[Rencontre Pv : Kakuzu] Deux générations se croisent

Je dessera mon étreinte autour du cou de mon adversaire, qui s'écroula raide mort sur le sol. Cette traque était....improductive. Je ne trouvais aucune information sur le jinchuriki de Gobi, et je me sentais un peu véxé de perdre mon temps pour rien. Et donc je passais mes nerfs sur ceux qui avaient le malheure de me croiser sur la route. J'avançais à découvert, ma veste noir aux nuages rouge flottant derriere moi dans le frais vent matinal. Je plissa les yeux afin de tenter de distinguer une quelconque silhouette humaine au loin. J'apperçus une silhouette rapidement, et bondit de mon fronton rocheux avant de me mettre à sa poursuite. Le soleil était bien haut dans le ciel lorsque j'arriva à la frontière de Taki, mon pays d'origine. Je souris cruellement sous mon masque, me rappellant le jour où j'avais déserté. Un petit groupe d'ANBUS de Taki, sensé être les meilleurs ninjas du village, s'était confronté à moi. Sans aucune difficulté, je les avais exterminés jusqu'au dernier, ne laissant dans mon sillage que mort et destruction. Je n'avais failli mourir qu'une fois dans ma vie, et c'était contre le premier Hokage de Konoha. Le combat était bien parti pour moi, mais il avait fallu que son imbécile de frère vienne l'aider, et donc me battre. Je pouvais faire face à un Hokage, pas deux. J'avais fini à terre, inconscient, presque mort. Je me demandais la raison pour laquelle ils m'avaient épargné, alors que cette derniere devrait être évidente à mes yeux. J'avais survécu à des dommages mortelles pour n'importe quel homme, et à la fin du combat, j'étais allongée à terre sans remuer. Sans doute avait-il pensé que j'y étais passé. Mais c'était une erreur. Je m'étais relevé difficilement et j'étais parti refaire ma réserve de coeur. J'avais tuer sans difficulté des ninjas de valeur, et en moins d'un mois, j'avais recréer toute ma réserve.

Je leva les yeux afin de vérifier qu'aucune attaque ne venait des airs, mais n'aerçus qu'un ciel bleu avec peu de nuage à perte de vue. Je posa alors mon regard devant moi. Un homme aux cheveux jaunes était assis sur un rocher, à moins de cinquante mètres. Je laissa sortit mes fils avant de m'approcher de lui d'un pas calme. Je savais qu'il faisait surement parti de Taki, car sa grande cascade qui faisait sa fierté se dressaient devant moi. Elle me rappellait plein de souvenir. Lorsque j'étais encore un enfant, j'étais, comme tout les habitants de Taki ou presque tous, naïvement fier de cette cascade, symbole et nom et de notre pays et de notre village caché. J'avais même du, pour l'examen Chuunin, grimpé à contre courrant sur cette cascade, ce qui était pour moi à l'époque assez dur. Les incessants remous m'aattiraient vers le bas, mais je devais avancer, et poser un pieds après l'autre, l'un devant l'autre, progressivement. J'avais finalement triomphé de cette épreuve; comme des deux autres.

L'homme du sentir ma présence car il déclara d'une voix forte :

-Qui es-tu ? Et que viens-tu faire sur ce rocher se trouvait en face de notre symbole ?

Je le regarda d'un air un peu méprisant avant de laisser grouiller mes fils autour de lui. Il était fort, je le savais, pour avoir ressenti ma présence aussi rapidement. Je raidis mes muscles et mes fils enserrèrent ses jambes, ses bras et son ventre, lui interdisant tout mouvement. Je m'approcha de lui et, tout en restant dans son angle mort, je répondit à sa question.

-Je suis Kakuzu, membre de l'Akatsuki. Et je suis venu sur ce rocher pour t'interroger sur le jinchuriki de Gobi.

Je leva un fil menaçant devant sa figure avant de continuer :

-Dis moi ce que tu sais.