I see you ... [Solo]

Je courais à présent dans le sens inverse, vers le repaire des chasseurs de primes, fin d’y terminer mon enquête sur mon déserteur. J’avais quitté Makarof afin de terminer mon enquête, je reviendrais le voir pour finaliser l’entraînement une fois Kakuzo enfermé solidement à Kumo, sous la surveillance des Kumojins. Maitre Raikage en fera bien ce qu’il voudra, mais il le voulait vivant dans je lui apporterais vivant. Les paysage se modifient, je passais d’un environnement rocailleux et peu accueillant à des plaine d’herbe verte, puis enfin aux forêts si majestueuse du Pays du feu. Le repaire des Chasseurs de Prime n’était plus qu’à une journée de marche et le jour se levais. S’il se passait quoique ce soit là-bas, je devrais être en forme. C’est pour cela que je trouvais refuge sous un rocher légèrement mousseux, ce qui formait par la surélévation du rocher, une petite grotte dans laquelle je pourrais m’y faufilé pour dormir un petit peu. Je fermais les yeux, et mes pensées me quittèrent, progressivement…

Il neige, c’est beau la neige. Où suis-je ? Je regarde mes mains, mais ce n’est pas mes mains. En face de moi il y a quelqu’un. Qui est-ce ? Il s’élance sur moi ! J’ai esquivé sans rien faire, ah, j’ai compris ceci est un de mes souvenir que je revis en rêve. Mais je n’ai combattu comme cela moi, et où sont mes épées ? Oh … Je m’élance sur lui, une aura blanche m’entoure, lui une aura rouge l’entoure … J’ai compris, ceci est le souvenir, de Gobi ! Ce combat ? Mais c’est celui où Gobi sera devenu incontrôlable ! Par la suite tous ce qui devait se passer se passèrent. La perte de contrôle, la destruction du village, et la lutte avec Yonbi, le démon à quatre queues, lui rester sous le contrôle de son réceptacle.

C’est en sursaut que je me réveillais. Quelle sensation horrible … J’ai quasiment pus sentir lorsque le chakra de Gobi avait envahi son réceptacle, je ne veux pas subir ça ! Il faut vite que je règle l’affaire Kakuzo Bakudan et que je fonce reprendre l’entraînement. Le ciel était rosé en ce début de soirée, comme on dit « Rose le soir espoir » Ce qui signifiait le beau temps pour le lendemain en cas de soirée sous la lumière rose du soleil couchant. Ce qui suis ce dit comme cela « Rose le matin, la pluie est en chemin. » qui évidemment signifiait que si le soleil se levait avec une couleur rosée dans le ciel, au contraire il ne tarderait pas à pleuvoir.

Sortant de cette parenthèse mentale, je repris ma course. La nuit était claire et la lune, presque pleine, baignait le bois dans lequel je courais d’une lumière blanche très jolie. Les animaux nocturnes tels que le Hibou, ou autre rapace, se réveillaient afin de chasser pour se nourrir. Certains traversaient le chemin de temps en temps. Le repaire des chasseurs de primes allait bientôt être en vue, je pourrais alors commencer mon enquête. Le silence régnait dans la forêt, on pouvait entendre les souris criées lorsque leurs prédateurs leur tombaient dessus. Ces cris étaient faibles, et très brefs, mais grâce à ce silence de plomb, on pouvait les entendre.

Comme prévu par mon itinéraire, je voyais le bâtiment du repaire en contre bas. Je faisais le trajet restant en marchant, pour ne pas arriver trop essoufflé. Les gardes que j’avais quitté avant son départ pour le pays de la roche me reconnaissaient et me laissaient passer sans même me demander mon identité. Je souris et passais pour ensuite entrer dans le bâtiment, dans la première pièce qui est la taverne. M’approchant du barman je demandais des informations sur Kakuzo Bakudan, sous prétexte que j’avais un contrat à lui proposé. Celle-ci ne m’ayant jamais vu j’eu la chance qu’elle m’indiqua une table où un homme était assis. Je m’assis en face.

Vous êtes Kakuzo Bakudan ? J’ai un gros contrat pour vous, mais je préfère que l’on en parle dehors.

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