Vue d'en haut (libree)

Le son des cloches du Gion Soja fait écho à l’impermanence de toute chose. La couleur des fleurs sala montre bien il est vrai que la prospérité est promise au déclin. Les orgueilleux ne durent pas, ils sont comme un rêve dans une nuit de printemps ; Les puissants finissent par tomber, ils ne sont que de la poussière avant le vent. Je suis toujours au même endroit depuis ce matin... sur la statue de Hashirami Senju à la vallée de la fin. Cette statue défiant de son regard tellurique celui de Madara Uchiwa. Quand j'y pense, c'est un combat mortel qui s'est livré ici... un combat qui a marqué à jamais l'histoire de Konoha... Bref à quoi bon s'éterniser sur le passé. Je devrais plutôt continuer à nourrir mon imagination quand tout en regardant la vallée qui s'étend jusqu'aux plaines. Au loin je pouvais voir un ruisseau qui s’écoulait d’une source et je la voyais serpenter entre les buttes arrondies. Le ruisseau s’élargissait et se mit à couler lentement. Au bout du fleuve, j’pensais voir une modeste colline qui se dressait abruptement. Sa partie inférieure recouverte d’arbres lui donnait l’air d’un animal hirsute. C’est fou comment j’suis précis dans la description de paysage, mais c'est ça qui créer mes proverbes....

Ces proverbes que j'ai crée durant mon périple au cœur du pays de la pluie torrentielle qu'est Ame. Bref, bref... M’asseyant, je me suis adossé contre un arbre. Mes paupières étaient lourdes mais je n’avais pas envie de céder au sommeil, de peur d’être surpris et tué par de parfaits inconnus. Levant les yeux, j’observais les branches du chêne qui se déployaient au dessus de moi et emblaient toucher le ciel. L’arbre était imprégné d’une majesté presque sacrée. En le contemplant, je sentis mon propre esprit s’élever vers les hauteurs. Mon imagination envisagea un monde ignoré de moi, qui s’étendait autour de moi et que je n’avais jamais remarqué. Des toiles d’araignées tendues entre les brindilles brillaient grâce à la luminosité qui émanait de la lune. Des insectes bourdonnaient autour de l’arbre et des oiseaux voletaient en gazouillant parmi ses feuilles. Et la vie de l’été se détachait sur le fond immuable du chant des cigales. Pour ces créatures, le chêne était un monde complet où ils trouvaient de quoi se nourrir et s’abriter. Je sombrai alors dans une sorte de rêve éveillé, bercé le soir frais et de ses bruits innombrables. Quand je fermais les yeux, je voyais encore le dessin des feuilles noires sur un fond rouge.

En entendant l’appel bruyant d’un oiseau insolite dans les branches, j’ouvris les yeux. Perché au dessus de moi, l’animal ne m’était pas tout à fait inconnu, mais j’ai pu l’identifier tout de suite : c’était le Houou, l’oiseau sacré qui n’apparaissait que pour prédire un mauvais présage… Je ne suis pas vraiment superstitieux mais c’est tout de même un oiseau d’une beauté inégalée. L’oiseau me regarda de ses yeux dorés et brillants, ouvrant son bec jaune et poussa un nouveau cri. Tout se tut autour du moi, cloué sur place, je n’osais pas respire. Une brise légère fit onduler les feuilles mortes. Souriant d’un air neutre, j’ai malheureusement fermé les yeux et quand j’ai voulu ouvrir les yeux une nouvelle fois. L’oiseau avait disparu… Je me suis senti un peu honteux de ne pas l’avoir vu partir… après tout, malgré mes bonnes résolutions sur le fait que je ne devais pas dormir. Mais le rêve avait été si vif – et une apparition, même dans un songe, ne pouvait être négligée. Regardant au creux de ma main, reposait une unique plume blanche aux extrémités teintées de rouge, comme si elle avait été trempée dans du sang. Une plume appartenant à l'oiseau sacrée mérite d'être gardée précieusement...

Les pensées vide comme jamais, je n'étais concentré que sur la beauté céleste du paysage... c'est comme si je découvrais le monde à nouveau. Mais je ne sais pas pourquoi, j'ai l'impression que mon esprit se rempli à force de venir ici... Ma vie n'est donc qu'une bougie dans le vent... ? Peut importe les phrases que je dis... J'ai toute ma tête alors bon me faîtes pas chier... Saviez vous que la vie humaine est une rosée passagère ? Même si vous ne comprenez pas à l'œil nu, le jour viendra où vous comprendrez le sens de mes phrases... Par exemple, le jour de ma mission qui a marquée la fin de mon ère de grand ninja, j'ai tiré une leçon de mon malheur... Ne jamais suivre les traces du malheur, il pourrait bien se retourner et faire volte-face. Compris ? Non ? Bah tant pis...

Deux, trois… Peut être même quatre jours, elle ne savait pas trop. Étais-ce important de toute manière!? Elle avait marché pendant des jours le reste n’était pas important, enfin pas trop… Elle n’avait pas mangé depuis plusieurs jours et plus le temps passait plus elle le regrettait. La dernière chose qu’elle avait manger s’était un bol de ramen qu’elle avait été obliger de voler à un petit vieux croiser comme ça dans un restaurant… Elle n’avait pas réussit à manger autre chose depuis. La faim la tenaillait sans cesse malgré tout ses efforts pour l’oublier… Plus facile à dire qu’à faire… Malgré tout cela ne l’avait pas empêché de marcher jour et nuit dans l’espoir de voir le village de Konoha s’ériger devant elle…

La jeune femme replaça une de ses mèches de cheveux violets derrière son oreille droite et regarda au loin cherchant toujours la preuve qu’elle était sur le bon chemin… D’habitude elle n’avait pas besoin de chercher, elle connaissait le chemin pour retourner à Konoha par cœur, mais cette fois-ci son esprit était concentrer sur autre chose l’empêchant de se rappeler du chemin… Elle revoyait sans arrêt le magnifique visage de Kamiko. Sa peau blanche, ses longs cheveux blonds, ses yeux… Enfin bref, elle avait de la difficulté à faire partir l’image de Kamiko de son esprit malgré sa bonne volonté. Ces quand elle crut voir deux statues qu’elle reconnaissait que trop bien qu’un sourire s’afficha sur ses minces lèvres. Elle savait que, même si les statues étaient encore loin, elle serait bientôt chez elle. Du moins, dans son village! Elle arrêta aussitôt de sourire légèrement agacer par son comportement. Depuis qu’elle avait rencontré Kamiko, elle avait eu le droit de connaître plusieurs sentiments. Maintenant elle désirait plus que tout les effacer de sa mémoire… Recommencer à vivre une vie tranquille comme avant, tuer sans avoir pitié!

La jeune Inuzuka secoua la tête et regarda de nouveau les statues, son visage était redevenus neutre à son plus grand soulagement. Quand elle arriva ou les statues elle ne put s’empêcher de sauter sur la tête de celle de Madara Uchiwa, elle regarda un peu la vue et s’assit en cherchant le village au loin. Elle passa une main dans ses cheveux et tourna son regard vers Jashin, ce dernier grognait de façon menaçante au plus grand étonnement de la belle A.N.B.U. Elle fronça légèrement les sourcils en comprenant que, contrairement à ce qu’elle pensait, ils n’étaient pas seuls… Malheureusement pour elle, elle ne pouvait savoir s’il s’agissait d’un ninja de Konoha ou d’un ennemi. Jashin grognant même après leur allié. Elle lui fit signe d’arrêter de grogner et se releva cherchant des yeux un signe de vie aussi subtil soit-il… Elle ne voyait pas grand-chose à cause de la nuit, mais sa vue s’était légèrement habituer avec le temps. C’est quand elle sentit enfin une odeur inconnue qu’elle quitta la tête de la statue. Elle chercha d’où venait l’odeur légèrement curieuse. C’est quand elle vit un homme qu’elle sut qu’elle avait trouvé ce qu’elle cherchait. Elle hésita un moment cherchant à voir son bandeau et fut soulager de savoir qu’il s’agissait d’un ninja de Konoha, le contraire l’aurait légèrement insulté! Bien que ce monde appartienne à tout le monde, un ninja d’un autre village avait plus de chance d’être un ennemi qu’autre chose. Enfin, c’était ce que Makura pensait même si il était probable qu’elle se soit trompée sur toute la ligne et que n’importe qui pouvait être un allié de Konoha. Sauf l’Akatsuki. La jeune femme s’approcha toujours un peu méfiante et s’arrêta à environs un mètre, peut être deux, de l’étranger cherchant toujours à savoir si elle l’avait déjà vue à quelque pars… Son visage et ses cheveux lui semblait familier, mais elle savait que jamais elle ne l’avait croisé dans le village. Elle avait toujours eu une mémoire incroyable et par conséquent, elle le serait si elle l’avait déjà croisé, même si ce n’était que dans l’une des rues de Konoha No Kuni.

Titanesques tels les nuages qui surplombent leur tête, puissants tels le vent qui fracasse le moindre obstacle et discret tels le soleil qui des cieux se cache avec toujours la même grandiloquence. Qu'est ce que j'attendais à rien foutre ici même ? Sous un soleil tapant ~ brise d'été en pays chaud ~ dans ce paysage peuplé d'arbres et verdures en tout genre ? Je ne fais que guider mes yeux vers la fascination même qu'est la vallée de la fin... Mes yeux se tournèrent légèrement vers la statue de Madara Uchiwa... qu'est ce qu'un affrontement visuel ? Auquel deux statues sont condamnés jusqu'à la fin ? Jamais leurs regards ne s'éteindra... il ne renaît pas de ses cendres mais il sera toujours actif... L'esprit presque vide, mes pensées tournées vers mon futur. Je n'étais pas très net là je vous l'accorde mais je suis jeune et pleins d'ambitions pour l'avenir... Enfin on peut dire ça comme ça. Un soleil , un magnifique soleil qui faisait voir de ces magnifiques rayons de soleil qui réchauffaient la Terre , ainsi que tous les habitants de cette magnifique Terre ... Le soleil était bien présent oui , mais de nombreux nuages ne cessaient de le cacher , jouant à cache cache , privant de sa chaleur à toute personne en dessous ... Du vent , oui du vent s'était mit à se lever tout doucement , donnant de sa fraicheur habituelle aux habitants ... Les bruits de la rivière de la vallée commençaient à se faire de plus en plus important , un son paisible , qui prouvait que le silence régnait ... Le vent était doux , caressant toutes personnes présente au sol , ainsi que dans les airs ...

Mes yeux étaient plongés dans les profondeurs abyssales ou encore ce néant douceâtre de la rivière de la vallée, je ne savais comment réagir si plus tard je devrai faire face à la pénible situation qu'est la honte... comme jadis mais je m'en rends compte maintenant, je sais ce que j'ai fait... J'ai choisi l'honneur pour la disgrâce, L'amour pour la haine ... Parce que ce fut mon choix ... Mon fardeau. Je préfère changer de sujet, je n'aime pas trop repenser au passé funeste qu'on m'offrit jadis. Si je parlais des gens qui s'apitoyaient sur leur sort ? Ne pas trop s'apitoyer sur son sort, je hais les gens qu font ça... Ils ne changeront rien à leur vie minable, et oui je suis franc et je vais vous dire ce qui ne changera pas: l'espace d'une vie est le même, qu'on le passe en chantant ou en pleurant. Oui, rien ne changera, ces personnes pleurant ou s'apitoyant sur leur sort resteront à leur statue minable, ou pire, ils ne feront que se rabaisser... Me relevant, je me suis furtivement étiré les bras et les jambes tout en baillant un petit coup. Laissant partir la feuille de ma main, j'ai aussitôt senti un souffle venant des cieux... c'est le vent qui se manifeste et fait basculer brutalement les arbres mais heureusement que les roseaux eux restes stables. Détruire la faune de la vallée de la fin est un acte impardonnable quelque soit le village dont fait parti quelconques ninjas. Je respirais doucement, en sentant mon souffle remplir ma poitrine et s’échapper par mes narines. L’inspiration était vigoureuse tandis que l’expiration, faible. La première était pleine de vie tandis que la seconde semblait liée à la mort. La forte inspiration venait toujours satisfaire le corps en proie de désir de nettoyer mon erreur jadis, mais un jour rien ne suivra l’expiration. L’air cesserait d’entrer et de sortir mon corps. Même mes os finiront par se désagréer.

Mais mon esprit ? Qu'adviendrait-il de lui ? Renaîtrait-il dans un cycle sans fin des vies et des morts ? Où se rendrait-il dans les Enfers des méchants, ainsi que le sanctuaire des âmes impures ? A moins qu'il ne réside dans un lointain sanctuaire, semblable à celui des morts comme le croyait certains paysans. L'air entrait et sortait de mon corps, ma conscience me demandait de surveiller mon souffle alors je m’exécutais. En repensant j'avais peur mais je me souvenais ce que je me disais.... Je me disais que la vipère n'est pas plus rapide qu'un homme. Elle est forcément moins costaude, et à peine plus dangereuse, dans le fond son avantage se résumé en un mot: la peur. Elle est la seule différence entre la proie et son prédateur. Je me disais de supprimer la peur, de l'éradiquer comme ça aucun serpent ne me mordra. Je suis fasse à une vipère, je décide que la vipère est moins dangereuse que moi, la peur me quitte et je la supprime juste avant de renaître dans l'œil de l'adversaire dans un espace d'un instant...et ça me suffit... Retournant au présent maintenant... Mon regard se porta cette fois-ci droit devant moi, un clebs grognait après moi... toute sa rage sa haine était-elle concentrée dans ce bruit ? Peu importe... pourtant quand je regarde ce chien, je vois que son mental colle à peu près au mien... je me vois en lui... Je reste planté là mais tout à coup j'ai l'impression que ce chien a évacué sa rage sur l'ordre de la personne se trouvant à côté de lui. Son esprit se calma tout à coup, comme un jeune cheval finissant par comprendre que toutes ses ruades ne parviendront pas à désarçonner le cavalier.

Je regardais clairement la personne se trouvant devant moi... je ne vois clairement son physique mais pour moi son mental est un peu plus cernable. Je ne prépare pas de techniques ni rien. Juste besoin de parler c'tout. En tout cas, on voit bien que c'est une femme, et tout ninja de Konoha se trimballant un clébard aussi massif avec lui et sûrement un Inuzuka. Du moins je n'ai pas cette certitude, autant lui demander au lieu de rester planté là comme un ahuri. Je me méfis quand même de cette personne... Enfin une fois que j'ai ouvert clairement les yeux je pouvais voir que c'est une kunoichi de Konoha. Elle dégage une aura impressionnante, je ne peux dire si elle égale la mienne mais on voit bien rien qu'en la regardant qu'elle fait émaner une grande parcelle de talents. Devrais-je m'approcher de cette femme tout en atterrissant sur la statue du traître de Konoha ? Allons soyons fou ! M'appuyant un peu sur la plante des pieds j'ai décollé furtivement du sol pour partir un peu dans les cieux. Mes cheveux se dégageant un peu on pouvait un peu cerner mon visage. Je sentais la puissante pression du vent qui augmentait à force que j'avançais. Peut-être aurais-je concentré une trop forte pression sur mes pieds parce que là je décolle un peu haut. C'est bon je suis au-dessus de la statue du co-fondateur de Konoha. Voilà que je redescend et j'atterris entre le chien et la jeune femme. Mes cheveux retombés, ils me bloquèrent légèrement la vue mais pas assez car je pouvais encore voir au moins le chien et la partie supérieur de la jeune femme.

Ayant atterris accroupi je me suis relevé un peu, puis j'ai posé ma main sur la tête du chien. Caressant un peu j'ai arrêté quelques secondes après puis je me suis tourné vers la jeune femme. Je pense comment elle avait pris le faite que je caresse de façon amicale son chien... enfin j'espère qu'elle ne pense pas à mal envers moi. Me mettant un peu plus droit j'ai dis:

Salut, tu m’excuseras de t'interrompre pendant ton voyage mais bon. Je m’ennuyais alors voilà. Je m'appelle Sakumo Hatake. Et toi kunoichi anonyme... quel est ton nom ?

Salut, tu m’excuseras de t'interrompre pendant ton voyage mais bon. Je m’ennuyais alors voilà. Je m'appelle Sakumo Hatake. Et toi kunoichi anonyme... quel est ton nom ?

Je tourna mon regard vers l'étranger qui venait de me parler. Je regarda Jashin qui s'était mis sur ses gardes et qui grognait légèrement en regardant Sakumo. Je soupira légèrement et je fis signe à Jashin de ce calmer, décidement... Jamais je ne pourrais faire de ce chien un chien de combat parfait qui ne grogne qu'en présence d'un ennemi. Je mis une main sur la tête de l'animal puis je retourna mon regard vers Sakumo, il venait de Konoha... Il était donc inutile que je me méfis... Il semblait être de mon niveau... S'il était un ennemi, j'avais cinquante pourcent de chance de gagner le combat... J'aimais moins cette façon de voir les choses. J'avais gagner plusieurs combat, contre plus fort et plus faible que moi, mais jamais je n'avais combâtut quelqu'un du même niveau que moi. Un anbu de la racine ? Très probable... Physiquement, il me rapellait quelqu'un... C'est cheveux blancs m'étaient familié, mais je n'arrivais pas à dire à qui ils me faisaient penser. J'haussa légèrement les épaules en me disant que s'était une perte de temps d'essayer de reconnaître quelqu'un. Si le destin avait prévue que je me rapelle à qui ils me faisaient pensée, alors rien ne pourrait l'en empêcher.
'' Hum, la plus pars du temps je porte le nom de Makura. Makura Inuzuka, m'enfin, ça c'est le nom que mes parents m'on donner. Le nom en question est plus jolie, mais pour moi il l'est moins maintenant que je sais que Makura ça signifit oreiller... J'sais vraiment pas à quoi mes parents adoptifs pensait quand ils m'ont donner ce nom là! ''
Je passa une main dans mes cheveux violets en regardant, l'Hatake. Même son nom de famille me disait quelque chose! Je soupira de nouveau, non... Si j'avais déjà vue quelqu'un qui lui ressemblait sûrement que je m'en serais rapeller! Je ne connaîssait pas beaucoup de monde quand même... Peut être que je l'avais juste croisé une foi ou deux ? Ça pouvait expliquer cette impression de déjà vue... ! Un légé sourire s'afficha sur mes lèvres quand je sortie de mes pensées, évidemment! Se sourire était tout ce qu'il y avait de plus faux! J'étais redevenus la machine à tuer que j'étais avant de voir Kamiko. La machine à tuer sans sentiment qui ne pense presque pas par elle même. Fidelle à l'Hokage, j'étais redevenu se monstre... Même si j'avais le physique d'un humain... Mentalement j'étais bien différente. Après tout! Quel humain ne ressent aucun sentiment ?
( Je sais qu'il est pas génial éè )

» L'arriver du Mirage dans l'enceinte de Kumo, une requête pour les haut placé de Kumo?

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