infiltration (à peu près) discrete et recherche d'informations.

Me calmer. Je devais me calmer si je voulais infiltrer Konoha sans encombre. C'était déjà un miracle d'avoir réussi à passer le dôme protecteur de Konoha sans m'être fait repérer. Heureusement que ce vieil homme connaisait les codes de désactivation partiel du champs de force. Enfin, de toute façon, là où il était, il ne pourrait pas me dénoncer. Les lourdes portes de Konoha grincèrent avant de s'ouvrir dans un roulement sourd. Je fis tout mon possible pour mieux me dissimuler dans l'épais feuillage de l'arbre aux yeux des sentinelles qui venait de stopper leur tour de garde pour surveiller les portes entrouverts, qu'un homme agé d'une cinquantaine d'année franchissait. Il avait d'épais cheveux gris, une cape rouge et un bandeau frontal au Kanji illisible de si loin. Il salua à peine les gardes avant de s'enfoncer dans la forêt, passant à moins de deux mètres de moi sans me repérer heureusement. Une idée folle traversa mon cerveau. Non pas d'attaquer ce ninja que j'avais reconnu comme le légendaire Jiraya, mais de passer en force par les portes encore ouvertes. Non, cétait tout simplement une pure folie. Je pourrais me débarraser facilement des gardes mais rapidement de plus en plus de ninja seraient sur me trousses et même moi je ne pouvais vaincre une armée de ninja entrainé au combat. Un claquement m'informa de la fermeture des portes. Bon, c'était trop tard de toute façon. Je recommença à observer les va et viens de sentinelles sur les remparts et rapidement une idée moins suicidaire germa dans mon esprit. Toute les heures, les sentinelles laissait pendant environ cinq minute une zone du rempart sans surveillance. Il fallait que je saisise ma chance, car une heure c'était presque écoulé depuis leur derniere "erreur". Je raidis mes bras et laissa sortir une grande longueur de fils noirs, prenant garde de ne pas les laisser dépasser du feuillage. Plus le moment approchait, plus je sentais l'eciatation monter en moi. Je ferma les yeux pour me calmer, chose essentiel pour réussir une infiltration. Enfin, le moment tant attendu arriva. Les gardes se croisèrent et se tournèrent le dos. Aussitôt, je tendis mes fils vers les remparts et m'y accrocha avant de m'y hisser d'un coup brutal. Je décolla aussitôt du sol pour atterir sur les remparts, décrochant immédiatement mes fils pour les planter dans le dos des garde. Immédiatement, ils s'y enfoncèrent et obstruèrent leur gorge, les empechant de donner l'alarme. Vite, je n'avais pas de temps à perdre. De plus en plus de fils jaillisaient de mon bras pour se planter dans le corps des malheureux avant de détruire leur vie de l'intérieur. Rapidement, il n'était plus qu'un amas de peau aux organes réduits en boullie gisant sur le sol des remparts. Je sauta d'un coup juste après avoir revétu leur tunique.

-Infiltration réussi

Je parla à mi-voix, assez content de moi. Pour une fois que j'arrivais à m'infiltrer sans me faire capturer. Me faire enfermé à Taki pouvait passer, leur ninja ayant un niveau plus que médiocre à mes yeux. Mais Konoha était une autre paire de manche. Ce village était défendu par des ninjas croyant en la "flamme de la volonté". Je ne comprenais pas du tout ce concept mais cela les motivais, ce qui n'étais déjà pas trop mal. Je décrochis mon bandeau frontal et le rangea dans ma poche pour ne pas éveiller de spouçon aux gens à sa vue. Bon, maintenant, je devais obtenir plus d'information sur la localisation des
Bijuus. Je m'enfonça dans les ruelles de Konoha, évitant un maximum les grandes routes. Mieux vaut être trop prudent que trop peu. L'air était frais mais une legere odeur de moisi y flottait, me soulevant le coeur. Peu de choses arrivait à me dégouter, mais cette odeur était proprement écoeurante. Un couteau se posa sur mon dos. Sans m'en rendre compte, je m'étais rendu jusqu'aux endroits mal famé de ce village. Oui, même un village ninja cache des endroits dangereux.

-Et toi, file ton fric si tu tiens à ta vie.

Deux hommes me barraient la route, le troisieme me parlant tout en restant hors de ma vue en appuyant un couteau sur mon dos, heureusement pas sur un de mes masques.

-Bon, peut-être que vous allez me donner des informations sur les Bijuus.

Immédiatement, un petit nombre de fil sortit de mes bras, enserrant les bras et jambes des hommes devant moi. Une vive douleur parcourut mon dos. L'homme venait d'enfoncer son couteau, malheureusement sans me causer de dégats conséquents. Mais il m'avait mis en rogne. Tout en bloquant toujours ses compagnons, je me retourna et le plaqua contre un mur grâce à une vériatble marée de fil sorti tout droit de ma bouche. Je pris un malin plaisir à les infiltrer dans sa bouche avant de les faire ressortir par ses yeux, lui arrachant un cri inhumain. Toute sa douleur me rendait fou de joie. Mes fils s'enfoncèrent alors dans sa gorge avant d'enserrer son coeur palpitant.

-Tu penses que je dois te tuer en te tranchant la gorge ou en t'arrachant le coeur ?

Un sourire sadique parcourut mon visage, le déformant en une expression cruelle. Bien sur, je ne voulais pas de réponse, son sort étant déjà scéllé. Il ne poussa pas même un cri lorsque son coeur encore chaud remonta dans sa gorge avant de sortir par un de ses orbites vide. Ses compagnons, que j'avais oublié, poussèrent un cri d'horreur. Je leur lança le coeur au visage, leur arrachant des cris déchirant. Une idée atroce illumina mon visage d'un sourire encore plus cruel. Je retira mes armes tentaculaire avant de les renfoncer dans le dos du corps et d'enserrer ainsi chacun de ses muscles. Le cadavre remua un peu et avança d'un pas claudiquant vers ses compagnons au visage horrifié.

-Dites moi tout ce que vous savez sur les Bijus, et vite.

Le cadavre tendit le doigt vers le visage.

-On sait rien, je te jure. Nous, on vis juste en volant les gens et AAAAAAAH.....

Je ne lui laissa pas le temps de finir sa phrase. Son compagnon mort lui trancha le cou à lui et à son compagnon. Retirant tout mes fils, je partis en laissant trois cadavres derriere moi, non sans avoir récupéré un grand nombre de morceaux de vetements que je mis devant mon visage pour parfaire mon déguisement. Bon, resté plus longtemps serais du suicide, surtout après le meurtre commis sur les remparts, des escouades devaient déjà s'être mis à ma recherche. D'un pas décontracté, je me dirigea vers les portes. Arrivé devant les portes, le pire arriva.

-Et toi, oui toi là, montre ton pass pour sortir.

Un pass ? Je n'avais jamais entendu cela. Je le regarda avec l'air le plus étonné possible et il éclata de rire.

-Tu es un Genin qui veus partir à l'aventure, hein ? J'aime bien les gars comme toi qui n'ont pas froid aux yeux. Tiens, quand j'étais Genin, je faisais tout le temps ce coup là.....

Mon attention décrocha là. Cet homme me soulait et s'il ne tenait pas sa langue, je risquais de perdre patience et de le tuer, même si je risquais gros. Toujours en le regardant, je me concentra pour ne pas le tuer de sang froid et finalement ma patience fut récompensé. Il hurla aux gardes posté au dessus des remparts d'ouvrir la porte, ce qu'il s'empresserent de faire. Je les franchis immédiatement avant de partir dans les forêts. Cette mission avait été particulièrement riqué, mais finalement j'avais pus "m'amuser". Dire que l'homme qui m'avait ouvert ne se doutait même pas que je venais de causer la mort de deux garde et de trois civil m'arracha un sourir. Si ça se trouvait, il venait juste d'apprendre mes crimes et se mordait les lèvres de son erreur. mais j'étais déjà trop loin...