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 L'envoyé de Dieu

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Gin'iro Kasumi
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Gin'iro Kasumi


Messages : 2
Date d'inscription : 02/04/2010

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MessageSujet: L'envoyé de Dieu   L'envoyé de Dieu I_icon_minitimeSam 3 Avr - 11:39

Vous

Prénom : Tristan
Age: 14
Comment avez vous trouvez le forum ? : Il est classe et j'aime bien les bannières
Etes vous actif ? : Période scolaire genre 4-5/7 et vacance 7/7 ou 0/7 ça dépend des voyages.

Personnage

Nom: Kasumi

Prénom: Gin'iro

Age: 17 ans

Description mentale: (5 lignes minimums)

Dans le monde des shinobis, beaucoup ont un nindo et des rêves différents des autres. Il a quand même une majorité qui désire devenir Kage et ce n’est pas sans mal. C’est un rêve, comme tous les autres, difficile à atteindre. Notre héros, Gin’iro rêve plutôt de vengeance. Ce rêve résidé dans les ténèbres, dans l’ombre, l’obscurité. Et même si son cauchemar prenait fin, il n’arrêterait pas sa course et terminerait son but sur d’autres individus. Il effectue sa vengeance dans l’obscur, certes, mais il demande l’aide de la lumière, de Dieu, il est son serviteur, un envoyé. De nature assez gentille, il aime servir les autres et surtout Dieu, auquel il fait quelques prières chaque jour. C’est aussi un être cruel face à ses ennemis, il ne fait aucun quartier. Comment, dans un être aussi pur se trouve le mal en personne ? Quelle son les volontés qu’il l’anime, une profonde tristesse ? Une immense haine ?

Cependant, l’homme est plutôt du style antagoniste et philosophique. Il ne laisse jamais rien au hasard et déduis souvent de nombreuses situations, ce qui fait sa renommée parmi les ninjas de son groupe. Des fous, des mégalomanes, des égocentriques, des avares monstrueux ou fuyards peuplent le monde et il ne s’y place qu’une petite quantité qui sont sains d’esprit. Et puis qu’est ce qui est sain d’esprit ? Qu’est ce qui est bien ou mal ? Qu’est ce qui est juste ou faux ? Comme savons-nous si nous sommes bons ou mauvais ? Pourquoi agissons-nous dans un sens et pas dans l’autre ? Qu’est ce qui fait de nous un être humain ? Où se cache la vérité ? Tant de questions sans réponses. Nous n’avons jamais su ce que nous faisons, mais qui est ce qui nous guide ? Gin’iro répondrait suffisamment bien pour que l’on puisse le croire, cet homme ne se laisse pas abuser par des paroles abstraites et illusoires. Il ne croit ni en le destin, ni en l’avenir, il croit en présent, il faut vivre avec le temps et non pas avec ce qu’on croit. Se baser sur des suppositions fait de nous des êtres faibles sans aucune logique, et pour le jeune Kasumi, cette idée de faiblesse le détruit peu à peu chaque jour. Seul l’instinct pourrait nous indiquer le droit chemin, la liberté. Il nous fait découvrir qui nous sommes réellement sans pour autant nous mettre en danger.

A part le fait que Gin’iro ne pense pas comme tout le monde, son intelligence et sa logique le font se sentir supérieur à la norme imposée par l’assemblée ninja. En effet le jeune homme originaire de Kiri possède des facultés de réflexions extraordinaires qui lui permettent de s’imposer sur un champ de bataille, stratégiquement parlant biensur. Cet homme sait comment positionner les différents ninjas afin de créer des attaques imprévisibles pour les ninjas adverses. C’est avec cela qu’il a pu se construire peu à peu une réputation de grande ampleur et il doit remercier ce don à Dieu. Il sait aussi se faire entendre, avec un talent stratégique, il eut l’honneur de recevoir un don de pur orateur. En politique, l’homme se débrouille très bien et sait se faire entendre des autres. Mais pour développer ce talent il dû s’entrainer à des jeux intellectuels tels que les échecs, le go ou alors les dames. Il s’entraînait de plus en plus jusqu’à ce qu’il s’ennuie tellement il a joué et compris les plusieurs centaines de système de jeu. Puis il commença à se déplacer vers des endroits moins lucratifs mais plus intellectuel encore. La bibliothèque : Une bibliothèque (du grec ancien βιβλιοθήκη : biblio, "livre" ; thêkê, "place") est une collection organisée de livres. Il existe des bibliothèques privées (y compris de riches bibliothèques ouvertes au public) et des bibliothèques publiques, objet de cet article. La majorité des bibliothèques (municipales ou universitaires) autorisent le prêt de leurs documents, ou de certains d'entre eux ; d'autres (par exemple la Bibliothèque publique d'information) leur consultation sur place seulement. Elles peuvent alors être divisées en salles de lectures, ouvertes au public, et en magasins fermés pour le stockage de livres moins consultés. D'autres espaces, ouverts ou non au public, peuvent s'ajouter. Les bibliothèques apparaissent avec le besoin d'organiser la conservation et le travail des textes. Ces lieux dépendent des pouvoirs religieux et politiques, en proportion variable selon les civilisations. Gin’iro est un passionné de lecture, tous les jours, après un entraînement qu’il avait suivi à partir d’un livre, il repartait en lire un autre, et encore et toujours plus, jusqu’à ce qu’il finisse de lire tous les bouquins qui lui intéressaient.
On pourrait le qualifier de surhumain ou de génie, seulement il déteste que l’on le nomme de cette façon et la plupart du temps il fait semblant d’apprécier ces compliments souvent hypocrites et impolis. Mais pour l’instant il se contente juste de sourire et de leur faire plaisir tant qu’ils le peuvent encore. Même si mentir ne le mènera à rien et que Gin’iro ne puisse le justifier, le monde tourne ainsi et personne ne pourra le changer à moins qu’il ne devienne maître du monde. Mentir signifie aussi se souiller l’âme, se la noircir mais qu’est ce qui est mensonge ? Qu’est ce qui est vérité ? Comme le disait la mère de Gin’iro, un mensonge ne fait jamais de mal à personne. Mais cela fait du mal à notre héros quand il ment aux gens et il ne peut que se dénigrer de lui-même. Il n’aime pas faire ça mais ce n’est pas le moment de faire preuve de sentiment lorsqu’il est obligatoirement obligé à cacher la vérité. Ainsi il n’est pas totalement menteur mais il ne veut pas que l’on découvre qu’il fait des écarts à sa religion.
Dans les combats, il ne manque jamais l’occasion d’énerver son adversaire afin de savoir jusqu’où vont ses limites. C’est un cas à part qui ne laisse jamais rien au hasard et lorsqu’il est confronté face à l’adversité il préfère éviter de se battre et il ne veut pas faire du mal, blesser violemment voir même mortellement et tuer en rare cas. Il n’hésite jamais à faire une prière en direction de Dieu afin d’apaiser la colère des êtres morts au combats qui avaient une chance de survivre. Mais ces idées ne sont que superflues et n’atteignent pas le cœur des gens qui n’ont pas fait leur deuil. Et c’est pour cela que Gin’iro préfère garder dans l’ombre ses secrets les plus sanglants et ténébreux. Par chance personne n’a su connaître son histoire car tous ceux qu’ils l’ont connue ou vécu sont morts.

Description physique: (5lignes minimums)

Gin’iro n’est pas quelqu’un de très commun. Il évite de ressembler aux autres et il désire avoir sa propre perception des choses. Il aime bien se distinguer des autres de part son propre style et d’une authentique démarche qui lui aille merveilleusement bien. Se démarquer des gens, c’est avoir son unique et spécifique atout que l’on regardera au lieu d’une personne banale et simple qui suit la meute et n’adhère pas à un style distinctif des autres. En revanche, demeurer différent est un avantage qui approprié à une vie rondement menée. C’est un mode de vie un peu particulier qui ne suit aucune exigence et qui se situe hors de l’espace temps. Mais il y aura toujours des gens pour suivre et des gens pour mener tandis que Gin’iro se situera hors de ce contexte stupide et illusoire.

Le jeune Kasumi n’est doté d’aucune caractéristique apparente qui serait différente que celle de tel ou tel ninja. Il vit le monde tel qu’il est du haut de ses 1 mètre 82 et est souvent comparé à un homme de grande taille mais banale aux premiers abords. Seulement il est encore jeune et n’a pas la carrure d’un joueur de rugby qui passe ses journées à s’entraîner mais il défend ses idées physiques et pense qu’il ne doit pas s’entraîner pour ne pas laisser de séquelles trop visibles sur son corps ce qui affecterait sa beauté. Aussi sa masse musculaire n’est pas très importante ni impressionnante mais c’est suffisant pour un ninja de cette envergure. Il ne se situe que sur une masse de 72 kilogrammes, mais c’est largement suffisant pour qu’il puisse suivre des missions à un rythme élevé. Néanmoins ses muscles sont assez épais et ses jambes fines mais raisonnablement entraînées afin d’effectuer des combats harassants. Aussi l’on peut apercevoir quelques résultats de ses entraînements : des abdominaux et des grosses veines visibles autour de ses bras.

D’après ce que l’on puisse voir, Gin’iro est assez décontracté et cependant il n’est pas très aimé selon sa façon de vivre et de se situer sur un plan. Il semble laisser ses mains tomber dans ses poches à chaque ballade car il n’aime pas qu’elles se balancent à l’air libre et cela le rend nerveux. Néanmoins il observe tout le temps les environs et les paysages dans lesquels il vit. Parfois il se rend dans les ruines de son village et il fait un rite particulier afin de se concentrer et de s’apaiser en appelant à lui les anciens esprits de son clan, comme son arrière arrière grand-père. Puis il part s’entraîner dans des contrées lointaines afin de se perfectionner toujours et encore plus. C’est un de ses fameux caractères qu’il ne changera pas, chaque heure, chaque minute, chaque secondes, il deviendra de plus en plus fort jusqu’à son paroxysme où il deviendra le maître du monde. On pourrait le considérer comme un fou de l’entraînement et comme un adorateur de la mort et des combats. Il peut passer pour un fou furieux mais il pense que les avis des autres n’est que trop subjectifs pour lui ainsi que pour ses camarades. Après des avis plutôt objectif et descriptif, Gin’iro est du genre assez simpliste mais ne fait pas dans la demi-mesure.

Parlons du physique en lui-même à présent. Quelques mèches rebelles s’éparpillent sur sa coupe mi-longue, pour les filles, et longues, pour les garçons. On peut même distinguer que ces mèches semble plus foncé que sa couleur argentée que d’habitude. Ces mêmes cheveux sont lisses et soyeux et ne s’arrêtent pas que sur le front du jeune homme, ils traversent même ses yeux. Cette coiffure, bien que naturelle, reste permanente et ce jusqu’à qu’il ne meurt de vieillesse ou dans d’atroce souffrance. Evidemment cette coiffure en est tout autre quand l’homme entre dans une surface liquide et froide. Mais l’esthétique ne reflète que les attitudes d’une personne. Une qui est bien lavée, coiffée et habillée se verra toujours mieux vue qu’une sale, les cheveux en pétards et juste un pagne pour cacher les parties génitales. Mais en aucun cas cela démontre le caractère du protagoniste.

Maintenant, passons aux visages en lui-même. Gin’iro a des yeux rouges qu’il ne montre pas pour éviter que l’on ne le dénigre une fois encore. Ces yeux ne sont pas très appréciés de nous, personnes qui ne voient que par le physique et qui ne reçoivent pas les ondes positives émises par la bonté d’âme. Ses globes oculaires paraissent, pour les gens de l’époque, yeux de Satan, 666, la Bête. Quelle naïveté de la part de ces gens, mais cela arrive tout de même à percer la cuirasse d’acier du prétendu Kasumi sans faille. L’homme que l’on surnomme « L’intouchable » est finalement blessé par des propos racistes. En ce qui concerne la bouche, le nez etcétéra, ils ne sont pas différents de ceux des semblables du jeune ninja. Aussi, bien qu’il ne se couvre jamais trop, l’on peu remarqué un teint mâte et légèrement éclairci.

Gin’iro porte un grand manteau beige avec de longues manches, dont il n’en insère pas ses bras, et un long pantalon genre baggy de couleur beige avec des rayures rouges et vertes accompagnant le haut. Il s’accompagne toujours d’une bouteille d’alcool, de saké précisément et de ses fidèles armes, Seifu et Tokuhain, ce qui signifie littéralement « protégé» et « envoyé ». Un tatouage, faisant honneur à son clan, est gravé sur son bras droit. Ce long tatouage où, aux deux bouts, des demis cercles sont montrés, comme des hameçons pour la pèche. Le premier crochet représente les débuts du clan, la longue ligne, qui représentent sa puissante stabilité, aboutie sur un autre crochet qui marque la fin du clan. Entre temps, quelques épines viennent troubler la ligne en la déformant ou en la courbant. C'était des incidents majeurs, surtout une large courbe montrant la fin du règne de Gin’iro le Grand, le fondateur du clan, son décès triste, sa mort digne. Sur le corps parfaitement sculpté du jeune Kasumi, rien ne détruit les vagues douces et belles de sa jeunesse. Aucune cicatrice à l'horizon, ce qui était surprenant.

Code du réglement : Bakapower

Village désiré: Kiri
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Gin'iro Kasumi
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Gin'iro Kasumi


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MessageSujet: Re: L'envoyé de Dieu   L'envoyé de Dieu I_icon_minitimeSam 3 Avr - 11:44

Histoire


Gin’iro naquit à Kiri. C’était ce jour où tout le monde parlait comme à leur habitude, les femmes bavardaient, les enfants jouaient et les hommes travaillaient dans différents secteurs. L’hôpital, récemment rénové, venait de faire naître un nouveau Kirijin et personne ne savait ce qui allait advenir de lui. Dans la salle d’attente, un homme restait là en train de se ronger les ongles. Il avait fier allure, il était grand et mince mais possédait tout un attirail d’or et de pierres précieuses. Il leva la tête lorsqu’il entendit un cri, un hurlement de femme pour enfin écouter les pleurs d’un bébé. L’homme venait d’être papa et il rigola puis serra dans ses bras le monde autour de lui. Il criait de joie et tout le monde, bien que surpris, souriait pour cet homme qui venait de connaître sa raison de vivre et d’être sur ce terre. Après deux heures trente d’efforts inhumains et continus, la femme venait de sortir de son sexe un petit homme charnu et magnifiquement craquant.

Après deux journées entières de repos et un bon nombre de cadeaux inattendus pour le petit homme, les parents du bébé rentrèrent dans leur villa aux abords du village de la brume. Ce petit bourg ne portait pas de nom mais il était réservé à un seul clan, les Kasumi. Cette demeure appartenait à leur famille depuis des générations et en tant que fils du chef du village et après avoir eu leur premier enfant, ils purent séjourner là-bas. Un seul problème se posait, il n’avait pas donné de nom à leur enfant. Il fallait en choisir un et après de multiples propositions bancales et hasardeuses, la mère du petit, après avoir déballé un cadeau, qui était un portrait de la Trinité, elle put lui choisir un nom. Mais ce n’était que gravement plus tard qu’elle découvrit qu’il n’allait pas au bébé alors elle l’observa un moment et une somptueuse idée qui allait bien avec son visage et le nom de son clan : « Gin’iro » signifiant « argenté ». En effet le jeune garçon, qui n’avait pas encore ouvert les yeux, semblait se laisser pousser une touffe de cheveux argenté-grise.

Le soleil se levait plutôt rapidement, d’après un vieux proverbe shinobi : « vite levé, vite couché » et il n’avait pas forcément tort. Aujourd’hui le soleil se levait de derrière les collines, les arbres se réveillaient doucement, faisant tomber leurs pommes de pain, leurs glands, leurs noix, leurs noisettes. Les rivières et les fleuves continuaient leur travail quotidien aux yeux de tous. Les animaux de la forêt s’éveillaient, les chouettes revenaient de la chasse pour nourrir leurs petits. Les écureuils partaient à la découverte des bois et des glands et les cerfs dormaient encore sous leurs abris.

Gin’iro, lui, se levait en même temps que le soleil et se couchait en même temps que ce dernier. C’était un enfant très souriant, fier de sa famille, ses amis et de son village. D’ailleurs ce village fut construit par l’un des plus anciens clans du village de Kiri, Gin’iro en fait partie, le clan Kasumi. Pour diverses raisons politiques, commerciales et militaires, ce clan entra en froid avec le village. Sans doute le fait que sur tous les plans, productifs et militaires, les Kasumi étaient les meilleurs. Tous les membres du clan avaient un taux de chakra approchant celui des Bijuus. Ils portaient tous différentes armes, avec de différents effets. C’est ce qui était aussi difficile à définir, la puissance et la force de ces membres.

Aujourd’hui était un jour spécial pour Gin’iro. C’était le jour de ses 10 ans, le jour où il recevrait ses armes. Les armes de son clan, c’était le temps qu’il attendait. Le jour où il deviendrait un homme au sein du village. Dès lors qu’on l’appela pour le petit déjeuner, il se leva, mit ses chaussures en fer, s’habilla de son habituelle veste sans manche noire. Et il descendit les marches à grande vitesse. Arrivé dans la salle à manger, il vit son grand-père, son père, sa mère et sa sœur. Tous lui souhaitèrent un joyeux anniversaire. En effet elle serait joyeuse cette fête. A table il vit un festin de roi. Il y avait de tout, du jus d’orange, de pomme, de fraise, du multi-jus, de framboise, d’ananas, de raisin, de poire. Il se trouvait aussi des confitures de coings, de noix, de noisettes, de marrons, de fraise, de framboise, aux mûres et de la pâte à tartiner, du café, des grains de chocolat, des tartines avec du beurre. Jamais il n’avait vu autant de bonnes choses sur sa table à manger. Il était heureux et fier, heureux d’être accompagné de sa famille dans ces moments forts et fier d’être né dans ce clan. Il les regardait tous et tous le regardaient. Dans leurs mains se trouvaient des présents.

Alors, sa jeune sœur, s’avança et lui présenta une jolie petite boîte en bois, où des dessins sont sculptés, représentant deux personnes se tenant la main. Gin’iro ouvrit le coffret et vit deux jolies boucles d’oreille en fer, qui représentaient la croie de Dieu. Il est vrai que la sienne, en bois et attaché par un collier de perle, se faisait vieille. Directement, il mit son collier à l’intérieur de la boite, puis attacha sa boucle d’oreille. Reculant, sa sœur souriait fièrement que son cadeau ai plu à son frère adoré.

Ensuite c’était à son père qui alla chercher son cadeau dans la cuisine. Puis il revint avec un lourd objet, de taille ovale et de couleur blanc. Un œuf ! Gin’iro se précipita vers son père, le questionnant avec envie, lui demandant quand est-ce qu’il allait éclore. Son père lui répondit qu’il était né en même temps que lui et qu’il avait le même âge. 10 ans pour éclore, c’est long mais c’est ainsi. Alors à 15h32, cet œuf éclora, en effet Gin’iro était né à 15h32. Puis son père posa l’œuf sur un coussin.

En dernier ce fut au tour de son grand-père. Alors il lui demanda de passer dans une salle au sous-sol. On entendait des incantations, sûrement une crypte pour des évènements importants. Elle était assez grande, beaucoup de toiles sur les murs et l’on percevait le son de quelques animaux inconnus. Puis Gin’iro se retrouva seul avec son grand-père, éclairés par quelques torches accrochées au mur. Alors son grand-père alla cherche un coffre en or submergé de pierres précieuses. Il lui présenta ce coffre, il lui demanda de l’ouvrir et de poser le contenu sur la table. Gin’iro effectua cette tâche et découvrit une épée avec des teintes de couleurs différentes. Puis le grand-père lui expliqua :

- Gin’iro, étant donné qu’en ce jour heureux, celui de tes dix ans, la tradition du clan veut que l’on te confie des accessoires de combat. Il y a dix ans de cela, tu es né et l’on t’a donné le nom du fondateur de notre clan, Gin’iro Kasumi. Il y a une autre tradition, c’est que toutes les cinq générations, lors du jour des dix ans de l’un des enfants du village, un garçon reçoit les armes du fondateur et chef de clan. Aujourd’hui, c’est à toi de les recevoir, ses armes et c’est un immense honneur pour moi de te remettre cet objet.

Après quelques incantations et offrandes, le vieil homme prit le coussin, où était posée l'épée, et les soumit à Gin’iro. Puis il dit :

- Gin’iro, fils de Ryoushi Kasumi et de Okaasan’ Kasumi, je te remets cette épée, signe de sagesse et de puissance. Puissent-ils faire de toi un fier combattant du clan Kasumi !

Alors il prit l'arme d'argent dans ses mains et commença à marmonner dans sa barbe des paroles incompréhensibles et il donna l'épée à Gin’iro.

Après avoir placé cette épée le long de son bassin, une légère lueur divine entoura cet objet d’argent et cette lumière s’estompa. La cérémonie était terminée, Gin’iro était devenu un homme au service de Dieu Tout-Puissant.

Le jeune Kasumi observait avec attention son épée, lorsque sa sœur vint le chercher pour assister à l’éclosion de l’œuf. Il monta rapidement les escaliers pour arriver sur place car il ne voulait pas manquer ce spectacle.

On voyait la coque se craqueler, tout le monde retenait son souffle, puis ensuite, toute la coque de l’œuf fut rejetée d’un coup, laissant place à une boule de poil. Il portait des ailes et déjà un plumage grisâtre voir bleuâtre par endroit. Un bec surplombait son visage et des yeux noirs le suivait. Etonné par cette description, il demanda à son père s’il ce bébé était bien ce qu’il était. Oui c’était bien un aigle.

Sur le coup se fut un choc puis Gin’iro alla embrasser son père et le remercia de tout son cœur. Tout de suite après, Gin’iro lui donna un nom, Ryu, pas très difficile à trouver étant donné sa race. Son père, ensuite, lui expliqua que Juujika pouvait héberger son animal à l’intérieur de son bracelet noir. Alors il tenta de suite l’expérience, désigna son animal avec son bracelet et le dragon disparu dans un brasier noir. Gin’iro était fier de sa réussite et de sa journée. Plus tard, il alla s’entrainer dans la forêt avec son Ryu.

Aujourd’hui, comme tous les autres jours dans le Yuukan, le soleil se levait timidement et lentement, ne voulant pas montrer sa face si gentille et brillante car cela parait gênant. Toutes les personnes attendant son levé, regardent le ciel sans savoir pourquoi. Le soleil et un élément pure et d’une beauté incomparable. Il n’est ni trop gros pour lui ni trop petit pour nous. Il nous inspire la foi, l’espoir et les croyances ainsi qu’une légère pointe d’amour. Il nous réveille, nous rendort, nous borde le soir tranquillement sans nous raconter d’histoire mais seulement il nous inspire confiance dans le futur berceau nocturne et sûr. Ainsi nous pouvons vivre avec le cœur et le savoir d’un esprit supérieur et plus puissant du notre, d’une force et d’un mental plus dur que le notre et d’une lumière et d’une vérité plus pure que la notre. Alors si personne ne croit en l’avenir, il faut croire en la lumière que nous inspire Dieu. C’était en cela que croyait Gin’iro, il croyait en la lumière divine.

Jeune garçon de dix printemps et une semaine, le jeune Kasumi est heureux de vivre avec sa famille sous la protection de Dieu et de son univers si charnel. Ce petit homme veut que la lumière divine imprègne tous les cœurs et esprits vivants sur cette belle planète mais tout le monde n’est pas d’accord. Chacun croit en ce qu’il veut croire et pour notre jeune héros, cela lui parait assez paradoxal, même surprenant et immanquablement impressionnant. Par la seule force de la volonté, l’on arrive à se défaire d’une religion, de coutumes, de croyances pour vivre selon ses envies et ses choix. Bien que Gin’iro n’arriverait pas à se détacher de Dieu, en tant que fidèle, il se doit de respecter les envies des autres, même s’il ne comprend pas encore pourquoi et il espère qu’il pourrait enfin en connaître les raisons plus tard. D’autres personnes peuvent croire en d’autre religion, mais le jeune apprenti shinobi ne sait pas si cela est possible, une auto proclamation est en effet une tâche sur le nom de Dieu, d’après lui. Des dieux, il en existe peut-être mais un Dieu est unique, il aide les gens, les soutient bien que sous forme de petites choses utiles ou humaines. De la chance ? La chance pour Gin’iro n’existe pas, Dieu s’introduit dans chaque vie comme un rat qui entre dans une maison. On ne le saura jamais, jusqu’à ce que l’on découvre cela et l’on ira encore plus mal.

Aujourd’hui donc, sous un soleil éclatant, dans une vaste prairie colorée et magnifique, notre jeune héros s’entrainait à on ne sait quoi. Il sortait son épée, la libérait, puis la remettait à son état normal et ainsi de suite. Sûrement une méthode d’entrainement pour augmenter la vitesse d’exécution de ces gestes et mouvements. Pourquoi le faisait-il aujourd’hui ? Pourquoi le faisait-il depuis toute une semaine ? Il n’entrera à l’académie que dans quelques mois et il ne serait même pas sûr qu’il puisse suivre tout les cours à cause des rites et traditions de son clan. Le centenaire du village approchait et tout le monde s’occupait des préparatifs, même toute la famille de Gin’iro. C’était la fête où Gin’iro Kasumi le Grand créa le clan et s’installa hors de Kiri suite à une dispute avec les autres fondateurs. Les Kasumi ne commémorent pas cette dispute, mais la volonté de ne pas abandonner de leur fondateur qui survit dans le nom de chaque être dans ce village et surtout dans notre jeune Kasumi qui porte son prénom :Gin’iro.

Soudain, la cloche de l’église retentit dans tout le village, même jusqu’aux oreilles du jeune Kasumi. C’était l’heure de la messe, le moment que Gin’iro préférait dans la semaine, le dimanche matin, à 11heures. Mais il était en retard, ses parents ne l’avaient sûrement pas attendu alors il termina son mouvement, rengaina son épée et se précipita hors de la plaine. Il courait pour arriver à temps au saint sacrement. Un bois séparait cette prairie du village, une forêt qui, si l’on ne prend pas le chemin, se ressemble à beaucoup d’endroits mais cela ne faisait pas peur à Juujika. Il courait encore et encore comme s’il faisait le marathon et même si sa rapidité n’était pas extrême, elle valait celle d’un garçon normal pour son âge. Pendant sa course, il voyait des animaux de la forêt, de la larve des pluies au cerf des bois. Cette place était très variée en animaux, mais aucun n’était dangereux à l’homme. Sinon, les Kasumi ne se seraient pas installé ici. En tout cas, maintenant, Gin’iro voyait de la lumière, la sortie du bois ? En effet, il avait raison, c’était bien cette fameuse sortie. Alors il arriva dans un espace de lumière et de bonté mais aussi vide que le néant qui sépare les deux oreilles d’un troll. Les maisons fabriquées en pierre étaient vides, les étalages de marchandises, établies sur des table en bois étaient désertes aussi. Tout le monde était parti à l’église, tout le monde sauf Gin’iro. Lui qui était toujours en avance pour se confesser au prêtre avant les autres, même si ce n’était que pour des broutilles. Aussi il aidait le vieil homme de Dieu à préparer les festivités avant le sacrement. Mais aujourd’hui, il avait tout fichu en l’air et il devrait se faire pardonner en retard, après tout les autres Kasumi. Après ses camarades de la maternelle, après ses cousins, après sa sœur, il la décevrait tellement d’être arrivé en retard.

Il voyait le cloché, puis les murs et enfin la porte. Mais il commençait à sentir quelque chose de bizard, qui ressemblait à du chakra. C'était la première fois qu'il ressentait ça, comment se fait-il qu'il puisse sentir le chacra ? Il apercevait la serrure et il courut plus vite alors, encore et toujours plus vite jusqu’au moment où il s’arrêta devant la porte et sans aucun bruit il entra dans l’église. Il tenait son épée à sa garde et il marchait doucement, lentement, estinto puis il ouvrit la deuxième porte ou il s’arrêta net. Les yeux et la bouche grands ouverts, le regard troublé, le souffle court et le sabre à terre, Gin’iro regardait un homme dans la salle. Une personne étrange restait au milieu de la salle souriant. Il était assez bizarre et portait des piercings sur son visage et sur ses oreilles. Aussi il tenait une étrange arme dans sa main, une espèce de pic noir où du sang coulait. Son manteau était noir où des nuages rouges étaient posés dessus et ses cheveux semblaient en pic et roux. Alors cet homme souriait profondément et lécha une goute de sang sur son visage ainsi Gin’iro eut le réflexe de regarder autour de lui et il voyait des marres de sang, des mains et jambes tordus ou trouées. C’était un horrible spectacle et le jeune Kasumi ne voulait pas mourir mais il ne pouvait pas bouger, il était terrifié ! Tout son clan était disposé devant ses yeux, ses parents, sa famille, ses amis ! Et surtout, un détail le surprit et l’horrifia soudain, le prêtre était crucifié. Cet homme avait insulté son clan et sa religion et surtout, il était immensément fort. Gin’iro regardait cet homme avec haine et supplice ! Puis tout d’un coup, sa sœur sortit d’un coin elle était vivante, alors il ferait tout pour la protéger et il se déplaça vers elle. Les deux êtres se tendirent la main lorsque la jeune fille recula contre son gré. Elle fut projetée vers le criminel qui avait tendu la main lui aussi. Alors un flot de sang recouvrit le visage du mystérieux inconnu et le corps livide de Lily, la jeune sœur de Gin’iro, se tenait sur l’arme du monstre, par le cœur. Une rage emplit le jeune garçon mais il fut tout de suite calmé suite à une effroyable rencontre. Il allait s’enfuir lorsque son cœur fut bloqué par plusieurs pulsions meurtrières. Alors il regarda derrière lui et vit 5 autres personnes sorties de l’ombre. Tous portaient des piercings, des manteaux noirs à nuages rouges et tous étaient roux mais une coupe de cheveux différentes et des proportions corporelles différentes aussi. Gin’iro semblait triste, tellement triste mais une colère l’animait. Fuir ! Il devait fuir ! Il commença alors à partir et les autres le regardèrent et ricanèrent.

Il courait aussi vite qu’il pouvait et la peur lui donnait une pression supplémentaire. Il pensait à tous les moments qu’il vécut en famille. Il pensait à son anniversaire, à ses parents, à son grand-père et à sa sœur qui mourut devant ses yeux alors il ne pouvait pas laisser ces crimes impunis ! Mais il courait encore dans la direction opposée lorsqu’un de ces corps arriva devant Gin’iro sans qu’il ne s’en aperçoive. Alors, rapidement, le jeune Kasumi dégaina son épée, la libéra et tenta de frapper l’homme qui bloqua l’arme d’un seul doigt. Puis celui qui semblait être le chef arriva par derrière et prit son arme bizarre pour la mettre sous la gorge de Gin’iro. Il ricanait encore alors Gin’iro utilisa une technique qu’il venait de découvrir. Son chakra fut aspiré par son épée et une sorte de croissant alla couper le corps qui tenait son sabre mais il eut le temps d’esquiver et de laisser libre place au Kasumi de se libérer de l’entrave du chef de l’équipe. Alors il recula et le roux fit signe à ses camarades de ne pas intervenir.

Gin’iro s’élança alors vers son adversaire qui esquivait sans mal toutes ses attaques et qui ne répliquait pas mais dès lors que le jeune Kasumi ressortit sa nouvelle attaque, le roux sourit, esquiva, prit Gin’iro par la tête et le frappa dans le ventre si violement qu’il était tombé dans les pommes. Puis il lui parla :

- Tu vas connaître la souffrance. Tu seras seul à jamais.

Puis il s’éleva dans les airs, tandis que les autres se retirèrent hors du village. Gin’iro ne savait pas quoi faire, il ne pouvait pas se relever, il ne pouvait rien faire. Il regarda le corps monter au ciel puis il tendit ses mains vers le village et on vit ses lèvres bouger. Puis un immense choque s’abattit sur le village et Gin’iro mit en opposition ses mains sur ses oreilles lorsqu’un triangle jaune orangé sortir de sa boucle d’oreille droite et cela le protégea juste à temps de l’attaque.

Quand il revint à ses esprits, il n’y avait plus rien autour de lui, plus sa maison, plus sa famille. Alors il appela son aigle, Ryu, qui apparu aussitôt et il le sera fort contre lui tout en pleurant. Il désinvoqua son animal puis il cria, hurla, il se tordait dans tous les sens, jusqu’à l’évanouissement. Quelques jours plus tard il se réveilla à l’hôpital de Kiri. Entre temps, il relâcha son aigle, n'ayant rien à faire avec un pauvre jeune homme comme lui. Après sa rééducation, il put quitter l’hôpital et il décida de suivre des cours pour devenir ninja et se venger du destructeur de son clan.

Après quelques années d’errance, il décida de se projeter vers un destin plus prestigieux, il décida de devenir Mizukage. Un avenir radieux qui lui permettrait d’obtenir ce qu’il désire le plus au monde et ainsi il pourrait accomplir son destin meurtrier. Mais un peu après il décida de rester à Kiri pour pouvoir réussir. Mais ce camp est celui des nukenins. Cette vie lui plairait, alors il partit en route pour trouver son El Dorado et c'est ce qu'il trouva. Plus tard il entendit parler d’Akatsuki un groupe de nukenins. Alors il décida de se joindre à eux en les retrouvant.

Le vent soufflait fort dans cette contrée. Cela faisait à présent vingt jours que Gin’iro marchait dans le pays de la roche, dans les ruines du pays que l’on appelait Iwa. Il se rappelait nettement de l’entretien qu’il avait eu avec un ancien d’Iwa. Un dur entretien après trois ans d’errance dans les terres du Yuukan. Cet entretien, Gin’iro en rêvait depuis la destruction de son village, il y a trois longues années. Eh oui, « Pein Attack », le titre rêvé pour un film en haute définition. Il y pensait, comme tous les jours.

Flashback


Le soleil tapait sur la tête de Gin’iro, sur ses cheveux courts et argentés. Aujourd’hui il était en quête de traverser le monde à la recherche des nukenins les plus recherchés du monde; les ninjas d’Akatsuki.
Gin’iro venait d’arriver dans ce pays après être resté près de six mois dans la même ville, Tanzaku. Il avait rencontré plusieurs personnes mais sans liens vraiment forts. C’étaient tout de même des contacts à qui il pourrait demander des informations sur l’intérieur. Par exemple les marchés d’armes entre fraudeurs. Mais ce n’était pas assez important pour ce petit homme, ce n’étaient que des broutilles. En fait, Gin’iro désirait plus en apprendre sur Akatsuki et Pein pour qu’il puisse l’écraser de ses propres mains. Rêve utopique, descente en enfer, le jeune Kasumi ne le sait pas mais il ne mourra pas avant de pouvoir construire et réaliser sa vengeance.
Gin’iro attendait alors son rendez-vous dans un vaste café du village de Tanzaku. Dans quelques minutes, il verrait une personne du nom d’Anikis. Un vieux forgeron qui, au fil des années, aurait appris à forger de puissantes lames de chakra et ce qu’il voulait c’était en forger. Aujourd’hui, Gin’iro n’avait plus son épée étant donné qu’en échange des renseignements, il devait donner son épée pour qu’il la reforge et plus puissante. Il avait tout à gagner mais aussi à perdre. Il perdrait l’épée originale de son ancêtre, il en apprendrait plus sur Pein et pourquoi il a perdu toute sa famille. Mais il en rencontrerait une autre, bientôt.
Cela faisait deux heures qu’il attendait son forgeron, deux longues heures à boire son même café depuis le début. A quoi pensait-il en venant ici ? Cet homme était-il un escroc ? Non, c’était impossible. D’après la rumeur, il aurait fabriqué tous les katanas des samouraïs du pays du Fer. Impensable, un génie, une légende. S’il avait vraiment fait cela, il aurait reforgé la vieille lame : « Hikuroi ». La lame embrasée, le katana brûlé. La légende dirait que ce katana fut touché par Satan en personne après être volé de Dieu. Ainsi une terrible puissance divine et démoniaque fut gravée dans cette lame et seul une personne pouvant utiliser ses deux phases, connaîtrait les véritables secrets de cette arme.
Vint alors le temps où, le vieil homme arriva, sur un long bâton, tenant une longue épée à la main. C’était un homme avec une barbe hirsute et grise. Il était assez costaud et il semblait qu’il faisait de la musculation tous les jours. Doucement il s’avançait vers Gin’iro et lui tendit son katana. Ne disant rien, prenant fièrement la lame qui était devenue plus longue et courbée, d’un signe de tête, il remercia le vieil homme et ce dernier répondit par un sourire. Alors Anikis s’assit et commença la discutions en se présentant :

- Bonjour jeune homme, nous nous sommes déjà rencontrés par l’intermédiaire de ma fille* L’image d’une magnifique fille apparut alors à l’esprit de Gin’iro* je me nomme, Anikis le Forgeron de l’île de Brebis ! Hahahaha ! Bon passons, ta lame a été vraiment très dure à remanier, un métal presque parfait que j’ai réussi à consolider grâce au mien. Je lui ai donné du style, mais rien qu’en la voyant, un sentiment de terreur traverse mon corps. Cela ne doit pas être facile de rester avec elle tout les jours. Je te remercie de m’avoir fait éprouver ce plaisir-là. Pour les informations, je dois te dire que Pein n’habite nulle part, il se déplace tout le temps. Tu as tes chances de le tuer toi aussi, mais on dit qu’il est devenu plus fort par la mort. Pour le groupe d’Akatsuki, des contacts fidèles les auraient vus il y a une semaine dans le pays d’Iwa, ils étaient deux et aujourd’hui ils doivent encore se trouver là-bas pour se ravitailler et se reposer. Ils portent des tenues noires à nuages rouges. C’est tout ce que je sais, maintenant j’y vais. A bientôt cher ami !

Avant qu’il put le remercier, Anikis était déjà partit. Bien dommage pour Gin’iro qui passa en vitesse dans son appartement et récupéra ses affaires pour partir en quête du groupe Akatsuki!

Fin du Flashback


Gin’iro avançait toujours dans le but de trouver le fameux chef d’Akatsuki. Que dire lorsqu’il le rencontrera ? Quel attitude à avoir ? Être respectueux et poli comme d’habitude ? Où parler comme s’il était supérieur à lui ? Ce n’était que des attitudes habituelles mais si difficile à avoir dans des situations périlleuses comme celle-ci. Mais il devrait quand même lui parler c’était très difficile pour lui. Très difficile est un mot que l’on utilise car nous ne sommes pas assez forts, ou alors car nous avons des difficultés à résoudre une énigme comme le pense les gens. Juujika pensait que c’était très difficile lorsqu’il ne paraissait pas assez sûr de lui ou alors qu’il était gêné de la situation à laquelle il affrontait. C’était encore un adolescent après tout.

Il commençait à s’épuiser dans ce paysage en ruine. Cela commençait à l’embêter de le regarder tout les jours. Et chaque jour, il continuait à penser à sa famille, chaque jour il devenait de plus en plus faible mentalement, chaque jour il commençait à devenir fou et fatiguer. Jusqu’à ce qu’un jour il s’écroula par terre, d’épuisement.
A son réveil, il se trouvait dans une pièce humide et sombre faite de roches et de minerais cristallisés. Il regardait les murs, les touchait et il sentait du chakra. C’était fait par d’anciens ninjas d’Iwa, comment est-ce possible ? Alors il se levait et il eut froid alors il remarqua qu’il ne portait que son caleçon. Il se gratta l’arrière de la tête et il commença à s’habiller tranquillement. Puis il sortit de la pièce et vit un long corridor qui le menait vers une large salle ou plusieurs luminaires brillaient. L’homme se tourna vers Gin’iro, il semblait mystérieux et assez sévère. Il fumait une cigarette et une partie de son visage était recouverte d’un masque blanc. Ses cheveux étaient d’une teinte rouge tournant vers le bordeaux et ils étaient assez ébouriffés sur les bouts. Cet homme portait un grand chapeau noir où deux lignes dorées faisaient le tour de ce chapeau. Un grand manteau noir et or recouvrait son corps assez chétif et une rosace des vents et dorée était représentée juste au dessus de son cœur, au niveau du poumon gauche. Gin’iro était émerveillé en voyant l’homme. Comment une telle classe pouvait être représentée en une seule personne ? Les yeux rougeâtres du jeune Kasumi étaient grands ouverts à la vue splendide de cet homme. Puis il se leva, il sourit à Gin’iro et il lui dit calmement pour lui évoquer la situation :

Bien jeune homme, je vois qu’après une semaine de dur sommeil, tu t’es enfin réveillé. Je me nomme Mitsuko Ozuri et je suis le chef d’un petit groupe de vagabonds. Alors que je faisais une promenade matinale, je t’ai trouvé dans les ruines, suffocant, à terre. Alors je t’ai ramassé et t’ai amené ici. J’ai observé ton katana, très difficile à manier et surtout très long pour ta taille, comment fais-tu pour le transporter ? Et qui es-tu ? D’où viens-tu ? Que fais-tu ici ?

Gin’iro fut surpris par ce qu’il venait d’entendre. L’homme qu’il cherchait était venu à lui. Alors il leva la tête et fit une prière pour Dieu. Puis il répondit à l’homme qui l’avait gracieusement protégé de la mort :

- Je me nomme Gin’iro Kasumi du clan Kasumi. Je viens d’un petit village aux environs de Kiri et je suis ici pour trouver un groupe, autre que le votre. Après le massacre de mon clan, je ne puis rester seul, cela me torture et j’aimerais trouver une autre famille, je ne sais pas quoi faire. Pour mon katana, il ne réagit qu’à mon chakra et je peux le raccourcir et le ranger dans son fourreau à l’aide mon chakra.

- Hum … Je vois. Raconte-moi ton histoire et je verrais si je peux te garder.

Alors Gin’iro obéit et raconta l’histoire de son clan. Lorsqu’il eut terminé, Mitzuko fut déconcerté par son histoire. Pauvre garçon que voici. Un garçon à si bas âge ayant déjà vécut toutes les horreurs de notre monde : horreur, souffrance, solitude. Mitsuko s’inquiéta pour le jeune enfant. Avait-il tourné vers le côté obscur de notre monde qui a subit un grand changement il y a peu ?

- Très bien, Gin’iro Kasumi, tu peux nous accompagner, mais il va falloir nous montrer ta valeur bientôt. Nous partons demain à l’aube et je vais te donner de nouveaux vêtements, ceux-là doivent être sales. Maintenant, tu peux disposer.

Gin’iro était heureux à entendre cette nouvelle, il avait une nouvelle famille et les vêtements qu’il portait étaient tout simplement fabuleux ! Il devait aller se reposer à présent, il se courba le dos, signe de respect et partit en direction de sa chambre où tous ses vêtements et des armures l’attendaient. Il s’allongea su son lit bien douillet et une bonne nuit l’attendait.
A l’aube, Mitzuko en personne vint le réveiller pour lui dire de se préparer à partir. En vitesse il s’habillait, mettait ses nouvelles armures et rangeait son arme dans sons fourreau après s’être extrêmement concentré pour pouvoir raccourcir la lame. Arrivé dans la salle à manger un petit-déjeuner l’attendait et Gin’iro le prit en vitesse pour sortir au plus vite.
Lorsqu’il sortit il fut impressionné par la grande étendue de ruines. Des pierres partout, mais c’était aménagé. Un camp d’entraînement, un dortoir, une cantine, des bains chauds et mixtes. Gin’iro retrouvait peu à peu son village à travers ces ruines.
Mitzuko se tenait sur une pierre, attendant Gin’iro, regardant l’horizon. Lorsque le jeune Kasumi arriva, Mitzuko lui fit signe de le suivre. Ils allaient partir pour une randonnée matinale on dirait, accompagné de trois autres ninjas. Seulement quelque chose clochait chez ces gardes, ils semblaient désorientés et mouvementés. Leur chakra semblait froid et distant, une envie de meurtre montait en eux et ils ne pouvaient plus se retenir.
Arrivés sur une étendue de pierre où personne ne pouvait les détecter, les trois ninjas qui accompagnaient Gin’iro et Mitsuko passèrent devant eux et sortir tous des kunaïs. Alors le Kasumi regarda le chef qui le regarda à son tour. Cela se voyait dans les yeux de Gin’iro, il avait peur et il implorait ce dernier à les sauver. Lorsque Mitsuko dit :

- Je te les laisse, montre-moi ce que tu sais faire, Gin’iro Kasumi. N’aies pas peur !

Il n’en croyait pas ses oreilles, Mitsuko laissait combattre un enfant contre ses propres gardes du corps. Il ne pouvait reculer, mais il ne voulait pas avancer non plus ! Jusqu’à ce que l’un des ninjas s’attaqua à lui avec ses kunaïs. Alors le Kasumi dégaina son épée, encore sous la forme rétractée et il repoussa son ennemi. Puis il concentra son chakra dans sa lame et elle commença à s’agrandir. Peu à peu, au bout, la lame se courbait et soudain, une vague de chakra émana du katana. Il était très grand, beaucoup plus grand que son utilisateur. Alors c’était à son tour d’attaquer. Il posa le bout de sa lame à terre et tenant bien fermement sa garde dans sa main, il s’élança vers ses adversaires. Il retrancha sa lame vers lui et une nuée de sable toucha les yeux des adversaires, qui étaient aveugles pour un moment. Juujika en profita pour se projeter vers eux et les trancher, mais leur instinct les fit reculer et esquiver ce coup. L’un des hommes composa des mudras et s’écria : « Doton ! Doryu Dango ! ». Et il mit ses mains sur le sol, pour soulever une grande forme ronde de terre. Puis il la projeta vers Gin’iro, qui l’esquiva en l’air et prit appui sur la grosse roche pour trancher en deux cet ennemi. Soudain les deux restants composèrent tous les deux en même temps une technique : « Fuuton ! Tatsu no Ooshigoto ! » et « Suiton ! Daibakufu no Jutsu ! ». Une tornade et un tsunami se jetèrent sur le jeune Kirijin et ils se fusionnèrent pour sonner une géante tornade de glace s’abattit sur lui qui ne put esquiver. Mais soudain la tornade fut coupée en deux par une courbe de chakra assez puissante et entre les deux bouts de la tornade se tenait Gin’iro, essoufflé et un genou à terre. Son épée était luisante mais elle s’éteignit très rapidement. Les deux ninjas, plus aveugles, étaient excédés par la résistance de jeune garçon. C’était seulement un combat de ninjutsu mais alors chez l’un des ninjas, une pointe d’électricité passa sur son corps puis de plus en plus rapide. Il s’était crée une armure d’électricité et l’autre commençait une série de mudras et s’écria : « Katon ! Hozenka no Jutsu ! » Alors cinq flammèches sortir de la bouche de l’adversaire et Gin’iro les esquiva avec facilité, trop grande facilité. Il était sûr qu’il était tombé dans un piège et il l’était bien tombé dedans. L’homme à l’armure raiton chargea avec rapidité, il marava le jeune ninja et le finit par un coup de pied dans les côtes.
Alors un combat au taijutsu s’est engagé. Gin’iro se releva d’un coup, brandit son épée devant son adversaire et s’attaqua à lui. Grâce à son armure raiton, l’ennemi était plus rapide mais il commençait comprendre son système de combat et il donna un puissant uppercut ce qui fit valser son adversaire. Puis il sauta en l’air, prit son épée à deux mains et transperça son adversaire avec une vague de chakra qui suivit. Il passa au tour de l’utilisateur de katon, qui effectua des mudras mais pas assez rapide, Gin’iro était derrière lui, une trace de sang coulait de sa lame et un bout du cerveau du ninja tomba à terre.
Alors qu’il rangeait son arme, il entendit une explosion, il se retourna et vit que le corps de l’utilisateur du raiton n’était plus là. Un raibunshin ? Soudain il vit, en se retournant, son ennemi, kunaï à la main. Du sang gicla, un corps vola et Gin’iro vit Mitsuko avec son adversaire dans les bras et il le déposa à terre.

- Tu t’es bien battu. A présent, rentrons.

Le jeune Kasumi, heureux, poussa un cri de joie et fit une prière en direction des trois ninjas morts aujourd’hui.

- Mon Dieu, faites que ces ninjas ne souffrent pas trop dans la mort, aux côtés de Satan. Et je vous remercie pour m’avoir laissé une famille aimante et généreuse. Merci !

Après cet évènement riche en rebondissement, Gin’iro s’entrainait de plus en plus durement jusqu’au jour où un groupe attaqua la planque de Mitsuko. Six hommes, roux et portant des habits noirs et rouges attaquaient. Alors il fut frappé d’horreur en voyant les hommes qui avaient assassiné sa sœur, ses parents, sa famille, son clan et détruit son village. Puis il se rappela d’un détail important, le forgeron Anikis lui avait appris les uniformes de l’Akatsuki et devant lui se dressait exactement la même description. Akatsuki serait mêlé aux assassins, que se passait-il ? En tout cas, pour Gin’iro, c’était certain, entrer dans cette organisation serait une erreur. Alors il attaqua l’un de ces corps, mais il fut projeté contre le mur par un violent coup de pied lorsque l’un des corps dit :

- Tu t’accroches drôlement à la vie et aux hommes toi ! Je vais te les arracher une nouvelle fois et hais-moi ! Toujours et encore plus et je deviendrais encore plus puissant !

Alors il assomma Gin’iro et finit le travail. A son réveil, le jeune Kasumi était là, comme paralysé par la peur. Tous ses corps mis devant lui, beaucoup de sang, beaucoup trop. Le jeune Kirijin cria et vomis un coup. Il était très en colère et haïssait l’homme qui lui enlevait ces personnes importantes à ses yeux. Alors il décida de rentrer à Kiri pour poursuivre son entraînement afin de tuer pour de bon Pain.

Une fois rentré dans son village natal, il commença à effectuer des missions. Après son grade de Genin obtenu, il désirait faire des missions de plus en plus dur, mais biensûr il était refusé chaque fois qu’il le demandait. Il posait toujours des questions sur Akatsuki, mais ce n’était pas ses affaires pourtant. Seulement, il haïssait ce groupe terroriste et la seule chose qui le torture, c’est le fait de savoir qu’ils sont toujours en vie.

Une légère brise du matin passait entre les cheveux lisses et argentés de notre héros. Ce vent, si marin d’après l’odeur et si bon, lavait toutes les impuretés des fils gris brillant de Gin’iro Kasumi. Quand on portait un contact avec cette douce brise d’automne, on sent toute l’harmonie du monde et la paix qu’elle engendre. Dès cet instant, tous les combats prennent fin pour pouvoir écouter, en quelques minutes de silence, ce concerto digne des plus grands, des plus blancs. Ces sentiments si purs et si comblés par le manque de douceur qui s’ajoute à la tuerie de ce monde. Un monde dans lequel purge les infidèles et leurs partisans de l’ombre et après tout, un monde ne peut vivre sans discorde ni bien-être, sans amour ni haine, sans guerre ni paix. La Terre que nous le connaissons a sa poids en bien et en mal, même si les ravages de la terreur interne dégradent le corps entier. Des idées de travers, les désirs de pouvoir, d’argent de femmes, tout cela ne fonctionne que sur des esprits pervertis par une envie insoupçonnée qui n’est autre que l’avarice. Biensûr, la religion et les saints ne servent pas pour rien, d’autres se repentissent dans les chapelles pour se faire pardonner leurs pêchés impures et traîtres. Mais qui a-t-il déjà mené sa vie correctement comme il la souhaitait ? C’est une chose que l’on ne remarque jamais chez les jeunes de nos jours mais nous pouvons y penser souvent alors personne n’irait blâmer ces êtres qui ont dérapé du droit chemin. Le chemin de Dieu n’existe que dans un seul but : Parcourir ce chemin sans jamais franchir la ligne rouge et enfin atteindre le paradis. De la vie à la mort, il faut avoir un cœur pur et de bonnes intentions. De la vie à la mort, il faut être méthodique et ne pas être assassiné injustement. De la vie à la mort, il faut parfois aimer et recevoir des châtiments. Un humain de ce monde ne peut qu’aimer et si ce n’est pas le cas, il doit être un démon. Prenons le cas d’un être tout à fait normal, ayant vécu les pires choses que l’on puisse voir.

Gin’iro Kasumi, ce jeune homme de 17 ans, Chuunin du village de Kiri, a grandi depuis toutes les atrocités qu’il a vu et vécu. Il a su se faire une réputation de futur talent du village de Kiri. Le fier jeune homme a réussi à être admis par la plupart de ses camarades et de ses Senseï. Bien qu’il soit arrivé, un peu vieux pour l’académie au village, il put démontrer ses talents sociaux à travers chaque être qui vivait dans son périmètre. Au bout d’une longue année de travail, il apprit tout ce qu’il pouvait savoir des techniques de base. Bien entendu, ses notes s’en faisait ressentir, au début de l’année il s’affichait dans les derniers, puis il commença à entrer dans le top 10 puis il atteint la place de meilleur de l’école, et il reçu fièrement son titre de Genin. A cet instant, à ses 14 ans, il était devenu le premier palier du village, aidant les habitants face à leurs malheurs primaires. Il effectua alors de nombreuses missions, aidant les personnes et en accompagnant d’autres en gagnant de l’argent par la même occasion. Il put acquérir une certaine somme grâce à l’argent de son clan et au sien des missions. Il acheta donc son appartement avec tout le confort qu’il put trouver et les reste qu’il avait le gardait à la banque. Aussi simplement que cela puisse paraître, le jeune garçon n’a acheté que le strict nécessaire et c’est ce qu’il fait de lui un être généreux. Puis trois ans plus tard, il obtint le grade de Chuunin, il faisait parties des seconds paliers du village, avec des missions plus importantes et plus difficiles encore. Il arrivait mieux à maîtriser ses pouvoirs spéciaux et gardait le contrôle lorsqu’il les utilisait. C’est dû à de nombreux entraînement qu’il put acquérir une technique comme celle-ci.

Mais un jour, il fut appelé à rejoindre une mission en compagnie de trois autres chuunins de son âge, seulement un était plus vieux que les deux autres. Le jeune homme ne savait pas quel type de mission avoir, une escorte ? Un assassinat ? Une mission diplomatique engagée avec un pays frontalier ? C’était un réel mystère pour le jeune homme que d’accomplir cet engagement tenu et promis auprès du Kage. En tout cas, il savait juste qu’il devait aller quérir des informations sur un lieu de rendez-vous, cela devait-être au pays de l’herbe quelque chose comme cela. Mais enfin Gin’iro s’en fichait un peu, il devait juste remplir sa mission et ensuite il reviendrait à Kiri pour encore faire des missions sans fin, c’est un cercle vicieux, c’est tout. Alors il partit avec ses coéquipiers afin de remplir la mission qui lui a été accordée. C’était un choix judicieux mais sans savoir où aller, il n’y a aucun moral à en retirer, c’est un peu comme si l’on courait une course sans jamais savoir quand est-ce qu’elle se terminera… Puis il partit rejoindre son équipe et ils devaient établir une stratégie en cas d’attaque ou d’embuscade. Mais bon ils préparent cela à l’avance et le risque d’attaque est minime en ce moment mais sait-on jamais, quelques fous peuvent apparaître pour se faire arrêter peut être ? Et c’était le moment de l’inventaire, tout le monde avait sur soi ce qu’il fallait, Gin’iro détenait un bombe aveuglante, cinq kunaïs explosif, deux bobines de fil, trois fumigènes, une dizaine de shurikens et une trentaine de kunaïs. C’était un matériel nécessaire au niveau de ses missions, elles étaient trop dangereuses pour y apporter qu’un seul kunaï. En tout cas, ce qui est sûr, c’est qu’on ne peut savoir sur quoi l’on va tomber.

Mais pour l’instant il fallait recevoir l’ordre de mission au pays de l’herbe et remplir la mission qui sera donnée par la suite, c’était leur priorité. Les cheveux argentés de Gin’iro flottait dans le vent près des grosses branches des arbres et il parcourait sans difficulté les 20 kilomètres à l’heure. Il ne courait pas à son maximum car il se fatiguerait vite mais il devait se presser, les missions étaient prioritaires et n’attendaient pas. Le soleil se couchait assez rapidement, il devait être 17h00 du soir mais l’équipe ne devait pas se reposer maintenant, il le ferait que lorsque le chef en aurait décidé et pas autrement. C’est une des règles que d’obéir au capitaine de l’équipe car sinon les missions ne seraient pas accomplies justement. Aussi le soleil n’attendait que la lune pour se reposer et alors, c’était au tour de Gin’iro et des trois autres que de le faire à leur tour. Ils allaient se poster dans un grand pré où ils pouvaient avoir une vision sur 360° et cela serait très avantageux en cas d’attaque. Pour assurer la défense de cet avantage, ils devaient faire un tour de garde sur toute la nuit.

Le campement était presque installé, il manquait le bois et un peu d’eau. C’était à Gin’iro d’aller le rechercher. Après une bonne heure de quête, il finit par trouver ce qu’il cherchait et alla rejoindre le camp. Entre temps, ses coéquipiers étaient allés chasser du poisson et un peu d’herbe pour rendre les repas meilleurs. C’était toujours une bonne chose que d’avoir le ventre plein avant une longue mission. Alors ils mangèrent avec beaucoup d’appétit, parlaient, rigolaient et se racontaient des blagues drôles et pas marrantes du tout. Le jeune Kasumi, lui, n’avait pas trop envie de rire, il repensait tout le temps à son passé bien que ses équipiers lui aient fait remarquer ce point. Puis c’était le temps d’aller dormir pour tout le monde sauf un : ce serait au tour du chef et Gin’iro se plaçait en troisième sur la liste. Quand ce fut à son tour, un chuunin de son équipe vint le réveiller afin qu’il assure son tour de garde et il se levait difficilement pour enfin aller se poster sur un tronc surélevé afin de mieux apercevoir les environs. Sa couverture ne faisait pas trop effet, il ressentait un certain froid tout de même et cela ne lui faisait pas du bien dans une nuit fraîche comme cela.

Soudain il ressentit quelque chose d’étrange, des chakras s’approchaient, alors il décida d’aller voir si son intuition était bonne. Il marchait doucement, tentant de ne rien trouver qui pourrait lui faire du tort et arrivé sur place, plus rien, volatilisé ! Que s’était-il passé ? Où étaient donc parties ces présences ? Il n’en savait rien et décida alors de retourner au camp pour en informer son capitaine. C’est ainsi qu’il s’en alla au camp et lorsqu’il y parvint, il se cacha sentant des présences douteuses près du camp. Alors il se planta derrière un arbre, jeta un œil en direction du camp et vit tous les membres de l’équipe déchirés, décimés, massacrés, tués par quatre hommes. C’était de sa faute, c’était de la faute de Gin’iro, il n’aurait jamais dû partir, alors il décida de se venger ! Pour évaluer la puissance de ses adversaires il commença à sentir les chakras autour de lui et vit un chakra qui était en perpétuel mouvement à la recherche d’on ne sait quoi. Le jeune Kasumi commença par lui alors, il se déplaçait rapidement, silencieusement et lucidement pour qu’aucune trace de lui ne soit découverte. Puis il arriva au niveau de son adversaire qui était tout près, mais qu’il ne voyait pas. Une technique d’assimilation dans la nature ? Ces adversaires étaient très forts alors, l’équipe de chuunins de Kiri a dû se faire repérée par cet homme. Pour tenter de voir l’homme invisible, Gin’iro ferma les yeux et se concentra un maximum. Dans son esprit il commençait à percevoir la silhouette de l’homme remplie de bleu et c’était suffisant, il était tout proche. Le jeune chuunin attendait le moment propice afin de décapiter l’homme et cet instant approchait à grand pas. Lorsqu’il fut à bonne distance, Gin’iro dégaina son épée et se lança vers son adversaire, agitant des bras et les tranchant de toute part. L’ennemi n’avait aucune chance, bien qu’il soit invisible, le talent de pisteur du Kirijin était suffisant pour l’apercevoir.

A cet instant il pouvait prévoir toute tentative de contre-attaque et donc il se devait d’attirer quelques ennemis afin de pouvoir terminer le travail au camp. Seulement comment pourrait-il attirer des ennemis. Il refaisait l’inventaire dans son sac et préparait alors certains objets qui pourront lui être utiles. Il sortit tous ses kunaïs et ses shurikens, une bobine de fil et les kunaïs explosifs. Alors il prépara les pièges : Avec les fils il en tendrait deux pour en cacher un troisième sur toutes les directions afin qu’un piège à shurikens sorte d’un feuillage pour tous les tirer en direction de l’ennemi. Ensuite il prendrait le cadavre de l’adversaire invisible et il installerait ses kunaïs à l’intérieur en y instaurant son chakra pour que dès qu’un homme s’approche du corps, il explose et libère de nombreux kunaïs en sa direction. Ce système se déclenchera grâce à un fil rendu invisible à l’aide du chakra de Gin’iro. Il pense que les alliés du cadavre de l’homme invisible iront voir s’il va bien. Cependant, comment pourront-ils ne pas s’apercevoir d’un piège ? Alors le jeune Kasumi eut une idée, il installera un clone, de façon à ce que les ennemis croient qu’il soit mort et ainsi ils pourront vérifier si leur allié est en bonne santé. Maintenant pour les attirer, il faudrait que Gin’iro envoi ses kunaïs explosifs dans certaines direction pour faire un maximum de bruit.

Alors, le jeune Kasumi, en dix minutes eut le temps de mettre en pratique son plan et il lança les kunaïs en direction de troncs et du sol. Une explosion surgit et alors il partit en direction de l’autre camp où il devrait effectuer une autre stratégie et elle était toute prête : Pour éviter de se faire reconnaître par les adversaires, il libérerait son sabre puis il lancerait un croissant de chakra apparaître derrière les adversaires. Ceux-ci, focalisés sur l’arrière ne prêteront plus attention à l’avant et là, Gin’iro lancerait sa bombe aveuglante où pendant ce laps de temps il tuerait les ennemis encore aveuglés. Alors il préparait son épée, il la libéra et arrivé au camp après avoir bien contourné les autres chakras, il débuta la phase numéro deux.

Des cris, des hurlements de douleur s’élevèrent dans les cieux et cela avait pour but de démontrer que le piège du Kirijin avait marché et que les deux restants se faufileront dans la forêt en faisant très attention. Alors Gin’iro, lorsqu’il avait en ligne de mire les deux adversaires, lança un croissant de chakra qui contourna les ennemis sans se faire repérer et apparut dans leur dos. Ayant largement aperçu l’attaque, ils purent esquiver seulement Gin’iro avait tout préparé, il jeta sa bombe aveuglante et se précipita vers ses ennemis en trancha un mais une seule chose avait cloché, l’autre homme était aveugle et donc ne put apercevoir une once de lumière. Ce même ennemi répliqua par un kunaï finement lancer en direction de l’épaule gauche de Gin’iro. Cela s’annonçait mal, comment pouvait-il gagner ? Etait-il plus fort que lui ? Mais ce n’était pas le moment de se poser de telles questions, la seule chose à faire c’était de tuer son adversaire. Alors il se lança à corps perdu vers son ennemi et un combat au Taïjutsu s’engagea, l’homme se défendait bien mais son aveuglement lui donnait un désavantage dont Gin’iro en sut tirer toutes les parties. Mais c’était bien difficile pour le Kirijin aussi, il avait un bras en moins, il se défendait tant bien que mal et dû se résoudre à utiliser son seconde pouvoir. Il recula, posa sa main sur sa boucle d’oreille droite et lança un bouclier pour stopper la course de son ennemi. La protection, disparue, Gin’iro jeta un croissant de chakra et le finit par un saut qu’il répercuta sur une descente vers le sol afin de clouer l’ennemi.

C’était terminé, plus une once de chakra ennemi à l’horizon et bien qu’il savait la vérité, le jeune Kasumi tenta tant bien que mal d’aller vérifier si personne n’était en vie. Effectivement, aucun des chuunins ne se retrouvaient à respirer l’air du Yuukan. Alors Gin’iro enterra ses camarades, pria une longue journée et revint à Kiri. Arrivé au bureau du Mizukage, se présentant devant lui, il laissa échapper une larme et dit :

Echec de la mission …
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Suzuna Heartfilia
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MessageSujet: Re: L'envoyé de Dieu   L'envoyé de Dieu I_icon_minitimeSam 3 Avr - 13:35

Bienvenue =)
Présentation extrêmement complète ! O_O
J'ai tout lu sans m'ennuyer ^^

Test RP
Vous avez une nouvelle mission qui consiste à trouver puis à arrêter Kisame Hoshigaki.
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MessageSujet: Re: L'envoyé de Dieu   L'envoyé de Dieu I_icon_minitime

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