Inuzuka & Inuzuka [ PV: Zafura ]

Je salua comme à mon habitude les gardes à l'entrée du village avant de franchir ses grandes portes de bois sombre. Derriere moi se tenait, majestueusement, le village caché du sable, plus connu sous le nom de Suna no Kuni. Ces maisons de sables colmatés solidement le différenciait à mes yeux des autres villages ninja, qui était plus sobre, plus normaux. Situé en plein désert, mon village natal avait eu pendant longtemps des relations houleuses avec le village caché de la feuille, Konoha no kuni. Nous avions souvent combattu l'un contre l'autre, et je gardais d'ailleur sur une main une trace d'un combat contre un de leur ninja. Une boule de feu devait tuer un des mes compagnon, et je m'étais interposé. J'avais subi de plein fouet l'attaque, mais heureusement, le fait d'avoir levé ma main devant mon visage m'avait protégé.
Je n'aimais pas particulièrement Konoha pour ce qu'il représentait à mes yeux, mais je ne détestais pas vraiment les ninjas de Konoha. Je n'allais pas les tenir coupable de chose qu'ils n'avaient pas choisis délibérément. Ce n'était pas eux qui avait choisi de nous déclarer la guerre, mais leur chef de l'époque. Je ne détestais qu'une personne, l'assassin de mes parents. J'avais renoncé à le tuer, mais je continuais à le traquer afin de le livrer en justice. Son regard médisant hantait mes jours et mes nuits.

Je m'arreta et lance un coup d'oeil à mon village. Sotué en plein milieu du pays du vent, entouré par un grand désert sans pitié, il était bien protégé. Sans parler des hordes de ninjas qui le peuplait. Parmi eux, le Kazekage, le Jinchuriki de Shukaku, démon au nom venant de celui d'un ancien moine du vent, et puis bien sur un grand nombre d'autre ninjas de tout grade prets à protéger leur pays contre ses ennemis. Parmi eux, moi. Si un pays ninja attaquait notre village, je devrais le défendre. Ce n'était pas vraiment au nom de l'honneur de ma patrie, ou quelque absurdité comme ça, mais pour protéger les êtres chers à mon coeur. J'avais déjà perdu devant mes yeux mes parents, puis plus tard mes amis et tout mes coéquipiers. Le destin semblait s'acharner à m faire croiser la route de la mort, sans jamais me l'offrir. Je n'étais pas forcément préssé de la recevoir, mais voir mourir ceux que l'on apprécie, qui nous son cher, laisse toujours des marques indélébiles dans le coeur d'un être humain.

Je m'arreta en regardant le soleil couchant au loin avant de me retourner. Sans m'en rendre compte, j'avais marché pendant plusieurs heures, et j'étais trop loin du village. Je décida donc de dormir dans le désert pendant la nuit. Je scruta les environ et vis alors un oasis, l'endroit révé pour passer la nuit. Il était à environ cinq minute de course, et je partis donc dans sa direction. Je regarda le ciel, esperant apercevoir l'oiseau de Kaori. Cette jeune femme du village de Kiri, dont le but était de faire régner la paix dans le monde, devait m'envoyer son oiseau de compagnie lorsqu'elle aurait trouvé deux derniers compagnons. Je souris en me remémorant ma rencontre avec elle. J'étais au début parti livrer un livre à la bibliotheque de Tanzaku, mais elle était fermée, m'obligeant à attendre. j'vais laissé mes pas me guider, et j'étais arrivé dans un cimetiere. Et c'était dans cet étrange endroit que je les avait rencontré. Lorsque je disais "Les" je parlais de Chiaki et Kaori.

Je laissa encore un peu mes pensée flaner avant de remarquer que j'étais devant l'oasis. Conaissant le désert de Suna très bien, je savais que l'eau n'était pas toxique, et je plongea alors mes mains dans l'eau avant de m'abreuver longuement. Je remarqua alors la présence d'une autre personne. Je voyais son reflet dans l'eau claire de l'oasis. C'était une jeune femme aux cheveux chatains-blonds et aux magnifiques yeux bleus. Je me releva alors et la regarda avant de lui tendre une main compatissante.

[color=orange][i]-Bonjour, je m'apelle Zafura, enchanté de faire votre connaisance.[/i][/color]

Je remarqua alors son animal de compagnie et entra en contact mental avec lui, le saluant doucement, car je ne voulais pas le choquer.

Elle entendait les rires plutôt désagréable que Makura dans le creux de sa tête, une façon de rire qui donnait presque la chair de poule et qui faisait comprendre à la jeune sannin que, étrangement, elle n'était pas le maître de son corps. Que Makura souhaitait et voulait chacun des gestes de la sannin et que sa vie n'était et ne serait plus jamais pareille à celle qu'elle avait connus pendant les quinze dernières années. Sa vie n'était plus que passer et désormait elle devait tout partager avec sa cousine ce qui s'avérait parfois être plutôt embarassant. D'ailleurs, elle en voulait à Makura d'être morte... Comment ne pas lui en vouloir alors qu'elle lui avait littérallemet bousiller la vie !? Elle n'entendait plus silence de ses pensées, elle ne pensait plus sans avoir de commentaire désagréable de Makura face à ses pensées et elle devait souvent se retenir de penser certaines choses... C'était difficile de vivre avec l'impression que chacun de tes pensées est un lourd fardaut que tu te dois obligatoirement de partager avec quelqu'un qui se moque constamment de toi comme si c'était rendus une deuxième nature chez elle. Tout ça à cause de l'envie de changer le monde par la violence d'une personne... Une seule personne à l'égo sur-dimensionner qui disait que Makura/Akisa deviendrait une arme redoutable et que rien n'y personne ne pourrait arrêter la sanglante vangeance qu'elle préparait. Malheureusement, Kazumi avait mal choisit ses sujets... Makura était quelqu'un qui aimait tué, mais elle n'avait pas envie de tué par vangeance... Elle n'en voulait à personne et elle continuait de se dire que la vangeance était le plat des lâches.

La jeune femme regarda longuement le genin quand ce dernier finit enfin par remarquer la présence de la sannin. * Pas trop tôt quand même... C'est presque insultant de passer aussi innaperçut *, c'était rare qu'elle passait innaperçut... Il fallait l'avouer. Elle n'était pas le genre de personne qui passait facilement innaperçut même s'ils étaient plusieurs dans la salle. Mais bon, à croire que les choses changeaient avec le temps. La jeune femme échappa un léger sourire puis regarda longuement la main du jeune ninja sans rien dire. Elle leva son regard vers se dernier puis l'écouta parler, même si elle était plus concentré à regarder les traîts à la limite parfait du jeune Zafura. ( A finir )
-Bonjour, je m'apelle Zafura, enchanté de faire votre connaisance.

Elle sourit de nouveau légèrement puis serra la main de Zafura avec une assurance qui lui était inconnus jusqu'à présent. Ses pensées furent longues, elle ignorait quoi dire à Zafura... Elle n'avait pas eu de discution avec quelqu'un depuis au moins la mort du Tsuchikage... Elle se mordit légèrement la lèvre puis caressa la tête de Kyosei sur son épaule, étrangement... Ce dernier regardait longuement le genin, il était calme, mais quelque chose avait changer. Il fallait avouer qu'il n'était pas dans son habitude d'être aussi calme! Elle passa sa main sur le petit coup de l'animal pour attirer son attention puis l'embrassa sur la tête avant de regarder le genin.
« Akisa Inuzuka, je suis ravis de faire votre connaissance Zafura... »

La jeune femme sourit avant de me serrer la main avec assurance. Je lui rendis poliment son sourir avant de remarquer le comportement étrange du petit animal qui se tenait sur son épaule depuis que j'avais commencé à nouer un contact mental avec lui. Il ne remuait plus et me fixait sans sourciller. Mon jutsu n'était pas au point, il fallait que je l'améliore, j'en étais conscient. Dès que je l'utilisais, les animaux auquels je parlais changeaient de comportement, et je n'aimais pas influencer ainsi les autres et leur comportement. Je coupa presque totalement le lien, de maniere à ce que la conscience de l'animal ne puisse le ressentir et qu'il recommence à se comporter normalement. Je surveillais tout de même le cours de ses pensées, mais mon attention était surtout portée sur la jeune femme qui se tenait devant moi.
Elle regardait son animal de compagnie avec un air interrogateur, se demandant surement la raison de son changement de comportement. Car j'avais vu dans l'esprit de cet animal des souvenirs, et il semblait qu'il avait un comportement assez turbulent., tout l'inverse de ce qu'il était à présent. La voix de la jeune femme me sortit de mes pensées.

- Akisa Inuzuka, je suis ravis de faire votre connaissance Zafura...

Le fait qu'elle me vouvoie me dérangait un peu. Je n'étais pas très habitué à ce qu'on m'apelle par ce pronom, et pour une raison que je ne connaissait pas, je n'aimais pas trop ça. Mais je ne dit rien, je me contenta de la regarder calmement tout en réfléchissant. Elle n'était pas de Suna, vu son bandeau frontal et son teint trop peu bronzé, mais je ne voyais pas son bandeau frontal. Je me demandait donc qu'il elle était, et si c'était une amie ou une ennemie. Choisissant la voie de la diplomatie, je lui demanda calmement :

-Je ne sais pas trop à qui je m'adresse, car à part votre nom, je ne sais rien de vous. Désolé si je vous parait indiscret, mais je suis aussi assez curieux. Moi, je suis Zafura Kagoyoki mais ma mère était une Inuzuka. J'ai pour rêve de faire regner la paix sur ce monde et de mettre sous les verroux le meurtrier de mes parents. Voila, j'ai pas tout dit, mais si vous voulez en savoir plus, bah, demandez moi.