La Paume de la Mort [SOLO TERMINE]

[Relate la jeunesse de Tsunade pour l'acquisition d'une technique de rang S]


Le fondement

Ce matin là je venais de me lever tardivement Konoha était enfin redevenu un village calme la grande guerre venait de se terminer officiellement. Plus rien ne me donnais envie de vivre à partir de ce jour, après le décès de mon frère que j’avais acceptée difficilement. Dan avait périt à son tour en se sacrifiant pour que l’on puisse fuir, je réalisais seulement aujourd’hui que plus jamais je ne le reverrais. Dans mon lit je fixais mes mains je pouvais revoir le sang sur elle, celui de mon fiancé qui n’arrêtait pas de couler. Je ne pouvais m’empêcher de tomber en sanglot en repensant à la mort de ses deux êtres chers à mon cœur, au bout de quelques minutes je passais mes mains sur mes yeux pour les sécher. Je tournais la tête en direction de la fenêtre pour suivre l’évolution de Konoha, dans la rue des enfants insouciants s’amusaient sans se rendre compte que le pire avait été évité. Un excès de rage me gagna au plus profond de moi je m’en voulais de rien avoir pu faire pour le sauver, sans m’en rendre compte je concentrais mon chakra dans mon poing droit. Soudain je frappa le mur qui se trouvait derrière moi sans prendre de vitesse, un craquement retentit et une fissure se forma et s’allongea jusqu’au plafond. Je regardais mon exploit et secoua la tête en signe de désapprobation, voilà ce don j’était capable quand j’étais en colère donner un coup et réfléchir ensuite. Je n’en tirais aucune fierté de mettre entrainée pour avoir cette force surhumaine, j’aurais mieux fais de peaufiner où apprendre de nouvelles techniques médicales pensais-je.

Après plus d’une heure de réflexion ma décision était prise il me fallait acquérir davantage de techniques dans n’importe quel domaine, à l’esprit le nom d’une seule personne me venait celui d’Orochimaru. Lui qui était connu pour créer de nouvelles techniques même si ces dernières étaient interdites, le connaissant il devait en avoir quelques unes au placard qu’il n’arriverait pas à maîtriser. Une fois prête à sortir je descendis l’escalier menant à l’extérieur de mon appartement, les rues de Konoha étaient quasi-déserte cela n’avait rien d ’étonnant à midi passé les gens étaient partis manger. En y repensant moi-même je n’avais pas pris le temps de me restaurer, tant pis pensais-je je le ferais une fois que j’aurais apprise une nouvelle technique. Le seul endroit ou Orochimaru pouvait se trouver à longueur de journée en dehors d’une mission était son laboratoire, je me décidais d’un pas rapide de m’y rendre sans que personne ne me voit y aller. Son laboratoire se trouvait au fin fond des égouts à l’abris des regards indiscrets, n’étant pas du genre à exposer ses trouvailles il préférait s’isoler sous prétexte que personne ne pouvait comprendre ses recherches. Libre à lui d’agir de la sorte si cela lui permet d’être heureux, quelques doutes commençait à émerger sur certaines de ses pratiques mais rien n’avait été révélait au grand jour. Pour ma part je savait qu’Orochimaru n’avait que de grande ambition, moi la première je m’était fixé de devenir la meilleure kunoichi médecin son rêve à lui Hokage un choix que je respectais.

Je m’engouffrais dans le dédale des égouts et me dirigea dans la direction de son laboratoire, tout le long du chemin une odeur pestilentiel se dégageait des souterrains. Comment pouvait-il vivre ici et travaillé dans cet endroit aucun humain censé le voudrait, c’est cela qui caractérisait Orochimaru justement il n’était pas comme nous. Toujours avec des réactions cynique à se moquer du malheur d’autrui et servir ses propres intérêts, voilà qui était l’homme que j’allais voir à qui j’allais demandé de l’aide. Pour quelle raison celui-ci s’intéresserait-il à moi me demandais-je où plutôt à ma requête, une réponse tout faite me vient aux lèvres je suis une de ses co-équipières et nous devons nous entraider dans les moments difficiles où quand on à besoin d’aide. Voilà ce que j’étais prêt à lui répondre s’il me le demandait, derrière ce faux semblant d’amitié je cachais de la rancœur à son égard voir même du dégoût. En y pensant franchement je n’ai jamais apprécié sa compagnie cela fait maintenant cinq où six ans que nous faisons équipes, de nous trois il à toujours était en retrait pour nous juger se croyant supérieur à Jiraya et moi. Même si au cours de tout ces années ont à eux de grands moments de fou rire, nous avons surtout eux droits à des sarcasmes de sa part blessant. Après cette brève réflexion je venais d’arriver devant la porte de son laboratoire, l’ouvrant sans faire de bruit je rentrais furtivement et le referma pour qu’il ne se doute de rien. Orochimaru était face à moi me tournant le dos il regardait avec attention une éprouvette, soudain il la reposa et se racla la gorge puis soupira.

- Que me veux-tu Tsunade ?

- Euh…j’ai besoin de toi.

- Cela à un rapport avec Dan et Nawaki ?

- Comm…comment le sais-tu ?

- Jamais tu ne serais venu me voir auparavant, si cela ne concerne pas un être cher.

- Tu as raison apprend un jutsu pour devenir plus forte.

- Ha ha tu es drôle princesse tout ninja ne dévoile pas ses techniques, en revanche avec ta force et tes talents en ninjutsu médical j’ai quelque chose qui pourrait t’intéresser. J’essaye de le développer depuis un an mais je n’ai pas les compétences nécessaires, en revanche toi c’est dans tes cordes.

- Dis moi ce que c’est.

- Humm…une technique de rang S nommé La Paume de la Mort qui consiste à tuer son adversaire en plaçant un coup en plein cœur, elle requiert un niveau de taijutsu élevé ainsi qu’une connaissance du corps humain parfaite elle demande également des bases en ninjutsu médical.

- A partir de quel stade tu bloques ?

- Attends je n’ai pas fini je t’ai dis quel est de niveau S une fois employée les conséquences peuvent être terrible entrainant une paralysie partiel des membres au meilleur des cas.

- Et au pire ?

- La mort si tu as recours à plus de cinq utilisations de cette dernière… pour ma part j’arrive à avoir la vitesse requise et je connais le corps humain parfaitement, le problème que je rencontre est une fois devant la cible et le coup donné je n’arrive pas à insuffler une technique entrainant la mort instantanément.

- Je vois comment commencer pour l’apprendre ?

- Attends….tiens attrape tout est noté ici.

- Merci.


J’attrapais le parchemin qu’Orochimaru venait de me lancer donc voilà ma technique, celle que j’allais apprendre et qui me serait mon atout dans mon éventail déjà connu. Je garderais jalousement secret cette technique et ne l’emploierait qu’à un moment vraiment utile, ceci était la condition non pas celle que m’imposait Orochimaru mais plutôt celle que je m’imposais. Avec seulement cinq utilisations possible je ne pouvais courir le risque, car après cela signerait mon propre arrêt de mort j’était également consciente qu’une technique de rang S impliquant du taijutsu serait dangereuse. D’où l’avertissement d’Orochimaru avec une vitesse de frappe aussi grande, les muscles ne suivront pas le rythme en plein combat. Ce qui aura pour effet d’entraîner des déchirures musculaires au meilleur des cas, mes os pourraient également se broyer sous la pression et exercer une paralysie de mes membres. Je tenais entre les mains les bases d’une technique quasi-parfaite en ce qui concerne la puissance de frappe ainsi que le résultat final, en contrepartie les effets secondaires peuvent se montrer dévastateurs. Après réflexion je regardais Orochimaru qui me fixait également il attendait ma réaction, je pesais le pour et le contre d’une tel technique et me décidais finalement à prendre ses risques. Sans un mot je tournais les talons pour regagner la surface et pour commencer l’entraînement, une fois à l’extérieur mon ventre cria famine ne pouvant pas poursuivre ma route sans manger je me décidais de faire une halte chez moi.

Je me reposais tout en mangeant et en repensant à tout ce que m’avait dit Orochimaru, si lui-même n’arrivait pas à maîtriser une pareille technique pour quelle raison j’y parviendrais. Outre ma connaissance parfaite du corps et mon excellent taijutsu, assimilé les deux réunis avec en supplément une frappe destructrice en plein cœur le pari n’était pas gagné. Je ne pouvais pas allez demander conseil à Jiraya qui m’empêcherais d’utiliser une pareil technique et irait voir Orochimaru pour l’affronter pour avoir donner un tel parchemin, ne pouvant pas allez voir le troisième du nom pour les mêmes raisons je me retrouvais belle et bien seule pour m’exercer. Mon assiette terminé je fixais l’extérieur le ciel venait de s’assombrir et un orage se préparait, je secouais la tête pour montrer mon mécontentement et la foudre s’abattit d’un coup. Je venais de comprendre que l’entraînement ne serait pas pour aujourd’hui, je sentais la tension montée ainsi que la colère j’essayais de me calmer en respirant doucement, cela ne servait à rien que je me mette dans un état de rage à cause de la météo je commencerais mon entraînement le lendemain.


Le commencement

Je me déplaçais suffisamment vite autour de la cible en bois, des petits cris de douleur sortirent de ma bouche sans m’en rendre compte. Mon taijutsu est largement au dessus de la normal je n’ai aucun doute là-dessus, en revanche mon champs de vision est réduit pour arrivé à distinguer exactement le cœur de la cible. Si j’avais un byakugan cela arrangerait bon nombre de chose je pourrais distinguer sans effort les organes, et donc frapper sans donner le moindre effort malheureusement ça n’est pas le cas. Comment as-tu fais Orochimaru pour arriver à contourner ce problème, tout en reprenant mon souffle j’ouvrais le parchemin qu’il m’avait donné et tomba sur une note que je cherchais. Lui aussi avait rencontré ce même soucis il avait consigné tout sur ce parchemin, les étapes à faire pour parvenir au même niveau que lui. Avant de passer aux étapes suivantes il me fallait résoudre une à une les difficultés rencontrés, je me posais mon doigt sur ce qui m’intéressais et le lie plusieurs fois pour être sur de comprendre ce qu’il y avait de noté.

Citation :

Problème numéro 1 : Avec un taijutsu si élevé le champs de vision est réduit il est impossible de toucher la cible en plein cœur, après deux jours de réflexion j’ai enfin trouvé la solution. Concentrer une infime quantité dans les yeux quand on se trouve devant la cible, sans chakra on distingue une masse avec le chakra la cible se révèle entièrement et on peut frapper le cœur.

Alors voilà la solution recouvrir ses yeux d’un voile de chakra, en y pensant cela paraissait être une bonne idée. En parcourant le reste des notes d’Orochimaru ce moyen permettait de pouvoir passer à la deuxième phase, pour en être sur je préférais tester avent de poursuivre. Je reculais de la cible pour me mettre à environ six mètres de cette dernière, je concentrais un peu de chakra dans mes pieds et me mit à courir dans sa direction. Arrivée à moins de trente centimètres du mannequin en bois, je libérais le chakra de mes pieds pour pouvoir augmenter ma vitesse celle-ci avait triplée. Je frappais la cible sans cherchait à atteindre le cœur une fois prête, je passais à la phase deux mettre du chakra dans mes yeux. L’exercice était plus difficile qu’il n’y paraissait la dose exact pour arriver à percevoir le mannequin demandait beaucoup de concentration, trop de chakra dans les yeux me rendrais aveugle et pas assez me ferais raté mon attaque. Après trois tentative je trouvais le bon rythme et le bon dosage, ma vitesse avait atteint son maximum la poussière se mis à voler trois secondes après mon passage. Cela me donnait un léger avantage sur l’adversaire pour le frapper, ce laps de temps de quelques secondes me servirait pour doser le chakra dans mes yeux pensais-je. Plus aucun doute je maîtrisais la première phase avec succès, fière de moi je m’aperçus que quelques heures m’avait été nécessaire pou l’accomplir je pouvais passer à la deuxième étape.

Il me fallait maintenant arriver à donner un coup suffisamment puissant pour détruire la cible, Orochimaru bloqué à ce stade m’avait-il dit voyons si c’est également mon cas pensais-je. Je me remis en place et couru de nouveau vers la cible dégageant un aura plus meurtrier que jamais, en voyant la cible j’imaginais les ninjas d’Ame ayant ôter la vie à Dan. Partie un de la première phase imaginais-je le taijutsu vitesse maximum, le relâchement du chakra sur mes jambes était total ma vitesse d’exécution surpassait la précédente. C’est bon je pouvais passer à la deuxième partie de la phase un, le chakra envahissait mes yeux me montrant la cible dans son intégralité. Parfait je pouvais porter mon coup maintenant et atteindre le cœur de plein fouet, je me positionnais devant le mannequin en bois durant une fraction de seconde et assigna mon coup de poing le plus puissant sur son cœur. Une fois terminé je me reculais de la cible je n’avais pas eu le temps de voir quel dégât j’avais fait, en relevant la tête un craquement se fit entendre un large sourire me gagna. J’ai réussi au final me dis-je en regardant la cible ma surprise fut grande et la déception me submergea, elle était quasi-intact un léger impact à l’endroit où je venais de frapper. Mais alors d’où provenait ce bruit ma question trouva rapidement une réponse, une douleur gagna mon poignet en l’examinant je m’aperçus que je venais de me faire une fracture ouverte.

- Et merde…

La conclusion

La douleur me lançais constamment dans le bras, je ne pouvais pas restais avec cette blessure sans agir. Avant de poursuivre mon entraînement j’utilisais un jutsu pour me guérir, en remettant mon os en place un cri de douleur me gagna. C’était horrible l’os se replaçait lentement et les tissus manquant se reconstituaient, je m’agenouillais tellement la souffrance me submergeais. Je comprenais enfin la raison pour laquelle Orochimaru n’était pas parvenus à terminer son jutsu, même moi qui est considéré comme une femme ayant une force surhumaine j’ai à peine effleurée le mannequin. En regardant de plus près le bonhomme de bois je réfléchissais fallait-il continuer où bien stopper, mon corps me demandait d’arrêter mais mon esprit voulait continuer. J’étais également de cet avis je ne pouvais pas renoncer à la première difficulté, en ouvrant le parchemin d’Orochimaru il faisait mention qu’il n’arrivait pas à trouver une technique assez puissante pour détruire la cible. A la fin du parchemin une annotation me fit sourire elle était typique d’Orochimaru, il le disait en général quand il ne parvenait pas à accomplir ce qu’il désirait ce qui était rare à ma connaissance.

Citation :

Technique infaisable sans avenir

En lisant cela mon sourire s’effaça petit à petit Orochimaru connut pour créer des techniques inimaginable, ne voyait aucun avenir pour la paume de la mort alors pourquoi m’entêtais-je à persévérer dans cette voix la. Ma question trouva une où plutôt deux réponses Dan et Nawaki voilà les raisons, seraient-ils morts en vain non impossible à mes yeux je ne peut pas me résoudre à abandonner comme cela. La douleur s’était évanouit avec la montée d’adrénaline qui me parcourais, si mon coups de poings n’était pas puissant je devais me surpasser pour qu’il le devienne. Une idée me traversa l’esprit et si je combinais la force de frappe de la paume mystique cela marcherait peut-être, cette technique est faite pour le corps à corps sur un adversaire à bout de force. Avec une vitesse semblable à celle que j’utilise actuellement pour réussir ce nouveau jutsu sa devrait fonctionner, je me relevais en titubant légèrement l’euphorie m’envahissais progressivement pour avoir trouvée un moyen de parvenir à acquérir cette technique. Je secouais la tête pour retrouvais mes esprits une fois prête je lançais un nouvel assaut, taijutsu au maximum les yeux remplit de chakra, je pouvais finalement frappais le mannequin tout le chakra que j’avais au plus profond de moi je le concentrais dans mon poing.

Ma rage était à son maximum je pouvais ressentir le désespoir m’envahir, j’y étais le coup que j’allais donné serait le plus puissant jamais donné auparavant. Mon poing s’avançais sur la cible et s’écrasa sur son cœur, soudain le bois vola en éclat mon bras entier passa au travers de celle-ci. Je ne pouvais pas arrêter ma course avec ma vitesse mon corps entier cassa le mannequin, derrière la cible se trouvait un arbre centenaire mon bras termina sa course à l’intérieur. Mon corps entier se heurta au chêne centenaire le coup fut d’une rare violence et du sang envahissait mes poumons, ne pouvant pas le contenir je le crachais pour reprendre ma respiration. A l’aide ma main gauche j’essuyais ma bouche et repris mon souffle il ne me restais plus qu’à sortir mon bras de l’arbre, je calais mes pieds sur le chêne et hissa mon bras en dehors en le sortant de nombreuses écorchures étaient visible. Quelques hématomes faisaient leurs apparition rien de tous cela ne pouvait m’attrister, en me retournant vers le mannequin qui était complètement éparpillé aux quatre coins du terrain d’entraînement un immense sourire me gagna. J’ai réussi je les maitrisais, la ou tu as échoué moi j’ai vaincu Orochimaru si tu voyait ça tu serais jaloux pensais-je. Soudain une douleur vive parcouru mon bras et ma poitrine ce choc me mis à genoux, je venais de comprendre la raison pour laquelle cette technique était aussi classé S d’après Orochimaru. Elle atteignait directement le cœur de son utilisateur ce qui avait pour effet de paralyser les membres, le sang ne pouvait s’irriguer correctement et une fois les artères bouchés cela entrainé la mort.

Une technique si puissante a un coup extrêmement redoutable pouvant ôter la vie de son utilisateur après cinq utilisations….