Je me promenais, dans les rues de cette magnifique ville de Kiri. Depuis quelque temps, mes entraînement portaient leurs fruits. Mon Byakugan était plus fin que jamais. Je maitrisais toutes les techniques du clan Hyûga, aussi. Mon clan ... Et comme fou de joie, j'activa mon Dôjutsu. Je pouvais voir partout, derrière, devant, en haut, en bas. Je n'avais que l'angle mort, ce petit cône. Le seul point faible de mon Byakugan. Je faisais partis de la Soke, et j'étais plutôt respecter, de part mon père. Lui qui étais un gran Hyûga, d'après mon sensei, il m'aurait donné sa force. Mais je n'étais que Genin. Que pouvais faire un Genin face par exemple à des Anbus. Il perdrait automatiquement. C'est pour cela que je devais m'améliorer. Je fixais partout, m'améliorant à chaque reprise, essayant d'atteindre mon maximum, pour arriver à voir le plus loin possible. Et puis mon regard se porta sur les portes du village. Je voyais quelques corps inertes, sans vie, sans chakra. Et à côté d'eux, une jeune femme, bien vivante. Elle semblait avoir tuer les gardes. Je devais aller la voir. Je devais lui parler. Je devais lui demander la raison de sa venue. En effet, comme nous n'avions plus de Mizukage, le village était pour ainsi dire sans défense. Et il fallait que quelqu'un surveille le village. Et les ninjas étaient là pour cela. Je m'approcha donc, dissimulant mon chakra essayant de fermer mes cavités pour le cacher encore un peu plus. Elle ne devait me voir qu'au dernier moment, celui que je voulais. Je me cacha dans les buissons près de la porte et la fixa. Elle semblait jeune. Elle ne m'avait pas remarqué. Une chance pour moi. Et sans faire de bruit, je me dirigea vers son dos, avant de lui mettre ma main sur l'épaule et de lui dire :
"Bonjour chère demoiselle. Que vaux cette visite ? Et, sans vouloir vous importuner, est-ce vous qui avez tuer ces gardes ?"
Je l'avais demander calmement. Et je continuais à cacher mon chakra pour qu'elle ne sache pas de quel rang je suis. En tant que Hyûga, je pouvais dissimuler mon chakra sans modération, et je pouvais ressentir plus vivement le chakra des autres. Je fixa ses yeux pour connaître ses intentions. Mais elle cachait bien son jeu. Elle semblait perdue. J'attendis donc sa réponse, sans bouger, sans frémir.