Un petit coin bien pratique pour l'espionnage[PV: Shaynie]

Il faisait chaud ce jour là a Iwa, je décidais donc de me rendre dans un bar avoisinant la grande rue. Personne ne parut surpris en voyant entré un homme portant un long manteau noir à nuages rouges, c'est ce qui me plaisait ici, à Iwa personne ne se demandait qui étais qui ou qui était de quel village ou organisation. C'est ainsi que commençait mes recherches, à Iwa, je cherchais des informations sur n'importe lequel des bijuus, cependant personne n'en parlait. Bientôt le patron du bar vint me voir, il fallait que je commande si je voulais rester ici, je prit donc une bouteille de sake. Le soleil ne tarderait pas a décliner, ce qui m'arrangeait, les personnes du soir était généralement ivre et les informations étaient plus faciles a avoir. Je commandais un plat, comme si j'en avais besoin moi qui était un pantin. Je fis mine de manger en écoutant attentivement, cependant ce soir là il ne semblait se tenir que des propos d'ivrogne. Mais une chose m'intriguait, depuis un certain temps maintenant je sentais un regard lourd sur moi, sans en trouver la source. Finalement j'optais pour une option irrationnel, chuchoté a ce regard dans l'espoir qu'il m'entende.

Sortez de votre cachette. Je vous ai repérer. Il est inutile de vous cacher ici. Ne sommes nous pas a Iwa? Venez à ma table sans faire de mouvement brusque, sinon partez. Je vous laisse cinq minutes.

Je sortis une clepsydre de deux minutes et la mis en marche. Ainsi au bout des cinq minutes je pourrais me mettre en chasse si cette personne ne se décidait pas. Bien entendu il était impossible que l'on sache que j'appartenait a Akatsuki, je venais tout juste d'y revenir. C'est ainsi que je questionna longuement, qui pouvait bien me fixer? Un ancien de Suna, impossible, jamais personne n'avait vu Hiroku jusqu'à ce jour. Une personne m'ayant déjà repérer depuis un moment, pourtant je n'avais pas eut un comportement suspect. Enfin les deux premières minutes furent écoulées. Je tournais a nouveau la clepsydre et attendis tranquillement qu'elle s'écoule à nouveau.

Fin de journée. Je rentrai d'une excursion rapide ... Enfin rapide, je me comprend. Le soleil avait tapé toute la journée. Mon corps n'en pouvait plus. Je ne tenais plus tellement la route. Les blessures d'autre fois se réouvraient au fur et à mesure que le temps passait, que mes recherches faisaient que je me rapprocher de plus en plus de lui. Quand je mettrai enfin la main sur lui, je lui ferai payé toutes les douleurs qu'il m'a faite. Je le torturai autant qu'il a pu me torturé. J'avais grandi dans la haine et le rejet, et Romain n'avait fait que m'enfoncer encore plus dans les ténèbres. Je rentrai dans le village d'Iwa, le soleil se couchait presque. Le pire c'est que j'avais soif. Passer toute la journée au soleil m'avait complétement déshydratée. Pourquoi ne pas passer au " P'tit Café " ? J'aimais bien cet endroit. C'était calme et personne ne venait m'y embêter. Je pouvais bien " blairer " celui qui tenait ce petit bar. Il était assez sympatique et il ne me posait pas de questions inutiles. Aller ! Direction le " P'tit Café ". Je m'avançais à ma façon dans la rue centrale, laissant passer les gens autour de moi. Je détestais ces gens. Leur regard à mon égard n'était que dégoutant. Je le haïssais tous. Je les aurai tous tué si je ne m'accrochai pas tellement à cette envie de connaître le bonheur. Je continuai de soupirer, arrivant pratiquement vers le bar.

Je sentis alors une présence étrange. J'aperçus quelque peu, une veste noire aux nuages rouges. J'avais l'impression d'avoir déjà vu ça ... Mais où ? Ma mémoire commençait aussi à s'effacer. Pourtant je n'étais pas malade. Peut être que la colère me rongeait tellement que j'en devenais parano, même folle ? Je continuais de m'approcher, mais plus lentement cette fois. J'avais cette impression désagréable d'avoir déjà vu ça, mais je n'arrivais pas à savoir où et quand. C'était horrible.
Sortez de votre cachette. Je vous ai repérer. Il est inutile de vous cacher ici. Ne sommes nous pas a Iwa? Venez à ma table sans faire de mouvement brusque, sinon partez. Je vous laisse cinq minutes.

Je me stoppai net. Je n'avais encore jamais entendu cette voix. Cette homme n'était pas du village, surtout vu la tenue qu'il porte. Je décidai finalement d'apparaître et pu enfin identifier mon interlocuteur. Courbé sur sa chaise, ses cheveux rouge flottait sous le vent et sa peau pâle et lisse me faisait penser à celle d'un bébé. Il n'était pas d'Iwa, je l'aurai vu et je me serai souvenu de lui sinon. Vu sa tête, il avait l'air de ne pas être n'importe qui. Déjà, il était assez fort pour m'avoir déceler. Par pure habitude, je tirai une chaise et posai mes fesses dessus. Le gérant me regarda en souriant.

Bonsoir Shaynie, je te sers comme d'habitude.

J'acquieçai, souriant. Le gérant me fit un énorme sourire et se retourna pour préparer ma grenadine. Ce que j'aimais chez moi, c'est que les gens ne regardait que ma comédie de fille heureuse et joyeuse. Ceci les contaminés, les rendant à leur tour joyeux. C'était un atout chez moi de dissimuler aussi facilement ma vrai personnalité. Au moins, personne ne m'embêter. Le patron me tendit ma grenadine et je hochai la tête pour le remercier. Avant de boire, je fixai l'inconnu.

Je ne t'ai jamais vu ici. Qui es tu ?

Je n'y allais pas par quatres chemins. Cette homme m'intriguait beaucoup, comme si ... Non, il ne fallait pas que je fasse d'hypothéses aussi rapidement. Je pris mon verre et le déposa à ma lèvre pour que le liquide rosée parvienne dans ma bouche. Un peu de grenadine fraîche un soir d'été ... Rien de mieux pour remonter le moral !

Je fixais la jeune femme qui venais d'apparaitre finalement dans mon champs de vision. Elle était plutôt belle, mais cela n'avait guère d'importance, le patron semblait la connaitre, elle faisait donc partit du village. La jeune femme transpirait, elle avait donc été beaucoup exposée au soleil, je ne put m'en empêcher, elle venait de me poser une question et je tendis la main afin de vérifier si c'était bien le bandeau d'Iwa qu'elle portait. C'était bien lui, aucune erreur possible, il fallait que je mesure mes paroles. Comment pouvais-je lui dire qui j'étais sans vraiment le lui dire. Un mensonge serait vite repérer aussi je ne lui répondit qu'une partie de la vérité.

Je suis l'un de ceux qui apportera la paix dans ce monde de douleur. Et vous, puis-je savoir qui vous êtes? Et surtout pourquoi vous m'avez fixé ainsi.

Je ne devais pas brusquer les choses, il était possible qu'elle soit une personnalité du village ou bien un des démons que je cherchais. Enfin l'important était de l'amener a me donner les informations dont j'avais besoin. Finalement je repris la parole.

Etrange que vous ne m'ayez jamais vu ici. Il est courant que je vienne m'échouer dans ce village. Cependant je ne vous ai jamais vu non plus. Le village n'est pas a son apogée la sécurité est très faible ici. L'éventualité d'une attaque des autre pays est a craindre je suppose. Enfin, je vous prierais de me répondre, pourquoi me fixiez-vous et qui êtes-vous?

J'attendis calmement une réponse de la jeune shinobi, je n'avais guère de champs de manoeuvre pour le moment.

De savoir où j'avais vu cette veste m'intriguait énormément. Et ça m'énervais assez de ne pas me souvenir. En tout cas, cet homme était assez mignon. Cependant, il dégageait une aura étrange. Comme si ... Comme s'il n'était pas humain. Ceci m'étonnait grandement mais c'était l'impression que jamais. Puis comme dit le dicton, ne pas se fier aux apparences. Je continuai de l'observer, ne trouvant aucune imperfection sur son visage ... Comme une poupée.

Je suis l'un de ceux qui apportera la paix dans ce monde de douleur. Et vous, puis-je savoir qui vous êtes? Et surtout pourquoi vous m'avez fixé ainsi.

La paix ... Quelle paix ? Aucun pays n'est capable de calmer ses ardeurs, trop jaloux de voir son pays voisins plus fort que lui. La paix reviendra le jour où des êtres miraculeux viendra calmer tous ces enjeux. Un peu comme l'Akatsuki. Mais qu'est ce que je dis ? Je hais l'Akatsuki. Ce sont des déserteurs qui se croivent surpuissant et capable de dresser ces maudits démons à queues ! Les gens ne faisaient que s'entre tuer et se faire souffrir mutuellement. Ce monde n'était que souffrance à l'intérieur.

Etrange que vous ne m'ayez jamais vu ici. Il est courant que je vienne m'échouer dans ce village. Cependant je ne vous ai jamais vu non plus. Le village n'est pas a son apogée la sécurité est très faible ici. L'éventualité d'une attaque des autre pays est a craindre je suppose. Enfin, je vous prierais de me répondre, pourquoi me fixiez-vous et qui êtes-vous?

Je sortis de mes pensées et me remit à siroter ma grenadine. Non, je ne l'ai jamais vu ici. Pourtant je suis assez souvent à Iwa car je n'aime pas trop sortir du village. Oui je sais, le village n'est pas protégé. Iwa est réputé pour être le village des tueurs et des chasseurs de primes, non ? Alors pourquoi faudrait il qu'il soit protégé alors que nous sommes des êtres sanguinaires ici ? Je souris vaguement et bu la dernière gorgée de Grenadine. Tout en répondant, je sortis une cigarette.

Je me nomme Shaynie. Je ne vous connais pas, et vous me dîtes rien pour un visiteur permanent.

Je ricanai un peu, lui souriant vaguement. Le filtre de ma cigarette au bout de la bouche, le briquet à l'autre bout, je fis un mouvement du pouce et la flamme apparut. Je pris une inspiration, absorbant ma première taffe. La fumée voler dans l'air. Je remarquai alors que la nuit était déjà tombé et que quelques étoiles apparaissaient. Je recommandai une Grenadine, ma clope ente mes deux doigts, avant de me tourner de nouveau vers l'homme aux cheveux rouges.

Et vous qui êtes vous ?

Je fixais Shaynie, elle jouait avec moi s'était évident, elle avait plus ou moins compris que j'avais un lien avec Akatsuki, c'était même casiment sur. Je poussais mon assiette intact vers la jeune Shinobi, je ne mangerais rien, autant que cela la nourrisse. Elle recommanda une grenadine après avoir épilogué sur le fait que je ne serais pas un visiteur qui resterait. Soit elle avait raison, je ne resterais pas, demain matin je quitterais le village. Finalement elle reposa sa question, qui êtes vous. J'en étais certains, si je répondais calmement Akasuna no Sasori elle m'attaquerait, mais tant pis j'étais a même de me défendre et de la vaincre très surement. Je pris la parole d'un air enjoué en chuchotant je lui annonçait mon identité.

Je me prénomme Akasuna no...Sasori.

Je la fixais son regard était déjà expressif, elle se doutait de quelques choses, ou plutôt elle comprenait, je rigolais un grand coup puis reprit la parole.

Vous n'êtes pas idiote, je suis sure que vous aviez compris, j'appartiens a Akatsuki, je porte les couleurs de l'organisation ma très chère Shaynie. Votre nom ne m'est pas inconnue, ici vous êtes connu, mais pas qu'ici très chère Hime no Yuki. J'ai entendue parler de vous lors de mon voyage au pays des neiges. Enfin, votre nom m'a été donné alors que je faisais mes recherches habituelles. Voyez-vous les gens se trompent au sujet de notre Organisation, nous voulons amenez la paix, une paix durable, pour cela nous devons réunir les neuf démons. Cela nous l'avons dit, il nous faut les neuf démons. Si vous pouvez croire en un monde de paix rejoignez nous. Je ne vous forcerais pas la main, chaque membres est libre d'intégrer ou non l'organisation. Cependant votre tête serait mise a prix.

Je la dévisageais, impossible de savoir a quoi elle pensait, et pour elle de même, j'étais une marionnette mon expression était donc neutre si je le désirais. Cependant je désirais qu'elle rejoigne l'organisation, si elle était bel et bien Shaynie, la princesse des neiges alors ce serait formidable, même si sa puissance était moindre, elle avait un titre, ainsi Akatsuki prendrait du galon. Je l'invitais a manger voyant que son repas restait intact, la voyant réticente je pris de nouveau la parole.

Ce n'est pas empoisonné. Vous pouvez manger sans crainte.

Je me prénomme Akasuna no...Sasori.

Sasori ... De Suna ? Il n'était pas censé être mort ? Je réfléchis longuement, faisant des ronds avec ma fumée. Je n'avais pas vu sa tête dans le Bingo Book. Peut être n'avais je pas fais attention, trop préoccupée à chercher Romain. Peut être que Sasori était lui aussi un déserteur ? Dans ce cas là, je me ferai un plaisir de le tuer. Le sang me manquait assez en ce moment. Je gardai ma rage pour Romain mais quelqu'un d'autre l'avait peut être distancé de près. Je tirai une autre taffe, prenant mon verre ensuite pour boire de nouveau. Je jetai un regard rapide à Sasori, m'apprétant à parler, mais il me coupa dans mon élan.

Vous n'êtes pas idiote, je suis sure que vous aviez compris, j'appartiens a Akatsuki, je porte les couleurs de l'organisation ma très chère Shaynie. Votre nom ne m'est pas inconnue, ici vous êtes connu, mais pas qu'ici très chère Hime no Yuki. J'ai entendue parler de vous lors de mon voyage au pays des neiges. Enfin, votre nom m'a été donné alors que je faisais mes recherches habituelles. Voyez-vous les gens se trompent au sujet de notre Organisation, nous voulons amenez la paix, une paix durable, pour cela nous devons réunir les neuf démons. Cela nous l'avons dit, il nous faut les neuf démons. Si vous pouvez croire en un monde de paix rejoignez nous. Je ne vous forcerais pas la main, chaque membres est libre d'intégrer ou non l'organisation. Cependant votre tête serait mise a prix.

L'Akatsuki. Le patron s'approcha de nous, déposant deux assiettes sur le comptoir. Je le regardai, ne souriant plus et lui fit signe de nous laisser. Il me fit un regard inquiet, son assiette et son torchon dans la main. Je souris faiblement pour lui faire plaisir et il partit en cuisine. J'écrasai ma clope dans le cendrier et tournai ma chaise vers Sasori. Que ... Hime no Yuki ? J'étais la princesse de Yuki ? Pourtant je n'avais jamais posé les pieds là bas. Et ... Romain fut vu là bas pour la dernière fois. Les gens de Yuki me connaissaient ? Pourtant, ce village avait été détruit il y a longtemps. La population se serait reformée ? Il faudrait que j'aille voir ... Cette histoire m'intriguait. Comme cette idée de rejoindre l'Aka. Un monde en paix ? Avec les neufs démons ? Je soupirai ... Mais en y réflechissant bien, peut être que ...

Ce n'est pas empoisonné. Vous pouvez manger sans crainte.

Je sortis de mes pensées brusquement. Je regardais Sasori, légèrement confuse. Je dirigeai mon regard vers les assiettes, la faim ne venant pas encore. Avant cela je voulais des réponses. Je comptais réaborder le sujet de l'Aka après voulant d'abord résoudre ce problème de Yuki.

Yuki no Kuni ... Que vous a t'on dit de moi là bas ? Car je n'y suis jamais allée de ma vie. Comment pourrais-je entre la princesse ?!

La jeune femme sursauta presque lorsque je lui répondis que la nourriture n'était pas empoisonnée, elle ne paraissait guère le prendre avec le sourire. Pourtant elle n'en dit rien, elle préféra me questionner à propos de ce que je savais sur elle, sur le pays de la neige. Dans les faits je ne connaissais que ça, les rumeurs du pays. Pourtant cela me paraissait plus que plausible. C'est pourquoi j'entrepris de lui répondre le plus calmement possible, le patron nous surveillait de loin, s'en devenait pénible, je ne comptais pourtant pas la tuer ou me battre avec elle. Enfin cela était un autre problème.

Eh bien, je me baladais au pays des neiges, lorsque je suis tombé sur les ruines d'un village incendié, seulement l'endroit était habité, un couple de vieille personne était là-bas. Je leur ai demandé si le but de mon déplacement était ici mais n'en savants rien et ne voulant pas aider l'organisation ils me crachèrent au visage que la princesse du pays me tuerais bientôt. Je ne m'en suis plus soucié si dans la capital je n'avais pas entendu parler de Shaynie, l'enfant du pays partit à Iwa, c'est ainsi que me voilà ici, pourtant je ne compte pas vous attaquer. Mais votre histoire s'arrête là pour moi, Hime no Yuki, Shaynie-sama.

C'était fait, j'avais plus ou moins amené les démons dans la conversation, si elle savait quelque chose se serait parfait, même une légère indication, rien de significatif. Pourtant je ne sentais pas qu'elle puisse m'aider, peut-être même tenterait-elle de me tuer. Je ne sais pas si je serais de taille mais dans le cas inverse prendre la fuite me serait un peu difficile, a moins de l'empoisonner, mais pas maintenant, rien n'était joué. Je continuais de la fixer en continuant de conjecturer pour rien, je me doutais qu'elle m'interrogerait encore sur elle, ce qui confirmerait les rumeurs du pays. C'est alors que le patron vint me voir après que je lui eut fait signe, au comble de l'agacement qu'il nous espionne je lui demanda vivement de cesser son petit jeu, il fit l'ignorant mais lorsque le silence de la table fut rompu je jettais un rapide coup d'oeil vers le patron qui prenait grand soin de regarder ailleurs, mes pensées n'était pas vers cette homme mais vers la femme qui s'apprêtait a parler. Je n'en pouvais plus, qu'allait-elle dire, allait-elle me combattre, m'aider, nous rejoindre? Non, impossible que cela se produise si rapidement après un si banal échange. Enfin je cessais de me torturer l'esprit et attendit calmement, mon trouble intérieur ne fut pas visible, ceci était un avantage que j'appréciais grandement un pantin n'arborait que l'expression que l'on désirait.

Je ne comprenais plus ce qui se passé. Un membre de l'Akatsuki me demandait de rejoindre cette organisation tant recherché et en plus il m'apprenait que j'étais la princesse de Yuki no Kuni ? Cette dernière information pouvait être un argument pour me faire venir parmis eux. Je ne savais pas quoi penser ni quoi dire. Comment pourrais-je être de Yuki alors que je suis née à Iwa ? Je n'arrivais pas à comprendre. Tout s'embrouillé dans ma tête. Le patron revint vers nous. Je lui lançais un regard triste. Il recula légèrement mais resta près de nous. Sasori avait légèrement agacé mais cela ne l'empêcha pas de continuer à me parler.

Eh bien, je me baladais au pays des neiges, lorsque je suis tombé sur les ruines d'un village incendié, seulement l'endroit était habité, un couple de vieille personne était là-bas. Je leur ai demandé si le but de mon déplacement était ici mais n'en savants rien et ne voulant pas aider l'organisation ils me crachèrent au visage que la princesse du pays me tuerais bientôt. Je ne m'en suis plus soucié si dans la capital je n'avais pas entendu parler de Shaynie, l'enfant du pays partit à Iwa, c'est ainsi que me voilà ici, pourtant je ne compte pas vous attaquer. Mais votre histoire s'arrête là pour moi, Hime no Yuki, Shaynie-sama.

Princesse Shaynie ... J'étais vraiment très perturbée par cette histoire. J'irai au Pays des Neiges dés que je peux. Découvrir ce vieux couple et leur poser des questions. Quel était mon lien avec ce village. Gobi, ça m'étonnerais ... Le patron restait près de nous et je remarquai que cela agaçait de plus en plus Sasori. Je soupirai et haussai les épaules en regardant le gérant. Je fis les mudras avec une seule main et un mur de Kinton se forma entre le comptoir et le reste du restaurant. Je venais de révéler à un membre de l'Akatsuki un de mes dons ... Mais je ne risquai pas grand chose, enfin je pense.

Hime no Yuki ... Je me rendrai à Yuki quand je pourrai. Revenons à votre proposition. A quoi vous servirais je à l'Aka ? Je suis une chasseuse de primes à la base. Ca ne fera pas bon ménage si je viens.

Je repris ma grenadine et finit le verre en une gorgée. Il fallait que je fume. Mes membres tremblaient tellement je me posai des questions et tellement j'étais ... effrayée ? Effrayée de connaître quelque chose dont je ne me souviens pas. Je sortis d'une main tremblante mon paquet de cigarettes. J'en tirai une et tentai de l'allumer après l'avoir posé entre mes lèvres. Je soupirai et la laissai tombé sur le comptoir. Je me posai trop de questions.

Elle m'avait écouté avec attention, bien que son trouble était extrêmement visible, le patron ne faisait rien non plus pour arranger les choses, nous tourné autours et nous surveiller était exaspérant j'allais véritablement m'emporter lorsque je la vis exécuter des mudras d'une seule main et qu'un mur de béton nous isola, Kinton, l'art de maitriser le béton. Cette affinité était rare, peu de personne la maitrisait et celle qui y arrivait était vite trahi par les rumeurs circulant sur elles, pourtant cette femme je n'avais jamais entendu parler d'elle en dehors du pays des neiges. C'est ainsi qu'elle reprit la parole, toujours quelque peu troublé par mes révélations, enfin je supposais.

Hime no Yuki ... Je me rendrai à Yuki quand je
pourrai. Revenons à votre proposition. A quoi vous servirais je à l'Aka ?
Je suis une chasseuse de primes à la base. Ca ne fera pas bon ménage si
je viens.

Elle tremblait de tout son corps, la nervosité la gagnait. Ce n'était pas véritablement ce que j'aurais espéré. Je pris finalement la cigarette et l'allumait moi même, puis la lui tendis pour enfin prendre la parole.

Vous savez... A Akatsuki il y a toujours eut un chasseur de prime, pourtant cela ne l'empêchait pas de nous rejoindre. Je pense que si cela est votre unique argument pour ne pas nous rejoindre il est bidon. Je ne vous forcerais pas, je veux seulement vous dire qu'à Akatsuki nous sommes tous libres de nos mouvements, bien entendu nous avons une mission, connue de tous. Mais notre façon de la réalisé est personnel, c'est ainsi qu'on ne peut pas prévoir nos agissement. Même si a présent vous refusiez et que vous alliez tout rapporter a votre Kage, il ne pourrait rien faire face a nous. Cette information ne vaut rien. Cependant je vous demanderais de vous calmez, vous maitrisez Kinton et nous avez isoler, comment pourrais-je être assez stupide pour vous attaquer. Si je l'avais réellement voulu vous seriez morte avant même de vous être montrée.

Je ne mentais pas, j'aurais put la tuer a son arrivé. Hiruko était une formidable marionnette polyvalente, la tuer avec lui aurait été relativement simple, enfin c'est ce que je pensais. Puis finalement je remarquais par le biais d'Hiruko qu'à une table non loin de l'entrée on m'avait identifié. L'un d'eux dit qu'il allait prévenir le Kage, qu'il reviendrait avec des renforts. Devant la jeune femme un sourire se dessina sur mes lèvres, elle ne pourrait pas comprendre mais tant pis. Hiruko se leva et suivait le jeune homme et non loin du café il fut abattu par une salve de sembons empoisonnées. Puis je le fis revenir non loin de l'entrée et s'asseoir a nouveau. Je fixais toujours Shaynie, la jeune princesse, étrange d'ailleurs qu'elle ne le sache pas. J'en saurais donc plus sur elle qu'elle même? Cela était parfaitement ridicule, mais comment pouvais-je le savoir. J'avançais ma main et finalement je me ravisais, pourquoi aurais-je sortis mon bandeau en pareil instant? Je ne savais pas pourquoi mais le fait que j'ai appartenu a Suna m'étais soudainement important. C'est troublé que je continuais de fixer la jeune femme, ce n'était pourtant pas dans ma nature d'être si nostalgique, mes parents vivaient a travers ma collection de pantins.

Sasori prit finalement ma cigarette et me l'alluma. Gentil de sa part. Je n'aurai pas cru ça d'un membre de l'Akatsuki. Je le remerciai d'un signe de tête et prit la cigarette que je consumais rapidement. Ma main tremblait énormément, comme si j'étais en manque. Mais les causes de mes convulsions étaient dû à du stress. Pourtant je n'avais pas l'impression de stresser. Et la clope ne soulageait rien en plus. Je fumai à en perdre haleine alors que je ne faisais qu'empirer les choses. Je déposai la cendre dans le cendrier et jetai un coup d'oeil à mon mur de Kinton. Je regrettai assez d'avoir fais ça, mais je ne voulais pas que le gérant écoute cette discussion. Elle concernait une partie de ma vie dont je ne me souvenais pas ... Je ne voulais pas que des personnes que je connais peu s'en mêle.

Vous savez... A Akatsuki il y a toujours eut un chasseur de prime, pourtant cela ne l'empêchait pas de nous rejoindre. Je pense que si cela est votre unique argument pour ne pas nous rejoindre il est bidon. Je ne vous forcerais pas, je veux seulement vous dire qu'à Akatsuki nous sommes tous libres de nos mouvements, bien entendu nous avons une mission, connue de tous. Mais notre façon de la réalisé est personnel, c'est ainsi qu'on ne peut pas prévoir nos agissement. Même si a présent vous refusiez et que vous alliez tout rapporter a votre Kage, il ne pourrait rien faire face a nous. Cette information ne vaut rien. Cependant je vous demanderais de vous calmez, vous maitrisez Kinton et nous avez isoler, comment pourrais-je être assez stupide pour vous attaquer. Si je l'avais réellement voulu vous seriez morte avant même de vous être montrée.

Un chasseur de prime ? A l'Aka ? Qui pouvait être cette personne ? Je soupirai. Encore une question qui allait me tracasser. Je continuai de fumer ma clope tentant de reprendre peu à peu le contrôle de moi même. Donc c'était ça l'Akatsuki. Une organisation de puissants déserteurs qui ont pour but de retrouver les hôtes et de les ramener à leur QG. Mon maniement du métal pouvait leur être utile. Ainsi que mon Sansaiton. Mais cela je ne comptais pas lui révéler tout de suite. J'écrasai encore une clope dans le cendrier et me tournai vers Sasori.

Rejoindre l'Akatsuki peut être une option ... Seulement avant j'ai un déserteur à tué ... Puis je dois aller au Pays des Neiges ... Car mes parents m'ont pas parlés de ça ... D'un autre côté comment ils auraient pu ? Ils sont morts à ma naissance. Joyeuse enfance non. J'ai aquis le Kinton grâce à Gobi. Mais à cause de lui j'ai perdu tout ce dont un enfant à besoin. Une famille, des amis et de l'amour. Voilà pourquoi j'ai tant de haine envers les déserteurs. Ils ont tout eu à leur naissance. Ils avaient tout pour être heureux et ils ont tous gachés. Quant à moi je me suis fais haïr de tout le monde. Et la seule personne qui aurait pu me sortir des enfers à déserter ... Donc, pour le moment, je réflechirai juste à votre proposition.

Je soupirai et retiré mon mur de Kinton. Je tremblais beaucoup moins. J'étais enfin calmer ...

Elle recouvrit son calme plutôt rapidement, elle ne refusa pas ma proposition pour Akatsuki, elle voulait simplement y réfléchir. Soit, j'avais tout mon temps. De plus elle disait haïr les déserteurs car ils laissent tout derrière eux, charmants. Pourtant ce n'était pas le cas de tout les déserteurs et j'en faisais partie. Alors que le mur se retirait j'attrapais mon bandeau et le déposa sur le bar.

Voyez-vous, j'ai reçus ce bandeau et un an après mes parents m'ont quitté. Ils sont mort, cependant j'ai voulu les faire revenir mais ma propre grand-mère m'a dénoncé. Je ne suis pas comme vous, j'ai connu la souffrance d'avoir une famille de la perdre et d'être trahi par elle. Cependant je suis devenu déserteur de mon plein gré. Certain n'ont pas d'autre choix. Si vous désirez éliminer l'objet de votre haine faites-le. Mais soyez sure qu'Akatsuki ne vous en empêchera pas. J'ai peu de considération pour la vie en général. Mais s'il s'agit d'un ninja très puissant auriez-vous l'amabilité de le tuer sans l'abimer. J'en ferais volontier une partie de ma collection.

Mes paroles passaient sans doute pour celle d'un fou, mais ou était le problème? C'est ce qui était bien à Akatsuki, on vous recrute juste pour vos capacités, ensuite vous êtes libre. Je riais intérieurement car bientôt j'aurais surement une pièce en plus dans ma collection, que ce soit elle ou le déserteur dont elle parle. Enfin elle avait aussi mentionné un voyage au pays de la neige. Qu'elle y ailles ne posait pas vraiment de problème, je pourrais même l'y accompagner, un démon que je recherche s'y trouve peut-être maintenant. Cela fait sept ans que j'y suis aller. Avec un léger sourire je me levais imité par Hiruko, puis me retournait vers elle.

Nous nous verrons sans doute au pays de la neige. En tout cas je l'espère. Je vous attendrais dans la capital d'ici environ un mois. Il me faudra alors votre réponse. Je crains de ne pas pouvoir maintenir mon offre plus longtemps. Voici un parchemin par lequel vous pourrez peut-être me contacter.

Je lui lançais le parchemin a la hate et partit avant que les autorité n'arrive. J'entrais dans Hiruko à la vue de tous et me retournais vers Shaynie une dernière fois. C'était essentiel que je le lui dise, pourrait-elle supporter cela, j'en doutais un peu.

Si vos parents avait un lien avec l'un des bijuu il est possible que l'organisation les ait torturé puis tuer. De plus, je tenais a vous souhaiter bonne chance et c'est ainsi a présent que nous nous verrons. Je dois partir car un client a été abattu en sortant d'ici. Annoncé qu'Akatsuki était là m'aurait contrarié. Au revoir.

Je fis quelques mudras rapide puis m'évaporait en flammes noires. D'ici quelques secondes je serais à Akatsuki et plus personne ne pourrait me retrouver. Il ne me resterait plus qu'à me rendre au pays des neiges et d'y laisser une trace qu'elle pourrait remonter.

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