Qui es tu, homme au masque ? (Pv Hei Gekkou)

Je chuta encore au sol, du sable s'infiltrant dans toute mes blessures. Ce combat venait d'être épuisant. Ce Chuunin était sacrement fort, et malgré l'attaque que je lui avais porté à la fin, il avait réussi à me vaincre. Il faut avouer que se battre avec à peine une goutte de chakra, c'est la défaite assurée. Je me releva durement et continua à avancer en tanguant, me dirigeant vers la grotte où je m'entrainais pendant cet exil. A chacun de mes pas, j'avais l'impression que l'on m'arrachait la peau des jambes. Je chuta à nouveau et me cogna la tête sur un rocher. Un voile rouge se déposa devant mes yeux. Je tenta de bouger mais mon corps ne répondait plus. Un nouveau voile, noir ce coup çi, voila mon regard. Je me sentais comme aspirer par un gouffre sans fond. Ma conscience s'envola et je perdis connaisance.

Lorsque je repris connaisance, il faisait nuit. La lune éclairait le désert d'une clarté presque surnaturelle. Quelques animaux couraient sur le sable, poussant parfois des petits cris lorsqu'ils trouvaient de la nourriture. Je posa mes coudes sur le sol et me releva tant bien que mal. Tout mon corps m'élançait douloureusement. Je tenta de me relever, mais j'étais toujours trop faible, mes muscles me faisant trop mal. Je me laissa donc tomber sur le dos et fixa les étoiles, me remémorant mon combat. Je n'aurais pas du user de tout mon chakra à la fin, mais mon adversaire était bien trop fort comparer à moi pour que je n'utilise pas la morsure de l'homme bête. Je frappa le sable de mon poings. J'étais faible, trop faible. Tout ceux que j'affrontais me battais. Je pensais que mon entrainement aurais porter ses fruits, mais finalement, je n'avais fait que m'emporter et perdre betement.

Un bruit de pas à ma droite me fis lever tant bien que mal la tête. Un homme au bandeau frontal de Konoha s'avançait. Je ne pouvais pas voir son visage, caché par un masque. C'était donc un ANBU. Etait-il là avec des intentions mauvaises. Je tenta de prendre une arme mais mes bras refuserent de remuer. Si cet homme voulait me tuer, ma vie s'acheverait donc maintenant. Je ferma les yeux et attendit un coup, qui n'arriva. Les ouvrant doucement, je pris doucement la parole.

-Mais, qui es tu, homme au masque ?

Spoiler:

Une petite personnel pouvait commencer ! Un pays choisi au hasard, un long moment avant déjà passé après la mort très rapide du démon de Kiri. Peut-être voulait-il tuer l'élite de Suna maintenant ? Non, faire plusieur meurtre de la même manière pourrait facilement être reconnaissable et les preuves pourrait facilement monté jusqu'à lui, ainsi il aurait son village natal sur le dos... Ce village qui contenait de si beau bijuu, depuis sa tendre enfance, il rêvait un jour de s'en proccurer un ! Pas nécessairement le plus fort, mais un qui sera utile pour le genre de technique qu'il utilise, l'heureux élu est le jolie et merveilleux Byakugan dont possèdait les Hyûga. Une jalousie si grande envers ceux-ci, se qui le forca de chercher un Hyuga, de Konoha ou ailleurs, il s'en foutait. Pour extraire cet oeil qu'il désirait, il s'y prendrait d'une manière si différente de lui que personne pourra le reconnaitre. De plus, a part l'Hokage, et quelques personnes de Kiri le connaissait, sinon... Il était inconnue. Avant d'avoir débuté sa longue marche vers Suna en partant de kiri, il avait prit soin de ne pas oublier cette épée, une épée que plusieurs voulait pour lui seul. Cette épée apartenait à Kiri et devait y rester, Hei l'avait lancé avec sa force surhumaine, si loin dans l'eau, que personne ne pouvait la trouver... Un gaspillage ? Peut-être, il s'en foutait, il ne voulait plus que le byakugan !

Qui était-il ? Je ne savais pas pourquoi, mais il m'inspirait de la crainte. Je sentai clairement en lui des choses bizarres. Il se pencha vers moi et m'attrapa par le cou. Je commença à paniquer et je posa mes deux mains sur sa poigne qui m'enserrait le cou. L'air ne parvenait à mes poumons qu'en petite quantité. Déjà que j'étais faible avec mon manque cruel de chakra, cet homme sadique m'étranglait en plus.

-Contre qui tu t'es battu shinobi ? C'est cicatrice de combat ne sont surment pas arrivé sur ton corps comme ça, n'est-ce pas ?

Un leger ricanement arriva à mes oreilles lorsqu'il serra mon cou un peu plus fort. Je regarda son masque avec le maximum de calme possible. Il ne fallait pas que je lui parle de Ryuzaki, cet homme cruel n'hésiterai surement pas à le tuer. Je remua les jambes dans le vide pour tenter de me libérer, en vain. Je laissa ma main tombé lourdement sur ma jambe avant de saisir un kunai et de le poser sur le ventre de l'homme. Bien que gravement bléssé, je me défendrais quand même s'il m'attaquait.

-Relache moi si tu veux tes réponses. Je n'ai pas pour habitude de parler avec un homme qui tente de me tuer sans même me connaitre. Je n'hésiterai pas une seconde...

J'appuya un peu mon kunai sur son vetement avant de continuer :

-....à te planter ce kunai dans la chair. Relache moi. J'ai beau être faible, je me battrais quand même si tu tente de me tuer.

Peut être que je venais de sceller mon destin avec cette déclaration, mais je voulais le prévenir à l'avance que mon arme s'enfoncerait brusquement dans sa peau, tranchant tendon, veine et chair s'il ne me relachait pas immédiatement. Oui, cet homme, je ne lui parlerai pas de Ryuzaki, c'était décidé. Il le tuerait surement sans une once de pitié, pitié qui manifestement n'existaient pas dans son coeur. L'idée que peut être que je jouais avec la mort m'effleura et alluma une flamme de peur dans mon coeur, flamme que j'éteignis immédiatement. Mon coeur resta tout de même sérré. Je ne voulais pas, je ne Pouvais pas mourir avant d'avoir venger mes parents.

L'homme me lacha et je tombis lourdement sur le sol, toujours le kunai à la main. Je tenta de me relever mais mon corps refusa obstinément de m'obéir. Je resta donc sur le dos, le kunai à la main légèrement levé. L'homme au masque me frappa dans la jambe avant de continuer :

-Parle ! Qui t'as fait ça ? ... Et si tu ne répond pas, je serai sans pitié. Maintenant soit gentil et dit moi qui t'as fait ces cicatrices ?

Mais, que me voulais-t-il ? Ou elle, je ne pouvais pas le dire à cause de son masque. Sa voix était étrange, ce qui m'enfonçait encore plus dans mon incertitude. Quelque chose en moi me criait qu'il ne fallait surtout pas que je lui dise la vérité. Cet personne était en train de se moquer de moi ouvertement, et si j'avais été en pleine frome, je n'aurais pas hésiter, malgré sa puissance surement supérieur, à la remettre à sa place. Il claqua des doigts et un grand tigre blanc s'approcha de lui nonchallement. L'animal s'arreta à côté de son maitre, qui lui caressa un peu l'échine. Je me maudis d'avoir autant utilisé mon chakra dans mon précédent combat car j'en aurais eu cruellement besoin maitnenant, afin de rentrer en contact mental avec l'animal. Mais, ne pouvant rien faire, je ne pus que rester allongé sur le dos. La tigresse montra les crocs et l'homme lui tapota la tête.

-Yin ! Ne grogne pas, tu ne vois pas qu'il a peur ? Il vient de se faire tabasser le pauvre. Avoue qu'il fait «presque» pitier ?

Pitié ?! Cet homme ne connaissait pas ce mot, et il l'employait. Il venait de m'agresser alors que je gisais à terre, faible, et il parlait de "pitié". Cet homme médisant me répugnait au plus haut point. Utilisant toute la force que j'avais après ma petite nuit de sommeil, je força mon corps à se relever. Une fois debout, je pointa l'homme de mon kunai avant de lui dire :

-Je n'ai pas peur d'une ordure comme toi. Je ne mourrais pas avant d'avoir venger mes parents. Et tu parle de pitié, alors que tu viens de m'attaquer alors que j'étais à terre. Tu n'as vraiment aucune pitié.....

Je ferma un peu les yeux avant de finir ma phrase, essayant de la projeter comme un crachat sur lui :

-Et aucun honneur. Je ne te parlerais pas de qui m'a fait ça, car ces un ami, et je ne doute pas que tu le tueras. Alors, passe ton chemin....

Et comme pour appuyer ma phrase, je dégaina mes deux katanas après avoir rengainé mon kunai.

L'homme poussa mes lames vers le bas avant de déclarer :

-Parle... Je suis Oi-nin, mon devoir est de capturer les shinobis qui font du "mal". Et si par hasard il serait de Konoha, la seule chose que je puisse faire se sera de contacter maître Hokage pour que ce dernier est une discution avec le leader de Konoha car si je ne me trompe pas, Suna et Konoha on un pacte de paix.

Mon esprit paniqua, bien que mon corps resta totalement calme, impassible. Devais-je lui avouer que c'était Ryuzaki Hyuga, un ninja de Konoha qui m'avait infligé de tel blessure ? Que ferais-t-il ? Il l'abattrait surement. Mais si je ne disais rien.... Il me tuerait. Je me toucha le front et réfléchit longuement. Je me devais de venger mes parents. Mais devais-je laisser périr un innocent pour cela ? Je ne vaudrais pas mieux que mon ennemi de toujours. Mais si je ne lui disais pas, je sauverai la vie de Ryuzaki, mais condamnerai la mienne. Quel choix difficile.
Soudain, une idée jaillit dans ma tête.

-L'homme qui m'a causé ces blessures est bien de Konoha, mais avant que tu ne le chatie....

Je posa mes deux mains à terre avant de continuer.

-Sache que c'est moi qui l'ai défié en combat amical, et que si je suis dans cet état, c'est que j'ai dépensé tout mon chakra. Je veux savoir ce que tu comptes lui faire avant de te dire son nom.

Je me releva de nouveau, ignorant encore la douleur qui se faisait de plus en plus forte. Si cela ne lui suffisait pas, j'étais pret à défendre ma vie. Contre un chasseur de déserteur. Je savais que je risquais de plus en plus ma vie, mais je ne laisserai pas cet homme tuer Ryuzaki.