Blood of Darkness
Aspirant Ninja
Messages : 12
Date d'inscription : 12/05/2010
Age : 30
 |  Sujet: Seyko, la présentation ~ Terminer  Mer 12 Mai - 0:47 | |
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Vous
»Prénom
Nicko-sama
»Âge
16 ans
»Comment avez vous trouvez le forum ?
Par une amie
»Êtes vous actif ?
Tout les jours j'essais
Personnage
»Nom
Hyûga
»Prénom
Seyko
»Âge
18 ans
»Description mentale
Bien que Seyko soit un jeune adult, qui habituellement, à cette âge est bien mature, certain ne le sont pas, se qui n'est pas question de Seyko. Il est surtout très déterminé. Il a un idole, un modèl qu'il suit depuis l'âge de 6 ans. Le courage et son but dans la vie lui donne toute une personnalité fonçeuse et gagnante. Il n'est aucunnement vantard, il fait c'est petite chose sans se préoccuper d'avantage des autres. Il vit sa vie seul à partir de l'âge de 14 ans. Depuis la journée où il a fait son "coming out" et avouer à tous son orientation sexuel.
»Description physique
Pour un jeune de 18 ans, bientôt 19 ans, il est très grand, voir plus grand que certain adult. Étant grand dont la taille de 6 pieds et plus, il parait bien plus vieux qu'il en a l'air. Assez musclé, cependant il ne le parait pas car il est robusque et très imposant. Petit et beau visage, un oeil de couleur gris foncé (son oeil droit) et l'autre de couleur blanc bleu (son oeil gauche: le byakugan), des cheveux blanc-blond et deux boucles d'oreils (si petites qu'elles sont très discrète). Son regard à, majoritairement, presque toujours l'air perdu et de la personne qui s'enferme dans sa bulle. Un jeune homme isolé. Ses vêtements son d'un blanc, son chandail d'un tissu mince et confortable. Des vêtements lousse permettant la respiration du jeune corp. Des pantalon noir. Tout cela caché par une cape (qui peut être fermer à l'avant (un peu le même style qu'Akatsuki)) de couleur rouge, muni d'un capuchon et deux poches (autant à l'intérieur qu'a l'extérieur).
»Histoire
L'histoire de Hyûga Seyko commence dans le village de Konoha no Kuni. Les parents biologiques donnèrent naissance à ce petit garçon, cependant le père (encore très jeune (tout comme la mère)) décida qu'il ne voulait pas garder l'enfant. Il menaca sa bien-aimé de la laisser si elle ne le laissait pas. Il était pas prèt et elle aussi d'ailleur, mais au moins, elle voulait essayer, de faire le maximum pour SON enfant. Rien à faire, le père ne changera pas d'avis. C'est pour cela que la mère biologique laissa Seyko dans une ruelle, nu comme un verre. Elle pleurait, elle voulait cette enfant, pourtant elle avait choisi de rester avec son amoureux qui malgré son désaccord pour garder son propre fils, était d'une grande sagesse et gentillesse. Le nouveau-né pleurait de toute ses petites forces, au plein milieu de la nuit, seul, dans une ruelle sombre, la noirceur coupait tout son et éco de cette nuit pourtant si silencieuse malgré les pleures du jeune bébé. Par chance, le matin venu, après une longue nuit pour le bébé, une femme qui aimait marché très tôt le matin pour écouter les doux chants des oiseaux et marché dans les petites ruelles pour rester dans son amour du silence, vu le petit enfant, il ne pleurait plus, il avait versé toutes les larmes de son petit corps. La femme ne pouvait pas le laisser là, tout seul, se n'est qu'un bébé ! De plus, cette femme, jeune, et malheureusement, dans l'impossibilité d'avoir un enfant à cause de son infertilité, ne voyait qu'un rêve, un miracle. En ramenant cet enfant chez elle, elle pourra l'élevé comme elle aurait élevé son propre enfant. Cette femme, elle faisait partie d'une famille très connu dans le village caché de la feuille, les Hyûga. Bref, sans plus attendre elle prit le bébé et ne prit même pas la peine de finir sa marche, elle retourna immédiatement chez elle et son mari, un Hyûga. Entré à la maison, il n'y avait personne, l'homme était partie faire des trucs sans importance. Se fût qu'au souper qu'il revenu. La nouvelle-maman de Seyko, lui avait d'ailleur donné son prénom. Lorsque son nouveau père revenu (toujours pas au courant) il remarqua très rapidement sa femme en train de donner à manger à l'enfant. Il était bouche bé, il ne comprennait plus rien. Il approcha et regarda le bébé et demanda à sa femme « C'est qui... C'est... Un bébé ? » Bref, rien de trop compréhensible. Sa femme se leva et prit une grande respiration, elle voulait à tout prit le convaincre qu'elle voulait cet enfant. Elle commenca premièrement par croisé ses bras puis d'un ton tout de même dure, elle dit « J'ai trouvé ce bébé durant ma marche matinal, on l'a abandonné. Je t'en pris, j'ai enfin la chance d'être maman... Et je lui ai déjà donné son nom: Seyko Hyûga. » La fin de ses paroles étaient plus doux et suppliant. L'homme de la maison, le nouveau père (enfin, s'il accepte de garder lui aussi l'enfant) soupira. Son fils qui portait le nom de la famille sans même avoir son dojutsu, la carathéristique première d'un Hyûga, la fierté du clan ! Qu'est-ce que les autres membres allaient dire. Il regarda l'enfant et dit en s'adressant (bizarrement) à son nouveau fils « À 6 ans... À 6 ans je pourrai t'appeller Hyûga, pas avant... Seyko. » La mère était tout de même contente, elle pouvait enfin avoir l'enfant qu'elle voulait tant !
Six ans plus tard. C'était une journée totalement normal, Seyko avait commencé à s'entraîner avec son père depuis un moment déjà. Malgré les insultes et toutes les remarque disant qu'il était la honte du clan, son père lui promettait qu'un jour, il sera un vrai Hyûga et qu'il n'avait pas à s'en faire. Seyko faisait confiance à son père. Il s'avait son histoire et il s'avait aussi que ses parents n'étaient pas ses vrai parents. Cependant, même s'il avait la chance de retourner dans sa famille biologique, il refuserait. Malgré le fait qu'il ne soit pas lier de sang avec sa famille, pour lui le lien sentimental est plus fort que celui génétiquement. C'était un soir, Seyko venait juste de finir de s'entraîner avec son père et c'était son anniversaire, pourtant son père ne lui avait rien dit, ne l'avait pas appellé Hyûga. Était-ce une promesse en l'air ? Seyko y croyait plus maintenant. Son père lui demanda pourtant de venir avec lui, il voulait lui montré quelque chose et selon se qu'il disait, c'était très important et il avait du faire une énorme décision. Seyko le suiva, convaincu que finalement, son père avait pas oublier et qu'il voulait lui faire une surprise. Il mena Seyko dans un endroit qu'il ne connaissait pas. Il entraire dans un batiment qui était plongé dans l'obscurité. Seyko voulait dire qu'il ne voyait plus rien et qu'il ne pouvait plus le suivre, mais il se fit prendre par derrière et soudainement, il plongea dans un sommeil. Juste avant de s'endormir, il entendit son père dire à quelqu'un d'autre « Bien jouer shinobi. » Dans son sommeil, Seyko commenca à rêver, d'un rêve éffrayant. Il rêvait qu'après les paroles dites par son père, ce dernier n'avait finalement attendu à l'âge de 6 ans pour tuer son fils qui n'est pas réellement le sien. Lorsque Seyko se réveilla, rien ne le rassura d'avantage. Il était couché sur une table et ses mains et ses pieds étaient attachés avec des chaînes. Seyko ouvra lentement ses yeux un peu en panique, pourtant son père lui disait « Mon fils, je sais que ce que nous allons te faire va te faire extrêmement mal et que c'est très dangereux pour toi, mais je me suis donné la parole qu'à 6 ans, je pourrai enfin t'appeller Hyûga. Soit fort fiston. » Seyko bougeait de tout les sens puis remarqua enfin le bandage sur l'oeil gauche de son père il dit de suite « Papa ! Tu as quoi à ton oeil ! Qu'est-ce qui se passe !? » Le père baissa la tête et murmura quelque chose d'incompréhensible pour Seyko. Il voulait insisté mais des mains se posèrent sur sa tête et l'empêcha de bouger. Son père parla à un shinobi qui s'avanca vers ce dernier, le shinobi lui donna deux instruments d'hopération, un outil qui permettait de garder un trou ouvert et l'autre instrument était un scalpel. Même à 6 ans Seyko s'avait c'était quoi, le rêve lui revenu en tête. Son faux père voulait-il le tuer ? Il regarda les deux outils approchés de son oeil gauche, l'un qui garda son oeil ouvert et la main de son père qui tira sur son oeil, une petit douleur pas trop confortable, cependant c'est lorsque la lame du scalpel qui coupa le lien de son oeil à son corps qui le fit crier. Il suppliait son père de le laisser il ne voulait pas que ça continue. Son père n'écoutait, malheureusement pour Seyko, pas du tout les paroles de son fils. Le champ de vision était maintenant restrint, mais il ne prit pas beaucoup de temps qu'il devenut totalement noir. Seyko tomba dans les pommes. Cette fois-ci, il rêva à rien, son sommeil qui avait duré la soiré, la nuit, le matin, le midi et l'après-midi, n'avait semblé que moins de cinq minutes. Seyko ouvrit les yeux, encore faible. Il était dans son lit et sa mère lui sauta aussitôt au coup, elle répèta sans cesse qu'elle s'avait inquièté pour son fils et qu'elle lui avait parlé durant son sommeil. Seyko ne réagissa, il regardait le mur devant lui, il était pourtant convaincu que son père avait essayer de le tuer en le faisant d'abord torturé. L'enfant de 6 ans leva le bras pour se frotter la tête lorsqu'il toucha a un bandage. Il se précipita pour l'enlever mais sa mère lui prit le bras et lui dit qu'il ne devait pas faire ça. Seyko s'en foutait. Il forca obligeant sa mère à lâcher prise lorsque son père arrivant dans le cadre de porte et dit à son fils « Seyko Hyûga, soit respectueux envers ta mère. De plus, il est impoli de refuser un cadeau, surtout pour sa fête ! Bonne fête fiston. ». Seyko arrêta de forcer et rebaissa le bras. Sa mère en fit autant et elle souria. Le jeune Hyûga regarda enfin son père et remarqua encore ce bandage sur l'oeil gauche. Pourquoi les deux avaient-ils une certaine blessure à l'oeil. L'enfant de 6 ans en voulait des réponses ! Il les voulait là, tout de suite, maintenant ! Il fronça les sourcils, assez rare venant de ce dernier et dit « Tu m'as fait quoi hier soir ? ». Son père soupira, il voulait pas y répondre ni en parler, il en parlera lorsque le moment d'enlever le bandage arrivera, il ne dit « Lèves-toi, il est temps que tu manges pour reprendre des forces. » il sorta de la chambre et se dirige dans la cuisine. La mère prit la main de son enfant et avec un sourire suppliant, le convainc à se lever et de la suivre à son tour dans la cuisine. Il mangea puis depuis, n'osa pas redemander c'était quoi qui venait lui arrivé. Il y pensait très souvent, mais n'en parlait pas. Quelques jours plus tard, lorsque Seyko fût envoyer pour aller chercher du petit pain pour sa chère mère, une petite troupe d'enfant un peu plus vieux, environ 10 ans, remarquèrent Seyko et son oeil encore caché par un bandage, une cible parfaite pour une intimidation. Les quatres gamins s'approchèrent et un d'eux poussa littéralement Seyko tandis qu'un deuxième mit un pied à contre sens pour le faire tribucher, succès. Seyko est au sol, il ne dit rien depuis le début, son regard est vide, il pense trop à son oeil gauche. Les quatres gamins s'amusent à pietiner les petits pains lorsqu'une voix les forces à arrêter « Ce n'est pas gentil de s'en prendre à un plus jeune, en plus vous ne voyez pas qu'il a un oeil en moins. » Soudainement, Seyko se souvien de la douleur qu'il avait eu lorsque son père lui avait arraché son oeil. De frustration il se leva et dit à la personne qui venait de parler « Je n'ai pas un oeil en moins ! ». Il se tourna vers ce dernier et était bouche bé. Le shinobi qui se trainait devant lui avait lui aussi quelque chose qui camoufflait son oeil gauche, il parla enfain « Comment êtes-vous fait ça à l'oeil ? » Le shinobi, aussi appellé Kakashi Hatake rengea un livre dans sa poche et approcha du jeune petit et posa sa main sur son épaule. Il regarda dans les alentours puis de l'autre main, releva lentement son bandeau frontal. Seyko regarda très attentivement, Kakashi leva enfin son bandeau entièrement et on pouvait voir son oeil, normal, cependant une petite cicatrice était visible. Seyko Hyûga voulut lui demander se qu'il avait, mais Kakashi prit la parole « Je suis déjà en retard, je dois te laisser. » Il lâcha l'épaule de l'enfant de 6 ans, remit son bandeau sur son oeil gauche puis parti en fumé tout en saluant de la main le gamin devant lui. Seyko dut retourné acheter des petits pains puis entra enfin chez lui, sa mère un peu inquiète, lui demanda se qu'il faisait. Seyko préféra rien dire sur le fait que quatres plus vieux voulait s'en prendre à lui, il ne parla que de la rencontre avec ce fameux shinobi dont il ne connaissait pas le nom, mais selon la description donné, son père et sa mère savait très bien qu'il s'agissait de Kakashi Hatake. Un mois plus tard après le jours de la fête à Seyko, la mère du gamin était aller enlevé le bandage qui cachait l'oeil de son fils durant le sommeil de ce dernier, tôt le matin. Au début il ne remarqua rien, son oeil était fermer instinctivement depuis qu'il avait le bandeau. Il transporta vers la salle de bain pour faire son petit pipi matinal et lorsqu'il arriva devant le mirroir, ne remarqua rien, il se lava les mains et se brossa les dents. C'est lorsqu'il soupira et voulut voir son bandage qu'il remarqua qu'il l'avait plus. Il était sans mot, à la fois content mais encore intriguer. Il s'approcha du mirroir et ça lui fit rappeller la cicatrice du shinobi qui l'avait aidé, c'était la même. Cependant, il ne voulait pas ouvrir son oeil, de peur qu'il ne s'y trouve pas, le shinobi ne l'avait pas ouvert, comment savoir si lui il avait un oeil ou pas, et Seyko ? Il se précipita dans la cuisine et y trouve son père, lui aussi le bandage retiré, mais il porta tout de même quelque chose qui camoufflait son oeil gauche. L'homme de la famille était souriant, mais Seyko comprennait rien à rien, le père se leva et alla devant son fils, il dit un peu en rigolant « Tu peux ouvrir l'oeil petit, à moins que tu veuilles ne plus jamais l'ouvrir. *rire* » Seyko ouvra son oeil, il avait un oeil gauche ! Il revoyait enfin avec deux yeux, il souria, mais ne savait pas comment réagir, c'était différent que lorsqu'on recevait un cadeau ou autre chose. Son père souria puis dit ensuite « Ferme les yeux, puis n'ouvre que le gauche. » Seyko hocha de la tête puis fit comme demander, lorsqu'il ouvra l'oeil gauche, il voyait mantenant tout autour de lui, un vision différente, supérieur à la vision normal, il ne comprennait encore moins, il ferma l'oeil et ouvra les deux yeux. Il regarda son père qui souriait, pourquoi ? Il se mit à courir à la salle de bain, refit le petit exercice puis dit en murmurant « Le... le... le Byakugan... » La mère entra dans la salle de bain, inquiète après avoir entendu des pas affolé se diriger vers la salle d'eau et elle souria à son tour en disant toute heureuse « Tu es maintenant un vrai Hyûga mon fils ! Mais attention, tu ne dois le montré à personne autre que la famille, tant que tu soit jeune et pas encore assez fort pour te défendre seul, tu dois te faire discrèt. Le Byakugan est un dojustu utiliser dans le clan des Hyûga, le clan qui serait aussi fort que les Uchiha. Plusieur recherche le Byakugan, alors on voudrait pas qu'il s'en prenne à toi. » En finissant, le père posa une main sur l'épaule de sa femme et conclua « Ta mère à raison, c'est pour ça que dès l'âge de 10 ans, je t'apprendrai à bien utiliser ton byakugan. Maintenant, manger ! ». Seyko souria et se précipita vers son déjeuner.
Quatres ans plus tard, à l'âge de 10 ans, Seyko commença les entrainements pour son byakugan avec son père Hyûga. C'est aussi à ce moment qu'il entra dans l'académie. À l'académie, Seyko dût reporter un bandage pour ne pas que tout le monde voit son Byakugan. Le soir, il s'entraînait avec son père. Des journées très charger, et tout cela le fit vite changer. Il se rendit compte de plusieurs choses, il n'était plus la moviette dont il croyait être et il avait trouver un modèle. Se n'était pas son père, c'était le shinobi qu'il l'avait aidé à l'âge de 6 ans, Kakashi Hatake. Il le voyait souvent à l'académie, il ne lui parlait pas et était jamais au même endroit, mais il voulait ressemblé à se ninja. Il commenca donc à porter un masque, il se forcait pour être le plus rapidement nommé génin pour arriver à son niveau, et il commenca même à regarder dans des livres pas trop catholique, en faite, il cherchait le livre dont Kakashi avait quand il l'avait vu pour la première fois. Il fût promu génin, utilisait assez bien son Byakugan, tout allait bien. Il posa son bandeau frontal sur son oeil gauche.
Il monta donc ainsi de grade en grade, année en année. Il était un ninja qui aimait sortir de chez lui, voir de nouveau paysage. Bien qu'il soit shinobi de Konoha, il était presque jamais dans son village natal. Une grande vie s'ouvrait à ce dernier, voulant faire des exploits, aidé le monde. Seyko Hyûga ne voulait qu'une chose, la paix.
»Code
Oki By Nari x)
Dernière édition par Seyko Hyûga le Sam 22 Mai - 16:35, édité 2 fois | |
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