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 La Maîtrise de la bête [Trois premières queues - Solo]

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Shun
Oi-Nin de Kumo
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MessageSujet: La Maîtrise de la bête [Trois premières queues - Solo]   La Maîtrise de la bête [Trois premières queues - Solo] I_icon_minitimeJeu 27 Mai - 22:09

Part one


Je me levais, le soir tombait sur le repaire des chasseurs de primes. On m’y avait très bien accueilli pour mon premier retour, soit ma deuxième visite. On m’y avait soigné, logé, nourrit. Mais mes blessures était maintenant refermées il était donc maintenant temps de partir, de reprendre mon enquête. En sortant je crois un homme des plus bizarres que j’ai rencontré au cours de ma vie. Il était plus petit que moi d’environ une tête et était vêtu d’un sorte de toge marron, avec une grande et profonde capuche masquant dans l’ombre sont visage. Celui-ci m’adressa la parole lorsqu’on se croisa et ce fut comme si tout s’était arrêté dans la taverne du repaire, chacun s’était figé, plus un bruit

Comment un homme au cœur si pur peut-il avoir un fond si mauvais ?

Qui êtes-vous vieil homme ?

Là n’est pas la question, tu a en toi une grande puissance, fortement convoitée par beaucoup de gens, si tu ne peux pas t’en servir, tu mourras et cette puissance sera mal utilisée

Comment savez-vous tous cela ?

Prends ton courage à deux mains et rejoins-moi dans les montagnes du pays de la roche. Là je répondrais à tes questions.

La taverne repris le boucan qu’elle faisait avant, tout le monde continuait sa discutions. Quant au vieil homme, et bien il avait disparu, plus aucune trace de lui, comme si il n’était jamais passé. C’est avec la tête pleine de question que je sortis et me retrouva pas conséquent à l’extérieur. Etait-ce un rêve ? Il à parler des Montagnes d’Iwa … Est-ce bien d’y aller ? Au puis zut ! La curiosité l’emporte ! J’avais pris ma décision, j’allais aller voir si l’homme en question était bel et bien dans les montagnes du pays de la roche. Je commençais don ma marche, après avoir tracé mon itinéraire sur ma carte, pour aller déjà jusqu’à Iwa. J’ai compté trois jour si je cours nuit et jour, il ne fallait donc pas que je perde de temps.

Le voyage fut long et monotone, mais je parvînt enfin à Iwa no Kuni, enfin, au alentours du village je ne souhaitais pas y rentré, juste me reposer un peu à ses abords, d’ailleurs c’est exactement ce que je fis. Après une bonne journée, à l’ombre d’un gros rocher, de sommeille, je commençais mon ascension des montagnes dont le vieil homme m’avait parlé. C’est dans la fatigue et le froid que je montais les mille cinq cent mètres de dénivelé pour parvenir là où m’avait mené mon instinct. C'est-à-dire devant rien … si une falaise. Je voyais bien qu’il n’y avait ni vieil homme, ni rien qui n’y ressemble. Que faire ?

.::. Pfff tu n’es qu’un faible et inexpérimenté en plus de cela .::.
.::. Que me vaux ces douces et belles paroles .::.
.::. Tsss, c’est un style de cachette vieille comme le monde ça ! Regarde derrière le falaise bougre d’âne ! .::.

Derrière la falaise ? Comment faire ? Je sais ! *Lame Raiton !* D’un coup d’épée je frappais la falaise de toues mes forces. Elle ne fit que se fissuré … sauf là, un petit bout s’effritait, derrière il y avait un trou. Je commençais à taper de mes poings jusqu’à ce que le trou soit assez grand pour que je puisse passer. C’était une grotte sombre mais avec au bout, une lumière, assez faible mais présente, il fallait surement que j’aille là-bas, simple déduction jusqu’à ce que l’autre s’intercalle

.::. Non, ne va pas vers la lumière au bout du tunnel .::.
.::. Tu as d’autre remarques inutiles comme celle-ci à faire ou c’est bon ? .::.
.::. Je suis sérieux Cloud Strife, n’y va pas .::.
.::. Et bien moi j’ai envie d’y aller donc j’y vais ! .::.
Qu’avait-il à ramener sa fraise celui-ci, je fais ce que je veux … et non ce que veut un démon ! C’est d’une logique implacable ! Arrivé à l’endroit éclairé, un homme méditait au milieu de bougies, je le reconnu facilement, c’était bien l’homme de la taverne, sauf que là, sa capuche était rabaissée. Il avait un visage marqué par le temps qui passe, avec de longs cheveux blancs et une « barde de trois jours » blanche également. L’homme ouvrit les yeux et releva la tête pour me regarder. Je m’approchais sous sa demande et il me dit d’un voix rauque

Je peux à présent répondre à toutes tes questions

D’accord, alors la première, pourquoi ne pouviez-vous pas y répondre ?

Ce n’était qu’une projection de moi-même que tu as vu là-bas, y répondre sous cette forme m’aurais trop affaibli.

Ok … enfin j’avais une enquête à mener là-bas mais bon, ma curiosité à été plus forte sur e coup. Ensuite vous avez parler de la force qu’il y a en moi, que savez-vous là-dessus ? Peut-on la maîtrisée ? L’utilisée à son avantage ?

Certes, c’est possible, et c’est aussi pour ça que je souhaitais que tu viennes

Vous pouvez m’aider à maitriser cette force ?

Oui

Allez-vous le faire ?

Oui

.::. Ca explique au moins pourquoi tu ne voulais pas que je vienne ici .::.
.::. Grrrrrr Tu m’énerve humain ! .::.

Je m’agenouillais à côtés de l’homme pour être mieux installé, mais celui-ci me dit que cela ne servait à rien, on commençait l’entraînement tout de suite. Il commença de longues et complexes explications. Je compris qu’il allait canaliser ma puissance tiré de Gobi par sa seule force mentale. Je devrais la libérée petit à petit pour m’y habitué et pouvoir utilisé la force à laquelle je me serais habitué précédemment. Je fermais les yeux et commençait à me concentré … une voix vint soudainement me dire dans ma tête de ne pas m’inquiéter de sa présence, c’était le vieil homme aux pouvoir étrange qui était entré dans mon esprit je ne sais comment.

Je rentrais en communication avec Gobi, et commençais à libérer un eu sa force, au début il fallait le forcer mais finalement il se prêta au jeu et me donnais sa force petit à petit. Une grande puissance envahie mon corps je tentais tant bien que mal de garder le contrôle mais si elle continuait d’affluée j’allais le perdre. C’est là que ma puissance se stabilisa, l’homme était intervenu. C’était comme tenter de rester équilibre sur un fil ... tantôt on se sent bien, tantôt on ça commence à dégénéré et si on ne se redresse pas, c’est la chute. Et bien là ça pareil, ou on garde bien la force, on la maîtrise bien, ou ça commence à t’engloutir et si on ne fait rien, c’est la perte de contrôle, la catastrophe.

.::. Bien, ouvre les yeux à présent et regarde toi .::.

Je m’exécutais en me regarda, une aura blanche m’entourait, avec une queue que je pouvais distinguer de là, cela ne me déplaisait pas. J’en déduisais surtout que la force d’un bijuu se mesure au nombre de ses queues, et notre capacité à le maitrisé se résume elle aussi au nombre de queues que l’on peut sortir sans perdre le contrôle.


Part Two

Je bondis, de l’autre côté de l’enceinte où je me trouvais. J’étais à présent accrocher au mur j’avais traversé la pièce en une fraction de seconde, comme ça naturellement. Je devais aller quasiment à ma vitesse maximale, mais cette fois-ci sans effort. De mon point du vue, je ne pouvais me décrire entièrement, et à par cette aura blanche et cette queue, je ne voyais pas grand-chose de mon apparence, et mon imagination étant peu développée, je ne pouvais pas non plus imaginer cette dernière. L’homme sourit, surement satisfait de l’aide qu’il m’avait prodigué pendant ma longue prise de contrôle de ce pouvoir aussi fantastique sois-il. Logiquement, j’avais fais un cinquième de l’entrainement, puisque je pouvais garder le contrôle avec une queue, il m’en restait donc quatre.

Allons, Cloud, reviens par là que l’on poursuive.

Comme à l’allé, je me retrouvais presque instantanément à côté du vieillard. Je me calmais et fermais les yeux afin de retrouver ma concentration. Et je continuais à libéré de la puissance démoniaque en moi. Soudainement, je me sentis engloutit et je perdis connaissance. Lorsque je rouvris les yeux, le vieillard et moi étions dans un nuage de poussière se dissipant peu à peu. Le sol était fissuré sous nos pieds, même légèrement renfoncé. Le vieillard avait une main sur mon front, sous celle-ci il y avait un morceau de papier marqué à l’encre. Voyant mon air ahuri, celui-ci prit la parole.

Tu as été englouti par la puissance de Gobi, tu n’as pus la jaugé et ça à été trop vite pour que je puisse réagir mentalement. Ce n’est pas parce que tu as réussi à maîtrisé une queue qu’elles sont toutes aussi simple… Au contraire, la cinquième et dernière queue sera la plus compliqué à maîtrisée, ça va en crescendo. Alors ne prends la grosse tête tu veux ?

Après de brèves excuses je me mis de nouveau en position afin de continué l’exercice. Les paroles du vieillard m’avait refroidi, c’est vrai je m’étais un peu surestimé à cause du fait de ma maitrise d’une partie de la puissance qui m’habite. Je commençais à libéré, prudemment, la puissance de mon Bijuu, c’est comme cela qu’on les appelle, jusqu’au premier palier, la première queue. Je venais donc de confirmer ma réussite du premier exercice, mais cette fois-ci sans l’aide du vieillard. J’avais déjà acquis une certaine aisance à contrôlé mon démon, sans prendre la grosse tête évidemment, et ça irais surement de mieux en mieux, mais il fallait toujours être prudent, pour évité la catastrophe, l’événement précédent me l’a bien rappelé. C’est maintenant que la difficulté se présentait, la quantité de chakra augmentait sans cesse et il était très difficile de réussir à la garder sous contrôle. Malgré l’appui du vieil homme, je devais ardemment lutter au sens propre du terme pour que le démon ne prenne pas le contrôle de mon corps avec son chakra en abondance. J’ouvrais les yeux, je pouvais distinguer quelques uns de mes mèches s’agitant violemment, les longs cheveux du vieillard aussi étaient comme soufflés. En effet, le souffle que l’impressionnante quantité de chakra produisait était d’une puissance incroyable … Ma vue se brouillait, mes forces me quittaient, j’allais perdre connaissance, une fois de plus, j’espère que l’homme assit à côté de moi pourra me retenir comme il l’a fait juste avant … Non, je me laissais allé, il faut que je réussisse, je n’ai pas le choix, il y a des tonnes de gens beaucoup plus fort que moi, surtout des tonnes de déserteurs plus fort que moi, si je veux les éliminer … Ce démon n’est pas une malédiction, non c’est une aide, une aide pour pouvoir réalisé mon Nindô, celui d’éliminer tous les déserteurs de part le monde, éradiqué la race Nuke-nin, de cette planète. On m’a offert Yõso, mon épée, on m’a offert Gobi, celui que je pourrais appeler « Ma carte maîtresse » une fois que je le contrôlerais parfaitement. Enfin … Le contrôler, je n’aime pas ce mot envers quelqu’un de vivant, disons, une fois que je pourrais contrer toute tentative de rébellion de sa part, quand nous pourrons, travailler ensemble ! De plus, grâce à lui, je pourrais gagner du temps, car la fameuse organisation de la lune rouge viendra directement à moi, je n’aurai pas besoin d’aller chercher chacun de ses membres pour les éliminé. A chaque fois qu’un d’eux se présentera à moi, je combattrais et le tuerai, de cette façon, je protègerais tous les réceptacles de part le monde, et je pourrais même tenter de libérer ceux que cette organisation auront capturé … Ils me suivront bien dans ma quête, et peut être pourrons-nous créer un équipe de réceptacle maîtrisant parfaitement leur bijuu. Mais cela est peu probable et restera surement à l’état de projet. Mais tous cela pour dire que ma quête première dépend grandement de la réussite de cet exercice, il faut donc, que je réussisse ! Que je n’abandonne pas ! Le souffle s’intensifia encore, l’aura blanche déjà présente s’épaissit, et je vis, enfin, une deuxième queue blanche s’agité devant mes yeux … Je me sentais chaud, brulant même, et plein d’énergie … Ma force de vaincre, ma volonté d’accomplir mon Nindô si cher à mes yeux, avait encore une fois triomphé ! Un sourire satisfait se dessinait, encore une fois, sur le visage de l’homme. Quel était son but réel ? Pourquoi m’aidait-il alors que je ne le connais même pas ? Cela me tracasse beaucoup, il doit cacher quelque chose, c’est certain, mais quoi ? Je pense que je ne le saurais que le moment venu, en tout cas il y a de grandes chances pour.

.::.Alors comme ça … tu ne me vois pas comme un poids … ?.::.
.::.Non en effet, pour moi tu es au contraire un puissant allié !.::.
.::.J’ai eu bien des hôtes avant toi, si mes souvenir sont bons, je n’en ai apprécié qu’une seule … les autre non, mais je crois bien que toi, je vais t’apprécié aussi !.::.
Le vent soufflait très fort, éteignant bien évidemment toutes les bougies, mais ça ça vais un moment déjà, mais aussi écrasant ces dernière ainsi que leur chandelier, dans le mur à le fissuré. Le vieil homme en face de moi avait du mal à rester en position, en tailleur à environ un mètre cinquante de moi. Il me fit signe de revenir à la normale, ce que je n’avais jamais fait auparavant. Je me plongeais dans mon esprit, au plus fort intérieur de moi-même, spontanément. C’était comme un autre monde, je marchais normalement, pourtant aucun sol ne soutenait mes pieds. J’avançais jusqu’à arrivé devant une énorme grille blanche, une espèce de fumée de la même couleur en émanait. Derrière, il y avait quelque chose. Quelque chose que j’avais déjà vu auparavant, je le reconnaissais, c’était bien lui : Gobi, le démon à cinq queues. Je ne l’avais jamais vu depuis le jour où on me l’a scellé, je dirais même que je n’étais jamais venu ici. Les grilles s’entrouvraient, et m’approchais et les refermaient. Soudainement, je revins dans le monde réelle, face au vieillard, je n’avais plus mon aura blanche et ne voyait plus mes deux queues. J’avais donc réussi à revenir à la normale. Je me sentais bizarre après avoir revu Gobi, tous pleins de souvenir me revinrent, Zack, Trinity … Et celui que l’on nomme Patron, il doit surement être encore en vie. Je le retrouverais et l’abattrais de mes propre mains lui aussi, je dirais même que ça serait comme mon dernier combat, le combat ultime de mon existence…


Part three


Je me sentais étrangement bien, fatigué mais étrangement bien. Le vieillard me fit signe de venir vers lui, enfin plutôt de le suivre, et on passa dans ce qu’on pouvait appeler, une cuisine. Il y avait un four à bois, qu’il alluma, et du gibier par-ci par là. Il m’expliqua qu’il avait un amis qui venait le ravitaillé de temps en temps. Il fit cuire un poulet et l’amena sur la table, il le découpa et m’en donna un morceau. Au milieu du repas je demandais

Pourquoi m’aidez vous de la sorte euh … Je ne sais même pas comment vous vous appelé

Je m’appelle Makarof, Et ma raison pour laquelle je t’aide est une longue histoire …

J’aime les longues histoires …

Bon d’accord, je vais te la conter : C’était un soir d’hiver … Dans le pays de la Neige, donc un soir froid. Une troupe de Ninjas arrivèrent, voulant renverser le Yukikage et prendre le pouvoir pour instauré une dictature de leur chef à eux : Luxus. Cet homme était quelqu’un de particulièrement cruel et commença à dévasté les petits villages annexes l’un après l’autre jusqu’à arrivé à la capitale, ce soir là. Je fis entrer ma femme et mes enfant, ainsi que mes parents dans un tunnel que j’avais moi-même creuser, celui-ci les emmènerait dans une cache souterraine, à l’abri le temps que les affrontements passe. Moi je remontais combattre avec mon coéquipier, très jeune mais très talentueux. Il devait avoir une dizaine d’année, ton niveau, et surtout il maîtrisait parfaitement le Hyoton, art de maîtriser la glace : Shun était son nom. Les combat durèrent toute la nuit, Yukikage, désespéré, décida d’appelé son meilleur éléments, un réceptacle pouvant contrôler à sa guise son bijuu. Mais lorsqu’il s’avança, un autre Shinobis du camp adverse s’avança, lui aussi était réceptacle, Mais lorsqu’il lutta contre notre Shinobis il perdit le contrôle et libera son bijuu … Il avait cinq queues… Il détruit tout et tua tous le monde, sauf trois personnes, Yukikage, Shun, et moi-même. Notre réceptacle donna sa vie pour nous sauver et par miracle on pu sceller son bijuu dans le corps d’un autre presque dans l’immédiat, pour éviter une deuxième catastrophe. Lorsque je descendis dans mon tunnel, je vis qu’il était tout fissuré. Et quand j’arrivais à la cache, elle était à ciel ouvert et toute pleine de roche … J’avais perdu toute ma famille, et ce à cause d’un misérable Jinchuuriku qui n’avais pas pu contrôler la bête qui l’habitait ! Après cela je suis partit, et je n’ai plus jamais remis les pieds au pays de la Neige.

Et Shun ?

Je ne sais pas ce qui est advenu de lui, il est surement resté à Yuki, et est surement devenu la pièce maîtresse de Yukikage.
Des larmes coulaient sur le visage de Makarof, je ne me sentais pas vraiment à l’aise. Il m’aidait pour éviter à quelqu’un de connaitre le même sort que sa famille. Cela devait être terriblement dur pour lui puisque le démon qui à dévaster son village, tué sa famille …. C’est à présent en moi qu’il est scellé ! Même si je n’ai rien à voir avec lui, me voir me transformer en Gobi au fur et à mesure que je maîtrisais sa force devait le rendre mal à l’aise. Bref, ce n’est pas vraiment mon problème, c’est lui qui avait décidé de m’aider, moi je suis partis pour contrôler mon Bijuu à ma guise alors j’y arriverais. Après ce repas relativement copieux, Makarof pris la parole sur mon prochain entraînement qui serait légèrement différents des précédents.

Bon, maintenant ce n’est plus le mentale que tu as besoins pour pouvoir acquérir et maîtriser la puissance de la troisième queue. Ce qu’il te faut c’est un entrainement aussi bien physique que mentale en même temps !
Mais qu’allait-il donc me proposer pour coupler ces deux caractéristique apparemment nécessaires pour maîtriser ma troisième queue ? Makarof m’emmena à l’extérieur et me fit monter si haut dans les montagnes d’Iwa que l’on remarque bientôt la neige. Impressionner je m’arrêtais mais Makarof me poussa pour que j’avance encore. Arriver au sommet, ma respiration fort réduite, je me baissais en mettant mes mains sur mes genoux afin de reprendre mon souffle. C’est par surprise que je fus poussé dans la pente de quarante cinq degré. Je roulais sur une vingtaine de mètre avant d’entendre une explosion et de découvrir l’avalanche qui m’arrivait du dessus et le ravin dont j’approchais dangereusement sans contrôler ma course ! Je commençais à paniquer quand soudain, une voix surgit dans la tête

.::. Pense ce qu’on a fait tout à l’heure ! .::.

Ce qu’on a fait tout à l’heure ? Oh, ouais, je pense que ça sera nécessaire d’avoir une force en plus pour survivre. Je repris mon équilibre et me remis de bout mais je trébuchais et retomba dans un rouler-bouler infernal. Ma concentration, il faut que je me concentre. Pas facile lorsque c’est ça ou mourir ! Garder mon calme, je dois absolument garder mon calme. Me yeux se rouvrir, je bondis et effectuais une pirouette en l’air avant de retomber « à quatre pattes » et de courir de le sens de la descente. Cette aura blanche m’entourait encore, je pouvais garder l’équilibre à cette vitesse avec une avalanche aux fesses ! Epatant. Je continuais ma descente infernale vers le bas de la montagne. Je courrais jusqu’à ce que l’avalanche me suivant ce soit estompée. J’atteignais enfin la roche. Je m’en approche, le temps de l’atteindre e semble interminable. La roche ralentirait l’avalanche et je m’en sortirais. La limite, j’y pose le pied. Je m’envole, je n’entends plus rien, en bas, un nuage de poussière gigantesque, une explosion. J’entame la descente … Après quelques seconde je percute le sol avec fracas … Mon bras et surement cassé, ainsi que quelqu’une de mes cottes. Je me relève sans difficulté … Je me sens bien, ce que j’avais cru casser est enfaite intacte, J’ai toujours mon aura blanche m’entourant, mais entre temps, une deuxième queue m’est poussé. Je relève la tête, une fois de plus, et constate que l’avalanche continue sa course, renforcée de rochers de tailles diverses. Je repars en courant mais m’arrête très vite … Des habitations, une dizaine. Je n’ai pas le choix. Je saisi mon épée « Lame Katon ! » l’arme se charge, l’avalanche approche. Contact ! Je frappe, déchaînant une chaleur insoutenable … La neige fond au fur et à mesure qu’elle approche de moi, mais il y n a trop, puis les rochers ne fondent pas eux, je l’ai bien senti, enfin j’ai surtout bien senti celui qui me percuta de plein fouet. Sans réfléchir, au contact du rocher, je me retournais et partit en courant dans le sens de la descente, il ne fallait pas que le cataclysme gagne du temps sur moi. J’avais été légèrement engloutit par l’avalanche tout à l’heure, mais j’avais réussi à en sortir. On était plus qu’à une centaine de mètres des habitations à présent. C’était ma dernière tentative. Je pris mon épée et y concentra tout mon chakra. Je la levais très haut, et frappais le sol de toutes mes forces. Un énorme mur de terre sortit du sol, puis, comme par reflex, Je frappais un deuxième coup, et un deuxième mur de feu s’éleva, chauffant le premier à grande température. L’avalanche arriva, percutant de plein fouet ma barrière… La pression était telle que le mur commença à glisser sur le sol boueux à cause de la neige fondant au contact brulant avec mon mur. Il allait tomber, il fallait que je fasse quelque chose. Je me jetais sur lui, malgré la chaleur, j’ignorais la douleur, il y avait une chose plus préoccupante ! Il fallait que je dose ma force pour le retenir et en pas le faire tomber non plus ! Au fur et à mesure que je glissais, je forçais un peu plus et ce sur dix mètres. Enfin je stabilisais le mur, et par la même occasion ma force. Bientôt le mur tomba de lui-même avalanche était stoppée, j’avais réussi. Je me redressais et vis quelque chose s’agiter devant mes yeux. C’était sur, je ne louchais pas, c’était bien trois queue de chakra blanc !

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