Nouvelle ère [Pv Kaori]

[i] La couleur des fleurs sala montre bien il est vrai que la prospérité est promise au déclin. Les orgueilleux ne durent pas, ils sont comme un rêve dans une nuit de printemps ; Les puissants finissent par tomber, ils ne sont que de la poussière avant le vent. Je marchais sans but précis. En fait pour être franc, cette journée était censée s'annoncée comme toutes les autres. Mais pour x raison, j'ai l'impression que cette journée sera vraiment différente des précédentes... Dans les rues de Kiri c'était calme en ce début de soirée... je ne sais pas pourquoi mais le commencement d'une nouvelle ère allait se dérouler en ces lieus. Et bizarrement je me sens concerné par cette hypothèse qui peut se rélever belle et bien réelle. Haussant les épaules je continuais ma route, traversant une ruelle du village j'évitais certains SDF en leur passant de la nourriture que j'avais gardé chez moi puis je traçais ma route pour terminer dans une grande allée, vide comme mes pensées actuelles. Cette allée était sans vie, même pas la présence de la puissance sylvestre ne passait dans ce lieu, le soleil allait se coucher... c'est quelque chose que je ne voulais pas rater ! Mais tout seul cela revient à ne pas admirer la beauté de ce couché de soleil. Mais j'attendrai l'arrivée de la personne qui me sera destinée afin de pouvoir contempler le couché de soleil, qui sera sans aucun doute, imprégné d'une majesté presque sacrée... et j'imagine bien le moment où je partagerai ce moment sacré avec la personne qui m'est liée... Mais si c'est pour aujourd'hui réveillez-moi... La chance n'a pas toujours été avec moi, et si elle le serait avec moi aujourd'hui, c'est que ma vie doit enfin avoir un réel but. Outre le fait que je dois protéger Leviath, Kyo et Missa je suis bien content de voir que j'ai un autre but... je me réjouis d'avance, savourait cette nouvelle ère...

Je ne demande pas mieux... Fermant les yeux , je sentis mon propre esprit s’élever vers les hauteurs. Mon imagination envisagea un monde ignoré de moi, qui s’étendait autour de moi et que je n’avais jamais remarqué. Rouvrant les yeux j'ai décidé de poursuivre ma route jusqu'au milieu de la grande allée. Respirant un bon coup j'ai marché lentement, les mains dans les poches, je souriais mais pourquoi ?... en tout cas c'était pas pour cacher le fait que mon dos me fait un peu mal parce que je trimballe cette épée derrière moi... Mais j'aime pas parler de cet outil de puissance, il m'a fait remarqué qu'en cherchant le pouvoir tout effort est vain une fois à la fin de notre objectif... j'ai suivi cette voie aveuglement, en plus j'avais pactisé avec orochimaru... de mieux en mieuix... C'est à cause de moi que mon frère, yagura, le Yondaime Mizukage n'est plus... même pas capable de le protéger d'une menace au Sharingan. Enfin, j'ai dit que je n'aimais pas trop remuer le passé, alors je devrais prendre mes paroles au sérieux. M'arrêtant au beau milieu de la rue... je ne bougeais plus, désormais tout était mort dans la rue... du moins presque tout... un de mes yeux se tourna pour voir ce qu'il y avait, et cette rue revécu grâce à la présence d'une autre personne, et ça j'ignore encore qui est cette personne... Et a en jauger de loin, cette personne n'est sûrement pas d'ici... Je devais agir ? Rester planter là comme un con ? Ou partir sans rien faire ? Non. C'est maintenant que je ressens le fait que mon ère débute. Je vais rester là, laisser la personne s'approcher, et qui sait... me lier avec ?

Elle ne fut pas surprise d’entendre un cri aigu juste au dessus d’elle. Elle échappa un léger sourire puis leva les yeux vers le ciel. Elle enleva sa capuche et regarda l’oiseau qui volait au dessus d’elle. Elle fronça légèrement les sourcils puis siffla légèrement pour qu’il revienne sur son épaule. Elle le regarda un moment puis échappa un léger soupire sans trop savoir quoi dire. Depuis un mois environs, elle marchait et marchait sans trop savoir où aller… Elle avait définitivement coupé tous les liens qu’elle avait avec ses six sœurs. Elle ne donnait plus aucun signe de vie et il en était de même pour elles. Jamais Kaori n’aurait crus devoir se séparer d’elles, mais la jeune Kushi avait un destin qui devait s’accomplir seul. Quand elle était partie, elle leur envoyait souvent de ses nouvelles. Mais depuis qu’elle avait rencontré Rise, elle n’en voyait plus l’utilité. Maintenant au moins, elle ne souffrait plus de la solitude… Du moins, c’était ce qu’elle se disait.

La jeune femme caressa la tête du faucon et lui sourit avec amusement. Elle regarda un moment devant elle sans dire un mot, elle avait finalement choisis un village à visiter même si elle voyait cette décision comme étant dangereuse. Elle n’avait jamais prit la chance de s’approcher d’un village, elle ne savait pas ce qui la poussait à essayer aujourd’hui et elle ne voulait pas le savoir. Elle passa une main dans ses cheveux roux et se mordit la lèvre. Elle avait choisis le mauvais village, elle le remarquait maintenant! Elle était née dans ce village et c’est aussi un ninja de ce village qui l’avait abandonné… Pourquoi avait-elle choisit de revenir à Kiri après dix ans ? Sûrement pas dans le but de revoir son père ou encore la voisine. Non, elle voulait juste savoir ce que Kiri était devenue après tant d’année. Elle ne s’était jamais posé la question avant aujourd’hui et elle comprenait son erreur. De toute la famille, Kaori était la seule qui osait s’approcher de Kiri. Elle n’avait pas peur, elle savait que c’était dangereux et que c’était une mauvaise idée, mais elle n’avait pas peur. La jeune femme marcha pendant environs dix minutes avant d’arriver devant les portes… Elle tourna son regard émeraude vers les gardes et échappa un petit sourire sans trop savoir quoi dire et encore moins quoi faire. Elle arrêta un moment de les regarder puis soupira… Peut être pourraient-elles les tués. Non, ça serait contraire à tous ses principes. Dans le monde qu’elle imaginait, la paix passait avant tout… Le monde était nettoyer de tout le sang qui l’avait souillé au fur des années et tout e monde étaient heureux. Elle détestait plus que tout au monde tué et elle savait que ceci ne changerait jamais. Elle soupira légèrement et regarda les gardes avec regret. Ces derniers la regardaient avec curiosités et la même question pouvait ce voir sur leur visage ‘’ qui était-elle et que voulait-elle ‘’. Elle ne voyait aucun moyen non violant d’entré dans le village et elle savait que trop bien qu’elle ne reviendrait pas sur ses pas. C’est avec regret qu’elle sortit un kunaïs. Elle apparut derrière l’un des gardes et échappa un léger sourire avant de lui mettre son kunaïs sous la gorge. Si elle le tuait, elle savait qu’elle aurait le temps de quitter le village avant que quelqu’un remarque le meurtre. Kaori approcha son kunaïs de la gorge du garde et elle lui coupa la tête avec regret. Elle en fit de même avec l’autre, en temps normal, elle aurait préféré essayer de trouver un autre moyen d’entrer dans le village, mais elle savait que c’était impossible avec Kiri… Elle soupira légèrement et entra dans le village sans regarder derrière elle. Elle fut plutôt contente de voir que le village n’avait pas changer à quelques exceptions près. Elle regarda un moment Rise puis échappa de nouveau un sourire avant de caresser la tête du faucon. Elle marcha un moment dans les rues et regarda les habitants du village avec attention. Elle regarda un moment le ciel avec amusement et remarqua que le soleil commençait déjà à ce coucher. Elle ne pouvait pas ce permettre de rester longtemps… Elle était déçu, peut être aurait-elle dut partir plus tôt dans la journée. Elle regarda un moment autour d’elle cherchant à savoir où elle était et fut surprise de remarquer qu’il n’y avait plus personne. Enfin presque plus personne… Il y avait une autre personne avec elle. La jeune femme échappa un sourire nerveux puis regarda l’étranger. Elle avait soudainement envie de quitter Kiri, elle n’aimait pas être seule avec une autre personne. Surtout dans ce village qu’elle voyait comme la source de tous ses problèmes. Quand il y avait plusieurs personnes, elle n’attirait jamais l’attention, mais quand elle était seule avec une autre personne, cette dernière n’avait pas le choix de remarquer Kaori. La jeune femme regarda avec méfiance l’étranger puis se mordit légèrement la lèvre sans dire un mot. Elle pensa un moment aux gardes qu’elle avait tué environs une heure plus tôt et se demanda si Kiri n’avait pas déjà remarquer leur mort… Juste à cette idée, son sang se glaça dans ses vaines. Elle regarda un moment l’étranger et ce surpris à penser qu’elle avait peut être été reconnus et que lui il était là pour la tué. Elle secoua négativement la tête refusant d’y croire puis elle s’approcha de l’étranger avec hésitation. Quand elle fut suffisamment proche de lui, elle eu juste envie de faire demi-tour en se demandant pourquoi elle s’était approcher… Mais son corps refusait de l’écouter et par conséquence, elle restait là à regarder l’étranger sans dire un mot.
[ Hors rp : Je sais!! C’est vraiment nul comme rp T.T J’vais faire mieux la prochaine fois =S]

Je ne bougeais pas, et j'attendais. Mais allais-je attendre encore longtemps avant que cette personne qui a en jauger de loin n'est pas de Kiri, vienne jusqu'ici ? je ne sais pas, mais bon... prudence est mère de sûreté... mais pourquoi devrais-je me sentir en danger ? Je n'ai aucune raison de trembler de peur ou autre gestes similaires à la peur. Du moins ma conscience me dit ça, je ne peux me prononcer sur le pourquoi de la venue de cette personne qui m'est d'ailleurs parfaitement inconnue et il est inutile de la repousser. Ah non pas question, je ne bousille pas les chances qui se présentent à moi, c'est arrivé bien trop de fois pour que je puisse le supporter en continue. Cette fois, je ne fuirais rien, ni la peur, ni l'angoisse, ni la colère... j'attraperai ce bonheur quelqu'en soit le prix à payer... Mais je devrais modérer mes propos, je ne tiens pas à me fonder des espoirs pour rien, car quand c'est l'heure des révélations et que ça tourne au négatif, on a beau essayé d'esperer encore et encore... on n'arrive à rien, ce n'est qu'une vaine tentative de notre part. Mais inutile d'être pécimiste non plus, sinon c'est sûr qu'il n'y a même pas besoin d'espérer. Les mains dans les poches, j'ai fait disparaitre l'épée dans mon dos pour ne pas avoir à supporter une telle charge que j'ai appris à supporter mais n'éxagérons rien, je ne tiens pas à me faire un tour de rein à cause de cette arme que je n'utilise que dans des conditions optimales... et là franchement, il ne sera pas question de combattre ou autre... Ma tête se tourna légèrement vers cette personne. Je pouvais de plus en plus cerner son mental qui était sans aucun doute celui d'une jeune femme... Une chance qui s'ajoute au tableau du destin ? c'est une option que je ne peux et ne veux écarter.

Fermant mes yeux ensuite, je suis rester un moment voir un bon moment pensif... je devais bien m'imaginer que cette personne avait fait un minimum de raffut pour entrer mais rien de bien grave, je ne pense pas qu'elle est fait quelque chose de grave pour pénétrer dans l'enceinte de ce village. Cette jeune femme me semblait bien belle, et pourtant elle paraissait si jeune... mais c'est une qualité je trouve, tant de beauté dans un corps sain et jeune... c'est bel et bien ce que je recherchais mais elle... qu'est ce qu'elle fait ici ? Pourquoi viens t-elle en ces lieus qui autrefois étaient quelques peu... hostiles. Mais bon, je ne peux pas lire dans ses pensées et je doute que même si je le pouvais cela soit très... galant de ma part. Cette fois je me suis totalement retourné avec le sentiment de continuer à marcher vers elle. Ainsi je me suis éxécuté, marchant lentement vers elle, je ne savais pas ce qui m'arrivait mais apparement comme elle... mon corps ne répondait plus, au fond je refusais de m'arrêter et de continuer à marcher mais cette fois, la nouvelle ère a commencé et a agi sur moi en me lassant faible, ainsi ce nouveau sentiment est devenu maître de mes émotions et de mes gestes... on n'arrête pas un humain en recherche de sentiment. Cette marche en continue que j'effectue actuellement vers cette jeune femme serait-ce un signe ? Je ne sais pas, mais au fond je l'espère de tout mon coeur....

En m'approchant d'elle je me rendais compte à quel point la nature pouvait métérialiser la femme parfaite pour l'homme. Serais-je en train de délirer ? C'est fort probable mais je ne l'espére pas, je souhaite avoir mis de la sincérité et du sérieux dans mes pensées, je veux en faire autant pour mes paroles si je peux aborder cette inconnue. Continuant mes pas je me suis arrêté tout à coup... pouvait-elle me cerner à son tour ? Il faut dire que le physique sera d'autant plus facile à décrire que mon mental qui est cependant bel et bien cernable... Mais bref, passons à une description plutôt personnelle de cette personne. Elle me semble fort jolie mais son caractère reste tout au moins pas très cernable. Secouant ma tête je me disais qu'il fallait que je parle, mais comment oser parler à une personne dont le visage ne nous dis rien... Je pense cependant, que cette personne va avoir la manie de me confondre au Yondaime Mizukage défunt... mon frère jumeau quoi... c'est toujours comme ça pour ceux qui sont pas d'actus mais je pense que si elle réfléchis bien, elle devinera que je ne suis en aucun cas Yagura. Haussant les épaules j'ai alors lancé ma tirade tout en reprenant l'habitude de tutoyer les gens... mais cette fois, je rougissais:

"Tu as de la chance kunoichi anonyme, je ne suis pas de garde ce soir. Je suis Kazuma Magari. Je voulais connaitre votre identité pour mieux savoir à quelle personne ais-je à faire."

[Tu rigoles ?! Je trouve la qualité nécessaire dans ton rp. Il faut juste aérer ton poste, faire des paragraphes quoi ^^/ Quoi qu'il en soit, c'est à moi de m'améliorer =x]

[Hors Rp: T’amillioré ? N’importe quoi!!! >< mais bon, No merci x) Quand j’y pense, je fais les paragraphes, mais j’oublis régulièrement ^^’’]

Un homme… Oui, c’était certains. Cette personne ne pouvait être une femme… Cette pensée, étrangement, la rassurait. Elle avait toujours eu moins peur de faire face à un homme plutôt qu’à une femme. Elle avait apprit avec les années à quel point l’humain pouvait être insensible… Pour Kaori, les femmes étaient maîtres dans ce domaine. Elle avait l’impression que les femmes avaient un moyen de torture supérieur à celui de l’homme. La plus pars d’entre elles préféraient la torture psychologique, alors que les hommes préféraient le physique. On pouvait faire souffrir une personne beaucoup plus longtemps si on s’attaquait à ses sentiments. C’était le point de vue de la jeune Kushi. Heureusement pour elle, elle n’avait jamais eu la chance de vivre cette torture. Elle l’évitait le mieux possible et ne s’était jamais vraiment approcher d’une femme de trop près. Ces sœurs étaient les seules filles qu’elle avait approchées dans toute sa vie. Honnêtement, elle n’avait jamais vraiment approché l’être humain tout court. Pourquoi !? Parce que depuis que son père l’avait abandonné, elle avait peur de la traitrise! Son point de vue était clair, si on ne connaissait personne, personne ne pouvait nous trahir. Qui ne pouvait être d’accord avec elle ?

Ce fut le cri aigu de Rise qui la sortie de ses pensées. Curieuse de savoir ce qu’il avait, elle tourna son regard vers lui. Ce dernier fixait l’homme avec un drôle de regard… De la méfiance ? C’était très probable, Rise n’avait jamais fait confiance aux autres. Lui qui, pourtant, faisait souffrir Kaori chaque fois que la jeune fille refusait d’aider une personne dans le besoin. Sur quel genre de faucon était-elle tombée !? Elle l’ignorait et elle ne voulait pas le savoir, elle aimait Rise pour ce qu’il était. Le reste importait peu. Elle tourna son regard vers l’étranger et fut plutôt surprise de voir qu’il s’était avancé. Elle essaya de garder un visage neutre, mais ses yeux trahissaient sa surprise. Elle sentit Rise se lover dans son coup puis elle entendit l’étranger parlé.
"Tu as de la chance kunoichi anonyme, je ne suis pas de garde ce soir. Je suis Kazuma Magari. Je voulais connaitre votre identité pour mieux savoir à quelle personne ais-je à faire."
Elle regarda un moment Kazuma sans dire un mot. Elle aurait pus lui répondre quelque chose très facilement, mais elle n’en avait pas envie pour le moment. Étrangement, Kazuma lui rappelait quelqu’un, mais le visage de cette personne était un souvenir qui commençait à s’effacer… Le visage de cette personne était très flou dans la mémoire de Kaori et elle ne pouvait pas donner un nom sur ce visage à son plus grand regret.

La jeune femme échappa un sourire plutôt subtil puis se mordit légèrement la lèvre sans trop savoir quoi répondre à l’étranger. Sûrement qu’à Kiri, son nom et celui de ses six sœurs avaient déjà été oublié et que son père la croyait morte, mais pouvait-elle en être certaine !? Bien sûr que non… Elle n’avait qu’à espérer après tout! Instinctivement, elle porta sa mains à ses kunaïs sans trop savoir pourquoi… Elle ne se sentait pourtant pas menacer par la présence de Kazuma. Elle secoua légèrement la tête puis soupira avec regret. Les mots de Kazuma la rassurait, ainsi… Personne n’avait remarqué les corps sans tête des gardes aux portes? Combien d’heures passeraient ainsi sans que personne ne remarque les enveloppes charnelles des deux hommes ? Maintenant, Kaori était certaine que la coupable serait facilement retrouvée… Étrangère dans ce monde qui un jour, pourtant, avait été le sien!
‘’ Je m’appelle Kaori… Kaori Kushi ‘’

Qui avait dit que la Kushi était une grande parleuse !? Non, Kaori aimait le silence et n’appréciait pas nécessairement faire des grandes phrases. Erreur, elle aimait faire des grandes phrases, mais seulement en compagnie des gens qu’elle aimait or elle ne connaissaient pas du tout Kazuma. Même si elle se sentait étrange en sa présence, pour elle, ça ne voulait rien dire. Elle n’avait jamais été experte dans les sentiments humains. Elle avait toujours préférés trouver un moyen de faire comprendre à tout le monde qu’ils devaient arrêter de s’entre tué plutôt que d’essayer de comprendre les sentiments d’une personne. Certes, elle pouvait les devinés avec une facilité déconcertante, mais elle préférait toujours couper le lien qui l’unissait à la personne. Quand elle avait vue Kazuma tout à l’heure, elle ne s’était pas fait prié pour couper le lien qui lui permettait de savoir les sentiments de Kazuma. En aucun cas cela la regardait. Elle aimait découvrir par elle-même. Quand elle l’avait vue rougir tout à l’heure, elle avait été tenté de refaire le lien qu’elle venait de couper juste pour savoir ce qu’il ressentait, mais elle avait tout de suite trouvé l’idée mauvaise.

Qui m'a surnommé "le naze impatient" à deux tensions ? Je ne sais plus, mais franchement la personne qui m'a donné ce surnom devait me connaitre plus que bien et je donnerai ma main à couper que c'est Yagura qui eut l'idée de façonné ce surnom qui va de paire avec mon comportement. Enfin, des fois il m'arrive bel et bien d'être sérieux mais ceci ne se révèle que dans des conditions optimales si je puis dire. Mais bon, quand je repense à lui... je ne fais que ressentir le sentiment de défaite, je déglutis... j'ai sombrer pour avoir le pouvoir auprès du serpent d'Oto, et voilà que ce dernier à tenté de prendre mon corps, mais c'est là que j'ai réaliser que la folie m'avait ravagé... et que c'était décidemment trop tard, et mon pouvoir n'a fait qu'envenimer la situation. Outre le fait que je suis à présent le Sanin de la brume en second grâce à la puissance acquise au cours de mon adolescence à Oto, je suis resté le même... je n'ai en aucun cas mûris sur le plan mental. Et c'est mon mental qui aurait pû aider Yagura à le ramener du côté de Kiri, mais franchement... qu'elles sont les chances pour un Juunin d'empêcher un Mizukage de se faire contrôler par Madara Uchiwa ? Nulles je pense, en fait, il n'est même pas question de penser, c'est sûr qu'un Juunin n'arrivera à rien. Mais apparement les temps ont changé, je me sens plus prêt que quiconque pour rétablir l'honneur de mon frère jumeaux qui je paris à été effacé de la mémoire de bons nombres de Kirijin... Mais il reviendra en tant que héros défunt pour la nation des vagues, j'en fait le sermant !

Voilà que maintenant je décide de jauger la personne qui se tenait à présent devant moi. Cette rouquine était quelqu'un en particulier ? Allez savoir, je ne peux me prononcer sur la nation qui a reçu cette jeune femme. En tout cas, si elle était de Kiri, je ne l'aurais pas remarqué. C'est bien dommage au fond mais bon je ne dois pas remuer le passé pour une raison aussi "ridicule". Que pouvait cacher cette jeune femme... je me le demande bien, mais je pense que penser à mal envers elle serait une erreur. Je ne juge pas les gens sans avoir passé du temps avec eux ou encore, m'être lié avec eux d'une quelconque manière. Yagura lui, je l'ai jugé dés qu'il était dans les bras de mère... le chouchou de la famille, et n'allez pas croire que je suis jaloux ><", c'est juste que... je n'ai pas attiré directement l'attention, même jamais... Et même quand je réussissais les missions capitales pour le village... mes parents s'en foutaient royalement. Alors que Yagura lui, était en phase d'apprentissage de l'arme qui a apparement remis les 7 épéistes à leur place... Je devrais me procurer cette épée, et puis, c'est l'arme de frère alors elle me revient... Mais patience, je ne suis pas sûr de l'emplacement exacte de cette arme et nulle autre personne n'a l'idée de son emplacement. Enfin bref, tout pour dire que Yagura lui était destiné dés ses 15 ans à devenir le plus jeune des Kage que toutes les nations n'ont jamais connu. Alors que je sombrais dans la solitude... j'ai nouri peu à peu de la rancoeur envers lui...

Mais heureusement que je ne le pensais pa réellement hein. Enfin, pour le moment vous raconter ma life ne sera que vaine tentative pour éviter que cette charmante jeune femme ne remarque le fait que je rougis. Malheureusement, elle a dû le remarquer et cela est quelque peu... très embarassant pour moi. Enfin on va pas en faire tout un plan hein. Alors que je m'apprêtais à insister pour qu'elle me révèle son identité, j'ai fermé ma bouche puis elle ouvrit la sienne pour délivrer sa phrase. Kaori Kushi donc, c'est bizarre j'ai comme l'impression d'avoir déjà entendu parler de "Kushi" au sein de Kiri. Trop vague pour que je puisse rematérialiser un si long souvenir, mais quoi qu'il en soit, cette jeune femme me doit certaines explications vis-à-vis de sa venue dans Kiri. Je ne lui ferai guère du mal, non, loin de moi est cette infamie. Mais pourquoi maintenant ? Pourquoi ici ? Tant de questions errent dans mon esprit et me rongent en attendant de trouver une réponse convenable. Mais pour le moment c'est bien trouble pour que je puisse confirmer de tels sentiments, et puis, je ne la connais même pas. Pas de raisons de s'affoler, je n'ai qu'à laisser le temps être maître de mes émotions et je verrai bien si j'ai eu tort ou pas de me lier d'une façon assez trouble avec cette jeune femme. Et puis, qui me dis que je vais me lier avec elle hein ? Si ça se trouve elle va continuer sa route et moi la mienne. Ses mots étaient troubles, je me demande ce qui la pousse à mettre cette expression dans ses mots. Je ne le sais pas moi même et j'espère que le savoir ne me fera rien.

"Soit, j'aimerais bien savoir ton âge et le pourquoi de ta venue en Kiri, si cependant tu ne fais pas partie du village."

Respirant un peu plus rapidement, j'ai alors profité de l'arrivée du vent. Cette rue semblait tout à coup moins vide, avec le vent du soir complet qui arrivait, les rayons du soleil qui se couche dans le lointain... et Kaori. Je baissais la tête pour cacher ma timidité qui apparement refait malheureusement surface et enfin je serrais mon poing, prenant mon courage à deux mains j'ai alors soulevé la tête. Aucune trace de timidité n'émanait de mon visage, cependant à l'oeil nu nous pourrions penser cela mais intérieurement je vous jure que c'est la catastrophe. Enfin, je prie pour qu'elle ne puisse pas cerner mes sentiments qui se bousculent. Je n'ai jamais éprouvé un grand plaisir à me retrouver seul avec une jeune femme, c'est dans ces conditions que j'ai la manie de passer pour un abruti Mais si là c'est... sérieux, je ferai le plus grand effort que je n'ai jamais fourni depuis le sauvetage désespéré de Yagura. Et puis, si on veut réussir on peut, inutile de se faire du mauvais sang, je peux saisir ma chance maintenant et c'est avec une voix calme et posée que j'annonça une nouvelle fois:

"Ah et juste par curiosité, tu venais voir le couché de soleil ? Vue d'un des immeubles, c'est magique !"

Plus les secondes passaient, plus elle avait envie de recréé le lien qu’elle avait coupé quelques secondes plutôt. Pour la première fois de ça vie, elle était curieuse et sentait étrangement le besoin de recréé ce lien. Elle combattait cette envie qu’elle voyait comme étant indiscrète. Ces sœurs lui avaient fait la morale plus d’une fois, elle n’avait jamais vraiment aimé que leur sœur sache toujours quand elle allait mal. Kaori avait finit par ne plus du tout utiliser ce don. Elle ne pouvait pas dire qu’elle le regrettait, elle avait toujours aimée apprendre par elle-même. C’était ainsi pour tous les sujets. Depuis qu’elle était jeune, savoir directement tel ou tel chose ne l’intéressait pas. Existait-il une façon sur terre d’être plus fière que quand on apprenait quelque chose par soit même !? La fierté que Kaori avait ressentit quand elle était devenue ninja était incomparable! Elle avait tout apprit par elle-même n’ayant pour maître qu’un ninja qui passait par là… Il ne leur avait montré que les bases puis était repartit. Kaori et ses sœurs avaient survis pendant dix ans sans l’aide de personne. Pour le moment dix ans, dans un an ça ferait onze ans et ainsi de suite. Avait-elle le choix de continuer à vivre seule et de e compter que sur elle-même pour être sûr et certaine de vivre le lendemain ? Maintenant, elle ne pouvait plus compter sur l’aide de ses sœurs… Ni sur celle de personne d’autre d’ailleurs… Elle avait souvent l’impression qu’elle ne pourrait pas vivre ainsi encore longtemps. Elle n’avait pas un seul ryos … Elle ce voyait mal survivre encore longtemps.

Elle voyait le ciel devenir rouge-orange, le soleil se coucher tranquillement… Elle avait toujours aimé les coucher de soleil à Kiri. Quand elle était jeune, elle montait toujours sur le toit de la maison de la voisine le plus subtilement possible, même si elle savait maintenant que la voisine l’avait toujours vue, puis elle regardait le coucher de soleil. Parfois elle restait des heures désirant voir les étoiles aussi… Se plaisir était si éphémère, mais tellement beau! Elle n’avait jamais raté une journée, parfois elle devait endurer ses sœurs pendant des heures par la suite. Elles voulaient toujours savoir où Kaori disparaissait dans ses moments là, mais jamais elle n’avait voulue leur dire. Ce petit côté égoïste dont Kaori n’avait jamais voulue se séparer… Elle tenait à ses défauts, ils étaient ceux qui faisait qui elle était. Elle avait l’impression que si elle se séparait de ses défauts, elle ne serait plus elle-même… Elle ne serait plus Kaori, mais une autre personne qui était bien différente de la jeune Kushi.

"Soit, j'aimerais bien savoir ton âge et le pourquoi de ta venue en Kiri, si cependant tu ne fais pas partie du village."
Le village… Elle n’avait jamais réussit à se convaincre totalement qu’elle était maintenant une désertrice. Non, pas une désertrice! Jamais elle n’aurait accepté de quitter volontairement un village pour nourrir la haine qu’elle avait contre ce dernier. Non, c’était Kiri qui s’était séparer d’elle et elle ne pouvait lui en vouloir. Elle n’avait jamais été rancunière en quoi cela lui aurait-il été utile !? Contrairement à certaines de ses sœurs, elle n’avait pas été fâchée contre son père… Elle avait été triste certes, mais elle avait comprit son choix malgré son jeune âge. Elle lui en avait cependant voulue de penser qu’elles ne pourraient pas survivre… Oui, c’était son but non ? Qu’elles meurent de faim… Ou manger par un prédateur quel compte. Pourquoi les abandonner sinon ? L’adoption… Il aurait pus les séparer dans sept familles différente et sûrement qu’avec le temps les Kushi aurait oublié ce lien qu’elles avaient entre elles… Cette version des choses effrayait la jeune femme … Et elle décida de l’oublier aussitôt, elle préférait comment les choses s’étaient passé.

"Ah et juste par curiosité, tu venais voir le couché de soleil ? Vue d'un des immeubles, c'est magique !"
Elle remerciait le ciel d’avoir fait en sorte que Kazuma dise ces paroles! Elle n’aurait pas sut quoi répondre à sa question, elle désirait garder ses origines secrètes… N’existait-il pas des ninjas dans ce monde fait pour tué ou capturer les déserteurs et les sans villages !? Elle n’en avait jamais vue aucun et elle ne voulait pas tomber sur l’un d’entre eux… Jamais. Le monde était dangereux pour les ninjas et encore plus pour les déserteurs et les sans villages. Nombreux étaient ceux qui voulait leur peau… Ils étaient de plus en plus nombreux d’ailleurs! Non… Pas vraiment.
‘’ J’ai seize ans et demi, bientôt dix-sept … Je sais que je ne devrais pas être ici… Mais comme tu la dis, du haut des immeubles le coucher de soleil est magique… De là d’où je viens, le coucher de soleil n’est pas génial… Je trouve que marcher pendant des jours pour voir le coucher de soleil qu’on peut voir à Kiri en vaut la peine… ‘’

Un record! Elle n’avait jamais autant parlé de tout ça vie… Enfin presque, avec ses sœurs et une seule autre personne. Une seule parmi six milliards d’être humain… Incroyable non ? Peut être que oui peut être que non… Elle tourna son regard vers Rise légèrement surprise de ne plus le sentir bouger, ce dernier était toujours lover contre son coup et regardait toujours Kazuma avec méfiance. Le parfait faucon sauvage… La jeune femme sentait les serres du rapace contre la peau de son coup et avait peur qu’il fasse un mauvais geste et que, une fois de plus, il la blesse… Elle ne s’était jamais habituée.

Hum, les temps ont changé. Ce n'est pas qu'une impression... mes élèves ont mûri et atteint un niveau vertigineux, surtout que d'après mes sources, Leviath aurait attaqué Kumo et cet acte montre bien que sa puissance n'a fait que s'accroitre au cours des années. Il est donc rongé à ce point par la vengeance, puisse une personne appaiser sa douleur, je ne tiens pas à ce que ce Nukenin qui fut et est mon élève soit tué par la puissance militaire des nuages. Mais ils ont décidé de faire les grand, apparement Missa est celle qui comprend le plus les choix à prendre, malgré le fait qu'elle a toujours suivi Kyo ne l'empêche de ne pas savoir les bonnes choses. Même en agissant inconsciement les Hayate et les Rundas de Kumo ont avoué ressentir une grande parcelle de talent en Missa. Moi même je reconnais son talent, sa volonté et tout. J'espère qu'elle s'est liée d'amour avec une personne l'égalant dans les qualités. Enfin, elle est tout de même jeune, elle es à quatre ans de la majorité et je doute qu'elle comprenne quelque chose dans tout ça, et je compte bien sur l'heureux élu de faire son maximum pour mener à bien les désirs de Missa. Cette gamine mérite tout l'amour de ce monde pour avoir aidé ses frères dans les passes les plus difficiles. Passons à Kyo maintenant, le cas le à plaindre de cette famille. Le pauvre môme à perdu ses amis lorsque je lui ai scellé l'entité du Yonbi, je me sens coupable de cela, ceci était loin d'être un geste louable de ma part... mais aujourd'hui c'est différent, je ne feraipas la même erreur...

Si mes sentiments envers cette Kaori sont confirmés je ferai tout mon possible afin de mener à bien ce qu'elle désire. Mais qui me dit qu'elle partage les même sentiments que moi ? Et puis, ce n'est toujours qu'une impression voir une hypothèse qui erre dans mon esprit. Rien n'est confirmé, et je regretterai de ne pas m'être lié avec elle, mais ce n'est pas pour que se décourager et la meilleure option à portée de main, je ne me découragerai pas. Je n'arrêterai pas d'espérer quelque soit les obstacles qui se mettent en travers mon chemin. Me secouant la tête non pas rapidement, j'ai repporté mon attention sur Kaori, la jeune femme semblait sérieusement embrouillée par ma première tirade, j'en ai tiré une hypothèse mais je ne la mettrais en oeuvre qu'une fois qu'elle aura répondu à mes questions dont la seconde s'annonçait plutôt tranquille. Bah voui, je voulais détendre l'atmosphère, inutile de la faire stresser hein. Je ne vois pas l'intérêt de lui faire peur alors que je ne peux pas me prononcer sur mes sentiments envers elle... D'un coup, une vague d'inspiration me pris lorsqu'elle se mise à parler, une voix... une voix dont la douceur inégalée, c'est bien entendu une image. En réalité, je pense bien que par delà sa voix elle sèmera sa bravoure, de sa voix similaire à la gentillesse elle sèmera le bonheur. Je suis déjà atteint, je ne peux plus me retenir, sortant de ma sacoche un carnet de note et une plume j'ai alors éxécuter l'écriture en Hiragana afin d'éxécuter les poèmes où je m'étais arrêté il y a longtemps. J'avais appelé ce poème "Ta voix"...

Spoiler:

Je me demande bien qu'elle sera la réaction de Kaori si elle a vu ce que j'ai écris. Rangeant la plume j'ai cependant gardé le carnet dans mes mains, et j'ai ensuite analyser la situation tout en cernant ses dernières paroles. Elle était sur le point d'atteindre ses 17 ans ? C'est quand même à trois ans de la majorité, c'est quelque chose quand même. C'est quand elle avait dit qu'elle ne devait se trouver ici que j'ai réalisé et ai confirmé ma première hypothèse, elle n'était pas du village. Mais si elle en avait déjà fait partie ? C'est tout à fait plausible mais lui poser la question la mettrait dans un tel embarra que nous couperions nos liens, ce serait regrettable alors que nous partions sur de bonnes bases, vous ne trouvez pas ?... Par la suite elle affirma le fait que vue d'en haut, il n'y avait rien de plus magique que le soleil... Souriant, j'ai alors vu son animal qui était sur son bras. Ce dernier n'avait pas l'air de me blairer, mais je n'ai que faire des sentiments du volatile envers moi, ce n'est pas comme si c'était pour ce volatile que j'avais des sentiments ><". Voyant le volatile refermé ses serres sur le bras de Kaori j'ai alors penché ma tête vers la droite, le regard traversant celui du rapace j'ai alors adopté temporairement un air assez froid afin de faire trembler le rapace histoire qu'il comprenne qu'il ne devait s'énerver et qu'il devait défaire ses serres de l'entreinte du bras de Kaori. Arrêtant mon air, j'ai alors redressé ma tête vers l'avant, le visage souriant j'ai alors pris la parole:

"T'es Nukenin pas vrai ? Ne panique pas, les forces militaires n'arriveront pas. Je te ferai rien."

Me précipiterais-je ? Allez savoir, c'est sûrement pour lui montrer que je suis le moins cruel de la nation des vagues, et puis y a aussi une famille en Kiri qu'est pour la paix. Je pense que c'est les Okami, y a une Juunin et une Sanin qui sont liées à cette famille. Enfin, je me demande si cette famille réalise que pour la paix faut faire la guerre. Un choix dur à accepter mais ils devront le réaliser tôt ou tard. Suite à ma phrase, je n'avais nullement l'intention de rougir, j'étais sincère mais n'avais pas mis l'intonation de la sériosité dans mes mots, c'était plutôt le ton calme et posé. Regardant à nouveau le poème j'ai alors souri dans le vide, je regardais la page où j'ai écris le poème de tout à l'heure puis je posais ensuite un regard sur Kaori en souriant de façon à ce qu'elle ne puisse pas le remarquer mais je suis assez mauvais pour voiler les expressions qu'adopte mon visage. J'ai refermé le carnet puis je me suis avancé pour être à ses côtés, n'esquivant pas le rapace je me suis mis juste aux côtés de Kaori pour enfin la regarder en attendant une réaction de sa part mais je n'ai pas pu m'empêcher de reparler en lui tendant la main d'un petit sourire:

"Hum, j'ai 22 ans. Dis moi, ça te dis de voir le couché de soleil à partir de l'immeuble ? Et aujourd'hui, j'ai comme l'impression que ce couché va avoir une importance quelque peu particulière..."

Qu’étaient devenus ses sœurs ? Étrangement, elle se posait cette question malgré ce lien qu’elle avait voulus couper pour le bien de sa mission dans ce monde. En fait, si elle se demandait ce qu’étaient devenus ses sœurs, c’étaient pour penser à autre chose qu’à Kazuma. Elle se foutait un peu de ses sœurs, certes, elles lui manquait, mais elle ne voulait pas savoir ce qu’elles étaient devenus. Désormais, ses sœurs ne feraient plus partie de sa vie. Elles n’étaient que de simples amis, pour elle, Kaori était désormais une enfant unique. Rares seraient ceux qui apprendrait que Kaori avait six sœurs, elle ne parlerait plus d’elle et les éviterais. Pour la jeune fille, c’était le seul moyens, pour elle, d’accomplir sa mission. S’éloigner de tout ceux qu’elle aime ou qu’elle a déjà aimé et n’aimer que ça propre personne pour ainsi ne pas faire d’inégalité. Étais-ce bien de penser ainsi ? Même Kaori ignorait la réponse, elle faisait les choses ainsi sans trop penser que peut être que ce n’était pas bien. Enfin bref, Kaori savait également qu’elle ne pourrait pas réussir son but maintenant, elle était trop faible et faire de ce monde un monde où la paix est maître était impossible seule… Une petite équipe ? Non sûrement, simplement des alliés. Des personnes qui, comme elle, voulait préserver se monde. Elle ne voulait nettoyer le monde de tout ce sang qui l’avait souiller au fil des années… En demandait-elle trop ? Non, probablement pas… Elle savait ce but réalisable, mais n’était-il pas le travail de toute une vie ? Pour le moment, tout ceux qui avait eu l’intention de changer le monde avaient échouer. C’étaient-ils seulement contenter de dire des belles paroles ou ils avaient réellement essayer de changer le monde ? Elle avait du respect pour ceux qui, un jour, avait réellement essayer de changer les choses… Les autres s’étaient simplement contenter de dirent de belles paroles. Les paroles ne changeraient pas le monde… Pour atteindre la paix, fallait-il obligatoirement passer par la guerre ? C’étais la question qu’elle ce postait le plus souvent. Trouverait-elle réellement des personnes qui nourrissait les mêmes espoirs et le même but qu’elle ?

Elle fut surprise de voir Kazuma écrire quelque chose quand elle sortie finalement de ses pensés. Elle était curieuse de savoir ce qu’il écrivait, mais elle ne faisait rien. C’était la deuxième fois qu’elle était tenter de ‘’ découvrir ‘’ quelque chose… D’ailleurs, elle était de plus en plus tenter de reconstruire le lien qu’elle avait couper quelques minutes ( ? ) plus tôt. Elle regarda Kazuma ranger la plume avec lequel il écrivait quelques secondes plus tôt, mais il garda le carnet… Kaori avait toujours autant envie de voir ce qu’il avait écrit, mais elle ne désirait pas se montrer indiscrète. Non, Kaori n’était pas une personne indiscrète. Elle savait que c’était un moyen facile de changer la tournure d’une relation de façon négative or Kaori ne désirait pas se faire des ennemis. Elle voulait avoir le plus d’alliés possible, enfin… Le plus qu’elle pouvait en avoir sans rencontrer personne de façon volontaire. En ce moment, la chose qu’elle voulait le plus c’était avoir un petit groupe pour l’aider à faire rentrer dans la tête des gens que la paix c’est plus avantageux que la guerre. Elle fut surprise de voir le regard froid de Kazuma et fut encore plus surprise de sentir les serres de Rise se desserrer… De toute évidence, les regards froids faisaient de l’effet sur Rise… Elle n’avait jamais penser qu’il obéirai à quelqu’un d’autre, encore moins sans que ce dernier parle… Avait-elle si peu de contrôle sur les agissements du rapace ? …

"T'es Nukenin pas vrai ? Ne panique pas, les forces militaires n'arriveront pas. Je te ferai rien."
Elle détestait plus que tout au monde cette façon de voir les choses. Oui, elle était Nukenin, mais étais-ce par choix ? Avait-elle décider que son père allait l’abandonner ainsi… Comme un lâche? Pouvait-elle réellement dire qu’il était encore son père ? Non, certainement pas! Elle avait renier ses sœurs avec lequel elle s’entendait pourtant si bien… Elle avait renier depuis longtemps le lâche qui les avaient abandonner! Enfin, ses sentiments envers son père étaient très instable. Elle pouvait comprendre son choix de les avoirs abandonner et puis une minute plus tard lui en vouloir à mort… Elle savait cependant qu’elle ne voyait pas Kiri comme ses sœurs. La plus part d’entre elles voyaient Kiri comme étant un village maudit, Kaori les comprenaient, mais elle savait que les ninjas de Kiri n’avaient aucunement rapport avec le malheur sur lequel elles étaient tomber. Ils étaient innocent dans toute cette histoire, elle ne voyait pas pourquoi elle devrait en vouloir à tout un village à cause des agissements non réfléchis d’un ninja par mis tant d’autre. Malgré le fait que Kazuma lui avait dit de ne pas paniquer, elle ne pouvait s’empêcher d’être inquiète… Pourrait-elle réellement instaurer la paix dans ce monde si elle finissait ça vie dans une petite cellule dans le fond de Kiri … Ou pire encore, morte ?

"Hum, j'ai 22 ans. Dis moi, ça te dis de voir le couché de soleil à partir de l'immeuble ? Et aujourd'hui, j'ai comme l'impression que ce couché va avoir une importance quelque peu particulière..."
Elle regarda un moment la main que lui tendait Kazuma sans parler. Elle était surprise par la proposition de ce dernier… Elle ne pouvait le nier. Jamais personne n’avait fait preuve d’autant de gentillesse devant Kaori. Elle avait toujours été considérer comme étant une déserteuse… Quelqu’un qu’on préférait éviter. Il fallait avoir du courage et être plutôt fort pour déserter un village sans avoir peur d’y laisser ça peau. Mais Kaori ne faisait pas partis d’eux… Elle n’était juste pas rattachés à aucun village. Encore une foie, ce n’était pas par choix. Elle serait bien rester à Kiri et elle avait soudainement envie de revenir dans ce village qu’Elle avait un jour appeler ‘’ Son village ‘’. Elle sourit légèrement puis prit la main de Kazuma avec hésitation.
‘’ Peut être bien… De toute manière, j’étais ici pour voir le coucher de soleil. Un peu de compagnie ne me fera pas de mal… Pour une fois ‘’

Toujours la main qui attendait celle de Kaori, mes pensées sont à nouveau parties dans le passé... Avant ça, j'ai vu dans le lointain, là où l'obscurité régnant en seul maître sur le village civil. La brouillard se trouvait déjà la-bas et n'allait pas tarder à faire sa venue dans le village ninja de Kiri. Il fallait se hâter avant que ce myste grisâtre ne vienne gâcher ma soirée. Enfin, il ne sera pas là avant quelques temps, et je pense que justement, le laps de temps qui sépare le couché de soleil et l'arrivée du brouillard et assez pour que je puisse me prononcer sur ce qui va se passer entre Kaori et moi, si déjà il se passe quelque chose. Là, comme par hasard il fallut que mon esprit se transporte jusque dans le passé, et pourquoi ? Pour me remémorer les très bon moments que j'ai passé en compagnie de Missa, Kyo et Leviath. La personne qui avait le plus de chance de s'en sortir dans le domaine de la puissance était sans aucun doute Leviath, mais ce flemmard que j'ai influencé vis-à-vis de la pêche ne fournissait pas de très grands efforts. Quand je pense aux entrainements que je lui foutais dans la tête, le pauvre jeune homme en avait bavé, mais apparement les fruits de son entrainement à mes côtés ont plus ou moins porté. Y a un entrainement qui s'est revélé être... enfin je me suis révélé bien sécère avec ce pauvre Leviath. Je ne m'étais pas prononcer sur les causes de mon geste mais si je vous dis la raison pour laquelle je me suis montré méchant avec lui, je suis pratiquement sûr que vous ne m'en voudriez pas...

C'était à l'âge de ses 10 ans. Le Raikage avait battu pour la énième fois Levi et l'avait envoyté dans l'étang où je pêchais. J'avais décidé de lui enseigner l'art du flux de chakkra. Alors déjà, je l'avais repêché puis j'ai soupiré en le voyant, tout trempé et avec des bleus un peu partout. Secouant ma tête, Leviath se débattait en voulant repartir faire la peau au Yondaime mais moi je l'en empêchais. Il pesta et il m'insulta pendant que je lui faisais la leçon. Fermant mon éventail, j'ai ramené Leviath à moi puis je l'ai pris par le col, juste après il me disait que je pouvais le lâcher parce que sois disant il savait nager. Où l'ais-je emmené ? A la cascade de Kumo, mesurant bien une vingtaine de mètres... il paniqua mais je l'ai quand même laché du haut de cette cascade puis l'ais repêcher à la fin. Enfin après il avait accepté de m'écouter, comme quoi, la manière forte doit être de mise pour avoir l'attention des mômes. Revenant à moi, je me suis concentré sur les évènements actuels. J'avais très bien cerné l'expression qu'avait adopté le visage de Kaori lorsque j'avais regardé d'un air quelque peu froid le rapace afin de "lui donner l'ordre" de défaire son étreinte du bras de Kaori. C'est un signe ? Je ne sais pas, je sais juste que cet acte traduisait une certaine protection pour cette jeune femme. Je me suis retenus de rougir en pensant cela, il fallait vraiment que j'apprene à voiler mes expressions, c'est un défaut que je partage librement avec bon nombre de ninja. Ce qui m'inquiète c'est qu'elle a sûrement vue mes écrits et par delà le fait que j'ai écrit ce poème, j'avais bel et bien préciser le destinataire de cet écrit... Kushi Kaori. J'avais dis en souriant:

"Il va falloir ce hâter Kaori. Je ne tiens pas à rater le couché de soleil, ou encore l'admirer seul !

Cette fois, il fallait que j'apprene à faire en sorte de ne pas briser un lien si facilement. Cette chance est quelque chose qu'y n'a jamais parût dans ma vie, et je tiens à la saisir quelqu'en soit les sacrifices. Ma main attendait librement celle de Kaori, je ne sais pas de quelle douceur est la peau de cette jeune personne mais je suis bien curieux de savoir cela. Là, en pensant cela je m'approfondissais dans le sujet et je ne sais pas si c'est bien, mais suite à ces pensées mes joues prirent furtivement cette teinte rouge qui symbolisait la gêne. Rien de plus embarassant que ça... Des picotements me prirent et ça je hais ressentirent cela, mais dans des conditions telles que celles ci que je définis par: Optimale ; je ne vois aucun moyen de masquer mes réactions aléatoires. Tournant rapidement ma tête pour me répeter un bon nombre de fois le mot "merde" dans ma tête puis j'ai essayé d'éradiquer toutes traces de gêne puis j'ai retourné ma tête vers Kaori pour essayé de cerner à l'oeil nue la beauté complète de cette personne sur le plan physique. Les cheveux roux de cette personne... je n'en avais jamais vu de tels ailleurs. Ils cascadaient le long du dos de Kaori et cela dégageait un "style" en elle qui m'enchantait. Elle avait des yeux bleus aussi qui étaient très... très beaux (si je me trompe pas de couleur =s). Des yeux ensorceleurs, aussi bien les siens que les miens qui possèdent cette teinture violette. C'est bien la seule chose qui reste en tout point de vue IDENTIQUE à Yagura. Sa main venait dans la mienne, en même temps que ses mots qui vinrent jusqu'à mes oreilles.

Elle était donc belle et bien venue ici pour le couché de soleil ? Ou est-ce un sentiment qui l'a aimanté jusqu'ici ? Allez savoir, j'ai du mal à deviner moi même. Mais dans ce début de soirée tout ce déveloira. Et j'aurais confirmation de mes sentiments. Refermant délicatement ma main sur celle de Kaori, je suis resté prostré là quelques secondes avant de lever mes yeux vers Kaori pour lui faire un signe de la tête comme quoi nous pouvions nous rendre au sommet d'un des immeubles afin de contempler le sommeil du soleil qui laissera sa place à la lune qui dans quelques heures débutera sa course céleste pour éclairer un minimum de la nation des vagues ; telle la morsure lunaire de la lune. Je me suis mis à côté de Kaori, et ais débuté la marche en l'entrainant de façon à ce qu'elle reste auprès de moi car quelque part j'avais peur mais de quoi ? Inutile d'y penser là, ce serait regrettable de se faire du mourron alors qu'on ignore ce qui nous tracasse. Montant dans un immeuble pour arriver en haut, j'ai entrainé Kaori près du rebord pour s'assoir, les jambes qui pendaient dans le vide, ma main retenait celle de Kaori, et les yeux fixant la beauté imprégnée d'une majesté presque sacrée du couché de soleil...

"Maintenant nous pouvons l'admirer... J'espère que tu ne regretteras en rien ta venue ici. Profites-en alors, ok ?"

[Médiocre je sais mais je me suis précipité, j'voulais trop répondre ^^']

Elle regardait sa main avec une curiosité non feinte… Elle le savait désormais, elle ne quitterait pas Kiri comme elle y était entré. Elle serait différente, elle ignorait si ça serait favorable pour son destin, mais elle ne pouvait l’éviter… Elle n’avait pas envie de voir son rêve se détruire sous ses yeux. Son destin était pourtant déjà tracer, si elle voyait son rêve et tous ses espoirs se détruire sous ses yeux… C’étais parce que ce n’était pas le rêve que le destin lui avait choisis. Sur ce, elle se posait une nouvelle question : S’attaché à des personnes qui n’avait aucun lien avec son rêve était-il réellement défavorable ? Elle avait toujours vue ses sœurs comme étant un obstacle, mais avait-elle raison ? C’était surtout la peur de faire du favoritisme qui l’empêchait de vouloir se lier. Oui c’étais de loin sa plus grande peur, n’avait-on pas le reflex de privilégier les gens que l’on aime ? Enfin, Kaori avait peur d’être comme ça et elle voulait l’éviter à tout prix. Mais ne pas être celle qui installerait la paix dans ce monde ne l’inquiétait pas, si ce n’était pas elle, ça serait un autre. Même si elle ce croyait capable de nettoyer le monde et de l’empêcher de se faire souiller de nouveau. Ce qu’elle regretterait le plus, si ce n’était pas elle qui installerait la paix dans le cœur des hommes, ça serait de ne pas avoir la chance de voir ce nouveau monde. Ça serait son plus grand regret. Enfin bref, de toute manière. Elle ne pouvait lutter contre ses sentiments… La seule chose qu’elle pourrait faire, c’était partir. Mais elle ne voulait pas partir… Ce n’était pas ainsi qu’elle voulait réagir.

Elle ne put s’empêcher de baisser la tête avec timidité quand Kazuma se plaça à côté d’elle. Il commença à marcher, Kaori en fit, évidemment, de même. Elle ne pouvait s’empêcher de regarder le sol, elle n’osait pas regarder Kazuma. Jamais elle ne c’était sentie ainsi… N’avait-elle pas toujours été distante avec les autres ? Jamais elle n’avait pensé … Enfin bref. Ils montèrent dans un immeuble puis s’assirent sur le bord. Kaori regardait le coucher de soleil avec émerveillement… Il était aussi magnifique que dans ses souvenirs. Sinon plus! Elle ne pouvait s’empêcher de sourire. Se genre de coucher de soleil l’avait accompagné dans les six plus belles années de sa vie s’était d’ailleurs grâce à lui que Kaori à décider de sauver ce monde. Il lui avait tout simplement permis de voir à quel point de monde était merveilleux et elle ne le regrettait pas.

"Maintenant nous pouvons l'admirer... J'espère que tu ne regretteras en rien ta venue ici. Profites-en alors, ok ?"
Un large sourire illumina de nouveau son visage. Elle tourna légèrement son regard vers Kazuma et ne put s’empêcher de rougir... Jamais encore elle n’avait rougis et, honnêtement, elle n’avait jamais pensé rougir. Elle tourna son regard émeraude vers Rise et lui siffla légèrement avant de lui pointer du doigt l’horizon. Il ne lui en fallut pas plus pour comprendre. Il poussa un léger cri aigu puis quitta l’épaule de sa maîtresse, cela faisait combien de temps qu’il n’avait pas chassé ? Avec un peu de chance, il reviendrait vivant, mais bon la chance n’était pas souvent du côté de Kaori. La jeune femme ne put s’empêcher de tourner son regard vers Kazuma. Elle hésita un moment puis mit sa tête sur l’épaule de ce dernier.

‘’ Je… Non, je ne vois pas pourquoi je regretterais ma venue ici. ‘’

Elle ne put retenir un sourire. Elle leva les yeux vers Kazuma puis ne put s’empêcher de lui faire un bisou sur la joue. La jeune femme ne put s’empêcher d’être plutôt confuse par son propre geste. Oui, ce n’était peut être pas beaucoup, mais pour quelqu’un comme la jeune Kushi… C’était… Étrange ? Non, ce n’était pas le mot. Enfin bref, ce n’était pas quelque chose qu’elle avait un jour pensé faire… Elle ne put s’empêcher de tourner de nouveau son regard vers le coucher de soleil désirant à tout prix éviter le regard de Kazuma, mais pour quel raison au juste ?

( Désoler pour le petit rp, j’ai la tête légèrement ailleurs c’est temps-ci, désoler aussi pour les couleurs --' Mon ordi bug )

Pourquoi j'aimais aller sur cet immeuble les soirs où je me las de mon ère ? C'est une raison assez simple qui s'impose. Juste avant la mer se trouvait un port. Un port est un séjour charmant pour une âme fatiguée des luttes de la vie. L'ampleur du ciel, l'architecture mobile des nuages, les colorations changeantes de la mer suite aux rayons oranges du soleil qui s'enfonçaient dans le néant douceâtre des eaux de Kiri, le scintillement des rayons de soleil, c'est un prisme merveilleusement propre à amuser les yeux sans jamais les lasser. Les formes élancées des petis bateaux servent à entretenir dans l'âme un goût de rythme et de la beauté. Et puis surtout, il y a une sorte de plaisir mystérieux et aristocratique pour celui qui n'a plus curiosité ni ambition, à contempler, couché dans le belvédère ou accoudé sur le môle, tous ces mouvements qui partent et de ceux qui reviennent qui ont encore la force de vouloir, le désir de voyager ou de s'enrichir. Voilà, je vous ais donné les raisons de mes innombrables venues en ces lieux. Je n'ai d'autre explications à fournir. Seulement aujourd'hui, ce soir... j'ai la fine impression que toutes mes venues sur ce toit pour voir la lune s'élever, seront différentes en tout point. Je ne peux l'affirmer, mais j'ai pu créer cette phrase en regardant Kaori. Plonger mon regard dans le sien aussi longtemps que possible serait un immense honneur, voir une chance que je n'aurais jamais plus si il m'arrive que je quitte ce monde. Mais si mes sentiments seraient réciproques avec Kaori, je ne me ferais pas prier pour maintenir ma propre vie.

Maintenant que j'avais lancé mes deux tirades, j'avais besoin de savourer le moment de silence entre la jeune femme et moi. J'avais déjà stocké en moi une image de Kaori, la meilleur jusqu'à présent. Je suis sûr que je vais devoir en stocker une seconde, encore meilleur voir plus sentimentale. Je suis prêt à me lier avec cette personne, puisse cette personne soulager mes peines du coeur... et éradiquer la peur de mourir. Je suis sûr que les capacités qu'à Kaori sont de tailles à s'unirent aux miennes pour former ce que l'on appelle "un couple". Reprenant mes esprits, je regardais cette fois-ci Kaori qui apparement baissait la tête, avec je ne sais quel sentiment. Elle a agi ainsi lorsque je me suis placé à côté d'elle et je ne connais qu'un seul sentiment qui soit lié avec cette réaction, c'est la fameuse timidité que j'ai adopté sur mon visage y a quelques minutes. elle fixait tout comme je l'avais fixé, ce couché de soleil... pour elle, cela devait être comme sombrer dans un rêve éveillé mais c'était bel et bien réel. Ce couché de soleil était particulier, je ne sais pourquoi une soirée telle que celle-ci prend un tournure pareille. Ma première tirade l'avait faite rougir, surprenant si je puis dire. C'est tout à fait agréable de la voir ainsi. Je ne pense pas qu'elle soit ENORMEMENT gênée, mais si cela était le cas ? Je pense que mes hypothèses se vérifies de façon compte goutte. C'est tout à fait excitant, jamais j'ai ressenti cela et je dois le ressentir maintenant... c'est pas grave, j'adore ressentir ce plaisiir indescriptible.

Le rapace allait quitter les lieux pour me laisser seul avec Kaori. Ce n'est pas plus mieux même si ce rapace commençait à devenir plus ou moins sympathique. Enfin je vois les choses de cette façon. Le sifflement aigue de Kaori provoqua une réaction chez le volatile. Il déploya ses ailes pour décoller vers les cieux et s'enfoncer dans l'infini lointain. Regardant les mouvements réguliers des battements d'ailes du rapace j'ai ensuite porté mon attention sur Kaori. Cette dernier avait posé son regard sur moi. Comment devais-je réagir ? Je ne sais pas, mais c'est SON regard qui s'est posé sur MOI. Une seconde hypothèse de vérifié, c'est si bien de ressentir notre valeur partagée pour quelqu'un d'autre. Sa tête vint ainsi se reposer sur mon épaule, un étrange frisson me pris tout à coup... écarquillant les yeux en regadant devant moi, j'ai profité de ce moment pour rougir légèrement mais je devais faire disparaitre cette trace de timidité avant qu'elle ne repose son regard sur moi. Je ne dois pas me sentir gêné, c'est tout à fait agréable voir plus. Je suis si... enfin le sentiment que je ressens actuellement ne peut-être décris avec des mots. Cela ne peut s'exprimer qu'avec des gestes. Maintenant vint la tirade de Kaori, souriant. Je voyais tant d'hésitation dans ces mots. C'était amusant d'entendre sa voix, et pas seulement qu'amusant, c'était aussi réconfortant pour mon corps en désir de recherche de l'amour. Désertrice, si elle avait été capturé avant que je la rencontre elle aurait peut-être eut du remord pour être venue ici, mais c'est sur moi qu'elle est tombée... une chance inespérée pour nous deux... Je m'apprêtais à la réconforter de mes mots, mais c'est ses lèvres sur ma joue qui vint me stopper net.

"Ah...Hum. Ton geste était très louable de ta part... je te remercie."

Plutôt marrant à voir, si vous pouviez voir chaque traits actuels que mon visage a adopté... Dans mes mots à moi, c'était la sincérité à l'état pur. Nulles mes paroles n'avaient jamais été aussi... directes dans le domaine sentimentale. Mais bon, on ne peut pas se défaire de notre propre mental. Et tant mieux d'ailleurs... Souriant d'un air appaisant, les yeux entrouverts... j'ai porté mon regard sur Kaori, qui toujours sa tête sur mon épaule s'est mise à contempler le couché de soleil. Posant ma tête sur la sienne, j'ai ricané bêtement. Qui aurait crû que ma réaction serait celle-ci, appaisé même le geste de Kaori en faisant moi même un geste. Caressant sa main de mon pouce, je savourais la douceur qui encore jusque là m'est innégalée. Respirant lentement, assez lentement pour ensuite reporté mon attention sur le couché de soleil. J'ai aussitôt décollé ma tête de celle de Kaori pour enfin lancer ma propre tirade:

"Dommage, le couché de soleil va bientôt s'éteindre. Tu es si calme est posée dans tes gestes, que tu as... aiguisé mon intérêt Kaori..."

Si beau, tellement incroyable… Incomparable! Le même soleil était pourtant tellement différent d’un village à l’autre. À Konoha, Suna, Kumo, Iwa et bien d’autre village, le coucher de soleil n’était pas si magnifique. Kaori savait de quoi elle parlait, par manque de choix, elle et ses six sœurs avaient souvent été obliger de changer de village pour éviter les ennuies. En dix ans, Kaori avait vue beaucoup de village et encore plus de coucher de soleil. Celui qui était le plus proche, niveau beauté, de Kiri c’était celui de Konoha. Malheureusement, il y avait un grand écart entre les deux couchés de soleil. Elle n’aurait jamais crus revoir un jour ce couché de soleil, il rappelait tellement de souvenir à la jeune Kushi. Les six plus belles années de la vie de la jeune femme… Jamais en dix ans elle n’avait crut revenir à Kiri. Étais-ce la récente séparation avec ses sœurs qui l’avait pousser a revenir ? N’étais-ce pas elles qui l’avait toujours tenus éloigner du village de la brume ? La haine qu’elles nourrissaient chaque jour avait toujours fait comprendre à Kaori que Kiri faisait partie de son passé, plus question d’y retourner. Seulement, maintenant, elle était seule. Libre de ses propres choix. Libre de vouloir, ou non, s’approcher d’un village. Elles s’étaient souvent arrêter proche de Konoha. Dans la forêt, il y avait une petite cabane en bois rond qui avait souvent servis de refuge au sœurs Kushi’s. Sinon, elles s’arrêtaient parfois dans le désert de Suna, parfois dans une des grottes proches de Kumo, de temps en temps elle dormait à la belle étoile proche d’Iwa, etc. Le pays que Kaori avait de loin le plus détester était le pays de la pluie. L’eau prenait facilement le dessus sur le feu, or l’affinité de Kaori était le feu. Oui, elle détestait l’eau plus que tout au monde. D’ailleurs, elle se rappelait que trop bien que Melo était celle qui la narguait le plus… Vive le suiton! Elle avait cependant toujours eu le dessus sur Sami. Elle avait pour affinité le Fuuton qui était bien faible face au Katon ! Mais la plus grande rivale de Kaori était sans aucun doute Nikki. D’ailleurs, de toutes les six sœurs, c’étaient Nikki qui manquait le plus à Kaori… Sa sœur la plus proche sans aucun doute. Cette jeune femme pleine de vie avait toujours impressionner Kaori, une amitié solide s’était créé entre Nikki et Kaori… Kaori était plus proche de Nikki que ses cinq autres sœurs. D’ailleurs… Elle pensait presque a lui rendre visite un de ses jours… Non. Elle avait décider de se séparer de ses sœurs et il n’était pas question de retourner les voir pour aucune raison d’ailleurs.

"Ah...Hum. Ton geste était très louable de ta part... je te remercie."
Elle se sentit rougire de nouveau. Elle se mordit légèrement la lèvre puis regarda le peu de soleil qu’il restait dans l’espoir que son regard ne croise pas celui de Kazuma. Elle ne voulait même pas savoir ce que ce dernier avait penser… Même si elle pouvait considérer ses paroles comme étant… Enfin bref. Elle refusait toujours de le regarder. Elle ne put qu’être surprise quand elle sentit la tête de Kazuma sur la sienne. Elle baissa les yeux avec timidité et regarda le pouce de Kazuma caresser sa main. Elle leva de nouveau les yeux vers le couché de soleil et ne put retenir un sourire. Elle retenus un léger soupire quand Kazuma décolla sa tête de la sienne.

"Dommage, le couché de soleil va bientôt s'éteindre. Tu es si calme est posée dans tes gestes, que tu as... aiguisé mon intérêt Kaori..."
Surprise, elle enleva sa tête de l’épaule de Kazuma et regarda ce dernier sans trop savoir quoi dire et surtout réagir. Jusqu’à présent, Kaori n’avait jamais attiré l’intérêt de quelqu’un… Elle allait passer une main dans ses cheveux roux, mais elle arrêta son propre geste. Elle mit une mèche de cheveux derrière son oreille puis enleva sa main de ses cheveux roux. Elle tourna légèrement son regard vers le coucher de soleil puis haussa les épaules essayant de paraître indifférente. Le problème, c’est que depuis le début de la soirée, elle avait parut tout, sauf indifférente. Elle en était tout simplement incapable.

‘’Calme et posée… C’est bien la première fois que j’aiguise l’intérêt de quelqu’un… C’est bien la première fois que j’attire l’intérêt de quelqu’un. ‘’
Elle échappa un léger soupire puis remit sa tête sur l’épaule confortable de Kazuma. Pour une fois, elle aurait bien aimé sentir Rise se lover contre son coup. Il était tellement doux… Elle devait cependant avouer aimé être seule avec Kazuma… Il était tellement différent des autres personnes que Kaori avait rencontrer. Elle ne pouvait qu’être fasciner devant une telle personne. Ses sœurs avaient toujours été des personnes très actives et pleine de vie… Kaori s’était souvent fâcher contre elles et d’ailleurs, elle les aurait préféré plus calme. Sinon, elle n’avait rencontrer qu’un seul ninja mis à pars elles et Kazuma. Elle l’avait rencontrer dans le désert de Suna et elle n’avait jamais sut son nom. C’était cette journée là qu’elle avait rencontrer Rise, au tout début elle lui avait demander d’aller porter une lettre… Puis finalement il était revenue vers elle toujours la lettre attacher autour de la patte. Kaori avait encore la lettre qu’elle avait voulus envoyer ce jour là à ses sœurs. Une lettre qu’elle n’avait plus l’intention d’envoyer… Si elle la gardait, c’était à cause de la date écrite dessus. Juste pour se rappeler que c’était cette journée là qu’elle avait rencontrer le premier ninja de sa vie, qu’elle avait adopter Rise et … Qu’elle avait décider de se séparer éternellement de ses six sœurs.

J'ai encore cette vague d'inspiration qui revient me frapper de plein fouet, mais cette fois je n'écrirais pas... je ne ferai que cerner dans ma tête le sens de la phrase que je façonne afin de l'écrire plus tard dans mon cachier... Là, la phrase qui me vint furtivement fut celle de: "Aimer, c'est doubler son regard"... Alors c'est pour le moment le grand trou noir, je suis dans l'incapacité de résoudre une telle phrase mais qui sait, j'y arriverai peu. Voilà que la seconde phrase vint à moi, et pour je ne sais quelle raison, cette phrase est loin d'être positive: "Aimer, c'est rendre son prochain transparent". Je ressens tant d'ondes négatives dans cette phrase que l'écrire me servira juste à renforcer la tristesse naissante puis grandissante. Maintenant cette vague d'inspiration me quitta aussitôt, j'ai reporté une nouvelle fois mon attention sur le passé en attendant une réponse quelconque de la part de Kaori. Je repensais à la période où j'ai vu Yagura, mon frère se battre contre les sept épéistes... et encore il a fait d'autres exploits.Pendant son règne en tant que Mizukage et jusqu'au massacre des étudiants de l’Académie de Kiri par le jeune Momochi Zabuza, Kirikagure était connu comme "le Village de la Brume Sanglante". Ce surnom macabre faisait écho à l’épreuve finale que chaque apprenti Ninjas devait passer pour pouvoir obtenir le grade de Genin à la fin de ses études à l’Académie de Ninja : les étudiants devaient s’entretuer et les plus forts obtenaient leur diplôme. Il est probable que Yagura était le Mizukage et que Momochi Zabuza et les autres épéistes avaient essayé de l'assassiner. Malgré la terreur qu’inspire son règne, il semblerait qu’il n’ait pas été fondamentalement mauvais. Les Shinobis de Kirikagure craignent que Yagura ait été manipulé : une crainte qui a été confirmée par Ao qui a pu, grâce au Byakugan implanté dans son œil droit, percer le Genjutsu qui controlait Yagura…Au final, Sanbi a été enlevée du corps de Yagura pour des raisons jusqu’à présent inconnues et on a permis au Bijuu de errer librement dans la nature.

C'est là que j'entrais en scène, le combat des générations qui frappa tout le continent. J'avais affronté Sanbi qui menaçait la vie de Yagura... et tout effort fournis furent en vain... même en utilisant la forme d'Isonade, je n'arrivais à rien... Madara Uchiwa avait eu ce qu'il voulait et est parti de Kiri sans laisser de trace... Yagura... la personne qui, à cette époque, m'étais le plus proche... Je me demande pourquoi ce foutu destin en a décidé ainsi, j'étais dépressif jusqu'à ce que je comprenne que pleurer ne ramènerait pas mon frère jumeau. J'ai alors encaissé tous les malheurs de la vie, pour en arriver à aujourd'hui... pour arriver auprès de Kaori. Mes sentiments pour elle se vérifient au fil des secondes et j'espère que de son côté, cela est réciproque. Mais si j'espère trop, rien ne pourra me guérir de la douleur anonyme qui pourrait surgir en cas de désespoir. Enfin autant ne pas devenir pécimiste aussi hein... Et là elle se mise à parler, bien, elle réagit aussi vite que je ne le pensais. Sa phrase me fit baisser la tête mais j'avais toujours "ce sourire" qui n'exprimait pas grand à chose à l'oeil nu, mais intérieurement... c'est vraiment bien différent. Mon sourire ne faisait que stopper le temps, je devais réagir autrement si je ne voulais pas qu'elle s'ennuie ou sombre dans la tristesse. Enlevant ma main de la sienne, je l'ai alors faufilé sur l'épaule droite de Kaori pour la serrer près de moi, de façon à ce qu'elle est toujours sa tête sur mon épaule. Je n'avais pas effacé ce sourire puis ce que je n'y arrivais pas... parce que ce sourire était tout ce qu'il y a de plus sincère. Et la sincérité avait toujours été mon fort dans des situations optimales, mais c'est la première fois que j'agis ainsi envers une fille. Enfin c'est toujours plus agréable hein, je me sens utile à ses côtés quoi que je n'ai rien fait de spécial mis à part lui avoir épargné sans hésitations une cellule comme logis.

Maintenant je devais bien dire quelque chose hein ? Oui mais je voulais d'abord cerner le sens de la phrase de Kaori. Elle avait l'air abattu par l'émotion qu'elle adopta pour formuler sa phrase. C'est comme si le malheur avait été maître de son passé, ce n'est pas quelque chose que je souhaite pour quiconque et encore moins Kaori... Je me demande se qu'elle a traversé pour mettre autant d'émotions dans ses dires. Je me pose à présent de nombreuses questions. Avant sa phrase je l'avais sentie rougir, je me demande si mes paroles n'ont pas eu un certain impact avec les sentiments de Kaori, enfin ce n'est qu'une hypothèse mais peut-être bien une réalité que je voudrais comme telle. Mon sourire ne cessait guère, non je ne voulais pas effacer cette expression de mon visage parce que je veux faire partager cela avec Kaori, je veux lui montrer la valeur de mes sentiments à travers ce sourire ou l'autre geste, mais pour faire cet "autre geste" il faut que notre amour soit réciproque. Je ne doute pas, mais j'ai l'un des plus grands stresses que je n'ai jamais eut, la peur de se faire rejetter régnait dans mon esprit, cette expression errait et s'envenimait peu à peu. Je ne dois pas être pécimiste car dans peu de temps je sais que mes sentiments seront tous vérifiés et je verrais si j'ai bien fait d'avoir peur ou pas... J'ai alors massé l'épaule de Kaori avec ma main puis j'ai reposé lentement ma tête sur la sienne, pour me réchauffer un peu de la fraicheur qu'offrait les conditions climatiques du soir...

"Si je suis le seul qui est attiré par toi, je m'en estime heureux."

C'est là que je devais agir dans les plus bref délais... je n'allais pas laisser ce poème indéfiniement caché dans mon cahier, sur les lignes... non, j'avais bel et bien la plus grande envie de partager mon écrit d'aujourd'hui pour elle... mon écrit qui était destiné à combler le coeur de Kaori, je devais bien me décider un jour ou l'autre non. Hochant de la tête dans le vent, j'avais ricaner histoire qu'elle soit quelque peu embrouillée... mettant la main dans mon sac j'ai sorti le cahier où tous mes poèmes étaient inscrit... je me suis rendus à la page où j'avais écrit "Ta voix" et j'ai serré le cahier contre ma poitrine, respirant fortement j'ai fermé aussitôt les yeux... me mordant la lèvre inférieur j'ai alors rouvert les yeux peu de temps après pour enfin regarder mes écrits... je souriais bêtement cette fois-ci parce que j'ai enfin trouvé la personne à qui tous ces poèmes sont destinés, j'ai enfin trouvé la personne qui peut synchroniser son amour au mien... cette personne ne peut être que elle, cette personne ne peut être que elle. Je regardais ainsi Kaori puis je l'ai tourné vers moi pour lui expliquer ce que je voulais dire... j'avais mis ma main sur sa joue, puis lui avais caressé cette partie de sa tête lentement... rien que pour lui faire deviner ce que j'avais à dire puis je lui ai enfin montré le cahier... le nom du poème était "Ta voix", et la personne concernée était marqué en bas... "Kushi Kaori"...

"Kaori... il est inutile de me prononcer sur le pourquoi de la création de ce poème. Je l'ai fais pour toi... parce que étrangement, je nourris de l'amour envers toi..."

[Arf, il est nul celui-là Gomen T_T]

Ses penser étaient totalement occuper par… Par quoi au juste ? Elle ne pensait à rien de particulier. Tout et rien, mais ses sœurs avaient définitivement quitté ses pensées. Elle pensait légèrement à Rise, pourquoi prenait-il autant de temps à revenir ? Il avait pourtant été un faucon sauvage avant d’être adopter par Kaori. Il ne devrait pas être si nul pour chasser… Sinon, il n’aurait pas survécu sans Kaori si longtemps. De toute manière, les faucons étaient reconnu pour être d’excellant chasseur. Kaori redoutait cependant de ne plus jamais le voir… vivant. Rise et elle-même étaient en milieux … Hostile non ? Oui, mais pourtant, en présence de Kazuma elle n’avait pas peur de ce qui pourrait arriver ici. Elle n’avait pas peur des autres, contrairement à tout à l’heure. Elle était venue à Kiri avec l’impression qu’elle repartirait rapidement… Avec cette peur de ne jamais repartir aussi d’ailleurs. Elle ce rendait compte désormais qu’elle avait eu tord de penser ainsi. De toute manière, elle n’avait que le rang de désertrice. Elle était presque totalement certaine qu’elle ne trouverait jamais son nom dans le bingo book. Après tout, elle était … inconnue de tous. Elle ne tuait pratiquement jamais et quand elle tuait elle restait dans l’ombre. De toute manière, tout le monde pensait qu’elle était morte. Comment sept gamines de six ans pouvaient-elles survives seules ? Kaori se demandait si son père s’était posé cette question quand il les avait abandonnés. Oui sûrement et, pour lui, la réponse avait été clair : Non, elles mourraient de déshydratation ou de faim en moins d’une semaine. Certes, cela avait bien faillit arriver, mais bon. Elle était ici aujourd’hui et donc il avait eu tord… Était-il encore vivant ? Pourquoi serait-il mort… Il était un bon ninja. Il devait avoir survécu… Même s’il pouvait avoir été tué par un ninja plus haut grader que lui!

Elle n’était pas surprise de voir un sourire sur le visage de Kazuma, enfin… Si un peut. Elle n’arrivait pas à comprendre la signification de se sourire. Elle se doutait qu’il voulait dire quelque chose, mais, de toute évidence, Kazuma était le seul à le savoir. Se sourire avait réussit à piquer sa curiosité, elle avait réussit à oublier se lien que, pourtant, elle avait voulus recréé quelques secondes plus tôt. Mais maintenant, elle était de nouveau tenter de le recréé. Elle ne l’avait pas fait ne voulant pas s’introduire dans la vie priver de Kazuma. En quelques sortes, en quoi les sentiments de Kazuma la regardait-elle ? Elle n’aurait pas aimé que quelqu’un connaisse ses sentiments ainsi. Elle soupira légèrement puis passa une main dans ses cheveux roux. Elle ne put s’empêcher de sourire en sentant la tête de Kazuma sur la sienne. Elle ne s’était jamais si bien sentit en présence quelqu’un… Elle avait toujours été solitaire, mais avec ses sœurs elle devait laisser de coté se trait de personnalité qui la représentait pourtant si bien.
"Si je suis le seul qui est attiré par toi, je m'en estime heureux."
Elle ne put s’empêcher d’être surprise par les paroles de Kazuma. Elle leva les yeux vers ce dernier et fut encore plus surprise quand il ricana. Elle fronça légèrement les sourcils puis le regarda sans parler, sans trop savoir quoi dire d’ailleurs. Elle le regarda sortir le cahier dans lequel il avait écrit quelques secondes plus tôt. Il le serra contre sa poitrine puis ferma les yeux .Il les ré-ouvris quelques secondes plus tard sous le regard interrogatif de la jeune Kushi. Elle fut surprise de sentir sa main sur sa joue et elle fut encore plus surprise quand il la caressa. Elle ne put s’empêcher de baisser les yeux sans trop savoir quoi faire. Ses joues avaient prit, de nouveau, une légère teinte rougeâtre. Elle leva les yeux quand il lui montra le cahier, curieuse, elle le regarda un moment avant de commencer à lire les mots. Son regard changea légèrement, elle ne pouvait qu’être touché, mais la surprise et la curiosité se voyait encore dans ses yeux. Elle ne put quitter des yeux le nom qui était marqué dans le bas de la page. Ce fut avec hésitation que, finalement, elle arrêta de le regarder pour tourner son regard vers Kazuma.

"Kaori... il est inutile de me prononcer sur le pourquoi de la création de ce poème. Je l'ai fais pour toi... parce que étrangement, je nourris de l'amour envers toi..."
Elle fronça de nouveau les sourcils puis regarda Kazuma. Elle se mordit la lèvre et ne put s’empêcher de se demander si c’était juste de recréé le lien… Elle avait apprit avec le temps à se méfier des autres… Pourtant, elle n’était pas capable de se méfier de Kazuma. Elle échappa un léger sourire puis regarda Kazuma dans les yeux avant d’approcher son visage du siens et de poser un baisé sur ses lèvres. (Ça se dit ôo ?) Elle souri de nouveau puis arrêta le baisé sans trop savoir que serait la réaction de Kazuma… Elle regarda ce dernier dans les yeux et échappa un petit rire nerveux.
‘’ Étrangement, moi aussi je nourris de l’amour envers toi. ‘’
( Hors Rp : Désoler si ça été long >< Mon ordi bugait légèrement et j’en avais marre de devoir me battre avec Wink

)

C'est bon, j'avais enfin réussi à me prononcer sur mes sentiments envers Kaori. Il ne me restait plus qu'à attendre sa réaction, et pendant ce temps il me fallait penser à autre chose sinon j'allais devenir 100% péssimiste et je doute que cela soit bon pour mon moral. Je respirais pleinement l'air du soir qui passait... la nuit allait être de mise dans quelques instants... La fraîcheur se faisait de plus en plus importante, bordel c'que j'ai froid... je ferai mieux de prendre un pull la prochaine fois ou autre chose dans le genre parce que je commence à me les geler. Un peu de politesse.. Je suis dans les terres que j'apprécie le plus. Le vent n’était que poussière avant la tempête et n’était plus aussi fort que celui qui venait le succéder le soir. Au vent invisible de la montagne, très fort le cri d’un cerf frémit au fond du cœur, et quelque part un rameau laisse tomber au creux de ma main…une unique feuille. Une feuille si verte qu’elle serait invisible dans l’herbe. Je percevais tout ce qui m’entourais, et cela avec acuité : le ciel noir ou à moitié gris, l’air humide du dixième mois, le vent glacé qui annonçait l’hiver et ce qui me rappelais que je ne reverrais peut-être « jamais » la neige, ni le cri enroué d’un cerf dans le lointain ou l’envol tumultueux et les appels rauques d’une bande de corbeaux dérangés par le fugitif. Le filet du ciel était vaste mais ses mailles étaient aussi serrées. Je sais bien que dans des villages reculés, d’autres assurément doivent contempler cette lune. Qui jamais quel veilleur revendique la nuit…

Je ne savais plus trop quoi penser... qu'allait être la réaction de Kaori suite à ma tirade plus ou moins embarassante... Mais je n'ai pas espérer, cela me ferait du mal si elle me repousserait, mais pour pour x raison... j'ai l'impression que mon amour pour elle est tout aussi bien réciproque et c'est cela qui me donne encore de l'espoir... J'avais baissé ma tête pour ne plus penser, pour m'isoler pendant quelques instants. Je faisais bouger mes jambes dans le vide comme un petit enfant qui se lasse des luttes de la vie. Je repensais encore et encore à Yagura, la personne qui était là pour moi... la personne qui était mon frère jumeau... Je ne peux m'empêcher de repenser à lui, chaque secondes où l'angoisse devient maitresse de mon corps. Je le voyais, il se tenait sur une falaise dans les hauteurs de Kiri, le petit matin était là... à côté de lui se trouvait son chapeau de Mizukage... et il fixait en bas de la falaise... vers moi. Je me dirigeais vers lui, mais on dit que les rêves deviennent réalité... c'était faux... Au fur et à mesure que j'avançais... Yagura disparaissait et là à chaque fois je pleurais. Ce quit se produisit en vrai d'ailleurs, honteux j'ai aussitôt essuyé mes larmes puis j'ai souri bêtement et j'ai enfin vu après ma première phrase la réaction qu'elle avait. C'était une surprise pour elle de savoir que je m'estimais heureux d'être attiré par elle ? Pourtant cette réaction est en tout point: humain. Mais je comprend sa réaction, la surprise l'a prise en traitre mais bon. Elle rougissait encore... c'est un signe ! il fallait croire que l'espoir renaissait.

Après ma seconde phrase, celle qui révelait tout... celle qui montrait bien que j'aimais Kaori dans tous les domaines... son visage, son sourire, ses formes ses yeux... tout m'obsédait, je suis vraiment fou d'elle. Je ne vois que le bonheur à travers elle. Mais rien ne me dis qu'elle refusera... J'allais continuer avec mes idées noires lorsque cette dernière s'approcha de moi. Son visage si proche du mien au point de sentir l'air agréable de Kaori sur mon visage. Ses lèvres si proches des miennes qu'elles ne se frôlèrent guère, mais elle se touchèrent directement. Mes yeux écarquillés, ils se mirent à briller, les larmes montèrent... et coulèrent... des larmes de joies qui symbolisèrent la nouvelle ère... le moment où nos lèvres se touchèrent s'immortalisa, le temps était coupé... pendant cette fraction de seconde où le silence était maitre des lieux je prolongeais le baisé, en caressant la joue de Kaori... je souriais tout en laissant couler les larmes. Après quoi le baisé s'estompa et elle même pris la parole. Ses mots ne pouvaient qu'être prononcé de façon à ce que le sens de la phrase soit positif. Elle avait repris un des mots de ma phrase, ce qui me fis sourire... elle nourissait de l'amour tout comme j'en nourissais pour elle. C'est quelque chose qui me touche plus que tout ce que j'ai connu. En souriant, je l'ai embrasser moi même tendrement en concentrant amour, fougue et passion dans ce baisé après avoir dis:

"C'est magnifique... tu ne m'as pas rejeté. Tu es unique et je tâcherai de veiller à tes côtés. Je t'aime..."

[Ouais bon, c'pas très original xD]

Dans ce monde sans pitié, le monde est séparer en deux catégories. Le positif et le négatif, ses deux catégories sont elles même diviser en plusieurs catégories. Ma catégorie préféré est celle-ci : Les perdants et les gagnants. Je suis bien décider à prouver au monde que je fais partie de cette deuxièmes catégories. J’ai souvent eu l’impression de faire partit de la première… D’ailleurs, qui n’à jamais eu l’impression d’être un perdant ? Les situations sont d’ailleurs tellement diverse… Quand tu perds un combat, échoue une mission, perd une personne proche de toi, perd de l’argent, etc. Tu a toujours l’impression de n’être qu’un perdant… Quand mon père ma abandonner je me voyais comme une perdante, mais je voyais aussi mes sœurs comme moi. Je me rend compte de l’erreur que j’ai fais… Mes sœurs et moi sommes des gagnantes. Enfin… Je l’espère. Qui peut réellement déterminer que tel ou tel personne fait partie de la deuxième catégorie ? Personne… Un gagnant peut devenir perdant du jour au lendemain. Il est si difficile de créé quelque chose, mais tellement facile de le détruire. Vivre… Des années et des années… Puis en une journée, tu peux mourir. La vie en général est éphémère, nous sommes tous victimes d’une maladie qui nous ronges depuis notre naissance. Une maladie mortelle qui nous tues à petit feu. La vieillesse est le pire ennemi de l’homme. Plus que rare sont ceux qui on réussit à contrer cette maladie… Comme plusieurs autres maladies, il n’y a pas de remède contre la vieillesse … C’est le cycle de la vie non ? On naît, on vie, un vieillis et finalement on meurs. Avec un peu de chance, si tu ne tes pas mis le monde à dos pendant ta vie, certaine personne viendrons pleurer sur ta tombe et d’autres ce rappelleront de toi toute leur vie. De toute évidence, on aimerait tous rester dans les cœurs et dans la tête des personnes qui nous son chères… Même si, parfois, cela est tout simplement impensable.

J’étais surprise de voir des larmes sur le visage de Kazuma. Évidemment, je ne laissais pas la surprise paraître sur mon visage. J’étais toucher, car je savais que c’était des larmes de joie… Il y avait une légère différence entre les larmes de joies et celles de peine… J’avais souvent vue mes sœurs pleurer pour toutes les raisons, j’avais trouver le moyen de les différenciés.
"C'est magnifique... tu ne m'as pas rejeté. Tu es unique et je tâcherai de veiller à tes côtés. Je t'aime..."
Je me sentis devenir rouge tomate quand Kazuma m’embrassa. Je ne pus m’empêcher de sourire. Je prolongea le baiser le plus longtemps possible. Un magnifique sourire s’affichait sur mes lèvres. Maintenant, j’en étais certaine… Kazuma comptait plus à mes yeux que mon rêve. Si, vraiment, Kazuma était un obstacle à mon rêve, alors je laissais les autres le faire à ma place. Je n’avais jamais été aussi heureuse qu’aujourd’hui… En ce moment. J’avais l’impression d’être une nouvelle personne. Enfin bref… Je voyais cette soirée comme étant le début d’une nouvelle vie, si je peux le dire ainsi. J’étais venus ici avec l’impression que je ne quitterais jamais le village ou que, au contraire, je le quitterais trop vite. Les choses avaient pris une tournure inattendus.

De nouveau, je mis ma tête sur l’épaule de Kazuma en souriant. Le soleil avait définitivement quitter le ciel. On pouvait clairement voir les étoiles dans le ciel et je ne pouvais m’empêcher d’admirer le ciel.
‘’ Je t’aime aussi Kazuma. ‘’

Je n’avais rien d’autre à dire. Je n’avais jamais été une grande parleuse, par conséquent, je préférais dire les choses clairement plutôt que passer par quatre chemins. Je fus surprise de voir la silhouette de Rise dans le noir. Soudainement plus aimable, il s’arrêta à côté de moi et se blottit contre ma jambe. Je ne pus m’empêcher de sourire puis je posa mon regard émeraude vers Kazuma…

Serait-ce possible ? Kaori plus importante que mon but ? Celui de restaurer l’honneur des Magari et en particulier l’image de Yagura. Apparemment oui, Kaori a eu la force de me détourner de ce chemin sans fin pour en emprunter un autre. Un autre chemin qui se révèle être bien plus prometteur. Mais ce n’est pas par pur intérêt que je me lis avec Kaori, si désormais nous sommes liés d’amour, c’est que nos liens correspondaient, que nos qualités étaient identiques. Et que nos sentiments sont réciproques. C’est une nouvelle ère à laquelle de je vais de voir m’y habituer, mais je suis sur que cette adaptation ne prendra pas plus que de quelques heures. Qu’allait-il donc se passer maintenant, allions-nous rester là, à contempler cette lune qui dans des villages reculer d’autres doivent assurément la contempler. Sans laisser un seul veilleur revendiquer cette lune qui s’élève désormais. Cette lune qui est toujours accompagnée de ses étoiles qui s’installent à un point bien précis dans le ciel. Moi ayant avoué mes sentiments, elle qui avait fait de même… je ne pouvais me prononcer sur mon état, le bonheur tout entier avait choisi mon corps et m’avait désigné comme son hôte. Ce bonheur que je partagerai tout au long de mon existence avec Kaori, c’est avec plaisir que je ferai tout ce qu’elle voudra, elle m’a soumis à son regard, à sa beauté, à son sourire, au goût exquis de ses lèvres… Je m’incline face à elle. Je me suis lié à une fille au charme exotique, au sourire ensorceleur, il ne devrait y avoir qu’un seul terme pour la désigner… C’est la fascination. Mais moi, je ne vois pas comment mon amour me voit actuellement. Mais je n’ais sûrement pas à m’inquiéter, si elle a avoué ses sentiments envers moi, c’est qu’à ses yeux, je dois être la personne qui seul peut résoudre ses problèmes.

Du moins, je me sens bien d’attaque, je veux fonder mon avenir avec elle… Je m’aperçois que elle seule aussi peut résoudre mes problèmes. Mais pour être franc, je ne savais pas qu’elle me choisirait moi… mais ce n’est pas plus mal. Les yeux s’enfoncèrent dans ceux de Kaori qui avait l’air de rester pensive, la curiosité me piqua aussitôt, à quoi pensait-elle ? Enterrait-elle le passé ? Moi je l’ai fait, mais c’est tout à son honneur si elle veut se détacher des puissants liens qu’ils l’ont hanté d’une quelconque façon durant son enfance. Elle a 16 ans, encore adolescente et déjà si mature… Je n’y ai pas résisté, elle m’a envouté… et m’a dominé dans tous les domaines… Je la regardais, elle pensait toujours, je ne lui en veut surtout pas de rester pensive, j’adorais la voir comme ça. L’esprit évasif comme notre premier rêve d’évasion… Les yeux plongés dans le crépuscule des cieux engageant leur course céleste pour faire durer la nuit. Combien de temps allait durer cette nuit ? Je ne veux pas que ce moment meurt, je veux qu’il s’immortalise et je ferais le nécessaire pour que cet instant dure et reste gravé à jamais dans nos mémoires à tous les deux. En restant les yeux fixés sur Kaori qui faisait irradier une beauté impressionnante, je voyais bien que ses pensées se tournèrent vers moi. Je ne peux pas me confirmer, mais pour une raison que j’ignore, peut-être le fait que nous sommes liés, je sais à quoi elle pense. Après ma phrase, j’ai vu la teinte pourpre sur ses joues… C’est trop mignon, elle m’avait répondu par une simple phrase, une phrase qui me touchait beaucoup. C’est déjà bien louable de sa part ! Moi j’y ai répondu par le baiser, tendre et montrant bien l’amour que j’y ai concentré.
Le baiser dura bien deux minutes, ce qui est déjà assez pour prouvé un amour. Mais cela aurait pu durer bien plus longtemps mais ça ne se passerait pas dans ces conditions là. J’ai pris la main de Kaori, et je l’ai laissé mettre sa tête sur mon épaule. Mettant la mienne sur la sienne, je souriais, regardant dans le lointain. La brume s’avançait peu à peu, quand cette brume s’avançait et que j’étais seul sur ce toit, je rentrais chez moi. Oui, pourquoi rester ici laisser le myste grisâtre du pays nous gâcher la vue que nous offrait les hauteurs des bâtiments . C’est pourquoi je vais déjà devoir me prononcer sur mes liens qui me rattachent au village à Kaori, puis ensuite je verrai ce que je puisse faire. De mon pouce, je caressais le revers de la main de mon amour, lentement pour pouvoir savourer la douceur de sa peau. Aussi douce que la soie, je ne vois rien d’autre qui peut être confortable ! Quand j’ai pensé à lui dévoiler mes liens qui me rattachent à Kiri, j’ai aussitôt réaliser que j’allais remettre en cause le cas douloureux de Yagura Magari, mon frère jumeau et le Yondaime Mizukage. Je tremblais, me mordant les lèvres j’ai aussitôt repenser à la peur que j’avais réveillé en moi lorsque je m’étais allié à Orochimaru pour réclamer mon pouvoir pour venir en aide à Yagura. Ce « pouvoir n’a évidement pas été sans conséquences . Cette espèce de greffe de cellules différentes à provoquer un spasme très très rare qui a fait en sorte que je suis condamné à vivre à chaque 10 ans en partant de 23 ans à 33 ans. Arrivé à 33 ans, le spasme se réveille à chaque fois pour que je retrouve la force, le mental et le physique de mes 23. Qu’allait être la réaction de Kaori suite à cette révélation. Je ne pense pas qu’elle m’en voudra si je lui révèle aujourd’hui.[ /i]

[i]

« Bien, maintenant je vais te faire part de mes liens à Kiri. Pour être direct, je suis le frère jumeau de Yagura, le Yondaime Mizukage et réceptacle du démon tortue à trois queues. Je suis l’une des seules personnes au courants de l’enlèvement de Yagura par Uchiwa Madara. Après avoir abandonné son démon, Yagura était contrôlé par le Sharingan d’Uchiwa Madara, je me suis résolu à le combattre pour protéger Kiri et je l’ai tué. Après quoi, je fus reconnus comme Sannin… Je suis en aucun cas fier de mon acte… »

Après mes dires, ma voix tremblait… Je sanglotais rien qu’en y repensant. Le fait de l’avoir dit, c’est pire… Je m’apprêtais à pleurer merde… Je me retenais dans mes sanglots… Je ne voulais pas pleurer en face de Kaori, c’est pas pour prouver mon courage hein. Mais c’est juste qu’en fait, pleurer devant elle serait changer la situation… Et je ne veux pas que le bonheur qui s’est accumulé en quelques temps s’en aille… je m’en veux, je l’ai tué parce que mon frère amenait Sanbi jusqu’à Kiri, et je ne voulais pas que les Magari s’effacent…. Alors je me suis résolus à utiliser le pouvoir Mythique de Tsûme-Hada, dents de requin. Mais maintenant c’est une ère désormais révolue, la nouvelle ère débute aujourd’hui, ce soir… avec Kaori. Yagura, Orochimaru, Madara Uchiwa, Sanbi… Tout cela c’est du passé… le présent c’est : Kyo, Missa, Leviath et par-dessus tout Kaori. Regardant mon amour dans les yeux je l’ai embrassé amoureusement, puis je me suis levé et l’ai entrainée avec moi, mettant mes mains sur sa taille je l’ai embrassé à nouveau. Prolongeant encore et encore le baiser en y infiltrant lentement ma langue pour jouer avec celle de Kaori. Ses formes étaient magnifiques… Je remontais lentement ma main droite qui passa sur sa poitrine magnifiquement formée pour s’arrêter sur la nuque de cette dernière pour la rapprocher encore de moi et enfin j’ai rompu à contre-cœur le baiser pour ajouter mes dires :

« J’espère que tu as trouvé ce baiser à ton goût ! J’aimerai te proposer de t’installer chez moi aussi longtemps que tu voudras. Et demain, je négocierai ton adhération à Kiri avec la Mei Teruhi, la Mizukage. Si bien entendu tu souhaite venir à Kiri. Cela me ferait énormément plaisir !

[J'ai la chance de pouvoir me connecter dans l'hotel en Autriche, cela ne sera pas une habitude par contre :/]

« Bien, maintenant je vais te faire part de mes liens à Kiri. Pour être direct, je suis le frère jumeau de Yagura, le Yondaime Mizukage et réceptacle du démon tortu à trois queues. Je suis l’une des seules personnes au courant de l’enlèvement de Yagura par Uchiwa Madara. Après avoir abandonné son démon, Yagura était contrôlé par le Sharingan d’Uchiwa Madara, je me suis résolu à le combattre pour protéger Kiri et je l’ai tué. Après quoi, je fus reconnu comme Sannin… Je suis en aucun cas fier de mon acte… »

Kaori fronça légèrement les sourcils sans trop savoir ce qu’elle devait exactement penser après les paroles de Kazuma. Elle savait qui était Yagura... Même si elle n’avait pas passé beaucoup de temps à Kiri… Elle en savait beaucoup sur le village. Elle n’avait pas de difficulté à imaginer la souffrance qu’il avait dut endurer… Une profonde tristesse se voyait dans ses yeux justes après avoir dit les paroles. De toute évidence, il ne voulait pas pleurer ce qui surprenait légèrement la jeune femme. La raison pour lequel il s’empêchait de pleurer lui importait peu, mais elle s’inquiétait pour lui… D’un certains côtés du moins. Le frère jumeau de Yagura… Pourtant la ressemblance était frappante! Elle se demandait pourquoi elle ne l’avait pas remarquer… Peut être parce qu’elle n’avait jamais vraiment vue le visage de Yagura… De toute évidence, elle aurait du voir le lien entre les deux hommes. N’avait-elle pas six jumelles ? En temps normal, qui serait mieux placée qu’elle pour reconnaître des jumeaux ?

La jeune fille baissa légèrement les yeux sans trop savoir quoi dire et encore moins comment réagir. Elle ne leva les yeux que quand elle sentit le regard de Kazuma sur elle… Malgré la situation, elle échappa un léger sourire quand il l’embrassa amoureusement. Il se leva quelques secondes plus tard entraînant la jeune femme avec lui par la même occasion. Il mit ses mains sur les hanches de la jeune Kaori puis l’embrassa de nouveau. Cette dernière fut cependant légèrement surprise quand il y infiltra sa langue. Elle sourit légèrement puis joua avec la langue de Kazuma. Ce dernier remonta lentement sa main qui passa sur la poitrine de la jeune Kushi qui ne put s’empêcher d’être surprise de nouveau, cependant, elle ne laissa pas paraître sa surprise. Finalement, sa main s’arrêta sur la nuque de la jeune fille puis il la rapprocha de lui avant de rompre le baiser.

« J’espère que tu as trouvé ce baiser à ton goût ! J’aimerai te proposer de t’installer chez moi aussi longtemps que tu voudras. Et demain, je négocierai ton adhérassions à Kiri avec la Mei Teruhi, la Mizukage. Si bien entendu tu souhaite venir à Kiri. Cela me ferait énormément plaisir !

La Kushi sentis son sang se glacer dans ses veines quand elle entendit les mots ‘’ Adhérassions ‘’ et ‘’ Kiri ‘’. Elle baissa légèrement les yeux puis se blottit contre Kazuma avant de mettre sa tête sur le torse de ce dernier sans dire un mot. Elle ne savait pas vraiment quoi dire d’ailleurs, elle n’avait jamais pensé une seconde à revenir à Kiri. Quand elle était plus jeune, la jeune Kushi nourrissait chaque jour ce rêve… Mais elle s’était sentit obliger de l’oublier car ses sœurs, elles, nourrissaient une haine sans fin envers le village de Kiri. Elle ne savait trop comment réagir devant la proposition de Kazuma. Elle ferma les yeux puis soupira légèrement, elle ne voulait plus jamais se séparer de Kazuma… Elle l’aimait de tout son cœur, mais sa plus grande peur était de revoir l’homme qui avait eu l’audace d’abandonner sept jeunes filles seulement âgé de six ans. N’était-il pas shinobi de Kiri ?

‘’ Ka-Kazuma... Il n’est pas question que je revienne à Kiri en sachant que l’homme qui nous as abandonné… Moi et mes sœurs… Y habite toujours… ‘’

Elle savait qu’elle s’était dit qu’elle reniait désormais ses sœurs, mais elle n’avait pas pus s’empêcher de préciser la situation au maximum. À son plus grand étonnement, elle s’empêchait de pleurer… Elle avait tellement dut vivre des épreuves difficiles à cause de cet homme… Chaque fois qu’elle y pensait, elle ne pouvait s’empêcher d’avoir envie de pleurer. Sauf qu’en ce moment, elle ne voulait pas pleurer comme elle l’aurait fait en temps normal. Elle gardait un visage neutre, enfin, le même visage que quelques secondes plus tôt ainsi que la même attitude. Elle voulait revenir à Kiri, mais jamais elle ne reviendrait si, lui, il était toujours là. Pour la première fois de sa vie, elle espérait qu’il aille été tué… Peut importe par qui, peut importe comment…. Elle voulait juste qu’il soit mort. Pour Kaori, il n’y avait pas meilleure nouvelle présentement.
[Hprs Rp, je sais… Ça laisse à désirer comme rp …]

[Changement Physique de Kazuma: Cheveux noirs, deux mèches blondes et il a les yeux violets foncé]

C'était dur de tout lui dire à propos de moi. Mais ce qui est fait est fait, les faits sont faits. Maintenant il ne reste plus qu'à savoir comment va réagir Kaori suite à cette succetion de révélations. Je me sentais tout de même mal à l'aise après avoir cela. J'espère tout simplement qu'elle ne sera pas effrayée ou autre. Enfin c'est à elle seule de choisir sa destinée une fois qu'elle aura finie de réfléchir à la fois à mon passé puis ensuite ma proposition bien que je ne pense pas qu'elle accepte. Je respirais lentement, le ciel était désormais envie par les ténèbres de la nuit, et tout semblait calme... le néant douceâtre qu'était la mer de Kiri ne se manifeste pas... j'ai mis mes mains dans mes poches, en essayant de m'occuper l'esprit en attendant que mon âme soeur réagisse à son tour à ma proposition. J'essayais ensuite avec un petit plaisir à essayer de cerner les traits de caractère de Kaori, bien que je connaissais sa timidité, je voyais désormais la surprise qui s'était installé sur son visage rayonnant, débordant de beauté... une beauté comme je n'en ai jamais vu... c'est une caractéristique d'une chose qui au travers d'une expérience sensorielle qui me procure une sensation de plaisir ou un sentiment de satisfaction ; la beauté de Kaori provient de manifestations telles que la forme, l'aspect visuel, le mouvement, le son.... oh la la, qu'est ce qu'elle peut me rendre évasif Kaori. Si seulement elle pouvait lire dans mes pensées, je suis sûr que l'amour naissant grandirait plus vite. La surprise qu'elle dégageait outre sa beauté interne et externe, devait être liée au fait qu'elle réalise qu'elle s'est liée au frère jumeau du grand Yondaime Mizukage, Yagura Magari. Après quoi, je devais pas la coupé dans son élan de pensée alors j'allais attendre en repensant une derrière fois à Yagura.

C'était il y a 19 ans, j'étais déjà Jônin et Yagura lui était Sanin. Je tentais de le battre mais je n'arrivais qu'à un seul résultat: la défaite. C'est Tsûme-Hada qui a fait en sorte que je puisse l'égaler puis le tuer. En fait, je dois ma victoire à Orochimaru car en vrai, je n'ai que le niveau d'un ANBU... mais j'assume pleinement ce gain de pouvoir que l'on m'a conféré. Mais un jour, je vais retrouver Orochimaru pour l'anniler, et le pouvoir que l'on m'a donné était pour tuer aussi un homme, Kisame Hoshigaki. Je vais le retrouver et le tuer. Mais pour le moment ce n'est pas l'ordre de mission que l'on m'a donné, je dois dés demain partir avec une team pour la capture spéciale d'un Bijû, le Gobi je pense. Mais bon, je ne vais pas me tourmenter l'esprit alors que je suis liée à Kaori, une chose qui n'arrivera qu'une fois dans ma vie. Peut-être qu'elle acceptera de venir, comme je lui avais proposé, et ceci c'est ce que j'aurais souhaité mais apparement le ton d'hésitation qu'elle avait libéré me répondit directement qu'elle "désirait" sûrement le contraire. Un choix que je respecte mais si je ne me suis pas fais trop prier pour lui montrer que j'étais un peu déçu de cela. Mais c'est son choix, alors dés lors qu'elle prononça sa phrase sur "la personne qui l'avais abandonné" je suis devenu songeur. Qui pouvait être la personne qui a put commettre une infamie de la sorte ? Je le trouverai bien pour lui faire la peau. Mais voilà qu'elle me faisait part du fait qu'elle avait des soeurs ? Jumelles ? Je sais pas, je consulterai le dossier des Kushi plus tard. Je souriais bêtement, comme si je venais de m'appercevoir que j'avais fais une bourde. Alors je me suis ressaisis:

"Oh, je vois... mais je ne vais pas te forcer à venir. Mais promets moi une chose, tâches de faire attention... je ne veux pas qu'il t'arrives malheur. Jures le moi..."/center]

Une phrase qui était destinée à montrer combien elle m'était chère. Après quoi je l'ai serré contre moi pour la rassurer, l'enlaçant en y concentrant tout mon amour dans cette étreinte amoureuse. Après quoi je pensais bien entendu si elle était consciente que Nukenin se rapportait au fait que de nombreuses responsabilités sont à assumer. Mais je ne vais la prendre de haut, elle est grande et est en mesure de savoir ce que les risques apportes. Bon une fois cette étreinte rompue je l'ai regardée, en la tenant par les épaules puis j'ai achevé:

[center]"Bien, et maintenant Kaori... que comptes tu faire ?..."

"Oh, je vois... mais je ne vais pas te forcer à venir. Mais promets moi une chose, tâches de faire attention... je ne veux pas qu'il t'arrives malheur. Jures le moi..."
Mon dieu qu'elle remarquait désormait qu'elle n'avait aucune envie de s'éloigner de Kazuma... Elle voulait seulement être avec lui... Avoir la chance de pouvoir voir ce magnifique visage chaque jour... Et puis, n'étais-ce pas un magnifique moyen de vengance envers lui ? La surprise qu'il pourrait avoir en sachant que l'une de ses sept filles étaient de retour à la maison alors qu'il les pensait tous mortes ? Si ça n'aurait été que ça, elle n'aurait sans doute pas hésiter a la suite de cette penser... Seulement, son père n'était pas la seule raison de cette hésitation... N'était-ce pas son destin de créé le nouveau monde ? Kiri n'était-il pas un obstacle au destin de la jeune Kushi ?

La jeune femme ne put s'empêcher de sourire quand Kazuma la serra contre lui... Mon dieu qu'elle l'aimait. En sa présence, elle se sentait plus en sécuriter que jamais au par avant... Elle n'avait plus peur de la mort, de tout les gens qu'elle avait à dos en étant nukenin... Elle n'aimait pas savoir qu'elle avait des gens à dos, cela ne faisait pas son affaire du tout. Pour réussir a créé le nouveau monde, un monde de paix... Ne fallait-il pas la confiance de bien des personnes ? Seulement, plutôt rares sont les personnes qui font confiance au Nukenin. Le destin avait mit beaucoup d'obstacle sur le chemin de Kaori et, parfois, elle ne lui en était pas necesserement reconnaissente. D'ailleurs, qui pouvait être reconaissant au destin de lui avoir fait vivre des étapes doulhoureuses qui avaient fait coulé bien des larmes ? La personne qui remerciait le destin de l'avoir fait souffrire était en quelque sorte ... Mazochiste non ? Si Kaori devait remercier le destin d'avoir mit des obstacles sur sa route, c'était simplement car ses obstacles l'avait fait grandir mentallement! Sinon, elle n'avait absolument aucune raison d'avoir aimé les obstacles qu'elle avait vécu dans les dernières années! Si elle devait être fière de quelque chose ... C'est de ne pas avoir perdu ses soeurs. D'ailleurs, elle commençait à douter de leur propre vie. Elle en vennait à se demender si elles n'étaient pas mortes elles... Mais bon, Kaori avait toujours été reconnu pour s'imaginer les pires sénarios. Elle fut surprise de remarquer que Kazuma la tennait par les épaules, elle avait la drôle d'impression qu'il allait la seccouer d'une seconde à l'autre pour la réveiller d'elle ne sait quoi et elle trouvait ça légèrement étrange.
"Bien, et maintenant Kaori... que comptes tu faire ?..."
Ce qu'elle allait faire désormait ? Ça... Elle l'ignorait totalement! Son magnifique petit ami lui avait proposer de rester chez lui aussi longtemps qu'elle le voulait ? D'ailleurs, elle regrettait les paroles qu'elle avait dite quelques secondes plus tôt. Elle gardait bien en tête son plan de vangeance subtil et deplus... l'envie de voir Kazuma autent de fois qu'elle le voulait sans devoir marcher pendant des jours prennait le dessus sur tout le reste. Cependant, elle ne savait guère comment reprendre sa phrase de tout à l'heure. Son regard était hésitant tout autent qu'elle. La jeune femme haussa les épaules, un sourire bête aux lèvres puis réfléchix un moment avant de prendre la parole de sa douce voix habituelle.
'' Finalement... Si tu n'y vois toujours pas d'inconvéniant, j'aimerais bien revenir à Kiri... Enfin ... Seulement si tu veux toujours... Sinon je vais continué ma petite vie '' trenquille '' de Nukenin qui essaye tent bien que mal de rester inconnu aux yeux de tous ''

Oui je suis un peu déçu de la part de Kaori, mais j'ai dit que je ne tenterai en rien de la faire changer d'avis. Bien que l'espace Nukenin soit très hostile, être entouré d'Oi-nin, de chasseurs de primes... c'est horrible, j'ai vécu ça et je ne souhaite vraiment à personne de choisir cette voie. La je suis devenus songeur, je me souviens qu'on me mettait en tête que si je ne rattrapais pas vite Yagura, j'allais faire honte à notre clan... mais voilà ce que j'en pensais...: nous sommes au service de Kiri depuis notre adhésion à l’académie ninja, nous ne pouvons faire autrement… notre vie est vouée à Kiri et notre famille, pas à un certains avenir où on mendie je ne sais quel honneur… S’accrocher à une chose aussi peu cernable que l’honneur c’est perdre de vue l’essentiel… l’honneur d’un clan est tout ce qu’il y a de plus infâme… le clan par ci, le clan par là… avec ce mot à la bouche les ninjas perdent leur réelle valeur, c’est précisément pourquoi ils ne savent pas de quelle trempe je suis que certains ninjas se sont retrouvés à terre à cause de moi.L’attachement irraisonné à un clan, à u nom ou une organisation c’est un grand écueil… ça revient à poser ses limites, c’est une entrave à son épanouissement, seuls les fous redoutent et rejettent l’inconnu ! Si on se laisse entraver par les lois et les restrictions en tout genre, par les certitudes et les suppositions on ne peut réellement progresser… c’est pourquoi notre talent se flétri dans notre dos, sans que nous puissions nous en rendre compte. J’ai toujours évité d’être puissant en me cachant derrière mon nom, non… nous avons ça dans le sang et pas dans un nom qui devient plus fort lorsque sa réputation se fait de plus en plus importante. Non, je n’ai jamais été ce genre d’homme et je renie toute personne agissant contre la réalité…

Alors voilà que je suis retourné à la réalité, alors que Kaori s'était enfin prononcée... et voilà que cette nouvelle m'avait remonté le plus que furtivement. J'ai redressé ma tête, le large sourire aux lèvres, les larmes qui restent bloquées mais il fallait les laisser couler parce que Kaori et moi nous allions enfin être ensemble, et fonder notre avenir ensemble si cependant cela est réciproque de son côté mais le fait qu'elle est avouée aussi ses sentiments envers moi, cela me suffit pour voir qu'on notre amour est une parfaite synchronisation de nos qualités, ce qui accentuera sûrement notre amour. Et puis faut pas être sûr à peu près, mais totalement sûr et pour moi cela est le cas. Alors avec un élan de bonheur j'ai fermé les yeux pour l'enlacer amoureusement, mes mains se baladant dans son dos... j'ai fermé les yeux, laissé le silence s'installer et devenir maitre des lieux... j'en profitais pour humer le parfum divin que dégageait le corps de Kaori, c'était tout simplement enchanteur... je croyais replonger dans le passé lorsque j'allais à Iwa... Oui je l’avoues, il m’étais parfois impossible de résister à l’attrait des montagnes, et à la fin je m’éclipsais dans le bois des hauts bambous aux troncs satinés, baigné d’une lumière verte et oblique. Je prenais un chemin rocailleux qui menait jusqu’au magnifique et fier Mont Bandaï. M’enfonçant dans la forêt de bambous afin de guetter cerfs et renards et d’entendre au dessus de ma tête le cri mélancolique des milans. Tandis que je traversais les rues d’Iwa pour aller jusqu’à la tour du Tsuchi’ je croyais me trouver près des rizières où les lys rouges de l’automne étaient déjà en fleurs et je croyais par la suite, humer des parfums d’aliments portés par le vent. Mais c’est du passé. Voilà qu'en revenant à moi j'ai dit:

"Je suis très heureux de ta décision Kaori... je ne pouvais pas rêver mieux que de rester auprès de toi... demain j'irais discuter avec la Godaime Mizukage pour que tu puisses revenir. Et puis si tu veux tu pourras être chez moi, ok ?"

En en arrêtant cette étreinte je l'ai regardé, puis j'ai un peu attendu, le temps de lui laisser le temps de répondre. Jusqu'à là, ce fut normal mais l'envie de coller ses lèvres contre les miennes me prit... alors je l'attirais alors vers moi en déposant mes mains sur sa taille pour ensuite l'embrasser amoureusement, lentement. Un tel amour dans un baiser comme celui-là, je ne vois pas ce qui peut l'égaler... mais après tout, l'amour est humain...

[Petit mais j'ai pleins d'autres rp à faire =o / Tu n'as qu'à poster et ce sera ok. on en fera un un peu plus tard encore si tu veux, dac' ? ^^]

[ Hors Rp: D'accord Wink

, dsl... Petit poste >< j'feellais trop pas pour rp x) ]
"Je suis très heureux de ta décision Kaori... je ne pouvais pas rêver mieux que de rester auprès de toi... demain j'irais discuter avec la Godaime Mizukage pour que tu puisses revenir. Et puis si tu veux tu pourras être chez moi, ok ?"

Elle avait vécu beaucoup de chose au cours de sa jeune vie, mais jamais elle ne s'était sentit aussi humaine et vivante que présentement. Elle avait toujours rêvé de vivre le grand amour comme toute les jeunes filles de ce monde, mais elle avait toujours été certaine que l'amour n'était pas fait pour elle... Que seul son objectif comptait et qu'elle le réaliserait toujours seule. Nettoyer ce monde de tout le sang qui l'avait souiller au fil des générations qui avaient précédés celle de Kaori! Encore aujourd'hui, ce monde était sans cesse tâché de sang! L'Herbe verte était tacheté de tâches rouges qui n'étaient pas obligatoirement visible au yeux de l'homme, mais qui étaient bel et bien présente! Elle avait honte de faire si peu attention à cette planette et de voir autent de gens s'entre tué... L'être humain n'était-il pas la seule source de vie sur terre à être doté d'intelligence ? Certaines personnes n'utilisaient pas bien de l'intelligence qu'on leur a donner... Pourtant! C'était une chance incroyable que de vivre sur cette terre! Pourquoi en privé les autres ? Quelqu'un n'avait-il pas dit un jour '' Notre liberté s'arrête où celle des autres commencent '' ? N'étais-ce pas prendre le dessus sur la liberté des autres que des les tués ? Tel était la question qu'elle se posait présentement.

Elle sortit finalement de ses pensée quand Kazuma l'attira vers lui arrachant un sourire d'amusement à la jeune Kushi. Ce dernier mit ses mains sur la taille de la jeune fille avant de l'embrassé avec amour. Cette dernière échappa un petit sourire puis prolongea le baisé avec amour. Elle arrêta finalement le baisé à contre coeur pour prendre la parole en regardant Kazuma dans les yeux.
'' C'est incroyablement gentil de ta pars Kazuma ... ''

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