Angel & Demon [ PV: Zenko ]

Le soleil commençait tout doucement à se coucher donnant au ciel une teinte orangé tout simplement magnifique pour les yeux. Un doux vent ballayais la ville de tout ce qui aurait pus gâcher la vue. Les couples se promennaient tout doucement, main dans la main et les enfants couraient dans la ville en riant donnant un air féérique à Tanzaku. Évidemment, il y avait toujours ces acros aux jeux qui parriaient même à cette heure-ci. C'était sûrement la seule chose qui brisait la beauté des lieux, les rires désagréables de la plus pars des hommes... À cette heure, ils étaient déjà tous saoul au maximum et il n'avait plus aucun respect les uns pour les autres et encore moins pour ceux qui ne pariait pas avec eux. Mais bon, Takara ne faisait pas attention à ces hommes pour qui elle n'avait aucun respect apparent. Elle était venus à Tanzaku dans un but bien précis et ce n'était tout de même pas une bande de saoulons qui allait tout gâcher. Enfin, il ya aurait toujours des personnes pour tout gâcher, mais pas aujourd'hui. Peut être demain, peut être après demain... Mais surtout pas aujourd'hui. Elle était ici dans le but de se reposer, elle trouvait le temps lourd à Suna et elle avait besoin de changer un peu de « vue ». Voir de nouvelles personnes et ... Enfait, elle voulait juste profité du temps qu'il lui restait à vivre. Elle se doutais que l'Akatsuki serait bientôt à sa recherche... N'était-elle pas l'hôte de Rokubi ? Le démon limace à six queues ? C'était loin de lui faire plaisir, elle devait l'avouer... Le seul petit côté positif avec Rokubi, c'était qu'il n'était pas un grand parleur. Le silence était souvent un allié de choix pour lui... Mais Takara ne l'aimait pas, c'était un démon et il avait tout pour la dégoûté. Enfait, tout les démons de ce monde la dégoûtait... Elle ne leur trouvait absolument rien d'attachant et c'était comprennable.

La jeune fille se leva du banc où elle c'était assise quelques minutes plus tôt et s'étira longuement avant de passer une main dans ses court cheveux bruns. Elle échappa un léger soupire d'exaspération puis regarda un moment le toit d'une maison comme une autre. Elle hocha légèrement la tête puis s'approcha trenquillement de la maison puis sauta sur le toit de cette dernière esperant ne pas avoir trop déranger les gens qui habitait l'endroit. Elle s'assit un moment sur le toit de la maison puis leva son regard vers le ciel... Le soleil se couchait beaucoup plus rapidement qu'elle le pensait. Bientôt, il aurait totalement laisser place à la nuit la plus complète... Une nuit sans histoire apparente pendant lequel Takara marcherait trenquillement dans les rues de Tanzaku à la recherche d'un endroit où elle pourrait être trenquil. Pour quel raison ? Elle l'ignorait... Mais elle y tennait. La jeune femme caressa doucement le toit de la maison puis sauta dans un arbre avant de redéscendre sur la terre ferme.

Sans porter attention au reste du monde, elle prit un chemin au hasard sans vraiment savoir où elle terminerait en final. Elle était habituer à la solitude, mais dans un endroit pareil, elle semblait presque être... Effrayante. Elle continua cependant de marcher en se disant que ses efforts serait probablement récompenser... Elle devait l'avouer, elle ne pouvait le renier... Elle avait peur. Le soleil était presque totalement disparut et elle marchait dans un endroit qui ne lui disait rien. Au loin, elle voyait déjà des arbres se détacher dans le sombre paysage... Une forêt ? Ce n'était pas autent les animaux sauvages plus que qui elle pourrait y rencontrer qui effrayait la jeune Osume. Cette dernière s'arrêta à l'orée de la forêt puis regarda longuement le reste du chemin qui était désormait en terre battus... Elle haussa légèrement les épaules pour elle même puis entrepris de suivre le chemin...
** Si ma mort ne serait pas garantit, je souhaiterais que les loups te tue et te mange par la suite ... **
Voilà, c'était en quelque sorte ça... La gentilesse de Rokubi envers son hôte. Certe, Takara comprennait qu'il soit fâché, on venait de lui enlever sa liberté et il ne semblait pas bien le prendre alors... La jeune femme pouvait dire qu'elle le comprennait, en quelque sorte. Difficile de comprendre un démon, mais tout de même possible. Que serait-elle si on lui enlevait sa liberté ? En effet, ça serait loin d'être jolie à voir... Tout le monde ou presque deviendrait agressif si on les priverait de leur liberté alors qu'ils ont par avant eu la chance de pouvoir prendre des choix eux même et de faire ce qu'ils voulaient... L'être humain était assez stupide pour priver un autre être humain de la chance d'être libre et lorsque c'était leur tour... Ils suppliaient tent bien que mal de leur laissé ce qu'ils avaient. La mort était-elle une liberté ? Une façon de libéré notre âme de l'enveloppe charnelle qui la retenait sur terre ? Tout dépendait des points de vue de chacun, Takara gardait une seule chose en tête... « Ne jamais faire aux autres ce que tu ne voudrais pas ce que les autres te fasse ».

La jeune femme regarda un moment le ciel puis fronça légèrement les sourcils... Elle avait ce drôle d'impression désagréable de ne plus être seule. Qu'il y avait quelqu'un d'autre et c'était loin de la rassurer. Déjà qu'elle avait plus ou moins peur du noir... Cette présence n'avait aucunement pour but de l'aidé à surmonter sa peur... Elle la rendait pire que jamais. Avait-elle envie de savoir qui était là ? Probablement pas et c'est pourquoi la jeune fille continua de marcher... En essayant de faire comme si ne rien n'était. Pourtant... Cette drôle de sensation de ne plus être seule ne voulait la quitter...

C’était une matinée comme toute les autres, en tous cas pour Zenko, il ne s’attendait à rien d’extraordinaire aujourd’hui ni à rien de réellement palpitant qu’il lui fasse montée l’adrénaline, il ne cherchait pas non plus ce genre de sentiment, il avait volé le pêché de Silver, il y a peu et cela l’avait fatigué énormément mais surtout, les demandes du nouveau défauts étaient exigeantes, il avait sans cesse faim, mais les pouvoirs qui allait avec était d’un grand intérêt, une possibilité d’avoir une salive acide qui décomposait tout et cela allait avec le faîtes de pouvoir mangé n’importe quel matériaux , même de l’acier, venait ensuite l’attaque ultime qu’il ne désirait pas encore expérimentez de risques de se faire repérez. Son identité de disciples de Lucy n’était encore connu de personnes , à part des défauts . Silver, n’avait pas à été à la hauteur de ce que Zenko espérait, et la mort de Silver ne fut pour lui en aucun cas une source de tristesses mais plutôt une nouvelle réjouissante, il avait plus de pouvoir et s’élevait au dessus de chaque humain, de chaque être vivant de cet planète, à part la prophète Lucy . Elle était, l’apparition sur terre de la force supérieur qui le commandait , et jamais, non jamais, il ne la trahirai pour rien au monde, premièrement , il n’était pas suffisamment puissant et il lui vouait un culte féroce.

Il séjournait à Tanzaku, dans un hôtel miteux même si son orgueil était totalement contre, il n’avait pas les moyens ni l’envie , les hôtels luxueux avec des garçons de chambres, l’air bon enfant prêt à tout pour qu’on les récompensent et qu’on les recommandent auprès de la direction pour touché une prime qui s’élevait souvent autour des cents ryos, les lits méticuleusement préparés , des draps en soie et en satin doux et sentant une odeur délicate de fruits, des oreillers doux et dur pour tout les goûts, un matelas confortable à souhait et souvent deux places . Des lampes de chevet au quatre coin de la pièce pour qu’aucun endroit ne soit pas lumineux et chaleureux, un papier peint souvent pale et peut intense laissant quelques fois une impression fade, les femmes de ménages avec leurs balais et serpillière passant au peigne fin chaque coin et recoin de la pièce plusieurs fois pour être sur de ne pas avoir de plaintes qui pouvait signifiait un renvoi ! Les autres personnes logeant dans ce genre d’hôtel était particulièrement désagréable, nouveau riche vantard dont on savait pertinemment qu’après la gloire viendra les déboires financiers dû au jeu et au investissement trop important, ou des anciens riches, absorbé par l’image qu’il reflète et qui s’habille de marques qui n’apportait rien d’autres qu’un nom sur un bout de tissu et qui ne supportait pas qu’on les considèrent comme tout le monde . Ce luxe n’était pas pour lui, il préférait de loin, les hôtels miteux dont la literie et fait sans volonté vu le salaire misérable de la femme de chambres, les serveurs limites polis qui ne se préoccupent de vous que quand vous leurs tendez un billet et surtout les passagers d’une nuit, d’un jour qui souvent faisait une aventure galante avec une femme de joie ou l’élue de leurs cœurs, ou alors des maris chassaient de chez eux par leurs infidélités ou encore des célibataires endurcit qui ne gagnent pas bien leurs vies et qui préfère le dépensé en alcool et en jeu de hasard.

Tanzaku était une ville bien particulière, souvent bien apprécié des adultes pour la facilité qu’on avait à avoir une fille de joie à ses côtés qu’on reconnaissait avec ses habits choquants et attirant d’abord le regards sur les formes généreuses et ensuite sur le visage, tenues extravagantes jusqu’au tenus vulgaire . Ou à pouvoir jouer sans limite du moment qu’on payait l’addition souvent, plus que salés. L’engrenage du jeu était un véritable enfer, et même les plus expérimentaient arriver encore à se faire berner. On commence à joué par plaisir, puis une fois qu’on gagne on se dit que la chance nous sourira peut être deux fois , mais après on perds et on se dit « La prochaine sera la bonne » et une fois que la plupart de nos sous sont partis dedans , on se dit « Bah, je n’ai qu’a gagné une fois et tout est remboursé » tel était le cercle vicieux du jeu qui alimentait l’appétit sans fin des caisses et des patrons, qui savourait particulièrement de arnaqué et plumés les pauvres gens perdu dans ce cercle et ne sachant pût où donné de la tête. La ville était chaleureuse, les lumières des enseignes clignotantes attiraient l’œil sur chaque surface, les couleurs se mélangeant pour devenir un véritable feux d’artifices, il y avait de quoi devenir aveugle, les magasins ici se battaient dans une lutte acharnait pour la réputation de leurs établissement et pour une clientèle plus élargis, baissant les prix excessivement pour attirés tout de suite les amateurs de bon marché ou alors vendant exclusivement de la marque attirant les gens plus aisés qui ne supportait pas d’acheté quelques choses où il n’y avait rien d’inscris. Les restaurants se livraient cette même lutte en essayant de vendre moins chère , d’avoir plus de qualités de nourriture et surtout une variante de plat à s’en mordre l’oreille, et dans tout ça les seuls qui gagnaient, été les clients content de cette lutte qui faisait baisser les prix et améliorait les produits .

Zenko décidant qu’il n’avait aucune raison pour qu’il reste enfermé dans cette chambre sordide toute la journée se décida enfin à sortir de cette chambre sentant le moisie et le sang de tout les toxicomanes qui sont mort dedans, l’extérieur de la ville était bien ensoleillé, le midi approchait rapidement et la faim se faisait sentir dans l’estomac de la gourmandise, il alla donc où son flair le guida, c’est à dire devant un stand de boulettes de riz en broche baignant dans de la sauce et pouvant être emporté, il en prit trois et s’en alla dans la forêt bordant Tanzaku, une forêt belle et qui semblait loin des misères des hommes, qui semblait ne pas souffrir de la pollution éventuel qu’aurai pu provoqué Tanzaku à la lisière de cette ensemble d’arbres. Il s’adossa contre un arbre et commença à mangé ses boulettes, une fois terminait , il s’endormit . Très vite l’absence de lumière et de chaleur solaire se fit sentir et le vent froid fit frissonné ses joues et sa nuque en le réveillant d’un coup, il sentait un chakra émergeant de la ville, se rapprochant doucement de son emplacement, il se releva brusquement, et laissa l’étranger s’avançait vers lui, se mettant sur l’arbre contre lequel il c’était adossé, il vit la jeune femme passait et sauta pour arrivé derrière elle et lui dit d’une tendresse obscur qui semblait aussi cachait une froideur :

« Tu m’espionnes ? »

« Tu m’espionnes ? »
Son sang se glaça littérallement dans ses veines, elle n'avait pas le courage de se retourner pour savoir qui venait de prononçer ces mots. La voix dont il avait parler n'inspirait pas vraiment confiance à la jeune Hyuuga qui l'avait tout de suite reconnus comme étant celle à cette drôle de présence qu'elle avait ressentit à peine quelques secondes plus tôt. Elle regrettait soudainement d'être venus dans un tel endroit... Allait-elle mourrire ? Non probablement pas... Elle serait capable de se défendre et dans le pire des cas, elle trouverais bien un moyen de s'enfuir... Un geste lâche, mais en échange de sa vie, la lâcheter lui semblait soudainement être un très bon choix. Elle savait qu'elle regrettrait probablement d'avoir fuis et elle devrait d'ailleurs endurer les insultes du Rokubi qui n'aimait pas vraiment les froussards. Mais cela importait peu présentement... D'ailleurs qui à dit que cette personne voulait réellement tuer la jeune Osume/Hyuuga !? Certe, sa voix n'inspirait pas confiance à Takara, mais les apparences étaient souvent... Parfois... Trompeuse. La jeune femme prit une grande respiration pour reprendre son calme puis se tourna pour pouvoir être face à l'étranger. Elle n'aimait pas se sentir de dos à quelqu'un, elle se sentait faible et sans aucun doute dans une mauvaise posture devant son adversaire. La jeune femme ressentait un sentiment d'insécurité... Le pire que Takara n'avait jamais ressentis jusqu'à maintenant.

Elle regarda un moment l'étranger, les sourcils fronçer sans prononçer un mot. Ce qui était d'ailleurs un peu normal venant d'une muette... Ne pas parler était loin d'être surprennant venant de Takara. Mais cette fois-ci, elle n'avait tout simplement rien à dire. Elle trouvait toujours un moyen de communiquer avec les autres, mais pas maintenant... Elle n'en avait pas envie. Elle allait porter sa main à la pochette qui contenaît ses kunaïs quand elle se rapella que c'était totalement inutile. L'étranger semblait être fort et ce n'était certainement pas avec un kunaï que la moine du vent pourrait le bâttre s'il se montrait hostile envers elle. Finallement... Il y avait et il y aurait toujours quelqu'un pour gâcher vos vacances. Que ce soit une présence ou une personne dont vous ne saviez rien, elle venait tout de même de gâcher sa soirer qui s'annonçait pourtant calme. Enfin, il y avait toujours une chance que Takara se trompe sur toute la ligne concernant l'étranger! Elle décida donc d'agir en conséquant, elle savait que sa peur en serait apaiser s'il elle agissait comme si cette personne ne l'effrayait pas juste par sa présence au près d'elle.

C'est donc avec un léger sourire aux lèvres que Takara seccoua la tête négativement pour faire comprendre à l'étranger qu'elle ne l'espionnait pas. Sans réellement savoir s'il conaissait le langague des signes, elle fit tout de même un seul signe qui avait tout simplement comme signification le mot « Désoler ». Non, elle n'était pas réellement désoler! Elle n'espionnait personne et puis d'ailleurs, être désoler pour quelque chose que l'on n'avait pas fait était totalement stupide. Elle avait signer désoler par simple formule de politesse, ni plus ni moins. Elle se demendait combien de temps cette rencontre durait, le soleil avait laisser place à la lune donnant au paysage un effet... Lugurbe et désagréable pour la jeune Osume. Cependant, elle se voyait mal regarder l'étranger lui sourire puis partir comme si ne rien n'était. De toute manière, s'il séjournait égallement à Tanzaku, il y avait de forte chance qu'elle le recroise même si elle n'en avait pas vraiment envie. La jeune femme hésita un moment puis replaca une de ses mèches de cheveux derrière son oreille en retenant un léger soupirement de satisfaction, ces dernières penser lui faisait comprendre que sa peur avait incroyablement diminuer laissant place à un drôle de sentiment pouvant ressembler à de la confiance.

[ Hors Rp: Dsl, mini! I Know! Mais c'est parce que je dois aller en cours et j'avais pas trop d'inspi' ce matin ... >< ]

Capricieux ... C'était le mot parfait pour définir l'état du destin aujourd'hui, lui qui n'accordait à Zenko aucune rencontre autre que sa maîtresse lui décidé, il ne sympathisé avec personne car personne n'osait le vénéré comme il se doit, lui, le fils de la prophète Lucy Heartfilia qui apportera la paix et la sécurité dans le monde des shinobis, mais pour cela, il fallait d'abord instauré l'ordre dans ce monde de ravages, on ne pouvait espérer une paix tenace que si une seule personne dirigeait, et la force dirigeant toute chose que bénissait Zenko et qu'il priait à chaque fois qui le pouvait serait enfin contente. Zenko devait devenir plus puissant s'il voulait espérer pouvoir servire cette force, cette dernière l'avait poussé à rencontré cette jeune femme, dans quel but ? Avait-elle un secret qui pourrait l'intéressé, ou alors un pouvoir pouvant aggrémenté la puissance déjà imposante de Zenko ? Si c'était le cas, il devait le savoir au plus vite pour ne pas perdre de temps avec ces broutilles de présentation, il fallait faire vite , il n'avait pas que ça à faire que de discuter avec une parfaite étrangère dont il ne conaissait même pas le prénom ni le nom.

Il sû tout de suite que cette jeune femme avait eu peur de sa prestation, il sentait toute la froideur de son être en entendant de sa voix douce qui était inquiétante dans une telle situation mais surtout avec le côté obscur qu'il y mettait. Elle ne se retourna pas tout de suite, sans doute de peur de voir un horrible monstre lui arraché la tête et la dévoré, elle paraissant si frêle mais dégageant une grande puissance. Loin de là l'idée de Zenko, il ne voulait pas le moins du monde la tué, en tout cas pour l'instant, il avait toujours savourés les mises en scènes et celle la lui plaisait assez bien. Le regards de Zenko se perdit un instant regardant la peau qui avait l'air si tendre, les cheveux noirs comme des corbeaux , et surtout, il remarquait qu'elle avait un silouhette avantageuse, et oui malgré sa religion, Zenko était un homme comme les autres et il savourait de voir une femme, mais ce n'était pas pour autant qu'il était amoureux, au non, pour lui ce sentiment n'est qu'une erreure humaine, tout les plus grands avaient échoué à cause de l'amour, le jeune garçon c'était débarassé de tout l'amour , il à bien longtemps , en tuant ses parents . Puis enfin, elle se montrait à cet homme qui l'avait surprise dans cette forêt, seule. C'était d'ailleurs suffisament idiot de sa part, un déserteur un temps soit peu mal intentionné en aurait profité et l'aurait massacré pour le plaisir. Le visage fin, des yeux d'un bleu profonds et une bouche qui semblait encore gâté par la joie enfantine, elle ne paraissait pas bien vilaine, plutôt agréable et sympathique.

Il ne s'occupait plus d'elle, il s'était lasser de la regardé et se concentrer sur des oiseaux, scrutant avec leurs yeux ronds inflexible les deux étrangers de la forêt, ils étaient dans leurs territoires ici et que de venir ici était légèrement osé alors que pour bâtir Tanzaku, il avait du rasé une bonne partie de la forêt, et l'industrie du commerce grandissant, cette ville serait peut être intéressé à s'aggrandir, ravageant sur leurs escales vers la gloire, tout arbres, et tout êtres vivant , n'épargnant rien, oui , c'était la loi dans le monde des hommes, la cupidité et la richesse avant les remords. Et Zenko, était pour l'harmonie dans le monde, il était d'accord pour construire des villes, des routes, mais du moment qu'ils n'éxagèrent pas et qu'ils ne détruisent pas la nature, il rêvait d'un monde où les gens ne se battraient pas pour avoir la plus grande fortune que l'autres, où les gens ne serait pas tenter de dépassé leurs voisins dans tout domaines, quand ils arrêteront enfin de se comparés aux autres ! Un monde sans les ravages de la guerre, mais pour cela, il fallait des victimes et si la mort d'une centaine de personnes permettaient ce monde, alors il n'hésiterait pas à balayé cette centaine d'une seule traite. Son regards changeant de direction pour passé des oiseaux à la main de la jeune femme, les yeux toujours aux aguets, la méfiance était une sécurité supplémentaire. Elle toucha sa poche de kunai, dans un combat, elle n'aurait jamais l'avantage, la puissance de Zenko était assez original pour surprendre et assez puissante pour détruire. Puis, elle se rétracta réfléchissant sérieusement à la question, elle comprit qu'elle ne pouvait pas espéré gagné en ne conaissant rien de l'adversaire.

Enfin, il eut sa réponse à sa question, elle était peut être tout simplement légèrement attardés et le temps que cela monte au cerveau, enfin bon, il savait bien que cette jeune femme hésitait à faire confiance à cet homme venue de nul part et qui se permettait de limite l'aggressé. Zenko arrêta d'être aux aguets, il comprenait qu'elle ne cherchait pas à l'espionner et cela devait donc être le fruit du hasard, elle fit un signe, les signes de la main qu'utilisait les muettes, et heureusement pour Zenko, celle ci n'était pas sourde, il l'avait compris quand il eut la réponse à sa question, étant de dos, elle n'aurait pas pu lire sur les lèvres étant sourdes. Il comprenait le signe, il l'avait appris à l'école des Anbus, il fallait savoir parler avec tout type de personnes si on espérait avoir quelques renseignements. La lune apparaissait, et cette lune pouvait symbolisé du romantisme comme de l'inquiétude, pour Zenko, cette lune était juste le passage du jour à la nuit, et rien d'autres. Il souria à son tour à la jeune femme, un sourire qui se voulait tendre et rassurant comme le ferait un père pour sa fille ou un amoureux pour sa fiancée. Il lui dit tout simplement d'un air plus chaleureux et moins obscur que la première fois :

"Désolé, j'ai toujours été méfiant de nature, je suis Zenko Kichi, Anbu de Kiri , et vous quelle est votre nom, mademoiselle aux magnifiques yeux du ciel !"

Zenko se voulait agréable mais également fourbe, il faisait ça non pas pour sympathisé mais pour savoir pourquoi la force lui avait envoyé cet être dénué de parole mais qui semblait cachait quelques choses, une chose qui pourrait tout changé dans la vie de Zenko, une puissance qui lui était encore inconnu abritait peut être dans l'antre de la jeune femme. Il continua et dit de son ton toujours aussi chaleureux en prenant la main de la jeune femme et déposant un délicat baisé dessus , il aimait tant les mises en scènes :

"J'espère que vous me ferez l'honneur, de discutez et de dîner avec moi, j'en saurai ravi , et c'est la moindre politesse pour vous avoir aggresser et fait peur à une si jolie jeune femme"

Le silence était, par conséquant, son meilleur allié. En gardant le silence, elle était certaine de ne jamais rien dire qui pourrait ... Tout simplement la mettre en mauvaise posture. Il n'y avait, d'ailleurs, rien n'y personne qui pouvait la vendre. Jusqu'à présent, elle c'était bien entendus avec la totalité des personnes qu'elle à rencontrer au cours de sa courte vie. Enfin, à sa connaissence, tout le monde l'avait aimer. Cependant, elle avait longtemps souffert de son handicap. Être muette occasionnait souvent des problèmes avec les gens « normaux » Tout le monde le savait, les jeunes n'étaient pas souvent les plus gentilles personnes de ce monde. Enfait... Plus on était jeune, pire on était... On devait sans cesse faire du mal autour de nous. C'était comme une obligation... C'était peut être pour cette raison que Takara avait de la difficulter avec certains enfant. Elle avait sans cesse peur qu'ils la traîtent tous comme les gamins à l'académi. Elle ne souffrait pus depuis seulement trois ans et elle n'avait pas envie que ce martyr recommence. Elle savait qu'elle ne pourrait jamais vivre une vie normal, mais étais-ce une obligation de rendre les choses pires qu'elles l'étaient déjà ? Non probablement pas, si seulement elle pouvait vivre une vie ressemblant à celle d'une personne normale... Ça serait déjà bien. Elle devait l'avouer tout de même... Seulement, elle n'avait rien de normal. Comment pouvait-on être normal quand on était muette et que l'on était l'hôte d'un démon ? C'était probablement impossible, malgré tout... Elle essayait de voir la vie du bon côté. C'était toujours mieux que s'appitoyer sur son sort non ?

Elle leva son pâle regard vers le ciel dans un léger soupirement puis replaca une mèche de cheveux derrière son oreille. Elle ne portait plus attention à l'étranger dont la présence l'inquiètait plus que jamais... Elle préférait regarder la lune qui la rassurait d'avantage qu'un étranger qui l'avait traîté d'espionne à la seconde où il l'avait vue. Avait-elle une vie ennuyante au point d'espionner un étranger dont elle ne savait la présence que part un sentiment d'insécurité !? Si tel était le cas, elle devait avouer plus que jamais que sa vie n'avait absolument rien d'interessant. Aussi bien mettre fin à ses jours dans un tel cas. Probablement que si elle était encore vivante c'était parce qu'elle avait une vie légèrement plus interessante que ça ? Ou peut étais-ce juste parce qu'elle n'avait pas envie que Rokubi cause trop de malheur dans ce triste monde. Elle y tennait maintenant, les ninjas et même les paysans étaient gentil envers elle... Elle se sentait enfin à sa place. Un sentiment qui l'avait aussitôt rassurer. Il n'y avait rien de drôle à se sentir de trop dans un monde dans lequel on sait qu'on a sa place. C'est un sentiment désagréable qui amenne souvent tout ceux qui le ressente à broyer du noir... Viendra ce qui vient ensuite.

La jeune femme hocha la tête pour elle même puis reposa son regard ainsi que son attention sur l'étranger. Elle savait que sa réponse avait tarder et elle avait eu ses raisons de la faire durer aussi longtemps. Elle n'aimait pas particulièrement sympatiser avec des personnes auquel elle ne faisait pas particulièrement confiance et cet homme... Il faisait partit de ses personnes. Elle n'avait pas aimer la façon dont il lui avait parler. Pour la première et sûrement dernière fois de sa vie, elle avait réellement penser que sa fin était arriver. Cependant, voyant qu'elle tardait... elle s'était tout simplement éloigner de l'étranger et elle lui avait sourit dans le but de ne pas montrer la peur qui l'étranglait et qui l'empêcher d'avoir l'air normal. Elle avait, ainsi, fait disparraître cet affreux sentiment de remarquer que l'autre est probablement plus puissant que toi. Elle regarda un moment l'étranger en souriant... Il avait un certains style. Un apparence sombre, sans aucun doute. Un style puis donnait froid dans le dos ... Du moins, les plus peureux de ce monde ne manquerait pas de le remarquer.

Elle fut surprise de voir son sourire... Un sourire tendre qui rassurait légèrement la jeune femme malgré sa courte confusion devant un tel changement d'atitude.
"Désolé, j'ai toujours été méfiant de nature, je suis Zenko Kichi, Anbu de Kiri , et vous quelle est votre nom, mademoiselle aux magnifiques yeux du ciel !"
Elle se surpris à rougir légèrement, elle était légèrement contente que la nuit soit tomber désormait. La légère teinte rouge qu'elle avait passait innaperçut dans la noirceur de la nuit. Elle n'était pas vraiment habituer aux compliments et probablement qu'elle ne le serait jamais. Elle ne réagit cependant pas quand Zenko prit sa main et déposa un baiser dessus. Pourquoi ? Car elle se doutait que quelque chose clochait dans toute cette histoire.. Elle ignorait quoi, elle ignorait comment... Mais quelque chose n'était pas comme elle serait suposer l'être.
"J'espère que vous me ferez l'honneur, de discutez et de dîner avec moi, j'en saurai ravi , et c'est la moindre politesse pour vous avoir aggresser et fait peur à une si jolie jeune femme"
Voilà qui lui semblait déjà être une meilleure idée. Elle n'allait quand même pas refuser un dîner... Un tel choix serait stupide et probablement qu'elle le regretterait pour tel ou tel raison. Takara passa doucement une main dans ses cheveux bruns puis sortit son parchemin et un crayon d'une pochette. Elle ouvrit légèrement le parchemin en retenant un soupire puis commença à écrire, une écriture que l'on pouvait qualifié de magnifique. Enfin, la jeune fille avait écrit toute sa vie. Elle préférait écrire que de signer, pourquoi ? Parce qu'elle se sentait plus en vie quand elle pouvait faire quelque chose que tout les autres étaient capable de faire.
« Takara Hyuuga, votre proposition m'enchante... Je serais égallement ravis de dîner avec vous. »
Un courte phrase, elle n'avait pas grand chose à écrire. Elle avait longtemps penser à ses mots... Sur le coup, ils ne lui avaient pas sembler approprié, mais elle n'en avait rien fait et les avaient laisser tel qu'elle. Ce fut avec hésitation qu'elle montra le parchemin à Zenko... C'était probablement le seul problème de cette façon de communiquer d'ailleurs.

Le sourire de Zenko était gravé sur ses lèvres comme de la pierre, il avait l’étrange capacité avec un seul sourire de faire ressentir n’importe quel sentiment : La peur avec un sourire trop large et un regards d’envie de meurtre, l’incertitude avec une apparence neutre ou avec son sourire et une aura obscur, la tendresse avec un sourire chaleureux s’élevant comme son plus beau sourire. Et tout cela, rien qu’avec ses lèvres, il savait comment positionné chaque once de sa peau rouge pour faire ressentir ses sentiments , la plupart du temps, faux. Il n’avait jamais eu aucune tendresse envers personnes, sauf envers sa mère, il l’aimait et la haïssait pour ce qu’elle lui avait fait, mais, il l’a respecté en tant que maîtresse suprême et prophétesse de la force. Zenko avait misé tout sur la carte de la sympathie et d’une tendresse presque fraternelle . Le jeune homme qui pouvait se transformé en jeune garçon à tout moment, aimait les mises en scènes et les faux semblant , elle qui était muette devait très mal vivre son handicap, être muet, n’était guère chose facile dans notre société, quand on était pas comme tout le monde, on était monstre, mais il vaux mieux être monstre que banale, car , la banalité est une chose qui n’importe strictement rien comparé à l’individualité, on pouvait se faire remarquer, ça avait été le cas de Zenko, remarquait par Lucy-sama encore Anbu de la Racine et qui lui avait donné l’orgueil, le plus proche d’elle, pour se crée un allié fidèle. AU départ , Zenko, ne ressentait qu’un sentiment de respect d’élève envers maîtresse, mais cela devenait une véritable obsession, il l’a prié, chérissait, elle prophétesse de la force supérieur, celle qui apportera son équilibre ou alors les abîmes. Un sourire s’empara de ses lèvres, l’avantage qu’on est muette et quand on est capturé, c’est qu’on ne peux rien dire d’idiot, vu qu’on réfléchit en écrivant, tandis que la parole est parfois spontanée et non désiré. C’était sans doute l’un des rares avantages en tant que ninja.

Pour tant, malgré tout le respect qu’il avait pour elle de supporter cet handicap chaque jour de sa vie comme une des plaies d’Égypte , il l’a méprisait au plus profond de lui, il ne supportait pas ce genre de personnes, sympathique et souriante presque en quasi continuité, qui était toujours optimise, en tous cas, c’était ce qu’il ressentait en la voyant, il ne supportait pas ce genre de personnes, sympathique et joyeuse, trop sympathique et trop joyeuse, il se méfiait grandement d’elle, même si elle n’avait pas l’air très intelligente, ni très forte, elle pouvait dissimulé derrière son apparence jeune fille, une fourberie et une traîtrise comme le faisait Zenko. Il n’avait non plus aucune sympathie pour elle qui ne l’attirait qu’a moitié, elle n’avait pas les formes bien arrondis et bien généreuse, le visage avec ça coupe aux cheveux courts pouvait ressemblé s’y méprendre à un garçon manqués et son visage était surtout enfantin, elle n’avait rien des jolies femmes sexy et séduisantes, elle était elle, et Zenko, s’en fichait bien de qui elle était , du moment que la force ne l’avait pas envoyé ici pour faire de la causette avec ce genre de femme.

Elle semblait surprise de voir tant de tendresse dans la voix de Zenko, en même temps après ce qu’il lui avait dit avec son apparence sombre et sa voix peu rassurante, n’importe qu’elle parole dîtes sur n’importe quel ton, pouvait se relevé tendre. La confusion, Zenko aimait rendre les gens en face de lui fou , en changeant sa personnalité, ses émotions, ses paroles, insultant et pouvant être tendre par la suite, il était du genre lunatique, un jour aimait et l’autre détestait. . Il n’aurait pas était étonné de savoir qu’elle avait passé au rouge, mais il s’en fichait royalement, il ne s’inquiétait que de ce que la force pouvait trouver à cette fille. Zenko avait employé chaque mot méticuleusement pour ne pas laisser transparaître, le peu d’intérêt qu’il lui portait et surtout ses réels intentions . Soudain, il se concentra à nouveau sur la jeune fille, qui déballait un parchemin, elle préférait donc écrire que faire des signes, ce n’était pas pour déplaire à Zenko qui n’avait pas que ça à faire que de déchiffré des signes, elle avait une belle écriture, mais bon, ce n’était pas l’intérêt du jeune homme. Une Hyuga … Le Byakugan serait le bienvenue dans sa collection d’atout, Lucy pourrait lui greffer s’il lui rapporté un des yeux. Elle avait peut être encore d’autres atouts caché , il allait devoir la tué de toute façon, mais il ne pouvait laisser passait un don plus puissant que le Byakugan. Il la prit par la main sans aucune gêne entrelaçant ses doigts avec les siens , comme le ferait un couple amoureux, d’ailleurs ,si elle pouvait tomber amoureuse de lui, la boucle serait bouclé, il profiterai d’elle et une fois finit, il l’a tuerait comme ça, l’emmenant dans un restaurent qu’il avait connu grâce à sa gourmandise de plus en plus imposante. Il caressait les doigts de son invité du soir, de façon sensuelle et tendre, il avait en quelques secondes cernaient sa personnalité, et la faire craqué, ne serait pas plus dure que de coupé un gâteau. Marchant sans bruit, dans l’air et la vision noir avec comme seul point de repère le feu des commerces de Tanzaku et la beauté de la lune.

Elle restait froide, distante, méfiante, etc. Elle n'aimait pas la tournure de cette rencontre. Même si Zenko semblait être beaucoup moins agressif, elle continuait de se dire que la première impression était toujours et sera toujours la bonne. Ce sentiement d'insécurité ne la quittait guerre et il lui rapellait sans cesse que les apparances étaient souvent tompeuse. Elle ne craignait pas pour sa vie, si les choses touraient mal, elle savait qu'elle pourrait compter sur Rokubi. Pourquoi ? Parce que les choses avaient été claires: Si je meurs, tu meurs. Évidemment, elle n'y croyait pas. Elle savait que Rokubi viverait sûrement, mais faire comprendre à ce démon qu'elle n'était pas un jouet avec lequel on pouvait faire tout ce dont on a envie était suffisant pour elle. Elle savait que ce n'était pas le grand amour entre elle et Rokubi et ça lui importait peu. Jamais, mais au grand jamais, ça serait le grand amour entre elle et un démon. Elle les détestait du plus profond de son être. Ils étaient tous le contraire d'elle.

Elle fronça légèrement les sourcils quand Zenko prit sa main sans aucune gêne. Ce fut quand il entrelaça ses doigts avec les siens qu'elle rougit légèrement contrairement à tout ses attendes. Pour la première et la dernière fois de sa vie, Takara se sentait faible. C'était comme si tout ses efforts pour tenir tête aux autres et être insensible à tout ce qu'ils pouvaient faire n'était qu'un peu de poussière qui attend d'être nettoyer. Çela l'insultait du plus profond de son être. Rien de très surprenant, elle avait toujours dut se bâttre plus être égale aux autres et encore parfois elle avait l'impression d'avoir échouer... Plus que jamais. Elle essaya cependant de ne pas porter attention à Zenko quand ce dernier caressa ses doigts. Ne pas lui porter attention était le seule et unique moyen de l'empêcher de rougir et par la même occasion le seul moyen, pour elle, de se sentir un peu moins faible que quelques secondes plus tôt. De toute manière, elle était beaucoup plus occuper à regarder le décors que penser à Zenko. À cette heure, Tanzaku était très peu éclairer et la couleur du feu des commerces et celle de la lune lui donnait un air féérique que Takara aimait beaucoup. Elle ne regrettait aucunement son idée de prendres des vacances dans un lieux si magnifique même si elle était en compagnie d'une personne qui lui faisait à la limite peur et d'un démon qu'elle n'appréciait pas vraiment. La jeune femme retenus un soupire surtout adresser à elle même. Elle n'avait rien à dire et tent mieux, elle n'avait pas envie de discuter avec Zenko. Elle se tenait sans cesse sur ses gardes en sa présence malgré l'air ... différent qu'il avait. Contrairement à la première chose qu'il lui avait dit. Elle tourna légèrement son regard vers lui puis fronça légèrement les sourcils. Elle gardait le silence, un profond silence qu'elle n'avait pas envie de détruire pour rien au monde. Un mauvais pré-sentiment l'habitait qui s'ajoutais que beaucoup trop facilement à ce sentiment d'insécurité qu'elle avait depuis la première seconde où elle avait vue Zenko. Un homme qui changeait aussi facilement de façon d'agir pouvait-il être « correcte » ?

Elle regardait avec étonnement et admiration le paysage. Elle avait presque totalement oublier la présence peu souhaiter de Zenko. D'ailleurs... Elle se demendait réellement s'il ne jouais pas un personnage. Comme Takara dans l'fond, elle avait bien beau vouloir essayer d'être gentille, c'était loin de ressembler à ce qu'elle ressentait réellement en présence de Zenko. Il l'inquiètait, elle était inquiète pour sa vie. Il sentait la puissance à des kilomètres à la ronde et elle savait que si ce ne serait de Rokubi, ses chances de vaincre Zenko à un combat étaient plus mince que jamais avec n'importe qui d'autre. Pourtant, elle gardait la tête haute même si elle ne voulait que partir. Elle était lâche tout de même! Une simple présence peu ... agréable, et voilà qu'elle voulait déjà partir loin, loin, loin. Elle avait honte d'elle même, ses pensé l'insultait. Elle n'était pas la Takara qu'elle connaissait, celle qui tenait tête à tout ceux qui se présentait sur sa route. Elle avait un chemin à suivre, une destiner à accomplir et elle n'avait pas l'intention d'emprunter un autre chemin. C'est pourquoi elle bravait les obstacles... Sans prendre de raccourcis même si, à la fin, ce dernier semblait beaucoup plus avantageux. Soudainement, elle remarqua que le silence était maître des lieux. Dans la faible espoire de ne pas sembler désinteresser par l'envie de rester ici elle sortis son parchemin avec sa main libre puis relis un moment ce qu'elle avait écrit quelques minutes plus tôt. Elle hocha légèrement la tête puis enleva sa main de celle de Zenko lui arrachant un sourire subtile et barra ses paroles de tout à l'heure toujours en souriant avant d'écrire de nouveau.
« Où allons-nous ? »
Elle regarda un moment ce qu'elle avait écrit puis échappa un sourire vague avant de montrer le parchemin à Zenko. Elle se sentait stupide... Mon dieu qu'elle se sentait idiote...

Tanzaku … La ville où logeait Takara et Zenko apparemment, était d’une beauté magnifique, on pouvait croire plusieurs choses en voyant ce magnifique décor qui dans la nuit noir, paraissait être un léger rougissement de la lune, une chaleur se dégageait, on avait envie d’y pénétré et de mettre un pas dans la danse fougueuse que la Lune et le Soleil dansait ensemble, comme un couple, se cherchant et ne se trouvant que rarement, comme l’amour en faîtes, on ne découvre le véritable amour que très rarement , on se trompe, on tombe et on se relève pour allé de nouveau à la recherche de celui qui nous attends, peut être à l’autre bout de la Terre, ou en face de chez nous. La rencontre de l’amour, ne pouvait pas être comme dans les films, elle ne pouvait pas l’être, une rencontre par hasard en se cognant contre une personne, ou encore, en faisant tombé son verre sans faire exprès sur une fille dans une soirée. Mais, à cause des films, beaucoup ont crû à cause de ces coïncidence , qu’une femme banale pouvait être celle de leurs vies . Zenko, lui ne croyait pas au coïncidence, rien n’arrivait par hasard, la force supérieur était celle qui l’avait guidé jusque ici, pour une raison bien précise, et surtout, il devait rencontré, cette femme, ni belle ni moche, peu banale , mais qui n’avait pas l’air suffisamment puissante pour répliqué à une attaque. La lumière émanant de Tanzaku, pouvait semblé à un feu, un feu d’un gigantesque dragon, crachant ses flammes comme pour atteindre la lune. On pouvait aussi pensé à une attaque d’un peuple venu des montagnes, ou de la forêt, pillant et brûlant toute structure comme pour dire qu’ils sont passés par là , mais cela étonnerai Zenko, que des barbares s’en auraient prit à Tanzaku au point de la brûlé, cette ville était plutôt neutre et ne se préoccupait pas des querelles, elle ne s’occupait que de son commerce, cette ville de toute les activités, un commerce c’était crée autour de Tanzaku, une économie même, les gens jouaient , perdre, noyez leurs pertes dans l’alcool, puis dans les femmes, puis enfin, ils prenaient une chambre pour la nuit, trop ivre pour voyager. Tanzaku, d’ailleurs ne misait pas son chiffre de commerces, sur les vacances de deux semaines en familles, mais plutôt, les week-end où on se lâchait, loin de la famille et de toute moral.

La prise de la main de Takara, sonnait comme une victoire aux yeux de Zenko, elle ne s’était pas débattu, soit elle était vraiment timide, soit elle devait apprécié au minimum qu’un garçon lui prenne la main, après tout vu son physique, elle ne devait pas être habitué. Il l’a sentait se vidait peu à peu de sa volonté, la puissance de Zenko, le charme dégageait était une véritable arme quand il s’en servait intelligemment et dans un but précis. Il connaissait les femmes aussi bien qu’il avait connu sa propre mère et savait parfaitement comme les séduire difficulté apparente. Premièrement crée, comme un feeling entre les deux personnes et ensuite passé au compliment, puis faire des actes sensibles et incroyablement doux , puis enfin la jeune femme allait craquer , elle allait devenir qu’un jouet entre ses mains, jamais elle ne pourrait résisté longtemps au charme dégageait par sa prestance. Il s’en fichait de ce qu’elle pouvait ressentir en ce moment, une seule chose lui importait, c’état qu’elle craque avant la fin de la soirée. Après, elle oublierait tout son comportement durant cette soirée et ne se préoccuperait plus que de lui . Pourtant, il était presser, il voulait en finir au plus vite avec sa fausse comédie, il allait devoir accélérez les choses et le faîtes qu’elle soit muette ne facilitait rien, cela empêchait presque le contact entre les deux êtres, elle empêchait la communication de vive voix et c’était plutôt un gros inconvénient dans le plan de Zenko . Il l’a sentait distante de lui et c’était plutôt gênant pour lui. Sa première prestation et le ton agressif avait été une erreur monumentale . Elle était devenu froide et méfiante envers lui et devait trouvé ça louche qu’il change comme ça d’attitude. Mais l’espoir était toujours présent, il ne l’avait jamais quitté, tant qu’elle ne le repoussais pas, il restait une chance, même infime. Il crû que tout espoir était perdu quand elle retira sa main, mais fut rassuré de la voir écrire, il regarda la phrase écrite, et dit d’un ton doux et tendre, avec une pointe de romantisme se rapprochant d’elle et déposant ses lèvres sur les siennes pour les éraflés :

-Où tu te sens le mieux, restaurent, ou on reste tout les deux là, dans la nuit, c’est comme tu le désire, princesse !

Il était pressé d’en terminé avec cette jeune femme, et il espérait que ce genre de marque de tendresse avait finit d’achevé les dernières craintes qu’elle avait, c’était plus du genre quitte ou double , elle pouvait largement lui foutre une gifle et en resté là en se sauvant, il aurait l’air bien idiot, après avoir sacrifié un peu de son temps, ne rien avoir, cela aurait le don de l’énervé . Et il ne pourrait contrôlé ses pulsions de meurtres, la jeune femme avait intérêt de courir vite dans ce cas là. Elle devait fléchir devant lui, s’inclinait devant son charme, devenir à lui, se voué à lui. Il ne désirait qu’une chose, la puissance , et elle allait peut être, celle qui allait lui procuré . Dans tout les cas , il lui restait le Byakugan, il pouvait demandé à sa mère de le lu greffé, et ça serait un atout énorme pour la suite, mais il voulait la gardé envie, il fallait savoir tout ses secrets. Et si elle devenait folle de lui, une marionnette en plus ne se refuse pas comme cela. Pour resté en vie, il allait falloir qu’elle se plie à sa volonté, si elle refusait, elle allait devoir mourir . Sa main caressait sa joue délicatement, et il restait là, son visage près d’elle , les yeux dans les yeux, un regards intense s’échappait. La nuit et la lune allait être le témoin d’une scène soit d’amour, soit d’horreur.

Bof, la réponse l'importait peu. Elle avait l'impression que Zenko se moquait éperdument de elle et elle n'aimait pas ça, ce n'était pas parce qu'elle avait décider de jouer la petite fille innocente qu'il fallait en profité pour se moquer d'elle... Enfin, d'un côté, il n'y avait rien de certaind! Peut être que tout ses gestes et ses paroles, si douce et si agréable à l'oreille de Takara étaient vrais... Mais pourtant, il c'était montrer si froid lorsqu'elle était passer devant lui! Elle était tout simplement passé, comme si ne rien n'était, remarquant à peine la présence de Zenko et il l'avait tout de suite attaquer. Pas physiquement, mais verballement... Jamais Takara n'avait eu aussi peur de quelqu'un! Elle n'était pas quelqu'un de faible et de lâche qui se cachait sans cesse derrière les autres et comptant sur leur aide pour vivre, mais quand Zenko c'était adresser à elle... Elle avait eu envie de se cacher derrière quelqu'un, tout corp tremblant. Elle c'était sentie faible et elle avat l'impression que Zenko avec remarquer cette faiblesse, quelques secondes de trop dans sa vie! Quelques secondes qu'elle aurait de loin préférait faire disparraître... Ou n'avoir jamais « créé ». Elle savait que malgré l'air rassuré qu'elle se donnait... Arf! Elle détestait cette situation, un point c'est tout. Cette impression d'être faible! Cette impression d'avoir à ses côtés quelqu'un de supérieur à elle... D'avoir un dieu alors que toi tu n'es qu'une pauvre... Une pauvre... Tu n'es qu'un grain de sable sur la plage alors que lui il est l'océan! Ou une roche tient! Une énorme roche qui prend toute la place sur cette même plage.

La jeune fille retenus un long soupire... M'enfin, elle verrait comment les choses se termineraient. Peut être que Zenko n'était pas quelqu'un de si mal malgré tout... Ne jamais se fié aux apparances, on lui avait souvent répété ses paroles.... Mais devait-on se fié à nos présentiments !? Malheureusement, personne n'avait jamais sortis de phrase super intelligente sur se genre de situation. Voulant à tout prit arrêté de penser à ce genre de chose, la jeune femme décida de regarder le magnifique ... décors que Tanzaku proposait. La soirée était tombé, le soleil avait laissé place avec réticence à la lune et Takara lui était reconnaîsante. Pourquoi !? Car elle préférait la nuit au jour. La nuit, le temps étaient clément et tout semblait deux fois plus effrayants quand on ne voyait qu'un ombre noire se détacher dans le paysage! Elle aimait la nuit pour les nombreuses légendes qui lui étaient attachés, mais aussi parce qu'elle se sentait bien dans ce décors lugurbe. Mais il y avait toujours des exeptions à tout! Tanzaku étaient éclairé à cette heure ce qui enlevait le côté « Effrayant » de la nuit et laissait place au côté « Fantastique ». Elle se sentit devenir rouge tomate quand elle sentit les lèvres de Zenko effleurés les siennes. Sur le coup, elle dut se faire violence pour ne pas lui rendre le pâle et si ... doux !? Non, ce n'était pas elle ça. Takara fronça légèrement les sourcils puis échappa un pâle sourire en regardant Zenko... Amusante, elle ne pouvait dire que ça de la situation.
-Où tu te sens le mieux, restaurent, ou on reste tout les deux là, dans la nuit, c’est comme tu le désire, princesse !
Elle mit une main sur son ventre puis haussa les épaules. Elle n'avait pas réellement faim alors et elle se sentait mieux à l'extérieur plutôt qu'à une table avec Zenko face à elle. D'ailleurs, resté assise à une place trop longtemps n'étaient pas quelque chose qu'elle appréciait réellement. Takara avait besoin de bouger, c'était comme un besoin vitale pour elle. Resté assise à une table et manger pendant des heures n'était pas quelque chose qu'elle affectionnait particulièrement. La jeune Hyuuga regarda son parchemin un moment puis l'ouvrit un peu plus en jouant un moment avec son crayon. Avait-elle réellement envie de répondre ? Avait-elle seulement le choix de répondre à cette question ? Elle retenus un soupire puis arrêta sa de jouer avec le crayon pour enfin écrire quelque chose.
« J'aime bien le noir et je dois avouer ne pas vraiment affectioner les restaurants. On peut resté à l'extérieur ? »

Elle montra le parchemin à Zenko et ne put s'empêcher de sourire légèrement, elle se sentait stupide... Mais étais-ce grave ? Elle savait tout simplement qu'elle se montrait faible, ignorante... Mais heureuse. Alors qu'elle était tout le contraire... Elle voulait seulement profité de ses vacances comme elle aurait dus le faire aujourd'hui. Que ce soit en bonne compagnie ou non.

La nuit était l'occasion rêvait pour être un vrai petit démon, elle cachait notre visage, elle cachait nos sentiments, elle cachait tout ce qu'on lui demandait de cacher, mais il fallait se tenir près à voir arriver le soleil et alors ne plus pouvoir se caché dans les ténèbres. Les deux plus beaux moment de la journée pour Zenko était l'aube et le couché de soleil, ces deux moments qui permettaient la transaction du jour et de la nuit. La forêt était des plus inquiétantes, les bruits des animaux nocturnes qui chassaient ou se faisait chasser, le bruit de milliers d'insectes qui grouillent sur le sol , et ce silence qui rendait n'importe qu'elle mouvement ou parole en écho et qui donnait une ambiance réellement lugubre à la situation. Le silence était une des choses que Zenko détestaient le plus dans ce bas monde, ces moments où on s'entends respiraient où on entends qu'il suffit que notre coeur arrête de battre pour qu'on meurt, où on se sent vulnérable, où un bruit fendant l'air nous fait peur. Zenko reconnaissait la grande erreur qu'il avait commis, il avait attaqué Takara sans la connaître, elle et s'est nombreux pouvoirs . Le Byakugan, bien que plus faible que le Sharingan pouvait permettre d'avoir une très grande vision et ainsi d'être protégé d'attaque venant à distance, il connaissait aussi l'histoire de l'angle mort presque imperceptible. Il sentait la faiblesse de la jeune femme face à lui, et il ne pouvait s'empêché d'avoir une certaine répulsion face à cette faiblesse, cette dernière était la pire chose que Zenko craignait devenir faible, lui qui n'existait que pour servir la force et son prophète Lucy, s'il deviendrait faible, alors il ne pourrait plus prétendre au trône de second prophète ni même au rang de premier défenseur de la force.

La manipulation avait toujours été l’arme de prédilection de Zenko , il savait parfaitement choisir chaque mot et le faire pesait dans la phrase avec importance, la plupart des filles craquaient sous son charme, et on les retrouvaient le lendemain éventrés et mutilés. Pourtant, avec cette jeune fille, il avait fait une erreurs de débutant en l’attaquant tout de suite et cette bourde ne pourrait être réparez que s’il devenait ami avec elle et non pas tout de suite petit ami. Il devait changé de vestes, la première fois depuis longtemps, n’ayant aucun amis, seulement des collègue, il se demandait encore comment être l’ami de quelqu’un. A ce qu’il savait, de ce qu’on lui à dit, c’était d’être chaleureux, complice et affectueux avec une personne sans pour autant cherché un amour réciproque intense. Cette fille, n’était peut être pas comme les autres filles qui jusqu'à présent, tombait dans ses bras lorsqu’un baisé effleuré leurs lèvres. Mais, cette fille semblait rester de marbre malgré , une rougeur limite perceptible dans la nuit, il l’a détestait oui, il l’a détestait d’être différente des autres qui se contentaient de ça pour craqué et dire un « Je t’aime » que très rarement réciproque. Il entendait l’hibou hululait dans son arbre haut perché, en attendant de voir ce qui allait se passé, la lune n’offrant qu’une très faible lueur et ne permettant pas de distingués les deux ombres qui parlaient. Il l’a vit mettre la main sur son ventre, au début, il comprenait qu’elle avait faim, mais la phrase qu’elle écrit, fit pensé le contraire, c’était tant mieux pour Zenko qui n’aimait que peu les restaurants, la vie sauvage était d’ailleurs une vie qu’il adorait vivre en communion avec la nature, la plus belle chose qu’est fait la force. De plus, Tanzaku était actif même la nuit et tué quelqu’un dans ses conditions étaient du quasi impossible, mais pour le moment, il se devait d’être sympathique et non romantique. Il garda pour sa main et commença un parlait, plus l’air doux qu’il s’était donner mais l’air chaleureux et convivial d’un ami ou d’un frère :

«Au faîtes, je ne t’es pas demandé comment tu allais ni comment tu t’était retrouvé entre mes griffes »

Il se voulait d’avoir un sourire aimable et gentil, l’inquiétait plus maintenant ne ferait qu’attisé sa crainte et sa méfiance envers lui. Il continuait de marché attendant qu’elle écrive sur son parchemin toujours sortis, il se dirigeait vers un lieu repérez plus tôt, une clairière où chantait une rivière, la route ne fût pas longue pour arriver jusque là bas, on pu voir une légère cascade qui faisait un bruit doux en tombant dans l’eau, la nuit se resplendissait dedans , l’eau était calme sauf prêt de la cascade où elle semblait remué, agitait comme dans une recette de cuisine, il s’assit près de l’eau, espérant que Takara fit la même chose et garda sa main contre la sienne, en disant d’un ton emportait pas l’émotion de voir un tel paysage, ce qui ne lui ressemblait pas, il prenait son rôle trop à cœur, mais ce n’était pas forcément une mauvaise chose, elle allait plus facilement se laisser convaincre ainsi. Un pied trempait dans l’eau, un main sur celle de Takara l’autre sur l’herbe fraîche et humide :

« C’est magnifique n’est ce pas ?! »

- Toujours faire comme si les autres ne méritaient pas ta confiance car tu ne sais jamais qui pourrait te trahir -

La jeune femme regardait le sol, elle était totalement plonger dans ses pensées et ne faisait plus attention à Zenko. Du moins, pas pour le moment, elle pensait à quelque chose qui lui tennait un peu plus à coeur qu'une personne qui, jusqu'à preuve du contraire, ce moque éperdument d'elle. La raison est incconnu, mais elle pensait à son passé. Elle avait toujours eu l'impression que ses parents lui cachait quelque chose de grave, quelque chose d'important. Quelque chose qu'elle aurait dut savoir, mais qu'ils avaient toujours refusé d'avouer pour une raison que l'Hyuuga ignorait. D'ailleurs, ses parents lui en avait beaucoup cacher au court de sa courte vie. Ils lui avaient caché jusqu'à leur mort son adoption et surtout qu'elle était une Hyuuga. C'était dans une espèce de colère refoulé et calme que Takara Osume était devenus Takara Hyuuga-Osume. Évidemment, elle avait couper le « Osume » Pour ne laisser parraître que le « Hyuuga » Étant donner qu'elle vivait une espèce de rebellion contre sa famille adoptive. Du moins, elle les avait renié. Elle n'aimait pas les menteris et encore moins les menteurs qui vont avec, caché la vérité à une personne que vous avez vue grandir et qui a toujours eu confiance en vous... Est-ce donc juste !? M'enfin, le pire dans tout ça, c'était qu'elle ignorait désormait tout de elle. Qui était-elle donc réellement...? Takara n'était pas le nom que ses parents lui avait choisis, Osume n'était que le nom d'adoption, le magnifique visage chaleureux de sa mère n'était que celui d'une femme qui un jour avait dit « Oh! Comme elle est mignone! C'est elle que nous prennons ». Comme un vulgaire objet que l'on trouve tout simplement merveilleux et que l'on est prêt à payer le prix pour se l'approprié. Payé pour aimé, n'étais-ce donc pas pathetique ? Combien de Ryos valait-elle ? Pour avoir un enfant qui refusait d'apprendre à marcher et parlé, ses parents n'avaient pas dut donné beaucoup de Ryos. Un mignon petit visage, mais le cerveau d'une poule. M'enfin, les choses semblaient s'êtres amélliorés pour la jeune... Fille. Elle savait marché, quoi que pas très habile sur ses jambes, et avait apprit plusieurs moins de parlés sans utilisé la parole, don dont elle était et serait toujours privés. Takara se voyait tout de même plus qu'un jouet avec lequel on pouvait faire tout ce que l'on voulait, elle n'était pas une marrionnette dont la personne peut, avec amusement bien évidemment, faire ce que bon lui semblait à contre coeur de la personne de bois. Si elle aurait une âme, elle prirait.

La jeune Hyuuga fut brusquement et à contre coeur sortis de ses pensées. Pensés aussi négatif n'aidait en rien la bonne humeur qu'elle assayait d'installer dans l'atsmosphère. Avoir l'air heureuse pourrait, peut être, cacher la peur qu'elle ressent au plus profond d'elle et ainsi, avec un peu de chance, faire voir à Zenko qu'elle n'avait pas peur de lui. Avec un peu de chance, elle arriverait à se convaincre elle même que cette peur n'était que le fruit de son imagination! Bon bref, ce fut un hibou qui la tira de ses pensées. La jeuen femme fronça légèrement les sourcils puis tourna son regard vers l'oiseau qui, semblerait-il, chassait déjà à cette heure. C'est vrais que la nuit était tombé, mais n'était-il pas un peu trop tôt pour la chasse ? Les rats et autres petits mammifères ne semblaient pas vouloir sortir de leur cachette, encore trop de monde. Pourtant, lui, il était là. Fidel à son poste, tournant sa tête de gauche à droite cherchant son souper. Cette hatitude rendait Takara légèrement... Embarassé, car elle se sentait comme les petits mamifères que le hibou chassait... Elle se sentait comme la proie. Un moment de faiblesse et puis tout est terminé.

«Au faîtes, je ne t’es pas demandé comment tu allais ni comment tu t’était retrouvé entre mes griffes »
Bon bah, Impossible de dire le contraire, elle se sentait vraiment comme une proie après ces paroles. Elle regarda Zenko avec un regard peut.. Amical. La raison était simple, il savait qu'elle se sentait faible et ses paroles avaient très bien été choisis dans le but que Takara le sache... Ou peut être qu'elle devenait totalement paranoïaque aussi. C'était une habitude très commune chez la jeune Hyuuga-Osume. Takara soupira légèrement, de façon assez subtile, puis passa une main dans ses cheveux bruns avant d'hausser les épaules pour toute réponse. Répondre à ces deux questions ne l'interessaient pas vraiment. Elle regarda son parchemin, toujours ouvert, puis relus que ce qu'elle avait écrit depuis le début de la soirée avec amusement. Elle c'était déjà connus beaucoup plus bavarde que ça. La jeune femme fut surprise d'entendre le bruit d'une cascade. Elle releva son regard puis la regarda longuement, son regard changea aussitôt de la méfiance et l'amusé à l'admiration la plus complètte. Elle s'approcha d'avantage de la cascade puis s'assit à côté de Zenko sans quitté des yeux le merveilleux décors qui s'offrait à elle.

« C’est magnifique n’est ce pas ?! »
La jeune fille échappa un sourire sincère puis hocha la tête avec admiration et amusement. Elle n'aurait jamais pensé une seule seconde que Tanzaku avait la chane de renfermé un endroit pareille! Elle baissa son regard, à contre coeur, sur son parchemin puis joua quelques secondes avec son crayon avant de commençer à écrire une question qu'elle montra à Zenko par la suite.
« Magnifique... En effet, tu connaîs cette endroit depuis longtemps !? »

» Angel & Demon XP
» Présentation de Zenko
» angel meiwu. jespaire pour une fois que je vai aitre valider
» Zabuza Momochi Vs Zenko Kichi
» Départ pour le K5 [PV Zabuza et Zenko]

Page 1 sur 1