … Je sais par un moyen qui ne regarde personne qu’il ne vient pas de Suna ni de Konoha, notre allié … Qui est-il et que vient-il faire ici ? Et surtout, comment est-il rentrer ?

J’avais pris un ton plus grave, je me méfiait toujours des intrus, on ne sait jamais ce qu’ils peuvent faire, surtout avec cette organisation qui rode … et qui veut nos réceptacles … J’espérais qu’elle réponde vrai, je ne pouvait pas savoir si elle mentait de la distance ou j’étais.

Je m’assis sur le rebord non loin de la Chuunin et attendis patiemment qu’elle me reponde

Le Kazekage eut l'air géné lorsque je lui posa ma question. Il baissa la tête et se gratta légèrement la nuque. Le beau Kage serait il plus mystérieux que ce que je pensais ? Cela ne faisait qu'attiser mon envie de lui ... Un homme si mytérieux et si charmeur malgré son masque. Et sa voix ! Si sensuel ... Je vais fondre je crois. Je continuais de l'observer intensément. Jack ne lachait pas mes cheveux, mais ses caresses me detendait.

Je … je n’ai pas d’amis… et … le singe qui te tire les cheveux … vient de m’annoncer la mort de ma compagne… Mais parlons d’autres choses… Tu sais que toutes personnes étrangère à Suna ne peut renter sans que j’en sois averti pas les gardes… tu étais avec quelqu’un … il y a à peine cinq minutes … Je sais par un moyen qui ne regarde personne qu’il ne vient pas de Suna ni de Konoha, notre allié … Qui est-il et que vient-il faire ici ? Et surtout, comment est-il rentrer ?

Je degluttit ... Comment a t'il su ? Le fait qu'il evoque mon frère refit monter les larmes aux bords de mes yeux. Je me levai subitement, ne regardant plus le Kage. J'essuyai mes vêtements machinalement avant de marcher avec prudence sur le toit. Jack me suivt, sautillant autour de moi. Je me mordillai de nouveau la lèvre avant de me retourner et de regarder le Kage avec le sourire aux lèvres ... Un faux sourire ...

Je vous raconterai en chemin ... J'dois aller chercher ma jument chez le jardinier sinon elle va manger toutes les plantations.

Je ricanai discrètement. Je repris ma marche, sautillant à moitié avec Jack. Une fois au bord du vide, je sautai sans prendre gare à la hauteur. J'atteris dans la petite ruelle vide, sans bruit et sans casse. C'était à mon habitude de faire ça. Oui, je suis assez folle sur les bords mais j'aime prendre des risques ! C'est dans ma nature de fille pas comme les autres. Je jetai un coup d'oeil derrière moi, voir si le Kage suivait. Je souris de nouveau. Me posant dos contre un mur, à moitié avachis, je regardai le Kage.

Le garçon qui était avec moi est mon frère ... Tout comme moi, il vient du Pays du Démon ... Seulement, lui n'a pas était recueilli par un village. Depuis que je suis à Suna, je ne l'ai pas revu ... Ca m'a surpris de le voir ... J'suis encore sous le cho, pour te dire ... Je ne sais pas comment il est rentré ... Frank est plein de surprises ...

Je souris de nouveau, regardant le sol cette fois ci. Les larmes coulèrent le long de mes joues. Jack poussa un petit gémissement de compassion.

Mon interlocutrice fît une tête bizarre, elle se leva, essuya un peu ses vêtements, puis marcha un peu avant de se retourner pour me faire face, puis elle me dit en souriant

Je vous raconterai en chemin ... J'dois aller chercher ma jument chez le jardinier sinon elle va manger toutes les plantations.

Puis elle reparti en sautillant jusqu’an au bord du toit, d’où elle sauta, je la suivais et l’a vît s’adosser contre le mur d’en bas, je sauta également, en atterrissant avec grâce et souplesse. Puis elle pris la parole de sa douce voix

Le garçon qui était avec moi est mon frère ... Tout comme moi, il vient du Pays du Démon ... Seulement, lui n'a pas était recueilli par un village. Depuis que je suis à Suna, je ne l'ai pas revu ... Ca m'a surpris de le voir ... J'suis encore sous le choc, pour te dire ... Je ne sais pas comment il est rentré ... Frank est plein de surprises ...

Je souris, ce n’était que son frère il n’y avait pas de quoi s’alarmer, surtout qu’il n’avait pas fait parler de lui au village donc je n’irais pas plus, loin … Si elle me l’aurait demandé, je l’aurais rencontré son frère, et j’aurais pu l’intégrer à Suna… mais apparemment il était plutôt presser. Et puis, il n’avait peut être pas envie d’intégrer un village. Je sortis de mes pensée et regarda Helena, elle pleurait. Je m’approcha d’elle et posa une main sur son épaule. Il lui avait manqué, elle l’avait peut être cru mort, et maintenant elle craignait surement de ne plus le revoir.

Tu sais, pendant tous ce temps ou vous ne vous étes pas vu … tu as eu peur qu’il ne revienne jamais te voir ? j’ai tort ? Mais au final tu l’as revu, il va surement revenir, il avais plutôt l’air presser mais il reviendra une fois ses affaires terminé.

Mais ces paroles rassurantes cachaient peut être autre chose ; il y avait de l’amour fraternel entre eux, c’est sur, si il est passé voir sa sœur pour si peut de temps, c’est peut être parce qu’il doit aller faire quelque chose de très risqué, et qu’il voulait s’assurer de revoir sa sœur … Ce n’est pas gaie mais c’est une possibilité comme tant d’autre …. Je ferma les yeux et dis

En continu ? Sinon le jardinier risque de râler …

Puis je releva la tête avant de continuer de marcher, devançant un tout petit peu Helena.

Mes larmes coulèrent de plus belle. Frank était tout pour moi ... Sa voix, son rire, sa tendresse ... Tout me manqué. Je n'avais pu le voir que cinq minutes et cela me détruisait car peut être ne le reverrais-je jamais ... Cette pensée tordit mon coeur. Je passai ma main sur ma poitrine. Le tatouage me brulait affreusement. Ce tatouage si beau ... Pourtant, il est le signe d'une malédiction. Je fermai les yeux sous la douleur et serra les poings. Soudain, la main du Kage se posa sur mon épaule. Une chaleur intense parcourut mon corps pour se joindre à celle que procurait mon tatouge. Je levai la tête doucement, fixant le masque du Kage avec mes yeux remplit de larmes.

Tu sais, pendant tous ce temps ou vous ne vous étes pas vu … tu as eu peur qu’il ne revienne jamais te voir ? j’ai tort ? Mais au final tu l’as revu, il va surement revenir, il avais plutôt l’air presser mais il reviendra une fois ses affaires terminé.

Je souris légèrement, pas tellement rassurée. Le Kage avait raison ... J'avais peur que Frank ne revienne jamais. Cette peur m'avait posséder durant longtemps, réduisant mon coeur dans un état second. La simple idée, la simple pensée se rapportant à la rayure de l'existence de Frank dans ma vie me compressés le ventre.

En continu ? Sinon le jardinier risque de râler …

Le Kage passa devant moi, me distançant de quelques mêtre. Je me decollai du mur et suivit mon compagnon hors de la ruelle. Nous debouchâmes sur une rue vide. Ah Suna ! Un village à moitié vide et à moitié plein x) La rue trop sérrée, nous dûmes passés, l'un contre l'autre. Cette situation accéléra les battements de mon coeur, modifiant ma respiration régulière. Etant en partie contre le Kage, j'avais peur que celui ci entende ma respiration saccadé et qu'il comprenne pourquoi j'étais comme ça. Je m'arréta net dans l'allée, le forçant à s'arréter lui aussi.

Désolé mais d'aprés mes souvenirs, tu as dis que tu n'avais pas d'amis ... Pourquoi ? Un garçon comme toi devrait avoir toute les filles à ses pieds et des gens prés à tous pour lui ... Un peu comme moi ^^

J'en avais un peu trop dit je crois. Moi qui était juste venue demander une mission, j'en viens à cotoyer l'homme de mes rêves. Je ne pouvais m'empecher de parcourir du regarde le corps habillé du Kage. Je me mordillai les lèvres une fois de plus, oubliant que je m'étais ouvert, il y a à peine cinq minutes. Le sang se remit à couler. Je le stoppa d'un coup de langue furtif et discret.

Nous étions dans une étroite ruelle, serré l’un contre l’autre, en essayant tant bien que mal d’avancé. J’étais un peu embarrassé d’être presser contre elle donc, obligatoirement, contre sa poitrine mais on s’était engagé dans cette ruelle, il fallait maintenant allé au bout pour en sortir Notre progression n’était pas trop mal, jusqu’au moment où la jeune Chuunin s’arrêta, ce qui me stoppa net par la même occasion. Cette dernière pris la parole.

Désolé mais d'aprés mes souvenirs, tu as dis que tu n'avais pas d'amis ... Pourquoi ? Un garçon comme toi devrait avoir toute les filles à ses pieds et des gens prés à tous pour lui ... Un peu comme moi.

Je souris, légèrement flatté par l’implicite compliment de la jeune femme puis je redressa la tête d’un air grave, quand une soudaine pulsion me pris, j’eu l’envie de partir chasser, en loup, comme tel, ça me prenais depuis quelques temps, cette fusion avec mon père n’avait pas apporté que des avantages. Je sentais ma queue poussé contre le mur, et mes oreilles soulevé lentement ma capuche. Mais je repris le contrôle de moi-même et stoppa mes mutations. Puis je répondis à mon interlocutrice.

Les amis ne sont que des armes qui sont contre soi … je me suis attaché à une personne et maintenant je n’ai qu’une envie, trouvé sont meurtrier et le tué dans d’atroce souffrance. Lorsqu’on a des ami, nous sommes vulnérable par ce côté. En tant que Kazekage j’ai surement beaucoup d’ennemi, dont la plupart me sont inconnus, ils peuvent donc m’attaquer indirectement par le biais de mes liaisons.

Je baissa la tête ; elle allait surement me prendre pour un « sans-cœur » mais quelque part, c’est ça être un shinobi. Je fixais maintenant la Chuunin, perdu dans ma pensé : Mon grade me forcait à m’inquiéter pour mon village, donc pour sa population, donc pour sa protection. Une réaction en chaine qui m’amenait au problème du sous-effectif de Suna. Je ne pense pas que nous manquions de ninja … juste que ces derniers manquent cruellement à leur devoir de shinobi. Si je veux être capable de protéger les habitant, il me faut une puissance militaire … Mais peu de ninja avaient donné signe de vie depuis ma prise de fonction. On est jamais mieux servi que par soi-même hein ? Je vais donc entrainer une équipe d’élite … je sais que j’en suis capable. Je regarda Helena, elle il faut qu’elle soit de la partie … L’idéale serais d’en avoir au moins un autre …
On reprit la progression jusqu'à arrivé enfin à la sortie. Le jardiner n’étais plus qu’à uns centaine de mètres de là, et il me semblait qu’on pouvait apercevoir la bête d’Helena.

J'attendis la réponse du Kage. Il m'intriguait tant. Je voulais toujours tout savoir de ces hommes mystérieux au regard noir et au coeur vaillant mais rempli d'obscurité. J'étais trés curieuse et les secrets qui entouraient le Kage.

Les amis ne sont que des armes qui sont contre soi … je me suis attaché à une personne et maintenant je n’ai qu’une envie, trouvé sont meurtrier et le tué dans d’atroce souffrance. Lorsqu’on a des ami, nous sommes vulnérable par ce côté. En tant que Kazekage j’ai surement beaucoup d’ennemi, dont la plupart me sont inconnus, ils peuvent donc m’attaquer indirectement par le biais de mes liaisons.

Les paroles du Kage me restèrent en mémoire. C'est vrai que s'attacher au gens peu causer soucis et peut servir d'appât pour un piège. Seulement, un ami en danger motive tous nos sens au point de créer une euphorie en nous. Nos amis sont une source de bonheur au fond du coeur qui nous force à être prets, à être motivé pour n'importe quel défi. En tant que shinobi, nous n'avons pas le droit de nous laisser submerger par les sentiments. Seulement beaucoup de ninjas ont enfreints cette règle. En tant qu'humain, comment se retenir d'aimer ?

Je me remis à marcher dans la ruelle, cherchant quelque chose à répondre au Kage. Il avait énormément raison et il en avait payé les frais cependant, à mes yeux, avoir des amis étaient essentiels. Ils sont ce qui constituent notre vie, notre coeur, notre destin. Une fois dégagés de l'étroite ruelle, j'aperçus Epona. Un large sourire recouvrit mon visage. Je me ruai sur elle, entourant son long cou de mes bras.

Coucou ma belle ... T'as bien mangé ? Merci m'sieur de me l'avoir gardé.

Le jardinier me regarda, le sourire aux lèvres. Il se retourna pour reprendre ses cultures. Les habitants de Suna avaient toujours le sourire. C'est ce que j'appréciais dans ce village Leur joie était énormément contagieuse. Et j'aimais la répandre encore plus. J'attirai Epona jusqu'au Kage que je fixai, le sourire aux lèvres.

Voila Epona ! Epona voici euh ... Le Kazekage au prénom inconnu.

Je souriai de nouveau. Je devais avoir l'air folle à parler à mon cheval. Cependant cela m'importait peu. Epona était à peu prés ma seule amie. Quand je m'ennuyais, je restais avec elle à traverser des étendues de territoires. Bon ne partons pas dans un autre sujet. Une fois prés du Kazekage, je fis un leger bond, m'agrippant à la crinière d'Epona pour reussir à lui monter dessus. Me positionnant de façon confortable, je me penchai pour caresser le flanc de la jument. Me relevant lentement, je fixai le Kage. Aprés mures réflexions, je decidai de l'inviter à monter avec moi.

Ca vous dis de monter derrière moi ? Vous inquiètez pas, Epona n'est pas méchante avec les inconnus ^^

Ma main tendue vers lui, j'attendis une réponse ou un acte de sa part.

Nous étions donc à peine sortit de cette étroite et embarrassante ruelle, que Helena se mis à courir vers son animal. Arrivée là-bas, elle caressa sa jument et discuta un peu avec le jardinier, puis elle revînt par ici et me dit en souriant

Voila Epona ! Epona voici euh ... Le Kazekage au prénom inconnu.

Un sourire s’afficha derrière mon masque, je pensais qu’elle le connaissait pourtant, mais bon. Elle grimpa sur sa jument et commença à lui caresser le flanc. Elle me fixait, l’aire pensive, puis elle se redressa et me demanda de monter avec elle sur Epona en m’assurant qu’elle n’était pas méchante… Je me fis un petit signe de non. Ce n’est pas que j’ai peur de monter sur cet animal, mais que lui ai peur de moi. Les bête on un instinct particulier, comme moi, elles peuvent donc sentirent ce que je suis, le loup et un prédateur redouté de beaucoup … Même de certain humains, alors ça m’étonnerais beaucoup qu’elle me laisse monter, mais bon, je vais voir

Je m’approcha, et à peine ma main effleura son corps qu’elle se décala violemment. Je ne le pris pas mal, je dirais même que c’est tout à fait légitime de sa part. Je souris et me retourna vers Helena.

Apparemment elle à un problème avec moi … Je ne lui ai rien fait ! Promis ! Mais ce n’est pas grave, je vais marcher à côté de vous … Ah, oh, mon prénom … Ibuki…

Je me mis donc à marché, en vérifiant que mes deux compagnes suivaient. Je me demandais bien où pourrions nous aller … est pour y faire quoi ? Un brise gonfla ma capuche, le vent s’était levé et s’engouffrait dans les ruelles de Suna, les habitants rentraient chez eux … Moi j’aime le vent, c’est mon élément, celui qui me sauve la vie dans un combat, celui qui me donne la fierté de la victoire. Le vent s’amplifiait et ma capuche manqua de tombé mais je la rattrapa juste avant. Mon masque commençait sérieusement à faire pression sur mon visage, je me retourna vers Helena et Epona et dis

Le vent s’est levé apparemment, et il à l’air de s’amplifié, nous ferions mieux de nous abriter.

Sans attendre de réponse, je me précipita dans une ruelle perpendiculaire, assez grande pour accueille La jeune Chuunin et sa bête. Là nous étions abriter du vent par la gigantesque bâtisse, sur laquelle j’étais adossé

Le temps change vraiment trop rapidement à Suna …

Ma proposition fut vaine. Il fit un signe de tête pour me dire qu'il ne voulait pas. Pourquoi ? Epona n'était pourtant pas agressive. Elle était l'animal le plus pacifiste. Le Kage m'intriguait de plus en plus. Et cela attisait la minuscule flamme dans mon coeur. Mon tatouage me refit mal, lançant des picotements dans ma poitrine. Je fis une lègère grimace. La Kage s'approcha alors d'Epona. Je pensais qu'il avait compris que j'avais mal mais en fin de compte, il caressa le flanc de la jument. Cette dernière se degagea violemment, m'entrainan avec elle. Pourquoi avait elle reagit comme ça ? Ce n'était pas à son habitude. Le Kage cachait quelque chose de sombre pour qu'elle reagisse comme ça.

Apparemment elle à un problème avec moi … Je ne lui ai rien fait ! Promis ! Mais ce n’est pas grave, je vais marcher à côté de vous … Ah, oh, mon prénom … Ibuki…

Ibuki ... Magnifique prénom ... J'adorais. D'un autre coté, j'aimais tout chez lui. Nous reprîmes notre marche. Le fait qu'Epona est fuit le Kage me tracassait énormement. Si seulement je pouvais comprendre les animaux. D'habitude, je savais ce que pensais Epona et qu'est ce qu'elle ressentait juste au touché et au regarde, mais là ... Le Kage nous suivait de prés. Je ne pus me retenir de jeter des coups d'oeil dans sa direction. Soudain, la plis vient effleurer ma peau. Et dire que quelques seconde auparavant il fesait grand beau. Je soupirai, exaspérai par ce changement de temps. J'observai le Kage. Le vent vint nous frapper de plein fouet. Mes cheveux volèrent en arrière. Je mis une main devant mon visage pour me proteger.

Le vent s’est levé apparemment, et il à l’air de s’amplifié, nous ferions mieux de nous abriter.

Je vis aors le Kage partir en direction d'une ruelle abritait dans laquelle Epona passait de justesse. Je descendis alors de la jument et me faufilai en première dans la ruelle suivit d'Epona. Je passai une main dans mes cheveux pour les remettre. Et dire que j'en avais bavé pour me coiffer ce matin ! Je tournai mon regard vers le Kage adossait contre le mur.

Je regardai autour de moi ne sachant pas trop quoi dire. Maintenant qu'on était là, dans cette ruelle, abritait de la pluie, qu'allons nous faire ? Je me rappellai alors les paroles d'Ibuki à propos des amis.

Au faite, à propos de tes paroles sur les amis. Je suis assez d'accord que si on en a on en paye les conséquences. Cependant, pour moi, il est essentiel d'en avoir. Ce sont des personne à qui on se confie, avec qui on rigole et pour qui on est prêt à donner sa vie. Peut etre n'es tu pas d'accord mais je te donne mon avis.

Je me remordillai la lèvre, la rouvrant derechef. Le sang se remit à couler. Epona me donna un coup de tête me poussant à me rapprocher d'Ibuki. Je rougis légèrement, jetant un regard noir à la jument. J'aperçus alors Jack sur la tête de cette dernière. Je souris legerement avant de reregarder le Kage.

Et la pluie s’emmêlait en plus, rolala quel temps !, Heureusement celle-ci ne nous touchait pas la ou nous étions, je sentais Epona tendu, je devais être trop proche d’elle à son goût … puis zut j’étais là en premier. La jeune femme regardait le sol, puis elle m’adressa la parole

Au faite, à propos de tes paroles sur les amis. Je suis assez d'accord que si on en a on en paye les conséquences. Cependant, pour moi, il est essentiel d'en avoir. Ce sont des personnes à qui on se confie, avec qui on rigole et pour qui on est prêt à donner sa vie. Peut être n'es tu pas d'accord mais je te donne mon avis.

Je souris, on a tous une conception différente de la vie. Elle est encore jeune et peu expérimenté, elle n’a pas encore de grosses responsabilités à porté.

Je dois protéger tous Suna ça me donne ma force, j’aime cette population. Les amis, lorsqu’ils se font tuer, provoque l’envie de vengeance, lorsqu’on se bat avec la colère, pour la vengeance et non pour la mission, avec un adversaire de son niveau ça équivaut au suicide. Mais bon, on pense tous différemment avec plus ou moins de ressemblances. C’est la vie.

Je leva les yeux au ciel, le vent violent poussait les nuage et la pluie s’était arrêté rapidement. Lorsque je rabaissa la tête pour faire face à la jeun Chuunin, elle était beaucoup plus proche de moi, presque collée à moi. Je devins tout rouge….

Je crois qu’elle éprouve un sentiment un peu plus fort qu’une kunoichi normale envers son Kage

Amusant, je pense la même chose Baka !

Et pour toi ?

Comme si c’était aussi simple !

Tu va encore fuir ?

Oui surement

Si tu fais ça je te force à te dévoilé et te transforme en loup !

Ok ok je reste …. Même si je n’ais pas pour habitude de céder au chantage u_u

J’en revins à la shinobis et je jeta un coup d’œil à Epona dont la tête servait visiblement de siège pour le macaque. Quelle situation ! Que faire ! Mon cœur bat à cent à l’heure, mais je n’aimais que Rykku, comment des sentiments aussi fort peuvent être remplacé aussi facilement ? C’est donc ça l’effet de la mort ? Je pensais que ça aurait l’effet inverse mais bon … Il faisait drôlement chaud sous mon masque … Je me sentais bizarre, je me rapprocha encore plus d’elle, un automatisme, je n’avais rien contrôler, même si je savais d’où ça venait u_u

Je dois protéger tous Suna ça me donne ma force, j’aime cette population. Les amis, lorsqu’ils se font tuer, provoque l’envie de vengeance, lorsqu’on se bat avec la colère, pour la vengeance et non pour la mission, avec un adversaire de son niveau ça équivaut au suicide. Mais bon, on pense tous différemment avec plus ou moins de ressemblances. C’est la vie.

La voix d'Ibuki me sortit de mes songes. Je me tournai de nouveau vers lui. J'entendis alors la pluie s'estompait peu à peu puis plus rien. Mais le vent restait là, circulant dans la ruelle étroite. Je regardai au dessus de moi sachant que je ne verrai pas le ciel. Lorsque je baissai mon regard, je remarquai avec surprise qu'Ibuki était plus prés de moi. Je sursautai intrieurement. Il parut pensif, occupé à autre chose. Je ne cherchai pas savoir à quoi. L'idée de ne pas cerner le mystère d'Ibuki me stressait. Je fermai les yeux, pour me calmer et laisser le rouge de mes joues se dissiper. Lorsque je les rouvris, je décidai de reprendre la conversation pour ne pas laisser un blanc entre nous.

C'est vrai que la perte d'un être cher pousse à la vengeance et la haine. Nous le savons tout les deux. Mais c'est la vie comme tu dis ... Ca sert à rien de modifier le destin sachant qu'il sera toujours le même.

Je me mordillai de nouveau ma lèvre ensanglantée. Ibuki était vraiment prés de moi. Mes joues rossirent de nouveau. Il devait se douter de quelque chose. Je le sentais. Vive l'intuition féminine ! Si il avait compris, je devais vraiment avoir l'air ridicule. A rougir toutes les cinq minutes ... Vraiment pas discret. Je detournai le visage vers Epona qui me fixait avec une gentillesse incomparable. J'esquissai un sourire. Jack avait l'air surexcité. Ces deux animaux sentaient ils que quelque chose allé se passer ? Je me retournai derechef pour me remettre face à Ibuki. Je souriai de nouveau.

La pluie s'est arrétée ... On ... on fait quoi ?

Je me sentais mal, j’étais vraiment très proche … trop proche, je fixais la Chuunin, personne ne parlait. Jusqu'à qu’Helena brise le silence en disant

C'est vrai que la perte d'un être cher pousse à la vengeance et la haine. Nous le savons tout les deux. Mais c'est la vie comme tu dis ... Ca sert à rien de modifier le destin sachant qu'il sera toujours le même.

Je ne voyait pas pourquoi elle parlait de destin, c’est vrai, on ne peut le changer, mais si on n’a pas d’amis, le destin ne peut pas sévir dessus, encore un avantage de n’avoir aucun amis. Je jeune femme rougissait, j’étais vraiment trop proche, je devais bien rougir aussi sous mon masque. La pluie s’estompait peu à peu, mais le vent lui était toujours présent, serait-ce le vent de l’espoir ? L’espoir que Suna se ravive, je l’espère de tous mon être …
La Chuunin sourit et me demanda

La pluie s'est arrétée ... On ... on fait quoi ?

… Je ne savais pas moi ! pourquoi c’est toujours moi qui doit décider ? Mais bon, de toute façon j’ai du boulot il faut donc que je rentre au palais..

Ibuki ! pas de fuite !

C’est temporaire, j’ai du travail, je suis le Kazekage je te rappelle !

Mon père de répondit pas, j’espère de je ne l’ai pas vexé ou blesser en lui parlant ainsi…

Je …. J’ai … j’ai du travail

Je bondis sur le toi et regardant la Chuunin je continua

Je … Je ne t’ais pas donner de mission tout à l’heure, si tu en veux vraiment une, reviens me voir.

Je souri et je parti en courant sur les toits des maisons de Suna, le sol était mouillé, ce qui le rendais plutôt glissant, même si cela m’importait peu, je faisais tout de même attention où je mettais les pieds pour ne pas tombé. Lorsque je fus assez loin, je me transforma en loup et sauta dans une rue, l‘histoire de défoulé un peu mes pattes canines… Je courus jusqu’à disparaitre dans les nombreuse rues que comporte le village de Suna.

Ibuki parut réfléchir longuement. Finalement il dit.

Je …. J’ai … j’ai du travail

Je m'en doutais. Il allait me quitter. J'allais me retrouver seule. D'un autre côte je comprenais, en tant que Kage, il avait d'autres priorités. Je soupirai, le regardant monter sur le toit. J'étais dégoutée, oui ... Très dégoutée qu'il s'en aille ... Mon coeur se serra, entrainant de nouveau une brûlure de mon tatouage. Je serrai les dents, et détournai la tête.

Je … Je ne t’ai pas donner de mission tout à l’heure, si tu en veux vraiment une, reviens me voir.

Je souris rapidement et attendit que le Kage s'éloigne. Je soupirai derechef, mordillant ma lèvre ensanglantée. J'étais vraiment déçue. Mais bon ! Je pouvais retourner le voir quand je désirais ... A cette idée, je ressouris. Attirant Epona hors de la ruelle, je grimpai sur elle. Jack monta une dernière fois sur mon épaule avant de suivre le Kage. Avant de retourner au Palais du Kage, je voulais faire un petit tour dans Suna. Frank n'était surement pas partit et avec un peu de chance il était encore là. Je tournai en rond dans Suna, recherchant désespérément Frank. Voyant la nuit tombée, j'abandonnai l'hypothèse qu'il soit toujours dans les environs. Les larmes montèrent à mes yeux, rendant ma vision flou. Je soupirai avant de me rendre au Palais du Kage en empruntant le chemin des toits.

[ P'tit RP, Sorry =/ ]

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