The First Time [Pv Yoite]

J'avais donc décidé de faire ce que tout haut gradé peut faire. Prendre sous son aile un élève. Et en tant que Mizukage, je devais faire le bon choix. Pourquoi ? Parce que mon élève se hissera dans les plus hauts stages du monde ninja, afin d'être marqué dans les annales ninja de Kiri. Je suis en réalité le septième homme à avoir marqué les annales de Kiri. En premier fut: notre fondateur mais aussi le créateur des sept épées légendaires; le Shodamine Mizukage. Ensuite, vint à son sucesseur le Nidaime dont je ne me suis pas renseigné sur lui. Le Sandaime fut le troisième homme mais aussi la source des problèmes de mon enfance... c'est Madara Uchiha qui a aussi perverti l'un de nos épéistes: Kisame Hoshigaki. Enfin bref, ensuite il y a mon frère jumeau Yagura qui a été durant une période assez courte le Yondaime Mizukage. Pour ensuite mentionner ma grande et surpuissante cousine: Meï Terumi ma très chère Godaime Mizukage. Quand j'y pense, depuis quelques temps j'ai hésité à lui demander si elle avait fini par se trouver un mari. Mais la dernière fois que je lui ai demandé, je vous dis pas les dégâts que je me suis pris. Je me souviens même de Yagura qui l'avait charrié vis-à-vis du fait qu'elle n'avait pas trouvé de petit copain. C'est bien la dernière farce qu'il lui a fait, parce qu'après les évènements maléfiques se succédèrent. Je n'en dirais pas plus, alors je continus de vous narrer les hommes légendaires de Kiri. Le sixième... c'est bien entendu le plus terrifiant des ninjas spadassins de Kiri: Kisame. Je connais bien entendus l'étendue des pouvoirs de son épée vu qu'il a été contraint de se battre à fond contre moi il y a quinze ans. Il avait libéré pour la première fois Samehada de ses bandages, une vraie cruauté cette épée... Les coups étaient bien durs à esquiver, pour ensuite voir qu'il avait fusionné avec. Là j'ai vu la véritable force de l'épéiste qu'il était. Mais à l'époque j'étais tout comme lui un des sept épéistes. Le second plus puissant, bien que je n'avais réussi qu'à éveiller la première forme de mon épée: Gôkei Tsûme-Hada, l'ombre gorge des dents de requin. Il m'avait battu puis à fini par s'élever jusqu'à mon jumeau qui l'a battu... lui comme les six autres épéistes. Cette époque marqua l'ère d'une guerre civile qui fut évité lorsque les ninjas spadassins se divisèrent. Momochi Zabuza fut le seul à rester en Kiri. Les autres ont choisi d'affronter leur destin au lieu de le suivre.

Le septième homme légendaire de Kiri ? Et bien je vous l'ai dit précédemment... c'est moi et uniquement moi. Mon répertoire ninjutsu regroupe les jutsus raiton les plus rapides et utiles, les jutsus Fuuton les plus mortels et imposants ainsi que les techniques suiton les plus souples. Mon répertoire Kuchiyose cache bien son jeu, j'ai appris à invoquer les salamandre auprès d'un des élites du village de la pluie. Je suis même apte à pouvoir invoquer la souveraine de la race reptilienne des salamandres. Le répertoire Kenjutsu et mon dernier atout, mais je pense que si vous lisez le dossier secondaire qui m'appartient, vous saurez de quoi il s'agit (en bref, allez lire ma présentation èé). On me dit digne d'être Mizukage, Meï m'a donné les rennes de la nation. Je me dois de ne pas faillir à ma tâche, ça fait bizarre de s'imposer quelque chose... vouloir un élève, c'est inculter à la jeune génération tout notre savoir qui sera alors uni à leur vision des choses pour ensuite ne faire qu'un. Je ne demande pas mieux, du moins je pense que je ne me trompe pas dans mes dires. Je feuilletai le registre des nouvelles recrues admis en tant que Genin sur un rocher non loin des portes du village, pour le moment je ne vois personne qui serait apte à devenir mon élève. Je ne cessais de soupirer en voyant ceux qui avaient été admis alors qu'ils n'avaient pas les qualités nécessaires afin de devenir un ninja d'exception. Je fis tomber le livre par terre, pestant je l'ai ramassé. Et merde, il m'a envoyé à la dernière page... c'est bien mon jour de chance tiens =.=... Mais bon, je ne suis pas si déçus tous comptes fais... Yoite... Voilà quelqu'un qu'il faut que je rencontre. Je ne sai spas tout de ses capacités, mais le comment de son ascension à Genin est bien spectaculaire. Elle me fait penser à Yagura... C'est ainsi que je me suis mordus le pouce pour le faire saigner. Quelques mudras et j'ai plaqué ma main droite au sol pour laisser une explosion de fumée. Et ainsi, une silhouette se dessina, très imposante c'est Sanshô'o, la reine salamandre...

« Sanshô'o-chan ! Tu veux bien me convoquer ici cette fille? J'ai à lui parler.

« Tu me gonfles Kazuma-kun... N'empêche que tu prends des iniatives, ça te ressemble pas. Je vais te convoquer cette... Yoite, lui dire qu'elle te rejoigne ici quoi... »

Yoite qui sortait tout juste de l'hopital, sa santé étant fragile. Elle se dirigea vers les hauteurs de Kiri, là elle s'assit sur un rocher et serra ses genoux contre elle. Comment pouvait-elle être aussi faible? Son histoire était pourtant sanglante, il y a trois ans, lors de son retour a Kiri, elle avait été recommandée a l'académie par le Mizukage de l'époque, bien qu'elle n'avait jamais eut l'intention de devenir elle même une shinobi elle y entra. Les pratiques ne lui plurent pas, les combats étaient sans cesse remit a plus tard ou tellement controlé qu'il n'y avait pas de place pour l'improvisation. Le jour de l'examen de gennin elle était entrée dans la salle d'examen, on lui présenta son partenaire, c'était un combat a mort. Elle n'avait aucune sympathie ou amitié pour le jeune homme qu'on lui présenta, lorsqu'il vit dans son regard la détermination a tuer il prit peur. Yoite le pointa du doigt et le tortura une heure avant de le mettre a mort. Elle reçu son bandeau et partit du village, elle y revint un peu plus tard, mais en tant que shinobi oubliée. C'est en ressassant son passé qu'elle n'entendit même pas la créature arrivé, une énorme salamandre. Elle prit la parole de sa voix feutré et étrangement douce pour une créature de cette taille, si on admettait qu'une créature puisse parler.

Tu es Yoite n'est-ce pas? Tu n'es pas facile a retrouvé jeune homme. C'est ...

Qu'as-tu dis sombre abrutie? Un homme? Tsss tu n'es même pas capable de reconnaitre une femme d'un homme. Je suppose que ton maître est tout aussi idiot que toi. Qui est-ce?

Hmmm, tu es bien présomptueuse pour une gennin, je pourrais t'abattre en un coup. Mais Mizukage t'attend aux portes.

Mizukage... Je suppose que je n'ai pas le choix, pourtant je n'ai encore tué personne.

Yoite se releva et elle partit en direction des portes, c'est vingt minutes plus tard qu'elle arriva, au passage elle était partit prendre ses médicaments sur elle. Lorsqu'elle arriva en vue des portes un grand homme se trouvait là a parler vivement avec le salamandre que Yoite avait rencontrée. Elle sortit deux Kunaïs et les jetas juste sur la porte et finalement en un saut elle s'approcha et prit la parole.

Toc toc. Que me veux le Mizukage?

Le temps s'écoulait de plus en plus, ma patience n'était guère mise à l'épreuve. Alors je me chargeais implement de tout percevoir autour de moi avec une grande acuité. Un soleil , un magnifique soleil qui faisait voir de ces magnifiques rayons de soleil qui réchauffaient la Terre , ainsi que tous les habitants de cette magnifique Terre. Le soleil était bien présent oui , mais de nombreux nuages ne cessaient de le cacher , jouant à cache cache , privant de sa chaleur à toute personne en dessous. Du vent , oui du vent s'était mit à se lever tout doucement , donnant de sa fraicheur habituelle aux habitants ... Les bruits des vagues commençaient à se faire de plus en plus important , un son paisible , qui prouvait que le silence régnait. Le vent était doux , caressant toutes personnes présente au sol , ainsi que dans les airs. C'est ce magnifique temps qui est parut... lorsque mon inéluctable affrontement avec Yagura fut de mise. Un temps si beau, une journée si unique gâchée par la bêtise des primates que nous sommmes. En tuant le Yondame Mizukage qui était aussi mon frère, j'ai sali l'honneur de notre famille dont la noblesse était dûe à l'ascension de Yagura-san. Mais je ne pouvais pas le laisser en vie alors qu'il détruisait tout, qu'il avait eu l'audace de libéré son Bijû pour attaquer Kiri. Mais même si tout cela était dû au Sharingan d'Uchiha Madara, je n'avais d'autres choix de mettre fin aux méfaits de mon jumeau dont les agissements uraint prédestinés une guerre civile ou une autre grande guerre avec d'autres pays s'il aurait quitté les terres de Kiri.

Désormais, j'espère bien prendre quelqu'un sous mon aile qui partagera ma vision des choses. Peu importe le mental que cette personne adopte ou possède déjà, je veux simplement transvaser mon savoir chez quelqu'un d'autre; quelqu'un qui saura changer le court des choses. En choisissant cette Yoite, j'espère au moins que je ne me trompe pas dans mon choix. Ce pourquoi je suis prêt à courir le risque, peu importe le destin qui a été destiné à Yoite. Je sentis une présence, mes yeux rouges/violets se déplcèrent sur la droite pour voir une petite salve de kunaï se planter dans les portes. Je fis un seul mudra pour ensuite voir Sanshô'o disparaitre dans un nuage de fumée. J'ai rompu le charme du Kuchiyose par un jutsu de rupture, à la portée de tous ceux qui usent librement de l'art d'invocation. C'est ainsi que j'entendis la voix d'une jeune personne. Inutile de me demander de qui cela pouvait-il provenir, de qui cette voix sortait. C'est par le déplacement des lèvres de Yoite que le son formulant la phrase précédente a été formulée. Un petit sourire s'afficha sur le rebord de mes lèvres, cette jeune fill se croyait-elle donc d'un même niveau que moi ? Enfin non, c'est le ton qu'elle a pris que je n'arrive pas à cadrer.. mais je vais m'y faire.

"Le Mizukage voudrait savoir si tu veux bien devenir son élève x)"Dis-je d'un ton ironique:"Si je te propose cela, c'est parce que tu as aiguisé mon intérêt. Qu'en dis-tu ?"

Yoite fut destabilisée, jamais depuis son ancienne maitresse Kira elle n'avait été élève de qui que ce soit. Elle repensa immédiatement à ce qui s'était passé, tout ses moments de bonheur. Mais il y avait également le revers de la médaille, toutes ces nuits a hurler de la douleur d'être aimé. Que devait-elle faire, se moquait-il d'elle, en sachant combien il lui était pénible d'être un centre d'attention? Si oui ce Mizukage était bien plus cruel encore que Madara Uchiha. Finalement la seconde phrase suivit et un sourire se dessina sur ces lèvres. Elle l'avait tout simplement intrigué, ce Mizukage était encore plus idiot qu'il n'y paraissait, mais elle pouvait en apprendre avec lui aussi elle se retint de l'envoyer bouler, comme elle l'avait fait a sa première rencontre avec sa Kira. Finalement elle reprit lentement la parole, d'un ton non pas mesurer ou emplis de respect mais avec sa voix froide habituelle.

Tant que je n'aurais pas toute vos motivations, jamais je n'accepterais de devenir votre élève. De plus, sans vouloir vous offensez, si je vous ai tant intriguée que ça, pourquoi ne pas être venu vous même a la sortie de l'hopital, il n'est guère difficile de me trouver. Alors expliquez vous, en quoi vous ais-je intrigué... Mizukage...-san.

Elle ne pouvait se résoudre a utilisé -sama, comment le pourrait-elle, a ses yeux il n'était rien, son seul chef avait été Kira et a présent elle n'était plus. Elle se maudissait de ressasser le passé, mais elle n'arrivait pas a faire autrement. Finalement elle fit abstraction de son passé et inspira grandement avant de formuler une nouvelle requête, c'était essentiel, comment pourrait-il la prendre pour élève s'il ne savait rien d'elle? Impossible a ses yeux.

Que savez-vous de moi. En dehors du fait que j'ai été promue gennin?

Elle fixait le Mizukage en le pointant d'un doigt accusateur, utiliser Kira a sa sortie d'hopital était idiot, mais s'il lui fallait une démonstration de sa puissance elle le ferait. Même si elle ne pouvait le blesser physiquement, mentalement elle l'anéantirait surement.

Cette Genin était décidémment bien difficile. Comment la raisonner ? Cela n'était pas encore une de mes attentions, je devais avant tout la comprendre, pou plutôt l'écouter dans ses dires. Car il est vrai, je n'ai pas pris soin d'allerla chercher moi-même à sa sortie de l'hôpital. L'unique raison de ce "manque de motivation" ? J'ai lu la partie narrative de son dossier, celle qui résume à peu près la totalité de son passé. Je ne m'attendais pas à un début de son existence. Ce n'est pas tout à fait ce que j'ai vécu moi-même, mais au fond je peux comprendre la moindre parcelle, le moindre passage de son existence. Son caractère me faisait tout autant pensé à Yagura, un brin de comportement "solitaire". Ne se lie qu'avec ceux qui ne voient que comme elle. Au début Yagura était comme elle, il ne faisait pas de grands efforts mais arrivait à accomplir quelques choses. Cette Yoite, que nous cache t-elle ? J'ai l'impression qu'elle vole quelque chose de bien spécial... je ne sais pas exactement mais il faut dire que je ne la cerne pas tout à fait en réalité. Je peux établir un profil de sa psychologie, je peux la cerner à 100% pour ce qui concerne son passé et je pense que c'est tout. Mais bon, apparement elle se révèle bien coriace. Alors après ces deux phrases, j'eus un léger sourire puis j'ai dit:

"Yoite, j'ai lu ton dossier durant que mon Kuchiyose est allée te chercher. J'ai lu ton passé, et je comprends la totalité des évènements de ton passé."

C'était déjà une partie des choses qu'elle devait savoir. J'allais semer la confusion dans son esprit, et c'était le but. Il fallait bien qu'elle essaye de me cerner à son tour. Son mental montre bien il est vrai qu'il y a des possibilités pour qu'elle parte si je ne trouve pas les bon arguments. Mais si j'ai tout tenté contre un jutsu de Dôjutsu dont Yagura a été victime, je peux très bien faire comprendre à une jeune fille tout ce que je peux déballer. Je croisais les bras, puis je déposais Tsûme-Hada, l'épée masse jumelle de Samehada à mes côtés. Elle m'avait un peu alourdi, c'est un peu insuportable de se trainer la première épée qui est apparut dans le village pendant toutes les destinations où je me rends. Je dois penser à créer un sceau sur mon poignet pour l'enfermer et l'invoquer comme bon me semble. Mais jusque là ce n'est pas mon épée la source de cette conversation mais c'est Yoite. Mon regard s'abaissa, le regard vide assez triste puis ma canine en vint à mordre légèrement ma lèvre inférieur. Je me suis relevé pour ensuite tourner autour de Yoite jusqu'à m'arrêter derrière elle. Voilà que la conversation épineuse allait commencer, le tout pour prédestiner le fait qu'elle devienne mon élève. Je me dois de parler et de me prononcer dans les moindres détails:

"T'es parents t'ont battu lorsque tu étais jeune. Je sais ce que ça fait d'avoir les parents qui se retournent contre nous... On se sent un peu trahis. Après leur mort, le village s'est retourné contre toi. Tu l'as fuis et puis "Kira" s'est occupée sagement de toi. Tu as utilise un vaste pouvoir pour venir en aide à cette personne. Je passe l'évènement douloureux qui a suivit celà. Mais comme quoi Yoite, je te comprends parfaitement. Le sentiment d'avoir été reclus par la société, le fait qu'une personne bonne de coeur s'occupe de toi mais que tu finisses par la perdre... c'est insupportable, n'est-ce pas...?"

Alors que Yoite regardait le jeune Mizukage parler. Toutes ces tentatives pour la destabiliser allait peut-être bien fonctionner. Comment pouvait-il prétendre comprendre la totalité de son passé. Non, il était impossible pour lui de connaitre la douleur du Kira, la seul chose que son hote puisse comprendre. Jamais Kira n'avait prétendue la comprendre, elle l'avait juste accepté. C'est alors qu'il déposa sa lourde arme, Yoite fit immédiatement le lien avec Shamehada, l'arme de Kisame, un homme qu'elle avait rencontrée en tant qu'ancienne nukenin. C'est alors qu'il commença a narrer le passer de la jeune shinobi. Ses parents qui la battait, le refus du village, sa fuite. Mais comment c'est abjecte personne pouvait-elle parler de Kira, comment osait-elle. Il allait bien trop loin, Mizukage ou non s'en était fini de la pitié, car oui, la seule chose qui la retenait était la pitié que lui inspirait cette homme, elle aussi avait entendu l'histoire du Mizukage, une histoire bien triste, mais lui avait eu un frère pour le soutenir dans ses démarches. Elle n'avait eut qu'un court moment Kira. C'est alors qu'il prononça les paroles fatales, il évoqua la perte de Kira, la fin de la véritable Yoite, car depuis elle n'a toujours été l'ombre de son pouvoir. Les traits de son visage se modifièrent en une fraction de seconde, de l'impassibilité elle passa a la haine, elle se tourna a présent face au Mizukage qui se trouvait juste derrière elle. Elle le pointa du doigt, ses pupilles s'écarquillèrent et elle plongea dans l'esprit de son supérieur. Sortant a peine de l'hopital elle savait qu'elle ne pourrait le maintenir guère plus longtemps que deux minutes, mais elle lui montra toutes les choses qu'il avait vécu, tout son passé. Elle montra également son propre passé, chaque moment de douleur, et biensur l'activation du Kira, la douleur que celà lui causait a chaque seconde de sa vie, voir son corps mourir un peu plus chaque jour. Après cela elle n'avait plus la force de se maintenir debout, elle tomba a genoux, toussant et se vidant de son sang. Avant de sombrer dans ce sommeil sans rêve qu'est le coma, elle lui lança un dernier regard haineux et lui cracha ses dernière paroles.

Tu as de la chance, je n'ai pas la force de maintenir plus longtemps, j'ai été stupide, j'aurais dut t'achever immédiatement...

Elle accueilli le coma avec joie, cela l'empêcherais de pleurer comme une damné sa Kira. Plus rien n'était perceptible que le noir. Soudain elle se réveilla, la chambre était blanche, elle tourna la tête, et regarda par la fenêtre. C'était l'hopital. Elle se tourna de l'autre coté et vit Kazuma, et a côté de lui ses vêtements. Immédiatement elle jeta un oeil a sa tenue, ses pieds et ses mains sans vie étaient visible de tous a présent, des perfusions était accroché a elle. Voyant que le Mizukage ne bougeait pas et la fixait, elle prit la parole.

Vous n'abandonnez pas hein?

Cette jeune fille, j'étais en train de percer continuellement son mental à force de l'observer. Je ne savais trop quoi faire, elle semblait dégager un pouvoir assez étrange pour une Genin. Je me demande bien ce qui peux déclencher une telle irradiation alors qu'elle n'est qu'au repos. Moi-même je ne dégage pas tant d'energies lorsque je suis tout à fait normal. Et si cette énergie ne lui appartenait pas ? Après tout, c'est tout à fait possible. Un sourire se dessina sur mes lèvres, je me ravançais près de Tsûme-Hada, je la portais par le manche, la lame massive plantée dans le sol. Je l'ai utilisé comme appuis en continuant mon récit avec une certitude sans égale. J'avais conscience de ce que je disais, mais je devais faire attention. Ma liberté d'expression ne devait pas s'étendre jusqu'à blesser moralement cette personne. Alors une fois mon récit terminé, je fis l'analyse de la situation ou plutôt l'analyse de l'expression physique que faisait émaner le visage féminin de la Genin. Soupirant, je me suis aperçu tout de même que l'atmosphère se faisait bien différente, je sentais le visage de Yoite se durcire, je sentais un changement. L'index de la jeune fille me désigna, je fléchissais mes jambes mais je remarquais qu'au bout d'un moment... je n'étais plus dans moi-même. Mais comme dans un sommeil qui était vraisemblablement "observé". Par qui ? Par cette Yoite ou ce pouvoir qui la domine. Je voyais les passage de mon existence, Yagura... Orochimaru, père, mère... mon dieu. Mais aussi le passé de cette dernière... Je ne pouvais pas bouger, du moins je ne cherchais pas encore à briser l'illusion si je peux qualifier cette technique ainsi.

Un petit filet de sang serpenta le long de mes lèvres puis s'écoula sur le sol. Je souriais puis j'ai déversé mon chakra dans mon organisme afin de briser l'illusion mais cela ne fut qu'inutile. L'illusion se brisa involontairement mais via Yoite. Je me demandais ce qui se passait lorsqu'ell me lança furtivement ses paroles indirectes comme quoi elle n'avait pas encore la chance de m'achever etc... des paroles en l'air je présumes. Aucun shinobi de Kiri égal mon répertoire. Elle s'écroula après avoir craché un flot de sang puis devint "inerte". J'ai déposé deux parchemins protecteurs autour de Tsûme-Hada afin de la protéger de n'importe qui, histoire que je puisse la laisser ici sans craindre qu'on me la vole. Alors j'ai essuyé le sang sur ma lèvre inférieur. D'un geste sec du revers de la main, le sang s'étala sur le sol. J'ai marché jusqu'à Yoite, j'ai porté la jeune kunoichi que j'ai pris dans bras, puis d'un mudra, nous avons disparu par le biais du Shunshin no Jutsu. Le temps passa et je l'ai amené à l'hôpital, j'ai effectué quelque chose avant de laisser l'escouade médical se charger librement de Yoite. Après quelques heures je me suis invité dans la chambre médicale de Yoite puis je me suis assis à ses côtés. Je feuilletai le dossier de mon frère jumeau Yagura puis j'entendis une voix dont m'était destinée. Yoite se réveillais, avec un sourire assez taquin j'annonçai:

"Que crois-tu Yoite-chan ? Je suis collant voilà tout ! Estimes-toi heureuse que je sui si sympathique, je ne pouvais pas te laisser mourir devant mes yeux; je suis Mizukage après tout. Au passage, tâche désormais d'être moins familier à mon égard."

Et c'est ainsi que j'ai refermé le dossier de Yagura que j'ai déposé sur la table de chevet de Yoite, pour lui montrer que je lui donnais pour qu'elle prenne conscience de toute l'histoire qui a uni mon frère à moi-même. Je me reposais sur le dossier de ma chaise, puis je lui montrais la tâche de sang sur ma lèvre montrant son précédent assaut. Puis je fermais les yeux, préparant ma prochaine tirade. Je respirais lentement puis d'un air mi heureux mi sérieux je durcis à mon tour mon visage. Je lui montrais du doigt son poignet puis j'ai dit:

"Avec l'aide des maîtres de l'Irôjutsu, nous avons conçus un sceau qui bridera ton pouvoir pendant quelques jours; histoire d'éviter les troubles vois-tu. Je sais ce que ton pouvoir représente maintenant et crois-moi je tiens plus que tout, t'aider à mieux le maitriser pour que tu entres en parfaite symbiose avec. Qu'en dis-tu ?"

Yoite fixait le Mizukage, il tenait plusieurs feuille, un dossier sans doute. Elle ne pouvait en être certaine, elle attendit calmement une réaction de la part du Mizukage. Ce dernier jeta le dossier sur la table de chevet, inutile de dire qu'il espérait que Yoite le lise. Elle s'en saisit immédiatement feuilleta le dossier, puis avec un grand soupir elle le reposa. Il prit la parole, quelle familiarité, lui qui lui intimait de ne plus l'être envers lui. S'estimer heureuse? Peuh, quelle blague. Comment aurait-elle put l'être. Elle le savait, le Mizukage avait des obligations, mais ce qu'elle avait fait pouvait être considérer comme de la haute trahison. Elle le fixait toujours lorsque ce dernier lui montrait une tâche de sang sur sa lèvre inférieur, pourquoi la montrait-il, elle s'en moquait. Il prit une longue inspiration et finalement il lui désigna son poignet, elle regarda, il était noir, rien ne changeait de d'habitude. Enfin il reprit la parole avec un air heureux pourtant très concentré. Il avait prit la liberté d'appelé des experts afin de créer un sceaux qui réduirait le Kira, enfin durant quelques jours. Il lui dit qu'il savait ce que représentait son pouvoir qu'à présent il ferait tout pour qu'elle le contrôle. C'est avec un long rire rauque de malade, ce qu'elle était finalement, que finalement elle prit la parole.

Contrôler le Kira, n'avez-vous pas consulté les archives? Toutes les données sur l'origine de mon pouvoir on déjà été répertorié. Les médecins de Konoha n'y peuvent rien, de même que Tsunade, la légendaire sannin médecin. M'enfin, oui vous êtes collant. Quant-à me laisser mourir, vous n'auriez plus vous y résoudre, en cas de guerre mon pouvoir serait bien plus qu'utile, ou même lors d'une séance de torture. Mais soit, admettons que Kira puisse être utilisé sans causer mon coma, ce qui est impossible, la seule raison est qu'il consomme la totalité de mon chakra, peu importe sa quantité, je suis votre élève. Cependant je ne pourrais utilisé le ninjutsu avant demain. (Cet après midi a 14h) De plus, je n'ai que ce ninjutsu, sinon j'ai un peu de taijutsu dans mon répertoire.

Yoite avait fait elle même l'analyse de son dossier puisqu'il était clair que le Mizukage n'avait pas lut toutes les archives sur Kira, elle même et son ancienne maitresse. Elle retira la perfusion de son bras et retira sa chemise de malade, forcément elle était nue en dessous, mais quelle différence, elle n'avait rien a caché a cet homme qui avait déjà vu le plus écoeurant, son abdomen était visible, tâché de noir, signe que le Kira la frappait également a ce niveau, ses chevilles et ses pieds noirs, ses mains et ses poignets, ainsi que le bas de son dos, là ou habituellement les femmes l'exhibe, la chute des reins, elle avait une énorme tâche noir a ce niveau. Elle s'habilla rapidement et se rallongea dans son lit en avalant des pillules. Elle savait que de toute façon il avait déjà vu cela, a moins biensur qu'il n'est pas assisté a son opération, ou du moins lorsqu'on l'avait changée. Elle respira profondément et toussa un peu puis elle reprit le dossier de son frère. Elle commença a le lire attendant que le Mizukage prenne la parole, elle mieux que n'importe qui savait qu'Orochimaru était une personne peu recommandable, elle l'avait rencontrée avec Kira, cette dernière l'avait protégé de cet infâme serpent. Enfin elle poursuivit sa lecture sans vraiment d'attention.

Le temps s'écoulait vraiment très lentement. Cette jeune fille avait du caractère et je me demandais bien comment convaincre cette dernière de bien vouloir être mon élève. Je ne devais pourtant pas atteindre les cordes sensibles sinon ça nuirait à ma personallité. Yagura a eu des élèves lui, et le jour où il les a eu il me disait de prendre mon courage à deux mains... de balayer les contraintes se présentant à moi... Je vais balayer les obstacles imposants, aussi puissants soient-ils. Et je vais faire bien entendu de mon mieux pour transvaser mon pouvoir en une personne qui sera digne de le porter de d'à son tour l'utilise pour maintenir les relations de Kiri stable. Ainsi cette personne prendra sous son aile pour continuer à transvaser ce savoir qui vient majoritairement de moi et de me prédecesseurs. J'ai choisis cette Yoite parce que je sens un immense pouvoir en elle, et que je suis sûr qu'elle pourrait faire preuve d'intelligence pour mettre ce dont au service de l'humanité afin de protéger ses proches. Je réfléchais en regardant par la fenête l'air évasif... voil que j'y pensais, j'étais marié c'est vrai. A la femme avec qui je rêve de passer ma vie, alors voilà... je tiens à me combler non pas personellement mais je tiens en même temps à me rendre utile auprès de la jeune génération. Mais je perds espoir quand j'entend les dires de Yoite actuels qui commencent à faire écho en moi. Pestant j'ai aussitôt répandu à sa plongue tirade:

"Hum, si tu reste renfermé sur toi-même tu n'accompliras jamais ton nindô. Je le lis sur ton visage... ne serait-ce donc pas de disparaitre pour la personne à qui tu voueras un "amour" sans borne ?"

J'avais discerné quelque chose et je tenais en avoir le coeur net. Cette expression las sur son visage est bien quelque chose semblable à un voile qui cache une autre personnalité plus engagée. Je me trompe peut-être mais je mets en oeuvre l'hypothèse que j'en ai tiré, et que j'espère c'est la bonne prce que j'ai diverses choses à dire à ce propos. Je la regardais ensuite lire le dossier de Yagura, puis je me suis rappelé d'"un moment dans ce dossier où sa mort fut marquée par un assassinat à la suite d'un combat que j'ai livré contre lui. Je me demande ce qu'elle va penser de cela alors que lui même Yagura attaquait son propre village à l'époque. Hum, il est aussi inscrit le pouvoir de mon épée et mes jutsus supérieurs. Je pense que cela éveillera la curiosité de Yoite, mais j'ai préféré me taire...

La jeune femme venait de finir de lire le dossier, il était très complet peut-être même un peu trop. C'en était suspect, enfin, elle n'avait pas vraiment le droit de juger. Alors qu'elle venait a sa façon de devenir l'élève du Mizukage, elle repensait à son nindô, mourir pour Kira avait été le sien, a présent elle n'en avait plus vraiment, enfin si le même. Mourir pour l'être aimé, pour cela fallait-il encore qu'elle en aime un. Enfin, ce ne serait certainement pas le Mizukage, il ne lui était pas du tout amical, plutôt d'une perfidie sans borne a ses yeux. Elle se releva donc de son lit. Oui, elle était remise de son choc. Puis finalement le jeune homme présent reprit la parole. Ce... salaud? Oui c'était le terme qu'elle lui attribuait, un salaud, comment osait-il la percer a jour ainsi? Son nindô ne concernait qu'elle même. C'en était trop encore une fois, il se permettait beaucoup trop de chose, même s'il était Mizukage. Elle se rassit comme si de rien n'était avant de prendre la parole d'un ton agacé.

Non, même si mon nindô était celui-ci, prétendre pouvoir canaliser le Kira est pure folie. Je sais déjà tout à propos de mon pouvoir. Vous, je ne pense pas que vous puissiez réellement comprendre, même si vous avez vu la souffrance vous ne comprenez pas la nature de mon attaque et encore moins ce qu'elle représente. Allez donc dans le village, et hurlez sur les toits que vous avez pris le détenteur de Kira sous votre aile et vous perdrez beaucoup de votre autorité actuelle. Je sais ce que j'ai à faire pour réaliser mes souhaits. Vous pouvez peut-être m'y aider, mais ne rêvez pas, jamais je ne donnerais pas vie pour vous.

Tout était dit, peu importe ce qu'il en pensait, il aurait sans doute encore une réplique mettant son self contrôle à l'épreuve, mais elle ne craquerais pas, utiliser trop fréquement le Kira pourrait la tuer beaucoup trop vite. Cet homme était décidément tout ce que la jeune femme détestait.

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