Me And You [PV -> Kazuma]

¤~ Flash Back ~¤

Elle regardait avec un manque d'assurance non feint les portes du village cacher de la brume. Elle jouait nerveusement avec une mèche de ses cheveux rouges et se surprennait même parfois à les manger sous la nervosité. Enfin, manger était un bien grand mot... Elle les mettait tout simplement dans sa bouche pendant qu'elle se demendait sérieusement ce qu'elle allait dire aux gardes. La dernière fois, les choses avaient été si facile... Elle les avait tout simplement tués, tout c'était passer si rapidement, mais elle l'avait amèrement regretter. Non pas qu'elle s'était fait prendre, mais pour quelqu'un qui voulait la paix sans passer par la guerre, c'était mal commençer. Enfin, ce qui l'énervait le plus présentement, c'était que peut être que quelqu'un allait la reconnaître. Oui bon, il n'y avait pas grand monde cette soirée là et il fallait avouer que Kaori avait garder sa capuche jusqu'à sa rencontre avec Kazuma... Mais quand même! C'était le fait que, Elle, savait qu'elle avait tuer ses deux gardes qui l'énervait. Elle soupira légèrement puis lâcha sa mèche de cheveux en se disant que, de toute manière, elle faisait partit de se village désormait. N'était-elle pas rendus Sannin de Kiri ? Oui... Et elle en était plus fier de jamais! Alors pourquoi avait-elle peur ? La culpabilité... C'était ça la raison! Elle seccoua sa tête puis sortit de derrière son arbre... Elle garda sa main sur le tronc de ce dernier puis soupira de nouveau avant de s'avancer avec hésitation vers les gardes. À peine était-elle arriver aux portes, que l'un d'entre eux prit la parole.
« Qui êtes-vous et que venez vous faire ici jeune femme ? »
« Je m'apelle Kaori Kushi, le Mizukage vient tout juste de faire de moi l'une de ses ninjas, elle posa sa main sur le bandeau de Kiri qu'elle portait à son coup, je suis sannin... Peut être savez-vous qui je suis maintenant ? »
« Mlle Kushi! Vous pouvez passer, désoler de cette petite perte de temps. »
Kaori hocha la tête avec satisfaction puis passa les portes contente que les choses se soient ainsi passer. Elle jeta un dernier coup d'oeil au deux hommes puis continua son chemin avec Rise sur son épaule droite. Elle caressa la tête de l'oiseau puis se surpris à penser qu'elle était contente d'être revenus à la maison. Ses soeurs l'aurait probablement fait vivre les pires souffrances suite à ce qu'elles pourraient décrire de trahison... Mais Kaori s'en contre fichait. N'avait-elle pas renier sa famille ? Désormait, elle était rendus Kaori Kushi... Celle qui créra le nouveau monde. Un enfant unique! S'était ainsi qu'elle se voyait... Elle ne voulait plus avoir de lien avec les autres membres de sa famille. C'était juste ainsi... Maintenant, elle était certaine de ne plus jamais les croiser. Elles ne s'approchaient pas de Kiri... Elle voyait se village comme étant, à la limite, condamner...

¤~ Fin Flash Back ~¤

Elle regarda, légèrement insulter, la prochaine île! Un large sourier s'affichait sur ses lèvres. Elle ne pouvait pas tomber dans l'eau... L'eau était tellement inférieur au feu! L'affinité de Kaori était devenus son mode de vie ... Elle remettait tout au feu et insultait constamment l'eau... Elle n'aimait, d'ailleurs, pas vraiment l'eau qu'elle trouvait tout simplement... Enfin bref, elle n'aimait pas l'eau. Elle se demendait d'ailleurs parfois ce qu'elle faisait au pays de l'eau. Étais-ce réellement sa place ? Oui, elle refusait de croire qu'elle n'avait pas ça place ici... Elle tennait plus que jamais à un pays et elle n'avait pas l'intention de le quitter. Aucune raison ne pourrait lui faire changer d'avis. Désormait, elle et Kiri ne refesait plus qu'un. Le reste n'était pas important...

La jeune fille reposa son regard sur la prochaine île et se dit pendant un moment que si elle avait réussit à sauter d'île en île jusqu'à présent, ça ne serait probablement pas cette île qui la ferait tomber à l'eau. Elle serait capable de sauter l'espace qui séparait les deux îles... Enfin, peut être. La jeune fille se tennait plutôt prêt des îles qui n'avaient que trois... Peut être quatre mètres qui les séparaient. Elle évitait plutôt celles qui étaient loin de l'île principal. L'Archipel de Kiri comptait une trentaine d'île tous plus éloigner les unes des autres... Mis à pars quelques unes. Et c'était ces îles sur lequel Kaori se sentait le mieux n'aimant pas particulièrement l'eau... C'était peut être aussi le fait qu'elle ne savait pas vraiment nager. La jeune femme recula de quelques pas puis manqua trébucher sur une roche. Elle reprit son équilibre en poussant un soupire de soulagement * Ça commence bien! *. La jeune femme regarda longuement la distance qui la séparait de l'autre île puis hocha la tête... Elle commença à courire puis sauta uniquement quand elle se sentis un peu trop près de l'eau à son goût. Elle fut soulager de sentir la terre sous ses pieds! Elle allait pousser un soupire de soulagement quand elle sentit la terre glisser sous ses pieds et elle recula d'un seul pas avant d'entendre un « Splash » spectaculaire. Elle sortit la tête de l'eau puis entendit soudainement un cris aigus déchirer le silence qui s'était imposer, elle sortit rapidement un kunaï puis le lança sur Rise qui l'évita de justesse. L'oiseau la regarda avant de cacher sa tête sous son aile et de s'endormire . Kaori échappa un petit grognement puis s'accrocha sur le bord de l'île avant de monter sur cette dernière. Elle sortit un élastique puis attacha ses cheveux avant de regarder ses vêtements. Ils étaient tout mouiller... La jeune femme soupira puis les enleva et ne garda que ses sous-vêtements avant d'échapper un long soupire. Elle mit ses vêtements sur la branche d'un arbre puis s'assit au pied du même arbre en regardant l'île un moment... Elle était grande! Jusqu'à présent, c'était l'île la plus grande que Kaori avait vue depuis l'île principale. D'ailleurs, elle ne voyait même plus Kiri... Il n'y avait plus qu'elle ... Et plusieurs îles. Elle accota sa tête contre le tronc de l'arbre puis leva son regard vers Rise... Il dormait toujours. La jeune Kushi échappa un sourire subtil puis prit une roche et la lanca sur l'oiseau qui sursauta avant de prendre son envol. Elle le regarda se poser sur un autre arbre un peu puis loin puis elle hocha la tête toujours en souriant. Elle passa sa main dans ses cheveux puis soupira... Trouvant le temps un peu long et sachant qu'elle ne pourrait pas partir tent que ses vêtements seraient mouiller, elle se mit à chantonner tout doucement. Rise leva sa tête vers la jeune fille puis la regarda longuement de son regard oranger dans lequel on pouvait voir une flamme vaciller puis prit son envol en poussant un petit cris aigus. Kaori le regarda longuement voler, quand ce dernier passa juste devant le soleil... Kaori ne put s'empêcher de se dire qu'elle avait beaucoup de chance d'être tomber sur ce genre d'oiseau. Rise se posa à côté de sa maîtresse et cette dernière continua de chantonner au plus grand plaisir du rapace. Elle se sentait heureuse... C'était la première fois de toute sa vie qu'elle se sentait heureuse, alors qu'elle était seule avec Rise. Les choses étaient différente depuis sa rencontre avec Kazuma.

La couleur des fleurs sala montre bien il est vrai que la prospérité est promise au déclin. Les orgueilleux ne durent pas, ils sont comme un rêve dans une nuit de printemps ; Les puissants finissent par tomber, ils ne sont que de la poussière avant le vent. Je marchais en ayant toujours espérer revoir Kaori. En fait pour être franc, cette journée était censée s'annoncée comme toutes les autres. Mais pour x raison, j'ai l'impression que cette journée sera vraiment différente des précédentes... Mais j'attendrai l'arrivée de la personne qui m'a été destiné afin de pouvoir contempler le soleil, qui est sans aucun doute, imprégné d'une majesté presque sacrée... Un tel soleil aussi assoupi, je ne m'en souviens que lorsque j'ai rencontré Kaori, et aujourd'hui je tenais à la revoir. Enfin bon, on m'a déjà tenu au courant du fait qu'on lui a remit le bandeau frontal suivitd'une tenue appropriée à une Sanin. La revoir... Je ne demande pas mieux... Fermant les yeux , je sentis mon propre esprit s’élever vers les hauteurs. Mon imagination envisagea un monde ignoré de moi, qui s’étendait autour de moi et que je n’avais jamais remarqué. Rouvrant les yeux j'ai décidé de poursuivre ma route jusqu'au milieu de la grande allée. Respirant un bon coup j'ai marché lentement, les mains dans les poches, je souriais mais pourquoi ?... en tout cas c'était pas pour cacher le fait que mon dos me fait un peu mal parce que je trimballe cette épée derrière moi... Mais j'aime pas parler de cet outil de puissance, il m'a fait remarqué qu'en cherchant le pouvoir tout effort est vain une fois à la fin de notre objectif... j'ai suivi cette voie aveuglement, en plus j'avais pactisé avec orochimaru... de mieux en mieui... C'est à cause de moi que mon frère, yagura, le Yondaime Mizukage n'est plus... même pas capable de le protéger d'une menace au Sharingan.

Enfin, j'ai dit que je n'aimais pas trop remuer le passé, alors je devrais prendre mes paroles au sérieux. M'arrêtant au beau milieu d'une étendue d'eau j'ai aussitôt décider de me rendre sur l'archipel qui était assez symbolique en Kiri. Le T-shirt à manches courte s'arrêtants à mes épaules. De plus je sentais qu'on "m'émantait". Cela était sûrement Kaori, il n'y a qu'elle pour produire un tel effet sur moi et j'en suis ravis si jamais il s'avèrait qu'il s'agisse de ma douce et magnifique volonté de vivre. Je respirais lentement, j'ai pratiqué la rupture du charme qui maintenait Tsûme-Hada dans la réalité pour qu'elle rentre dans un simple parchemin que j'ai rangé dans mon sac qui était dans mon dos. Je contemplais encore les profondeurs pour me référer à un mythe, à la phrase d'un mythe. "Prête moi l’oreille, roi de la mer. Toi qui vis dans ce néant douceâtre, je t’invoque et manifeste toi par tes immenses vagues." Ce sont les paroles pour réveiller le démon qui dort dans les profondeurs obscures des profondeurs de Kiri. c'est Isonade, qui désormais sommeille en Tsûme-Hada. Le soleil se leva sur une journée grise et humide, sans aucun signe d’amélioration du temps. Un typhon avait balayé l’ouest du pays … Une fois prêt je me suis rendus aux portes de Konoha tout en m’étirant… J’entendais dans le lointain le chant furieux de la rivière s’enfler en un cri furieux. Respirant une bonne bouffée d’air frais puis concentrant une dose de chakkra dans la plante des pieds j’ai décollé aussi vite que j’ai pu pour enfin traverser la mer jusqu'à atterir sur l'eau puis courir assez vite. Les vagues du lac étaient plutôt légères… sombre présage… les vagues se faisaient de plus en plus hostiles, mais ce n'est que l'aura du dieu de la mer qui se manifeste légèrement.

Ensuite je suis arrivé sur l'archipel de Kiri, cet endroit est la personnfication même du paradis. Je m'avançais de plus en plus vite en traversant une petite forêt baignée dans une lumère verte et oblique pour enfin me retrouver de l'autre côté de l'archipel là où se trouvait une personne qui ne pouvait que m'être familière à mes yeux. Kaori... Il fallait qu'elle sache Je suis perdu, que je suis noyé, inondé d'amour; je ne sais plus si je vis, si je mange, si je respire, si je parle; mais je sais que je que je l'aime. Nos chemins se sont croisés, Nos yeux se sont accrochés. Son sourire est devenu mon soleil... Sa tendresse une grande merveille. Je lui offre dans mes mainsMille baisers câlins, Pour que jamais elle n'en soit privé...Elle a renversé mon coeur, elle l'a fait chaviré. Un vent d'amour m'a fait perdre la tête... Notre histoire est née pour ne pas qu'elle s'arrête. Notre amour grandit de jour en jour... Je la laisse entrer et ferme mon coeur à double tour... La flamme de mes yeux s'est allumée Le soir ou nos lèvres se sont touchées. Aujourd'hui le destin nous appartient000 A nous seul de savoir prendre le même chemin. Mon amour pour elle est le plus grand. Je n'ai aucun doute sur mes sentiments envers elle... Tout deviens beau et merveilleux quand je vais me noyer au large de ses yeux. Des sentiments encore ignorés se sont crées et il faut les conserver et ne jamais les briser... c'est pour ça que dans ses bras je pars m'envoler vers un monde doux et sucré. Je respirais l'odeur de son corps chaleureux. Sur mon visage éclairé d'une exquise lumière celle que m'offre ses yeux bleu clair. L'élixir de sa bouche où l'amour se propage ; Et de part en part enveloppe mon visage. Elle a rempli à jamais mon coeur de douceur. Et vers elle mes désirs partent sans peur. J'aime voir son être frémir avec son âme.

Je m'approchais d'elle tout en me remémorant les excellents moments passés à ses côtés et je n'avais aucune raison de nier le passé parce que ma rencontre avec elle fut la plus merveilleuse des choses qui puissent m'arriver. Quand dans le mien son corps s'enflamme . Et boire son souffle comme un cadeau de la vie Ainsi nous sommes réunis en une parfaite harmonie. J'ai sortit de mon sac un parcheminoù il y était inscrit: Hana soit "fleurs" alors je vous demande de deviner ce qui se passera dés lors que jaurai plaqué ma main dessus. Alors je vous le révèle directement, j'avais invoqué un bouquet rassemblant les espèces florales les plus rares et envoutantes de la nation. Et oui, je mets au point ma serre et alors ? Enfin bon, j'ai déposé mon sac sur le sol puis je me suis dirigé vers l'innefable créature qui était Kaori, son style vestimentaire lui donnait un effet tout simplement sublime. Elle était bien plus gracieuse que précédement ce qui me fit prendre une petite teinte rouge presque indiscernable; tout simplement parce que le physique actuel et quotidien de Kaori m'envoutait ? Ouais. Je me suis placé furtivement les bras ouverts avec un large sourire, puis d'une voix on ne peu plus hyperactive j'annonçai:

"Salut jeune femme ! tu acceptes ces fleurs pour poursuivre avec un magnifique baiser ?"

Tient... Des sentiments ? Je coupa aussitôt le lien pour ne pas entrer dans la vie priver de cette personne. Si j'étais asser rapide, je pouvais facilement couper le lien qui m'unissait à cette personne sans savoir ce qu'elle ressentait... Il y avait une limite à ce don que la nature m'avait donner, c'était la distance qui me séparait des autres. Sinon, je pouvais savoir les sentiments de tout le monde sans que ces derniers s'en rendre compte, enfin... Je crois. Je fronçais légèrement les sourcils... La présence de sentiments dans les lieux indiquaient que je n'étais plus seule. J'ignorais totalement si cette personne s'approchait de moi ou si elle s'éloignait, mais je me demendais sérieusement si cela m'interessait. Je n'avais envie de voir qu'une seule et unique personne... Celui que à fait de l'enfer qu'était ma vie, un paradis... Mon paradis. Je ne l'avais pas vue depuis beaucoup trop de temps pour moi... Sa présence au près de moi me manquait énormément et j'avais l'impression de tomber dans un puit sans fond quand il n'était pas là. Étais-je devenus dépendante de lui ? Probablement et cela était loin de me déranger. Il était le soleil de mes jours et l'étoile de mes nuits... Mais bon, combien de chance y avait-il que ses sentiments lui appartiennent ? Il y avait tellement de ninja à Kiri! Personne ne pouvait être sûr et certains que la personne qui l'approchait était celle qu'elle voulait voir.

Je soupirais légèrement puis caressa doucement le tissus de ma robe. Après mon adhération à Kiri, j'avais été '' forcer '' de changer de vêtement pour un habit un peu plus convenable. J'avais longtemps été en guerre contre la personne qui devait me donner mes vêtements, je n'aimais pas particulièrement ce qu'il m'avait donner et il avait bien beau me dire que se n'était pas lui qui l'avait choisis, je n'avais rien voulus entendre et, en final, nous étions arriver à un accord. À peine quelques jours plus tard, j'avais en ma possession l'habit de mes rêves... J'avais chercher l'originalité plutôt que l'utiliter, mais personne n'avait rien dit alors. Je portais depuis quelques jours, une robe noir classique sous lequel j'avais mis un chandail rose pâle dont les manches arrivaient un peu plus haut que les coudes. Je portais des bas rayé gris et noir qui m'arrivait environs à la moitié des cuisses. Comme chaussures, absolument rien n'avait changer sur ce point! Toujours les même chaussures qu'avant... Avec mes longs cheveux rouges qui encadrait mon visage pâle comme la neige, j'avais souvent l'impression de ressembler à une gamine. Je n'avais jamais vraiment aimer ressembler aux autres et je ne cherchais jamais à avoir des points en commun avec eux. J'adorais avoir mon propre style, au diable les autres! Je me leva en échappant une grimace de douleur... Je n'y avais pas vraiment porter attention, mais ma tête s'était cogner contre une roche lors de ma chute dans l'eau... Une raison de plus de ne pas aimer ce liquide transparent. Rise me regarda un moment, curieux de savoir pourquoi j'avais arrêter de chanter puis je lui adressais un sourire avant de prendre mes vêtements et de les enfilers avec plus ou moins de difficulter. Je défis ma queue de cheval pour laisser mes cheveux retomber dans mon dos puis je les peignais rapidement avec le peigne que j'avais, étrangement, décider d'amenner cette journée là. Je m'étirais longuement en soupirant puis je passais de nouveau ma main dans mes cheveux...

Je fronçais légèrement les sourcils en sentant une présence proche de moi puis je me demendais réellement sur le coup qui cela pouvait-il bien être... Connaissais-je la personne ? Probablement pas, je n'étais pas revenus à Kiri depuis assez longtemps pour connaître du monde. De toute manière... Je n'avais jamais vraiment chercher à sympatiser avec les autres ninjas... Peut être parceque j'avais vécue toute ma vie avec le même petit groupe. Je regardais Rise un moment, ce dernier reconaissait de toute évidence la personne et il ne semblait pas particulièrement l'apprécier... C'était visible juste par le regard agressif qu'il portait autour de lui. Je sifflais légèrement pour qu'il prenne place sur mon épaule puis je regardais autour de moi cherchant plus que jamais à savoir d'où venait cette présence. Je fis signe à Rise de se calmer se puis se dernier se lova contre mon coup en poussant un petit sifflement aigus. Je m'apprêtais à sortir un kunaï quand je vis enfin la personne dont je sentais la présence depuis cinq minutes environs. Mon regard changea aussitôt de la méfiance à la joie la plus complète! La personne que j'avais eu envie de voir pendant toute la journée se tennait là... Devant moi, les bras ouverts, un large sourire aux lèvres avec un magnifiques bouquet de fleur dans la main.

"Salut jeune femme ! tu acceptes ces fleurs pour poursuivre avec un magnifique baiser ?"

J'hochais aussitôt la tête puis me précipitais dans ses bras sans aucune hésitation surprennant un peu Rise qui quitta aussitôt mon épaule en criant. La joie de revoir la personne qui comptait le plus à mes yeux étaient trop immense pour être décrite... Je le regardais un moment en souriant comme une gamine auquel on venait d'annonçer la plus belle nouvelle du monde puis je l'embrassais tendrement désirant profité de chaque seconde en sa compagnie. J'arrêtais le baisé quelques secondes plus tard en souriant puis je pris les fleurs avec délicatesse. Elles étaient magnifiques! Je n'avais jamais vue la plus pars d'entres elles et je ne pouvais m'empêcher de me demender d'où elles venaien!. Je sentis longuement leurs parfums en souriant puis je reposais aussitôt mon regard sur Kazuma. Je l'embrassais rapidement pour le remercier puis prit la parole.

« Elles sont tout simplement magnifiques Kazuma-Kun! Merci beaucoup! »

Je caressais doucement la pétale de l'une d'entre elle toujours avec ce sourire aux lèvres, ce sourire qui ne semblait plus vouloir me quitter et qui semblait être accrocher à mes lèvres.

[Hors rp: ... >< Désoler, petit manque d'inspiration de la soirer x) Y é quand même 00:00 chez moi X.X Et c'est comme pas à Minuit que j'ai le plus d'inspiration xD]

Les êtres humains vivant en souffrant et en faisant souffrir mais ce n’est pas pour autant qu’ils se détestes. Parmi toutes les blessures, les peines du cœur sont bien plus précieuses, ce sont les plus difficiles à guérir… elles sont différentes des blessures physiques, il n’y a pas d’onguents conçu pour elles, parfois on en guérit jamais… Il existe pourtant une chose, une seule chose qui puisse soulager les peines de cœur, ce n’est pas un remède très pratique toutefois… on ne peut le recevoir que d’autrui… c’est l’amour… Voilà ce que je ressens pour elle, et j'imagines bien que notre avenir est fondé déjà. J'étais déjà tellement heureux... C'est si peu dire que je l'aime. Quand je voudrais graver ces mots En lettres d'or dans mon poème pour ses beaux yeux en perles d'eau... C'est vrai quand j'y pense, le premier poème que je lui ait écrit, j'espère qu'elle l'a gardé, du moins je pense qu'elle l'a conservé ce qui est déjà amplement suffisant ! Serait-ce possible ? Kaori plus importante que mon but ? Celui de restaurer l’honneur des Magari et en particulier l’image de Yagura. Apparemment oui, Kaori a eu la force de me détourner de ce chemin sans fin pour en emprunter un autre. Un autre chemin qui se révèle être bien plus prometteur. Mais ce n’est pas par pur intérêt que je me lis avec Kaori, si désormais nous sommes liés d’amour, c’est que nos liens correspondaient, que nos qualités étaient identiques. Et que nos sentiments sont réciproques. je me sens bien d’attaque, je veux fonder mon avenir avec elle… Je m’aperçois que elle seule aussi peut résoudre mes problèmes. Mais pour être franc, je ne savais pas qu’elle me choisirait moi au début.

Je ne veux pas que ce moment meurt, je veux qu’il s’immortalise et je ferais le nécessaire pour que cet instant dure et reste gravé à jamais dans nos mémoires à tous les deux. En restant les yeux fixés sur Kaori qui faisait irradier une beauté impressionnante, je voyais bien que ses pensées se tournèrent vers moi. Je ne peux pas me confirmer, mais pour une raison que j’ignore, peut-être le fait que nous sommes liés, je sais à quoi elle pense. Le baiser dura bien deux minutes, ce qui est déjà assez pour prouvé un amour. Mais cela aurait pu durer bien plus longtemps mais ça ne se passerait pas dans ces conditions là. J'apprécis tellement ce baiser qu'elle m'avait offert, mais dommage qu'il ait été romput. Oui je suis tête j'aurais préféré qu'il dure encore quelques temps mais j'avais déjà amplement profité. Son remerciement me réchauffa aussitôt le coeur, je pris aussitôt une des fleurs pour l'apposer dans les cheveux roux de mon amour avec un ricanement amusé. Puis je l'ai blotti contr moi aussitôt afin d'humer tranquillement son parfum qui ne pouvait être qu'envoutant. Ensuite dés mon arrivée, j'avais cerné la présence du rapace qui accompagnait Kaori, il ne devait éprouver aucune sympathie à mon égard et je comprend. Après tout, je ne suis associé qu'aux Salamandres, donc je n'ai pas vraiment le chic pour m'associer aux faucons. Ainsi, mes mains se baladèrent dans le dos de ma seule et unique volonté de vivre, puis je me suis sentis si bien que mon esprit envisagea un avenir déjà fondé avec elle. Après quoi je lui ai dit:

"Excuses-moi Kaori... j'ai été tellemnt absent. Je m'en veux terriblement, mais tu vois... j'ai fait de mon mieux pour devenir Mizukage et faire en sorte que tu adhéres le village. Je vois que ça a réussi d'ailleurs mais je te demandes bien de m'excuser..."

J'avais de quoi culpabiliser... même si mon absence s'est résolue au fait que je faisais tout pour elle, je n'aurai pas dû augmenter le nombre de mes absences... je suis vraiment qu'un abruti fini pour laisser Kaori de la sorte. Mais aujourd'hui, elle est la Sanin de Kiri. Elle aurait très bien pu être promue à Anbu mais comme ce n'est plus Mei-chan au poste d'ombre des vagues mais moi, je lui ai légué ma place de Sanin. Et le plus important tout ça, c'est que je ne fais pas de favoritisme parce que je suis lié d'amour avec elle hein ! Je sais jaugé la force des gens sans les combattre et je dois dire qu'elle est apte à avoir se grade. Faut dire aussi que je suis très fier d'avoir à mes côtés une jeune femme avec un tel pouvoir. Enfin de compte, je l'ai séparé de moi en la tenant par les épaules... le sourire aux lèvres, je l'ai embrassé à mon tour. Dominant l'étreinte de nos lèvres, j'ai rompu le baiser à mon tour après quelques secondes pour ensuite dire:

"Je ferais ce qui est possible pour que tu acceptes mes excuses..."

Je ne pouvais être plus heureuse que présentement! Je le revoyais enfin... Je ne sais plus depuis combien de temps je voulais le sentir près de moi. Sans lui je me sentais étrangement incomplète. Il avait été le seul à être capable de voir en moi plus loin que ce que je montrais aux autres en tent normal. J'avais toujours été celle qui ne vivait que pour accomplir un but bien précis et, je devais l'avouer, j'avais toujours été froide. Prête à aider les autres !? Sans aucun doute, mais je me tennais éloigner d'eux. J'étais distante avec tout ceux qui n'avait pas de lien avec mon destin et c'est d'ailleurs ce qui aurait dut arriver avec Kazuma... Mais mon coeur avait prit le dessus sur mon destin et mes croyances. Sur le coup, je n'avais pas vraiment bien pris cela au début, je devais avouer que juste qu'à cette soirée, j'avais décider de ne me concentrer que sur mon destin pour éviter toutes formes de favoritisme envers tel ou tel pays et même personne... Ensuite était venus le moment où il m'avait demender si je voulais revenir à Kiri. Alors là, j'avais refuser pour une raison totallement différente de mon but... Enfin, mon destin avait un certains lien... Mais c'était surtout que je n'avais pas du tout envie de revoir mon père. En final, j'avais remarquer qu'il était sûrement mort depuis longtemps et j'avais tout de suite accepter. Pourquoi !? Car en une soirée, j'avais remarquer que je n'imaginerais plus ma vie sans Kazuma.

Je regarda un moment mon amour en souriant puis je fus légèrement surprise quand il prit une des fleurs du bouquet pour l'apposer dans mes cheveux roux en ricannant. Ce dernier me blottis contre lui à mon plus grand bonheur puis je sentis, à peine quelques secondes plus tard, ses mains se balader dans mon dos m'arrachant un pâle sourire. S'il y avait une personne au près du quel je me sentais bien, c'était sans aucun doute Kazuma. Sa présence au près de moi me rassurait, je me sentais moins seul et en sécurité. Une sécurité que, je devais l'avouer, ne m'habitait pas vraiment en temps normal... Je ne me sentais pas totalement en sécurité dans ce village... Du moins, pas encore. Je me doutais déjà que ce sentiment d'insécurité partirrait rapidement, mais ce n'était pas le cas présentement alors...
"Excuses-moi Kaori... j'ai été tellemnt absent. Je m'en veux terriblement, mais tu vois... j'ai fait de mon mieux pour devenir Mizukage et faire en sorte que tu adhéres le village. Je vois que ça a réussi d'ailleurs mais je te demandes bien de m'excuser..."
S'excuser pour avoir été absent... Je ne lui en voulais aucunement! Grâce à lui j'étais revenus chez moi et j'avais enfin pus revoir ce pays que j'aimais tant! Et désormais, je n'avais plus peur d'être de trop dans un lieu dans lequel je n'avais plus ma place. Car c'était la sensation que j'avais eu la première fois, quand j'avais rencontrer Kazuma... Je m'étais raidis quand j'avais vue cet homme plus loin et je m'étais tout de suite mis en tête les pires scénarios ... Finalement, je devais l'avouer, j'avais été agréablement surprise. Pendant un cours instant, j'avais oublier cette sensation de pouvoir avoir des ennuis à chaque seconde... Surtout après avoir tuer les gardes, mais ça... Ce n'était pas vraiment important. Personne ne m'était revenus avec ça depuis cette soiré alors. Je sortis légèrement de mes penser quand il me sépara de lui. Je voulus sourire égallement, mais il m'embrassa avant que je puisse sourire. Je prolongea avec amour et tendresse ce baiser que, malheureusement, Kazuma rompit après quelques secondes.

"Je ferais ce qui est possible pour que tu acceptes mes excuses..."
Comme je disais, j'étais loin de lui en vouloir. Certe, je ne l'avais pas vue ces dernier temps... Mais je n'étais pas capable de lui en vouloir pour ses absences. Tout le monde avait une vie de toute manière et il en était, évidemment, de même pour Kazuma. Ses absences m'avait permis, par la même occasion, de visiter Kiri seule. J'avais été agréablement surprise de voir que rien n'avait changer... C'est pendant ce temps que j'avais d'ailleurs eu une idée. J'étais allez voir ce que j'avais toujours considerer comme ma mère. En me voyant, elle n'y avait, logiquement, pas crus. Elle m'avait longtemps regarder comme si je venais d'un autre monde puis je lui avais arracher un large sourire. Nous avions longuement discuter, j'avais apprit que mon père était mort à la suite d'un combat dans une mission. Elle m'expliqua que depuis qu'ils nous avaient abandonner, il était très distrait et n'avait plus de raison de vivre, tel étaient les mots qu'il avait choisis... J'avais été toucher, mon père n'était donc pas un si mauvais homme que sa en final... Je n'avais jamais eu la chance de le rencontrer réellement et, désormait, je le regrettais. Je l'avais pardonner, il avait souffert lui aussi!

Je regarda longuement Kazuma puis l'embrassa rapidement avant de lui sourire tendrement pendant que Darkrai restait toujours dans son arbre sans quitter l'amour de ma vie des yeux. J'avais longtemps réfléchit à une réponse... Faire n'importe quoi pour que j'accepte ses excuses. Une seule phrase, c'étai tout ce que je voulais.
« Alors... Promet moi simplement de m'aimer jusqu'à la fin des temps... »

Il est vrai que je me suis sûrement montré un peu bête de la délaisser. Mais quelque chose me dit qu'elle ne m'en veut pas vraiment voir pas du tout. Mais prudence est mère de sûreté dit-on. Enfin, je n'ai pas à être prudent avec Kaori, elle bénéficie de toute ma confience et je sais qu'elle ne pourra me décevoir. Pour moi elle est mon coeur, et mon coeur pour moi c'est Celle que j'aime. La personne qui sera toujours la pour moi. Une personne à qui je peux toujours faire confiance. La personne qui me rend heureux. La personne qui ne s'énerve jamais contre moi. La femme de mes rêve. Pour tout dire,mon coeur possède toutes ces qualités...et Kaori elle incarne pour moi la perfection qui égalerait même la fascination. Pour dire, son apparition fut comme l'arrivé d'une déesse qui a orchestrée les années de mon existence. Décrire une déesse parait improbable, mais en analysant avec attention son passé - d'établir un profil de sa psychologie. Je sais quel est son idéal, un monde de paix ce qui répond à la question suivante poursuivie d'une réponse intelligente: Véritable preuve de l'existence d'une entité supérieure, elle incarnerait avec perfection son rôle - son idéal ? - de messie du monde, sauveuse venu de l'au-delà afin de rétablir la paix sur la terre.. avec des moyens pacifistes et destructeurs vu que tout comme ses semblables, elle use du ninjutsu. Son dossier se prononce aussi sur le fait qu'elle n'use que d'un seul élément... le Katon; mais elle en serait aussi une des seules adeptes. Kyo lui utilisait le Katon. Je l'ai initié même à cet élément.

Et puis je ne doute pas que Kaori doit être forte redoutable avec ce qui Katon qui, A premier abord, se limite à un lance-flammes, mais pourtant elle donne sa pleine puissance quand on la combine à d'autres techniques où encore des armes blanches telles que les shuriken fils ou autre. C'est l'affinité la plus tactique car la plus facile à combiner avec le taijutsu et autres... mais outre une grande efficacité à longue portée, elle offre aussi une excellente défense avec la chaleur. Boule de feu, mur de feu, manteau de flamme, le katon est la plus souple des affinités élémentaires, d'une grande efficacité à moyenne, longue portée mais aussi en défense et sa panoplie de possibilité quasi illlimitée mais reste facile a contrer. Enfin, je pense que si j'ai jaugé apte Kaori à devenir une des trois élites de Kiri, je ne serai pas déçu de sa part. Pour poursuivre avec cette description de celle que j'aime à qui j'apparente la déesse. Kaori parvient à faire usage de ceux-là avec une extrême clairvoyance, tel le stratagème redoutable qu'elle est. Son pouvoir, son assurance, son intelligence, elle possède tout les atouts qu'un être divin possèderait. Si ça se trouve, elle serait aussi sage que moi. Allez savoir, son ambition de vouloir faire et préserver la paix est bien entendue plus puissante que cette envie qu'a préché le Rikudô Senin, l'ermite des 6 chemins. Croisant les bras, je répondis aussitôt à son baiser en le lui rendant pour ensuite entendre la seule condition qui puisse garantir mes excuses. J'ai répondu de suite avec certitude:

"Je t'aimerais toujours, je ne laisserai aucune contrainte pouvant être un frein à ma liberté de t'aimer. Tu es ma muse Kaori... j'ai vraiment envie de passer ma vie avec toi..."

C'est là que me vint la plus intense des idées. Non pas celle d'entrer en parfaite osmose avec Kaori, non pas encore. Mais c'était le fait de préserver à jamais les liens qui nous unissent, et cela à jamais. Je ne sais pas ce qu'elle en pense mais après tout... nous sommes en âge de faire celà, oui il est certain. Après il fallait être conscentant, et puis ce que c'est moi qui y pensais... je ne voulais en aucun cas refuser. Après c'est Kaori qui allait décider de tout, elle a façonné mon coeur... elle est toujours apte à le defaire de ses propres mains. Et c'est ce que je redoute tout de même, mais Yagura lui qui était mon égal m'a toujours dit de prendre mon courage à deux mains... de balayer les contraintes se présentant à moi... c'est ce que je vais faire pour toi Yagura... pour toi Kaori. Je vais balayer les obstacles imposants, aussi puissants soient-ils... je vais fonder mon avenir avec celle que j'aime en lui faisant part de cette succession de mot aprè lui avoir présenté une bague...

"Kaori... accepterais-tu malgrés tout de me prendre comme mari... et de fonder une famille avec moi ?"

"Je t'aimerais toujours, je ne laisserai aucune contrainte pouvant être un frein à ma liberté de t'aimer. Tu es ma muse Kaori... j'ai vraiment envie de passer ma vie avec toi..."
J'hocha la tête, je le croyais. Je voulais le croire et je savais que je le croyais maintenant plus que jamais. Un pâle sourire paraissait sur mes lèvres, je n'avais pas envie de le faire disparraître d'ailleurs! Je n'avais aucune raison de le faire, si je sourais, c'était parce que j'étais heureuse et voilà bien longtemps que je ne l'avais été. Depuis l'âge de six ans au moins... J'avais eu quelques passages de mon histoire où moi et mes soeurs avions enfin pus être heureuses le temps d'un journée, mais notre bonheur était éphèmère. Nous en revenions beaucoup trop rapidement à la dur réalité. Nous devions nous bâttre pour survivre, nous bâttres pour garder notre « place » dans ce monde et nous avions sans cesses l'impression que ce n'était jamais assez. Et à chaque fois, nous rejetions la faute sur notre père qui, de son côté, regrettais chaque seconde un peu plus son choix de nous abandonner. La plus pars de mes soeurs détestaient mon père et Kiri et j'avais longtemps été de leur côté. Pour moi, Kiri rimait forcément avec « trahison » et je n'avais aucune idée pourquoi j'avais eu envei de rendre visite à un si odieu village après dix ans d'éloignement de tout les grands villages. N'étais-je donc pas censer être morte ? M'approcher des autres villages ne faisaient que rendre confus quelques ninjas sur mon idendité, mais m'approcher de Kiri... C'était tout autre chose. À mon plus grand étonnement, j'avais été acceuillis mieux que je l'avais imaginer.

Je ne pus m'empêcher d'échapper un pâle sourire, la vie n'était-elle pas bien faite ? J'avais tout perdu... et tout d'un coup j'avais de nouveau tout ce que je n'aurais jamais penser vouloir. J'étais passer de malheureuse, à plus heureuse que jamais et ce en une soirée. Certe, j'étais bien avec mes soeurs autrefois, mais il y avait ce petit quelque chose qui manquait... Peut être que si je serais rester que je m'en serais jamais rendu compte, mais j'étais partie et j'étais loin de regretter le choix que j'avais fait! Je leva légèrement mon regard vers le ciel, un magnifique ciel bleu azure, avant de reporter la totalité de mon attention sur l'amour de ma vie. Je me sentis changer légèrement de couleur quand il me présenta une bague.
"Kaori... accepterais-tu malgrés tout de me prendre comme mari... et de fonder une famille avec moi ?"

Je sentais que mon coeur battait plus vite, j'avais l'impression désormait de n'entendre plus que lui. Je regardais Kazuma, était-il sérieux ? Je savais que je ne pouvais douter une seconde de sa sincerité, mais pourtant je me posais toujours cette question. Une question totalement idiote dont la réponse était probablement même connus du plus imbécile conaisserait! Avec Kazuma, j'avais décider de couper le lien qui me permettait de savoir ce qu'il ressentait car je savais que je n'en avais pas besoin. Seulement dans ses yeux, je pouvais savoir qu'il était sincère. Je pouvais remarquer que jamais il ne me mentirait... Pour ma question: C'était, évidemment, toujours la même réponse qui me revenait en tête. Un simple « Oui ». Ce mot..., d'ailleurs, Je me demendais encore pourquoi je ne l'avais toujours pas prononçer. Affichant un magnifique sourire, j'hochais légèrement la tête toujours en regardant Kazuma dans les yeux.
« Ma rencontre avec toi a été la plus belle chose qui m'est arriver jusqu'à présent, Kazuma-Kun. Je n'es absolument aucune raison de refuser de te prendre comme Maris et de fonder une famille avec toi. Alors oui, j'accepte. »
Le « Oui » avait dut attendre la fin de sa phrase, mais il avait été présent tout au cours de ses paroles. Jamais, mais au grand jamais, elle aurait refuser une telle demande! Dans sa tête, l'idée de refuser était inconcevable... Tout simplement.
( Poste cours, I Know >< J'dois aller en cours xD C'pour ça. j'ai fais « vite » pour avoir la chance de le terminer ce matin )

Après cette succession de mot qui avait pour symbolisme, l'une des deux ultimes unions de l'amour, je me suis sentis bizarre, Comme libéré d'une révélation que je voulais tant faire une fois que nos lèvres se sont collées... Je me suis jamais sentis aussi libre d'esprit, mais au fond il y avait aussi peu de confort. Pas de quoi s'étonner, j'avais fais la demande la plus dure à dévoiler, mais j'y suis tout de même arrivé ! Après ces nombreuses hésitations, je me suis décidé à lui demander sa main pour que nous soyons à jamais unis. Jusqu'à ce que la mort nous sépare ? J'aimerai que cela aille plus loin, j'aimerai que si l'on de nous deux meurt... Nous conservions de notre aimé(e) son image, son honneur quelque soit les conséquences. Du moins moi, je lui serais à jamais fidèle et même dans l'autre monde si il y en à un. Et c'est en me prononçant sur l'autre monde que j'ai pensé aussitôt à Yagura. Mon frère jumeau que j'avais juré de nous plus faire apparaître dans mes pensées... Mais aussi complexe soit-il, je ne peux me résoudre à oublier la personne qui avait comblé mon enfance. Alors je me remémorais rapidement chacun de mes souvenirs qui s'apparentaient à Yagura. Une rivalité naquit dés lors que nous sommes entrés à l'académie ninja, nous avions été tout deux toujours dans la même équipe avec en bénéfice... Le Nidaime Mizukage désormais défunt aujourd'hui... Paix à son âme. Par la suite nous avions appris tout deux les mêmes techniques Suiton et Fuuton, seulement notre nindô était vraiment très différent de ce que j'ai pu pensé par le passé. Lui réclamait le poste de Mizukage afin de mener sa politique contre celles des autres nations. Moi je réclamais la force nécessaire pour me protéger de mes peurs. Et voilà qu'un jour, contre toutes attentes Yagura sut devenir Mizukage à son quinzième printemps. Impressionant n'est ce pas ?

Il avait été promut aussi grâce à son bénéfice qu'est Kappa Sanbi no Isonade... et moi j'étais l'un des combattants normaux du village. Pour être franc je le jalousais tellement qu'il m'est arrivé de le provoquer en duel, jusqu'à certains moments il acceptait jusqu'à son premier refus. Quemque chose d'improbable et pourtant c'était vrai ! J'avais sous mon aile Aô Yasurô notre seul porteur de Dôjutsu à Kiri, et je lui ai demandé de surveiller Yagura. Les jours ont passé et Aô m'apporta la nouvelle qui fut le fait que le flux d'énergie de Yagura était perturbé par un Dôjutsu on ne peut plus puissant. Ce dernier n'était autre que le Sharingan; cette pupille qui a traversé les siècles. Enfin bon, tous pour dire que Yagura était contrôlé par un Uchiha QUI avait été promu à Sandaime Mizukage. Je vous passe les détails qui vous seront mentionnés plus tard au cours de mon existence. Enfin de compte, les débuts de Kaori commençaient à orchestrer la mécanique des battements do mon coeur... une succession de bourrin sur les pores de ma peau. Je ne savais plus trop quoi faire franchement. Mais là, c'est comme si mon existence avait été effacée aussitôt pour être ensuite rematérialisée en plus positve. Cette réponse tant attendue, celle que je désirais de tout coeur vint du déplacement parfait des lèvres de Kaori pour parvenir à mes oreilles et ancré mon coeur de bonheur. La bague lui passa au doigt avec les plus infime des délicatesses pour que je puisse dire ensuite sous les larmes de bonheur:

"Kaori Kushi devient donc Kaori Magari.. C'est trop de bonheur, que demander plus que ta présence à mes côtés pendant toute notre vie ? Allez, on va se baigner !"

C'est vrai que la mer est belle sur cette archipel. Ce néant douceâtre qui prête l'oreille à toute personne de se pays voués à cette mer dont les abysses n'ont jamais été visité que par moi. Le milieu abyssal de Kiri, où règnent le froid et l'obscurité, couvre 307 millions de kilomètres de la surface du globe. Il a longtemps été considéré comme un désert : pas de lumière, et la seule matière organique qui alimente la chaîne alimentaire provient, par gravité, de la surface en se dégradant au cours de la descente. Il fonctionne comme un égout, réceptacle des cadavres et des déjections de la zone éclairée de l'océan.... c'est en ces profondeurs que j'ai retiré de l'Autel des Abysses Tsûme-Hada. Après quoi, je retirait mon kimono du clan Magari afin de le poser sur le sol et je fus torse nue. Je pris la main de Kaori pour courir vers la douce eau de l'océan puis assez bêtement, juste après avoir lâché la main de Kaori je me suis royalement ramasser dans l'eau. Je suis ressortis quelques secondes après avec un sourire enfantin comme si j'avais fais une faute:

"Huhu...! Je suis irrécupérable mais c'est ça qui fait mon charme non ?

N'avons nous pas tous dit un jour « Je ne penserais plus jamais à telle ou telle personne !? ». Pourtant, plus on dit que l'on ne pensera plus à elle, plus elle semble hanter nos penser. Moi, c'est six personnes que je m'étais promis d'oublier, de tirer un trait sur le passer quoi. J'ignorais ce qui leurs étaient arriver, j'ignorais si elles étaient encore vivantes, j'ignorais si elles pensaient encore à moi et je ne voulais savoir la réponse à toutes ces questions. Je savais que mes soeurs ne quitteraient jamais mes pensées totalement, mais c'est beau quand même de rêver ... Il n'y avait aucun moyen apparent pour ne plus faire partit d'une famille. Nous ne pouvions pas divorcer de nos soeurs/Frère et parents, même si parfois se choix nous semblerais bénéfique. Mais bon, comme on le dit si bien : On ne peut pas choisir sa famille. Nous pouvions choisir bien des choses, mais pas ceux qui ont de lien de sang avec nous. Nous avons alors que deux choix : Les aimés, tenir à eux... Même s'ils sont souvent insuportables ou bien les haïrs, oui... Les haïrs du plus profond de notre être et se dire sans cesse « Le malheur des uns, faît le bonheures des autres ». Pendant longtemps, j'avais décider d'aimer mes soeurs, mais d'haïr mon père et ma mère. Aujourd'hui, je reniais mes soeurs, sans pour autent les détester, et j'aimais mon père ... Je comprennais qu'il n'avait pas eu le choix et sa douleur était mienne. Je n'acceptais toujousr pas ses choix, mais je me disais qu'il avait au moins regretter cette mauvaise idée qu'il avait eu en nous abandonnant. Et c'était déjà bien assez pour moi, imaginer que mon père m'aimait... Alors que pendant seize ans j'avais penser que j'étais un fardeau pour lui. Que le fait que son sang soit en moi et en mes soeurs le rendaient honteux! Les apparences étaient souvent trompeuses... Les gestes d'autruis pouvaient souvent être regretter. Je l'avais compris lorsque j'étais revenus à Kiri et que j'avais discuter avec celle qui pendant six ans fut ma mère.

Je fus rapidement, mais délicatement, sortis de mes pensées quand il me passa la bague au doigt. Je n'y avais pas vraiment porté attention, mais elle était magnifique! De loin la plus belle bague que j'avais vue jusqu'à présent. Je me rappel encore des nombreuses bagues que la voisine pocédait, je crois que pendant six ans... Elle n'a jamais porter la même! Dans tout les cas, ses nombreuses bagues n'étaient pas aussi belle que celle-ci ... Il y avait quelque chose d'autre qui était certaine, elles n'avaient pas d'histoire. Ce n'était qu'une pierre sur un anneau en je n'sais quoi... Alors que celle-ci, elle représentait quelque chose de grand pour moi!
"Kaori Kushi devient donc Kaori Magari.. C'est trop de bonheur, que demander plus que ta présence à mes côtés pendant toute notre vie ? Allez, on va se baigner !"
Kaori Magari... Étais-ce possible de prendre se nom de famille comme étant disons... Officiel ? Dans le genre que Kaori Kushi avait disparut totalement pour devenir Kaori Magari uniquement... Que sur tout les papiers sur lequel mon nom figure il soit changer pour « Magari » ? J'avais la vaste impression que ça me permetterais de couper les liens de façon beaucoup plus sérieuse avec mes soeurs... Je pourrais toujours voir! En ce moment, ce qui hentait mes pensées c'était les dernières parole de mon '' mari ''. Se bai...baigner ? N'étais-ce donc pas moi qui avait dit tout à l'heure, et là je cite: Je n'aime pas l'eau! Je la trouve tout simplement... Enfin bref! Je n'aime pas l'eau. Oui, je pense que c'était clair... Je n'aimais pas l'eau pour une raison bien facile à comprendre, étant donner que je vivais d'après mon affinité, l'eau avait le dessus sur moi... D'ailleurs, j'étais une bien piètre nageuse. Je me débrouillais, sans plus. Cependant, Kazuma ne me laissa pas placer un mot et me prit la main en courant vers l'eau. Il lâcha ma main et se retrouva dans l'eau de façon assez surprenante. Je rigola légèrement quand il ressortis quelques secondes plus tard avec un sourire enfantin aux lèvres.

"Huhu...! Je suis irrécupérable mais c'est ça qui fait mon charme non ?''

J'échappais un pâle sourire puis regarda l'eau un moment avant d'hocher légèrement la tête... Avais-je donc le choix ? Non, pas vraiment... De toute manière, peut être était-il temps que je bâttes cette peur incessante et surtout stupide de l'eau! J'avais le courage de la vaincre, c'était ce que je devais garder en tête. Je passa une main sur ma robe en soupirant puis enlevais mes vêtements encore humide à cause de ma rencontre avec l'eau qui séparait les deux îles de l'Archipel. J'eus plus ou moins de difficulter à enlever ma robe et mon chandail et je faillis une ou deux fois tomber à l'eau avant le temps voulus. Je m'assis sur le bord de l'eau en regardant Kazuma puis je baissais mon regard vers l'eau avec incertitude. J'espèrais juste que ma peur de l'eau ne se voyait pas dans mon visage, de toute manière... C'était une peure stupide dont je devais absolument me défaire, pour ma santé mentale.
« L'eau est bonne !? Euh... Elle est bien ? Bah tsé... Elle est froide ? »

Sansho'ô ma salamandre... elle m'a sauvé la vie plus d'une fois... elle m'a même narrer son passé ainsi que tous ceux de son espèce. La salamandre présente la particularité de se présenter à nous sous deux aspects : C'est un animal amphibiens. Elle est noire avec de grosses taches jaunes et recouverte d'un venin cutané. C'est, chez les vertébrés, le champion toutes catégories de la régénération. Il est capable de régénérer totalement des membres, la queue, parfois l’œil, et même de larges portions du cœur. C'est aussi un un animal symbolique de la croyance populaire. La salamandre, petit dragon miniature, est un esprit du feu, comme l'ondine est un esprit élémentaire de l'Eau, le gnome un esprit élémentaire de la Terre, et le Sylphe un esprit élémentaire de l'Air. Elle habite le feu d'où elle puise vie et protection. Ce n'est pas un démon c'est Dieu dit la tradition qui plaça la Salamandre dans le feu pour en être le gardien.Certaines légendes ajoutent que de tous les poisons, c'est la salamandre qui a le plus puissant pouvoir car elle peut tuer beaucoup d'individus en grimpant dans un arbre et en en empoisonnant ses fruits ou bien l'eau d'un puits. Elle souffre de ce statut de reptile maudit, sa morsure rendrait un homme chauve ou pire... le tuerait, on pensait s'éviter cent jours de purgatoire en tuant cet amphibien. Les Alchimistes l'associent au Mercure, le vif-argent, c'est à dire l'esprit créateur. Ainsi donc Cette bête signifie l’homme de raison menant une vie sainte, et qui est si plein de la foi parfaite qu’il éteint sur son chemin le feu de la luxure et la chaleur ardente du vice.

La Salamandre vit dans le feu, elle est la gardienne des flammes, une représentation du dragon-symbole de l’énergie primordiale, l’étincelle de vie, le feu de Dieu. Déjà les anciens ninjas l’avaient assimilé au Phénix qui survit au feu et renait de ses cendres. Elle est au feu ce que l’ondine est à l’eau mais contrairement à cette dernière elle ne vient pas au contact des hommes qu’elle risque de brûler. J'en ai passé des moment avec Sansho'ô, elle m'a même sauvé la vie contre Yagura. Je lui en serais toujours reconnaissant, mais maintenant je ne peux compter que sur moi même. Ainsi donc, l'union entre moi est Kaori avait donc été décidé. Elle portait mon nom par delà les lois du mariage, mais en elle, dans ses racines et ramifications elle a été, elle est et restera officiellement une Kushi. Je me disais aussi que j'avançais seul dans cette étendue d'eau. Qu'avait-elle ? Une phobie ? aussi poussée soit-elle, mon sourire amuseur s'effaça aussitôt... je me sentais coupable de l'avoir emmené jusqu'ici mais allons bon. Elle s'assit aubord de l'eau tout en parlant d'un ton bien hésitant... J'ai sourit tendrement pour me diiger vers elle puis sans lui répondre je lui prit les deux mains en lui adressant un grand sourire amplis de confiance. Ainsi j'avais cerné en quelques secondes le mal de Kaori:

"Je te demandes une seule chose. C'est d'avoir confiance en moi, et toi, sois concentrée le plus possible. T'as une phobie de l'eau, je vais t'aider."

Et oui un, j'ai décidé de lui porter mon aide. En commençant par sa phobie. Ainsi donc je l'entrainais délicatement vers moi, avec la plus fine des tendresses pour ne pas l'inquiéter. Je savais bien qu'il était difficile d'affronter sa peur, moi même j'ai hésité à affronter Yagura. Mais pour toute une population, je me suis résolus à le tuer bien que ceci était inéluctable. Enfin bon, là il n'était pas question de s'égarer dans la voie funeste de mon passé mais dans la voie que je tends à Kaori qui est celle d'une confiance absolue. Après je la collais contre moi, ses bras autour de mon cou et mes mains se baladant sur son dos. Je l'ai serré un peu normalement histoire qu'elle puisse se mouvoir. Enfin j'eus l'idée d'invoquer la salamandre aqueuse qui apparut à nos côtés. Elle allait aider Kaori, ainsi je mis Kaori sur la Salamandre d'eau pour la rendre un peu plus confiante.

"Bon Kaori, ma Salamandre est là pour t'aider tout comme moi. Déjà il va falloir que tu oublis que tu navigues sur ce néant douceâtre. Imagines un endroit terrestre, fermes les yeux et imagines cet endroit. Et là tu t'enfonces dans ce monde en marchant (là tu t'enfonceras dans l'eau) et tu viendras jusqu'à moi. Vas y essais"

Trop froid, trop liquide, trop trensparente, trop dangereuse quand on ne savait comment l'approcher. C'était ma description de l'eau, je n'avais aucune envie de m'approcher d'avantage d'elle... Mon coeur battait deux fois plus vite quand je devais rentré dans l'eau et j'avais sans cesse l'impression que j'y laisserais ma vie. Il en était de même quand je me lavais, je ne passais jamais plus que dix minutes sous la douche sinon j'avais l'impression d'étouffer. Ça m'étais déjà arrivé d'ailleurs... Il n'y a pas si longtemps que ça! J'étais resté dix... Vingt ? Peut importe, j'étais resté beaucoup trop longtemps dans la douche et j'avais commençer à avoir de la difficulté à respiré, comme si les murs de la douches devaient de plus en plus étroient ou encore comme si l'eau m'empêchait de respiré. En sortant j'avai vue le regard paniqué de Rise se posé sur moi et bon, j'étais tombé inconsciente. Je dois l'avouer! C'est ainsi depuis que je suis toute jeune... La voisine avait toujours une peur bleue quand je rentrais dans la salle-de-bain et mes soeurs sentaient le besoin de me « surveiller » quand j'allais me lavé dans un des nombreus lacs qui faisaient notre bain quand nous habitions en forêt. Au moins, je pouvais me consoler en me disant que c'était la preuve que toutes ses personnes tennaient à moi. Je n'avais jamais chercher à savoir si je pouvais mourrire de cette phobie, qui semblait d'ailleurs beaucoup trop réelle pour moi. Je ne voulais pas le savoir... J'avais tout simplement l'intention de m'en débarasser, aussi rapidement qu'elle était arrivé! Je n'allais tout de même pas passé ma vie à fuir l'eau comme la peste... Quel genre de ninja serais-je !? Surtout venant d'une kirienne... Kiri le village de la brûme dans le pays de l'eauu ~. Peut être aurais-je eu un peu plus ma place à Konoha après tout. Le village de la feuille dans le pays du feu! Ou même tout les autres villages auraient moins fait contradictoire avec moi! Mais bon il avait fallut que mes parents m'aillent à Kiri et que l'homme de ma vie me convainque d'y revenir. Il n'était pas question que je déserte. Ce n'était pas moi ça, j'étais fidèle à mon village et que je le resterais...

Je sentis soudainement les mains de Kazuma prendre les miennes un grand sourire aux lèvres. J'échappa un pâle sourire puis regarda ce denier dans les yeux en me demendant ce qu'il allait me dire. Les possiblités étaient nombreuses, mais je savais qu'il avait remarqué ma petite faiblesse face à l'eau. J'avais honte. Impossible de dire le contraire.
"Je te demandes une seule chose. C'est d'avoir confiance en moi, et toi, sois concentrée le plus possible. T'as une phobie de l'eau, je vais t'aider."
N'aurais-je pas pus avoir un mari qui sache si bien cerné mes peurs !? Kazuma était sûrement la personne qui me conaissait le mieux jusqu'à présent et pourtant, je n'avais rien eu besoin de lui dire sur moi. Il avait tout deviné... Enfin... Oui, c'est ça. Il avait réellement tout deviné. Je me sentais à la limite de la trensparence face à lui et je devais avouer que c'était parfois embarassant, mais bon. J'vous entend déjà dire que dans un couple on doit tout se dire, mais ce n'est tout de même pas moi qui est de l'exprérience dans ça alors... Je savais que je ferais mon possible... J'étais heureuse que Kazuma veuille m'aidé à vaincre cette peur, plutôt... gênante, de l'eau... Mais en serait-il capable ? Même moi je voyais cette innitiative comme étant impossible! J'échappais un pâle sourire quand il me colla contre lui, mes bras autour de son coup et ses mains caressant mon dos. Je fus suprise quand il invoqua une salamendre... J'aimais bien le concepte de l'invocation. Notre maître ne nous avaient pas apprit cette merveilleuse technique, mais je devais avouer qu'elle m'interessait. Le principe d'invoqué un animal d'un endroit à un autre me semblait plutôt interessant et je trouvais que en combat, cela pourrait être important. Surtout pour les prochains combats qui suiveraient dans pas si longtemps. Je n'avais pas peur de la mort, j'avais peur de leau, mais pas de la mort. Pourquoi ? Bah ça, c'est pas important. De toute manière, qui cela interresse-t-il ? Je voulus me débattre, mais je ne fis rien quand il me mit sur la salamendre. Je regardais longuement cette dernière en souriant bêtement puis remonta mes genoux vers moi en sentant l'eau touché mes pieds... C'était bien commençer quand même.

"Bon Kaori, ma Salamandre est là pour t'aider tout comme moi. Déjà il va falloir que tu oublis que tu navigues sur ce néant douceâtre. Imagines un endroit terrestre, fermes les yeux et imagines cet endroit. Et là tu t'enfonces dans ce monde en marchant (là tu t'enfonceras dans l'eau) et tu viendras jusqu'à moi. Vas y essais"
... !? Oui, bon ... Il essayait de me convaincre que ce n'était pas si pire que ça. Imaginé un endroit terrestre... Je soupira puis inspira profondément en fermant les yeux. Étrangement, ce fut la dernière forêt que moi et mes soeurs avions habités qui m'apparut en mémoire... Un forêt très proche de Konoha dans lequel notre bonheur avait été à son comple, pour le peu de temps où nous pouvions êtres heureuse. Je retenus mon souffle puis quitta le dos de la salamendre m'enfonçant aussitôt dans l'eau. Je dus me faire violence pour ne pas ouvrire les yeux et sauter sur la vraie terre ferme. Plus je m'approchais de Kazuma, plus les eaux étaient profonde, bah du moins, je croyais, et plus j'était mouiller. J'avais l'impression que l'eau m'emprisonnait et m'empêchait de respiré, mais je ne disais rien et me contentait d'avançer en sachant qu'un jour ou l'autre je devrais vaincre cette peur. Ce ne fut que quand je sentis la peau de Kazuma que je réouvris les yeux. Je tremblais incroyablement et j'avais peur... Évidemment, la peur était atténués car je savais que Kazuma était là... Mais j'avais quand même peur.
« J... J'ai réussis ? TT'' »

Une telle phobie dans un tel pays ?Cela montre un manque de logique, mais normalement avec cette aide que je lui porte, cela ne devrait pas durer si longtemps que l'on dit. Vaincre une peur c'est certes complexe mais on y arrive toujours. La preuve, moi j'ai toujours eus peur de ces bêtes titanesques que sont les taureaux... dont un en particulier, ce fut un Taureau qui vut sa taille correspondait bien à son symbolisme: Puissance et fougue irrésistibles, le taureau symbolise le mâle impétueux. Indomptés, les taureaux évoquent un déchaînement de violence. Force créatrice et indomptable, l'image de cet animal évoque l'avidité, la fécondité, ainsi que les liens héréditaires essentiels. C'est un support de notre continent, support de la création, il porte sur lui le poids de la terre, se rapproche de la Lune. Le sacrifice des taureaux évoque la domination de l'homme sur l'esprit indomptable, la lutte du bien contre le mal. C'est aussi dans ce sacrifice que se trouve l'accès à la lumière... le taureau posédait une force incontrôlée sur laquelle toute personne consciente cherche à établir sa domination, le taureau évoque la domination perverse. Dans les mythes, on dresse les taureaux aux pieds d'airain, ce qui signifie dompter la fougue des passions, dompter ses désirs instinctifs. Et c'est grâce à Yagura et papa que j'ai réussi à vaincre ma père... c'est lors d'un affrontement contre un taureau que j'ai passé le pacte de sang avec Sansho'ô d'ailleurs. Elle est apparut et m'a défendu contre cette atrocité. Enfin ça c'est du passé et aujourd'hui je dois aider Kaori à vaincre cette peur continuelle qui s'empare d'elle.

Elle avançait en descendant de la salamandre... c'est admirable, mon conseil portait donc ses fruits si rapidement. Elle ne se doutait donc pas qu'à l'heure qu'il est j'étais fier d'elle ? Que je voulais que rien ne faillisse...? Alors je laissais faire ma femme qui s'avançait peu à peu de moi qui restait dans ce néant douceâtre. l’eau est à la source de l’imaginaire et des rêves. Mais aussi des rituels... Mais on peut pousser la description plus loin. Car le liquide est tantôt clair, de source, courant, stagnant, frais, salé et réfléchissant, profond ou orageux. L’eau est une porte qui ouvre sur les fantaisies de l’imagination. Elle permet, en quelque sorte, de rendre visite à l’inconscient. Mais l’eau est aussi le premier miroir de l’homme qui pense. C’est elle qui le guide vers la conscience de soi et la raison. Des générations entières ont été marquées par l’idée de la vie s’écoulant tel le cours d’une rivière. Grâce à la rivière, nous sommes purifiés ou connectés au domaine des morts, tandis que nous chassons les peines infligées par la Psyché. Je sentais sa peau contre frôlait la mienne, mais en aucun cas elle devait s'accrocher à moi. Ce serait tout recommencer depuis le début et je vois qu'elle est sur le point de réussir... alors je me suis légèrement reculé après avoir caressé lentement sa main et dans les secondes qui ont suivi ce recul j'ai sourit puis j'ai dit:

"Oui c'est fini Kaori... t'as réussi...!"

De même que la Lune contrôle les marées, la mer est l’hôte perpétuel des naissances et renaissances. Car elle est aussi le symbole de la semence masculine. Dans de nombreuses traditions, l’eau est perçue comme un moyen de transformer, de transmuter la matière inerte en vie, et de conduire l’esprit vers la lumière et la conscience de soi. Je m'avançais de Kaori, puis en mettant mes mains sur ses joues; elle pouvait donc rouvrir les yeux... un agréable sourire s'affichait sur mes lèvres qui aussitôt se sont collées à celles de Kaori avec une sensualité sans égale. Pour ensuite blotir son corps contre le mien...juste après avoir dit:

"Et bien je suis un bon senseï xP"

Je gardais un profond silence continuant de sentir la peau de l'amour de ma vie sous mes doigts. Je tremblais légèrement, je n'aimais pas ma situation actuelle si ce n'était que j'étais là, devant la personne la personne qui comptait le plus à mes yeux jusqu'à présent. Je ne pus cependant pas empêcher mes pensées de se dirigés vers les deux garçons que j'avais rencontrer quelques temps plus tôt. Chiaki et Zafura était très prometteur pour la réalisation de mon but, je devais cependant avouer qu'il m'avait été plutôt difficile de leur faire oublier leur quête de vangeance envers des assassins diverse. Ce qui m'avait surtout étonner, c'était qu'ils n'avaient pas fait cas de mon âge. Seulement âgé de seize ans, j'étais bien jeune à comparer eux! Mais j'ignore pourquoi, ils n'ont rien dit à propos de mon âge et on vue quelqu'un qui changerait leur vie en moi... Cependant, est-ce réellement le destin qui m'est destiner !? J'avais fièrement décider de m'en prendre à l'Akatsuki, mais ... Étais-ce mon destin de menner des ninjas de chaque village au suicide ? Si l'un d'eux mourrait... Me le pardonnerais-je donc ? Je l'ignore, c'est pour quoi si quelqu'un doit mourrire... Alors ça sera moi. Je n'es pas envie de vivre en sachant qu'à cause de moi, un brillant ninja est mort. Évidemment, je préférais que nous restions tous en vie. Mais si ma mort pouvait servire à quelque chose... Alors je ne m'y oposerait pas. Mourire en sachant que j'ai au moins chercher à faire face à l'Akatsuki pour le bien de ce monde serait la plus belle mort que je pourrais avoir et je l'acceptais déjà. J'ignorais comment Kazuma réagirait si je mourrais, mais je ne m'inquiète pas. Si mon destin prévoit ma mort, alors je voudrais qu'il l'accepte et qu'il soit heureux, même si c'est dans les bras d'une autre femme... M'enfin! Je ne vais pas penser à ça maintenant non plus! Je ne voudrais pas parraître négative, je suis encore vivante! alors je ne vais pas commençer à broyer du noir suite à une possibilité de futur mort tout de même! Cependant, il était certains que ce dans quoi je me lançais pourrait être dangereux. Mais bon, je suis une sannin de Kiri tout de même! Je faisais partie de l'élite de Kiri... ! Ma mort n'arriverait pas si rapidement... C'est une promesse. Et puis, tent que Kazuma resterait au près de moi, je n'avais aucune raison de mourrire. Mon Maris était ma raison de vivre et le serait toujours!

"Oui c'est fini Kaori... t'as réussi...!"
Ça me faisait presque plaisir de l'apprendre... Mais c'était plus cette légère difficulter à respirer qui m'empêcher d'être heureuse d'avoir fait un pas de plus pour me débarasser de cette phobie que je considerais mortelle. Peut être bien que je n'aurais plus peur à la fin de cette journée, mais je pouvais déjà dire que jamais, mais au grand jamais je n'aimerais l'eau! Elle me faisait peur sous toute ses formes... Je n'aimais pas la glace, la vapeur, l'eau et tout ce qui provient de l'eau. C'est ainsi que je ne buvais jamais d'eau, même lorsque j'étais obliger et que je refusais toute les propositions pour une beignade. Mes soeurs s'y étaient rapidement adapter et avaient arrêté de perdre leur temps à essayer de me convaincre que l'eau était mon amie, elle savait que je pensais et que je penserais toujours le contraire. Elle était trop liquide, elle était trop froide et beaucoup trop mortelle... Mort Noyer était la mort qui me faisait le plus peur et celle que je voulais éviter à tout prit. Pourtant, c'était celle qui était le plus utile contre moi. C'était ma faiblesse en combat... C'était ma faiblesse dans ma vie de tout les jours. Je fus légèrement surprise quand Kazuma mit ses mains sur mes joues et je réouvris aussitôt les yeux, même si je restais tout de même un peu incertaine face à ma situation actuelle. J'allais lui rendre le sourire quand ses lèvres se posèrent sur les miennes avec une sensualité qui ne put que je rendre légèrement surprise.
"Et bien je suis un bon senseï xP"
Je ne pus retenir un léger sourire puis me blottit contre de ce dernier en mettant ma tête sur son épaule. Je resta ainsi quelques secondes, mon corps tremblait toujours, quoi que beaucoup moins. J'aimais et détestais ma situation actuelle, je l'aimais parce que j'étais blottit contre Kazuma et par la même occasion, plus que jamais heureuse et je la détestais parce que j'étais dans l'eau. La chose que je détestais le plus sur cette terre. Ça et les arraignées... Peut être bien le noir aussi, m'enfin... Je ne détestais pas vraiment le noir quand il y avait un peu de lumière... Mais le noir, vraiment.. Noir me faisait peur d'une façon inconditionelle. Je déposa un doux baiser dans le coup de Kazuma puis regarda ce dernier en souriant légèrement avant de prendre la parole.
« Kazuma Senseï... On peut sortir de l'eau maintenant, s'il-vous-plait ? »

Kaori avait tout de même réussie à vaincre sa phobie de l'eau, j'étais fier d'elle pour être franc. Ce n'est pas donné à tout le monde de surmonter l'une de ses plus grandes peurs dans « l'immédiat ». La première fois que j'ai eu réellement peur, c'est quand mon inéluctable affrontement avec Sanbi fut de mise. Yagura ayant abandonné son Bijû, le démon tortue à trois queues avait décidé de se venger de Kiri en lançant un assaut sur le village par les portes les moins surveillées. Le village fut inondé qu'à moitié, et c'est moi qu'on a choisi pour repousser la bête. J'étais persuadé que je ne serais pas de taille à vaincre Sanbi... Tsûme-Hada ne demandait que combattre cette entité imposante. Moi je pensais plus qu'à fuir en réalité. La décision la plus dure à prendre, c'est de me faire Hara-Kiri pour transvaser la force de mon épée jusque dans mon corps afin de me métamorphoser. En quoi ? Je rajouterai aussi en qui... Vous savez, ce mythe aussi céleste que le dieu Okami de Kiri... Celui d'Isonade, l'impéteux et cruel requin géant à trois têtes. Celui qui a traversé les océans en compagnie de son arme qui était qu'un petit poisson: Samehada. Un petit poisson vorace d'énergie qui remettait cette énergie à Isonade pour le rendre d'avantage plus puissant. Tout le monde trépassait devant ce requin et son armement. Mais un sage, enfin LE sage de Kiri dit aussi Shodaime Mizukage, s'imposa devant la bête avec divers sceaux interdits dont il fit usage. Mais il a fallu que se soit l'armement principal d'Isonade qui soit scellé dans un outil de puissance dit: épée. D'où le fait que se soit Kisame Hoshigaki qui a possédé cette épée. Quant à Isonade, lui eu le châtiment supérieur... Il a été scellé dans un même outil de puissance qui fut enfoui dans les profondeurs abyssales de la mer céleste de Kiri Gakure dans l'Autel Aqueux et Divin. Depuis cette épée possède le nom de Tsûme-Hada, dent de requins. Qui est allé récupéré cette épée ? Et bien c'est moi même. Enfin bon, pour ne pas m'éloigner du sujet, je n'ai pu que repousser l'Akuma no Kappa (le démon tortue). Ensuite qui s'est imposé ?... Contre toute attente, c'est mon frère, le faux jumeau; Yagura. Et ouais, j'ai dû affronter mon faux jumeau pour le bien de Kiri, et c'est moi même qui ais du le tuer. Mais cela aurait pu ce passer autrement s'il n'avait pas été perverti et manipulé par le Sharingan... d'Akatsuki voir d'Uchiha Madara.

En parlant d'Akatsuki; L'engourdissement de toutes les nations a été périlleux... il fallait imaginer qu'une puissance quelconque provoque une guerre-surprise... ces légions de shinobi sans l'expérience du combat réel n'aurait donné aucune garantie. Le risque de désastre militaire était bien réel. Donc Kiri, Suna, Iwa, Konoha ont décidé de former un corps de mercenaires dont les capacités sont sans égales... voilà comment est né Akatsuki. La constitution d'une élite dans chaque village aurait demandé des sommes et des efforts faramineux. Et cette organisation a finalement fait son propre contrat, avec d'excellents résultats économes faut-il préciser. Mais en tant que sixième ombre des vagues, je ne suis en aucun cas fier de ce qu'a fait les précédentes générations. Ils ont bafoué notre présent comme ils ont scellé notre avenir. Des tas d'innocents ont été tué, des ninjas ont tenté de dissoudre l'organisation et ont échoué. Le massacre a finalement continué, les bornes étaient dépassées depuis fort longtemps. Depuis la manipulation de mon frère via le Sharingan de Madara, j'ai toujours pris les mesures nécessaires pour me mesurer à Akatsuki. Quoi que je n'ai affronté qu'un seul de leurs membres mais sans succès... c'est Kisame, mais cela n'aurait duré que... 15 minutes pas plus. Après je me suis contenté de me renforcé tout en me renseignant sur les agissements de la lune rouge. Et mon ascension à Sanin dernièrement grâce au Daimyo no Mizu m'a permis d'en savoir d'avantage sur les actions de l'Akatsuki. Aujourd'hui étant Mizukage, je suis non seulement en train de surveillé constamment les shinobi de mon village pour éviter toutes trahison, ou formation de groupuscule visant le coup d'état ou unions bilatérales avec les autres nations. Mais je tente aussi de former mon propre corps d'élite pour aller affronter Akatsuki. Le dernier rapport périodique dont on m'a fait part, cela venait de Tsurugi le chef des forces spéciales mais aussi mon bras droit. Et comme toutes vraisemblances... cela concernait Kaori. Je devrais lui en faire part dans les temps à venir, voir aujourd'hui.

La sentant contre moi, cela me faisait oublié à quel point je suis malheureux quand je pense à Yagura. Elle me réconforte, je sens une sorte de chaleur envahir mon cœur et cela ne peut me procurer que du bien. J'ai caressé son dos lentement tout en déposant deux ou trois doux baisers dans son cou, le tout poursuivit d'un petit rire lorsqu'elle me surnomma « Kazuma-senseï ». Cela fait vraiment bizarre de se faire appeler comme ça... Mais quand j'y pense, je devrais sûrement prendre quelqu'un sous mon aile. Prendre un élève quoi. Enfin je compte regarder le dossier des Genin de Kiri pour voir si quelqu'un m'intéresse. Et je pensais en même tant convoqué quelques ninjas, comme Okami Shizume, et l'un des sept ninjas spadassins (épéistes) .Je devais cependant sortir de l'eau avec Kaori, je l'ai porté pour la mettre sur mes épaules après un gros soupire amusant qui fut suivi d'un ricanement. Puis d'un coup je me suis précipité à une vitesse folle sur le rebord que j'ai atteint après quelques secondes de déplacement. Une vitesse digne d'un Mizukage adepte du gène Raiton ( vantaaaaard xD). Je l'ai déposé sur le sable, voir allongée. Je l'ai regardé de haut puis en souriant je me suis installé au-dessus d'elle puis je l'ai embrassé sur le front. Il faut dire que c'est vrai, c'est une réalité, elle est ma femme. Elle n'a pas refusé de me prendre pour mari et j'en suis tout à fait... fier. Je suis inondé de bonheur, je serais toujours aux côtés de ma belle. Elle a beau l'expérience du combat réel puis ce qu'elle s'est défendue étant déserteuse, je la protégerai contre qui que soit. Je ne veux pas la perdre, elle est mon unique kit de survie. Elle est ma pommade lorsque je vais mal, je la veux à mes côtés pour le restant de ma vie. Elle m'est indispensable, je ne suis même pas sûr que de relier avec quelqu'un d'autre si il arrive malheur à Kaori... à part si cette personne lui ressemble. Pas dans le cas physique, mais si ça bonté a des raisons d'être sidérée. Je lui caressais sa joue, en essayant d'imaginer notre avenir... Je voulais des enfants avec elle, voilà ce qui pourrait combler et multiplier notre raison de vivre. Former une véritable famille, ça serait bien plus que génial ! Un ricanement fut de mise et cela allait sûrement prêter Kaori un peu à confusion. Je regardais à côté, le bouquet que je lui ait offert. Je pris une des fleurs que je plaçais délicatement dans ses cheveux puis j'ai dit avec un sourire tendre:

« Cela multiplie ta beauté... tu es tellement belle et pure. Tu es ma fascination... Je te veux avec moi pour le restant de nos jours... je t'aime. »

Voilà que mon visage s'approcha du sien, un peu plus, et mes lèvres caressèrent les siennes. Son souffle giflait délicatement mon visage tandis que le mien lui renvoyait la pareille. Ma main droite descendit prendre celle de Kaori tandis que la gauche se perdit dans ses cheveux que je caressais. Quelle magnifique chevelure rousse. Moi-même j'étais blond avant, comme Yagura. Mais pour nous différencier j'ai préféré me les tendres en noir avec deux mèches blondes. Puis finalement j'ai laissé le temps faire puis voilà où j'en arrive tout naturellement: Une chevelure mi-longue mi-courte, dans un bleu foncé mêlé au noir ébène. Je suis assez fier en fait, enfin bref. Une fois assez proche, mes lèvres entamèrent un doux baiser sur celles de Kaori. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle me repousse au contraire, alors je continuais de l'embrasser avec une tendresse sans égale. Une sensualité encore jamais parut dans le moindre des baisers que j'ai fais à Kaori. Ma main se détacha à contre-cœur de la sienne, ma main quitta ses cheveux. Puis ensuite elles passèrent sur sa taille, tandis que j'ouvrais légèrement ma bouche pour insérer lentement et délicatement ma langue afin qu'elle caresse sensuellement celle de ma tendre. Ainsi elle s'enroula autour de la langue de ma belle, puis se déroula pour danser à nouveau avec. Je ne me lassais pas du baiser, mais quelque chose me préoccupait justement... je m'inquiétais pour quelque chose que je devais aborder... alors après dix bonnes minutes de plaisir dont j'ai agréablement profité... j'ai stopé le baiser que je préférais reprendre après cette brève, courte et simple discussion:

« Dis-moi Kaori... je pense que tu connais Tsurugi-san: le leader des Anbu et Oi-nin de Kiri. Il a été chargé par le seigneur du pays de te suivre dans tes sorties en dehors du village. Pourquoi ? Je pense que c'est parce qu'il est le seul à ne pas te faire confiance. Dans le rapport de Tsurugi, il est dit que tu es entrée en contact avec un ninja débutant de Suna et un ninja de classe supérieure de Konoha... afin de former une alliance. On en sait pas plus, si tu me dis en quoi consiste cette alliance, je ferai en sorte qu'on ne te suive plus à la trace... Je te le demande par intérêt personnel, parce que je m'inquiète beaucoup pour toi. Alors s'il te plaît, pourquoi cette alliance avec des nations dont on ne partage pas de bonnes relations... »

C'était avec une bonne humeur qui m'était que trop peu connus c'est dernier temps que j'attendais la réponse de Kazuma. Je ne le quittais pas des yeux, souriant comme si c'était quelque chose d'habituel pour moi... J'ai pourtant passer seize ans de ma vie sans sourire! Les moments de bonheur en compagnie de mes soeurs étaient beaucoup trop rare... Notre but premier étant de surivre, avais-je donc le temps d'être heureuse ? Déjà que c'était étonnant que nous survivions de nous même... Il fallait dire que la seule chance que nous avions eu c'était d'avoir rencontrer notre Senseï... Sans lui, nous serrions morte et je ne serais pas en ce moment avec l'amour de ma vie. La vie m'avait, finallement, sourit... J'étais heureuse et j'esperais que ce bonheur dûre pour le restant de ma vie. Je me contre-fichait totalement de savoir si cette dernière serait encore longue ou pas... Je voulais juste la finir comme ça. Au près de Kazuma, d'ailleurs... Si je devais mourrire, je voulais que ce soit dans les bras de ce dernier. D'ailleurs, si je dois mourrire, je ne veux pas que le monde cherche à s'y imposer .Je mourrais, tout simplement. Oui, c'est ... Négative comme façon de voir les choses, j'ai une belle vie qui m'attend et c'est pourquoi je lutterais jusqu'à mon dernier souffle pour en pas mourrire. La mort me fait peur... C'est ... Froid, désagréable... Effrayant... Iconnu. Plus j'y pensais, plus je me disais que j'étais rendus madame peur de tout! C'était pas bien ça... Peur de l'eau, peur des ours, peur des arraignées, peur de la mort... Qui était le prochain sur la liste ? Peut être un peu peur des hauteurs... Mais ça... C'était encore incertain. M'enfin, pour une ninja, une sannin même, elles étaient nombreuses. Il fallait dire qu'être la première Kushi à mourire ne l'interessait guerre plus que ça. M'enfin, à force de voir noir et de parler de la mort, elle allait elle même se convaincre que sa dernière heure était bientôt arriver! Donc bon... Changer de sujet semblait être la meilleure solution.

Je crus que ma vie était terminer quand Kazuma me porta pour me mettre sur ses épaules... Je n'écoutais plus ce qui se passait. Je voulais juste que cette malheureuse étape, qui confirmait légèrement ma petite peur des hauteurs, passent rapidement. D'ailleurs, mon souhait ne fut pas prononçer pour rien car à peine quelques secondes plus tard nous étions sur le bord. Je n'étais pas plus rassuré pour autant... Certe, jamais ma peur des hauteurs ( Très minime d'ailleurs ) ma batterait celle que j'avais à l'égard de l'eau... Mais disons que je ne courais pas les risques inutiles. Je me sentis beaucoup plus dans mon élément quand il m'allongea sur le sol. Me regardant de haut je ne pus m'empêcher d'hausser un sourcil... J'avais toujours aimé me faire regarder de haut. Déjà que je me sentais assez petite comme ça. Cependant, je ne pus m'empêcher de sourire égallement avant qu'il ne s'installe par dessus moi, en profitant pour déposer un baiser sur mon front ce qui, je dois l'avouer, me fit légèrement rougir. Je regardais longuement Kazuma... Laissant parfois mes pensées divaguer... Penser à n'importe quoi... À des trucs heureux, des trucs malheureux... Des tucs neutres aussi. Le cerveau humain était très complex! Le mien ne faisait pas exeption à la règle. Personne n'avait, jusqu'à présent, cerner que trop parfaitement ma personnalitée. Au même type que je ne savais que trop rien de la leur, je n'étais pas curieuse et je savais que c'était avec du temps et de l'effort que j'arriverais à perçer les secrets de mes amis. Très peu nombreux d'ailleurs... L'Empathie me permettait d'aller beaucoup plus loin que les sentiments humains cependant. Même si je dois avouer que ressentir les sentiments d'autruis me mettait mal-à-l'aise. À quoi bon avoir ce don si on ne l'aimait pas ? Ce n'était pas tout le monde qui avait la chance de ne pas l'avoir... Et puis bon, je devais faire avec. J'haussa un sourcil quand il ricanna... Il avait le don de me confuser. À force de rester avec lui, j'allais devenir comme lui! Rigoler sans raison ne m'interessait pas vraiment. Je ne pus cependant retenir un sourire quand il placa une fleure dans mes cheveux... On m'avait toujours dit que ça m'allait bien. Étais-ce vrai ?

« Cela multiplie ta beauté... tu es tellement belle et pure. Tu es ma fascination... Je te veux avec moi pour le restant de nos jours... je t'aime. »
Nos jours... Oui, ce qu'il ressentait était totalement réciproque. Je l'aimais comme une folle... Quand il n'était pas là, j'avais l'impression qu'il me manquait quelque chose... Une partie de moi, tout simplement. Je ne pus retenir un pâle sourire quand ses lèvres caressèrent les miennes. J'entrelaça mes doigts avec les siens puis le laissa passer une main dans mes cheveux roux. M'enfin bref, c'est un sourire des plus heureux qui s'afficha tout d'habord sur mes lèvres quand il m'embrassa. Un doux baiser. Ses baisés étaient rendus comme une drogue pour moi... Je ne pouvais simplement plus m'en passer. En plus de lui même, ils étaient la seule chose qui me permettait d'être heureuse. Je dois avouer que je ne pus m'empêcher d'être légèrement surprise quand il ajouta sa langue au baiser... Pourquoi ? Sans raison. J'étais tellement plonger dans mes pensées que j'en avais peut être un peu oublier le baiser. Ce dernier dura, d'ailleurs, au moins dix bonnes minutes puis Kazuma l'arrêta, m'arrachant une mine légèrement triste.
« Dis-moi Kaori... je pense que tu connais Tsurugi-san: le leader des Anbu et Oi-nin de Kiri. Il a été chargé par le seigneur du pays de te suivre dans tes sorties en dehors du village. Pourquoi ? Je pense que c'est parce qu'il est le seul à ne pas te faire confiance. Dans le rapport de Tsurugi, il est dit que tu es entrée en contact avec un ninja débutant de Suna et un ninja de classe supérieure de Konoha... afin de former une alliance. On en sait pas plus, si tu me dis en quoi consiste cette alliance, je ferai en sorte qu'on ne te suive plus à la trace... Je te le demande par intérêt personnel, parce que je m'inquiète beaucoup pour toi. Alors s'il te plaît, pourquoi cette alliance avec des nations dont on ne partage pas de bonnes relations... »
Mon regard changea aussitôt, ce n'était plus du tout une expression heureuse ou même un essaye de tristesse qui se voyait dans mon regard, non c'était... De la frustration... Envers qui ? Je ne pouvais le dire ... Kazuma, Tsurugi ou bien le super et merveilleux que je déteste désormait Seigneur du pays. Ce fut avec plus ou moins de gentillesse que je repoussa Kazuma pour me relever. Je me dirigea vers ma robe et mon chandail que je remit, toujours sans dire un mot. Je passa une main dans mes cheveux, que j'avais éviter de mouiller inutillement puis remit mes chaussures, n'aillant plus envie de m'amuser. Je siffla légèrement pour rapeller Rise à moi puis caressa la tête de ce dernier quand il se posa son mon épaule. Je regarda un moment Kazuma, hésitant à répondre à sa question qui m'avait, de toute évidence, énerver. Ma vie personnelle me concernait que moi même... Même mes soeurs n'avaient jamais oser faire ce que le seigneur du pays avait eu le courage de faire... Étais-je donc si indigne de confiance que ça ?
« Pas de bonnes relations... Contrairement à certains, j'ai un but dans la vie. Chiaki et Zafura-Kun on accepter de m'aider à accomplir le but que je me suis donner. Tu te rappel quand tu ma proposer de venir à Kiri ? Si j'avais hésiter, c'était d'habord parce que je me pensais que ça serait une entrave à mon rêve... Je me suis poser la même question quand nous nous sommes rencontrer. Je ne souhaitais pas avoir de lien avec personne ni avec aucun village pour éviter le favoritisme... C'est pour quoi je suis entrée en contacte avec eux... »

» Changement Kakuzu => Kazuma Magari [En cours]
» Prêt à partir !!! [PV: Shika, Kazuma & Nariamo]